1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 e où rebondit un ballon. Si l’on considère la vie sociale comme un jeu sérieux dont on respecte les règles, non plus comme une
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Otto Flake, Der Gute Weg (septembre 1925)
2 une étrange vérité. Aux prises avec les problèmes sociaux et le luxe le moins apaisant, tournés vers la Russie, vers le passé,
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 e ? Nos penseurs, nos écrivains ont perdu le sens social . Cela devient frappant dans les générations nouvelles. Toute la jeune
4 ’est pourquoi ils ne peuvent prétendre à l’action sociale que l’époque réclame 1. C’est aussi pourquoi l’on ne saurait accorder
5 r une conscience individuelle ; retrouver le sens social , le sens des ensembles et des proportions ; rééduquer les instincts d
6 ormer totalement. — Alors, vous croyez à l’action sociale des écrivains ? Peut-être. En tout cas je vois bien le mal qu’ils ont
4 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
7 t ainsi « lâché » pas mal de préjugés en matières sociales . Mais ce qui est peut-être plus important, on eut l’impression, duran
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
8 e au croisement des préoccupations esthétiques et sociales d’aujourd’hui. Pour résoudre la crise de notre civilisation sous cet
9 nsembles soumis aux lois de l’esprit et de la vie sociale , non plus à un opportunisme anarchique. Tirer des lignes droites, est
6 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
10 veut une conscience. Je fais partie d’un ensemble social et dans la mesure où j’en dépends, je me dois de m’employer à sa sauv
7 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
11 soit l’idée de la mort ou les soucis politiques, sociaux , etc., et il ne met de la gravité que dans les choses voluptueuses, j
8 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
12 otre esprit. La passion apparaît dans notre ordre social « comme une adroite fêlure ». Notre morale est entièrement subordonné
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
13 rnés encore par des habitudes nées des nécessités sociales — nous empêchent de découvrir la richesse immédiate. Surréel qui n’es
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
14 ces trois mots où se résume la défense de la loi sociale , patriotique, religieuse (?) et ci-devant morale qui protège votre pa
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
15 on m’avait emprisonné c’était un bas opportunisme social , résultante des paresses accumulées de tous les cerveaux bourgeois in
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
16 il y a tout de même un ou deux petits phénomènes sociaux de notre temps que cette méthode ne suffirait pas à supprimer. Or, il
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
17 exigences sémantiques — dont on connaît la portée sociale , — mariant l’utile à l’agréable selon les rites d’une esthétique ou d
18 erté, par haine de cette esthétique ou de ce sens social , — et voilà qu’ils perdent même la problématique utilité de liaison q
14 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
19 ’atteindre. Au contraire, il a résolu la question sociale d’une façon qui ne devrait pas déplaire aux doctrinaires de gauche, l
15 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
20 eurs légères facilite singulièrement les rapports sociaux . On vous mène au Théâtre, vous n’y comprenez rien, mais le charme des
16 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
21 L’ordre social . Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)u L’ordre social
22 isme. L’inspiration (novembre 1929)u L’ordre social Il y avait une fois un jeune homme comme les autres. Soudain il lu
23 re, en effet, lui valut une Muse. u. « L’ordre social . Le Libéralisme. L’inspiration », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-N
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
24 instituteurs : ils sortent tous de la même classe sociale , de la petite bourgeoisie. Est-ce que l’esprit petit-bourgeois qui im
25 même titre que certaines autres maladies dites «  sociales  ». Je reviendrai peut-être sur ce point. Pour l’instant je ne veux qu
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
26 out entier soit occasion de développer les vertus sociales de l’élève. « Une classe est une société en miniature. » Ceci est une
27 en qui ressemble en quoi que ce soit à aucun état social existant. Ce qui est vrai, c’est que le fait, absolument nouveau dans
28 ’influence de la vie ? Quelle est cette éducation sociale qui enlève l’enfant à la famille ?5 Quel est cet instrument de perfec
29 e suffisant de leurs aptitudes à la compromission sociale établie) et cueilli au passage un grade universitaire, prennent leur
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
30 bien vite des députés pour célébrer les bienfaits sociaux , que dis-je, la valeur hautement moralisatrice de ces glapissants ent
31 uelle, remplit suffisamment son rôle politique et social , qui est de fabriquer des électeurs (si possible radicaux, en tout ca
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
32 n. Elle ne croit plus qu’au péché contre les lois sociales , eh bien ! elle apprendra que le seul péché qui n’a pas de pardon c’e
33 uer, voyez-vous ça, à la famille, « cette cellule sociale  ». Et je les traite de mauvais plaisants. Admirez mon extrême modérat
34 ontraire est un milieu antinaturel, et les normes sociales qu’on prétend y substituer à celles de la famille sont falsifiées. No
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
35 onstater, sans plus, que notre soi-disant progrès social correspond à un recul humain. Par exemple, est-ce un progrès que d’av
36 dre que votre scepticisme à l’endroit de la forme sociale que nous appelons sans la connaître et qui s’élabore déjà secrètement
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
37 instituteurs : ils sortent tous de la même classe sociale , de la petite bourgeoisie. Est-ce que l’esprit petit-bourgeois qui im
38 même titre que certaines autres maladies dites «  sociales  ». Je reviendrai peut-être sur ce point. Pour l’instant je ne veux qu
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
39 out entier soit occasion de développer les vertus sociales de l’élève. « Une classe est une société en miniature. » Ceci est une
40 en qui ressemble en quoi que ce soit à aucun état social existant. Ce qui est vrai, c’est que le fait, absolument nouveau dans
41 ’influence de la vie ? Quelle est cette éducation sociale qui enlève l’enfant à la famille ? 5 Quel est cet instrument de perfe
42 e suffisant de leurs aptitudes à la compromission sociale établie) et cueilli au passage un grade universitaire, prennent leur
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
43 bien vite des députés pour célébrer les bienfaits sociaux , que dis-je, la valeur hautement moralisatrice de ces glapissants ent
44 uelle, remplit suffisamment son rôle politique et social , qui est de fabriquer des électeurs (si possible radicaux, en tout ca
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
45 n. Elle ne croit plus qu’au péché contre les lois sociales , eh bien ! elle apprendra que le seul péché qui n’a pas de pardon, c’
46 uer, voyez-vous ça, à la famille, « cette cellule sociale  ». Et je les traite de mauvais plaisants. Admirez mon extrême modérat
47 ontraire est un milieu antinaturel, et les normes sociales qu’on prétend y substituer à celles de la famille sont falsifiées. No
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
48 onstater, sans plus, que notre soi-disant progrès social correspond à un recul humain. Par exemple, est-ce un progrès que d’av
49 dre que votre scepticisme à l’endroit de la forme sociale que nous appelons sans la connaître et qui s’élabore déjà secrètement
27 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
50 ire humaine ; ils assistent à des bouleversements sociaux , moraux et surtout spirituels d’une portée planétaire, mais ils trouv
28 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
51 vautrés, la casquette de travers sur leurs idées sociales , pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dans la cour
52 de doctrine, au lyrisme neuf et parfois sauvage, social ou futuriste, et dont la « furia » serait assez hongroise… Mais l’exp
29 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
53 e suisse, gare allemande grouillante de questions sociales . La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeoisie ne s
30 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
54 fus surtout. » Refus des « conditions » de la vie sociale , au profit d’une volonté de puissance dont l’objet demeure assez ince
31 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
55 ui le moindre chien écrasé pose toute la question sociale . Ainsi, sommes-nous amenés à donner une « importance » relative à des
32 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
56 vres romanesques : une individualité et un milieu social bien défini. À ces deux éléments s’en ajoute un troisième qui est moi
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
57 it, dont on agrémente des digressions sur l’ordre social . Mlle Engel constate que « les plus grands poètes français du xixe s
58 ire moins que le jeu des passions et des intérêts sociaux . Or, en face de la montagne, l’homme est seul. Sénancour, c’est tout
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
59 connaître les résultats considérables de l’œuvre sociale , politique et religieuse suscitée par Kagawa. Nous savions que ce pas
60 e la religion24. Nous savions aussi que ce leader social , cet économiste et cet évangéliste se doublaient d’un écrivain extrêm
61 contre les idées subversives de son fils un ordre social dont l’avantage évident est de le mettre à l’abri de la véritable jus
62 son bonheur personnel avec l’idéal de rénovation sociale qu’il a conçu ? Et comment trouver le courage de se donner à cet idéa
63 it : « La bonté est le sel de la vie. L’organisme social demande des sacrifices pour l’amour des vivants. » Le conflit intéri
64 ent pâles. — Comment voulez-vous renverser l’état social actuel, si ce n’est par une révolution ? Je vous demande de me dire c
65 erminant de son auteur. Elle concerne la question sociale . Il s’attache à cette expression un « ennui » qui sert à beaucoup de
66 èvement : Tant que l’on considère la « question » sociale et que l’on en « discute », c’est irritant, vain et irréductible. Car
67 t irritant, vain et irréductible. Car la question sociale n’admet peut-être de solution que personnelle. Il ne s’agit plus de l
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
68 n point à cause de la logique ni même d’une norme sociale . Mais à cause de la grandeur. ⁂ Ce livre manque d’ange et de bête. Il
69 tourne lentement et formidablement sur ses bases sociales et religieuses. Ah ! comme tout cela est juste et net, parfaitement e
36 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
70 sme). Penser en actes : ce n’est pas descendre au social , si l’on accepte l’héroïsme. Un siècle bourgeois comme fut le dernier
71 dernier, n’osait imaginer de « réalisation » que sociale  : car il faut bien qu’on s’y mette à plusieurs, — rassurante perspect
37 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
72 un être jeune et libre encore de toute contrainte sociale , culturelle, voire physiologique ; le dessin se simplifiera jusqu’au
38 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
73 nous défendons, c’est l’homme en tant que l’état social actuel l’empêche atrocement d’être humain. Seule cette revendication
39 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
74 rait longtemps demeurer pacifiste. Dans un régime social où tout se tient, mais par la seule logique de la décomposition néces
40 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
75 apable d’édifier un monde culturel, économique et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’état marxiste idéal ne lai
41 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
76 nes, dans le domaine du sentiment et des rapports sociaux , sont agaçants à l’extrême pour l’autre. Agacement que l’on traduit e
77 le moraliste latin la signification d’un accident social réductible à l’ordre imposé. Passant à la limite du sentiment, là où
42 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
78 vautrés, la casquette de travers sur leurs idées sociales , pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dans la cour
79 de doctrine, au lyrisme neuf et parfois sauvage, social ou futuriste, et dont la « furia » serait assez hongroise… Mais l’exp
80 e suisse, gare allemande grouillante de questions sociales . La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeoisie ne s
43 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
81 us sommes incapables de nous libérer de barrières sociales ou de pudeurs qu’en pensée nous tenions pour nulles. Si j’étais vraim
82 gation des visages devant l’atrocité de notre vie sociale  ! Je baisse les yeux sur mon livre. Et la foule menaçante se pressait
44 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
83 u seul plaisir de vivre. Que demander à un milieu social  ? Qu’il vous laisse la franchise du cœur. Ici, l’on vous aime plus na
84  : cela n’a rien changé à l’organisme de leur vie sociale . Ils vivent en paysans, de leurs produits. Ils consomment fort peu d’
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
85 nes, dans le domaine du sentiment et des rapports sociaux , sont agaçantes à l’extrême pour l’autre. Agacement que l’on traduit
86 le moraliste latin la signification d’un accident social réductible à l’ordre imposé. Passant à la limite du sentiment, là où
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
87 vautrés, la casquette de travers sur leurs idées sociales , pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dans la cour
88 de doctrine, au lyrisme neuf et parfois sauvage, social ou futuriste, et dont la « furia » serait assez hongroise… Mais l’exp
89 e suisse, gare allemande grouillante de questions sociales . La Puszta est une terre vierge, je veux dire que la bourgeoisie ne s
47 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
90 u seul plaisir de vivre. Que demander à un milieu social  ? Qu’il vous laisse la franchise du cœur. Ici, l’on vous aime plus na
91 cela n’a rien changé à l’organisation de leur vie sociale . Ils vivent en paysans de leurs produits. Ils consomment fort peu d’i
48 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
92 us sommes incapables de nous libérer de barrières sociales ou de pudeurs qu’en pensée nous tenions pour nulles. Si j’étais vraim
93 gation des visages devant l’atrocité de notre vie sociale  ! Je baisse les yeux sur mon livre. « Et la foule menaçante se pressa
49 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
94 olutions ou de fréquents changements de condition sociale . Nos archives sont intactes, minutieusement tenues par les communes l
95 défie la pudeur… Le gouvernement et la structure sociale de la Principauté de Neuchâtel, du xve siècle jusqu’aux débuts du xi
50 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
96 à peut-être un résumé assez fidèle des influences sociales , culturelles et religieuses, qui s’exercèrent sur notre Suisse romand
97 l’influence des professions héréditaires, du rôle social tenu pendant des siècles ? Si mon père incarnait à mes yeux, jusque
98 a claire ordonnance, mais non moins de la justice sociale , et quand il le fallait, de la protestation sobre, efficace et désint
51 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
99 ans, autant sur les formes américaines de la vie sociale , des albums de photos qui pour la première fois, nous semble-t-il, me
100 pos initial. Quels que soient les bouleversements sociaux ou culturels, l’homme demeure cet être qui veut penser le monde. Inca
52 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
101 ntes sont devenues les officines d’un conformisme social et politique plus scandaleux encore que celui des églises catholiques
102 t même la France, si les questions économiques et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, depuis la guerre, chez nos
103 t radical à l’endroit des problèmes politiques et sociaux . La parution coup sur coup, de trois livres importants de Gogarten, d
104 ide dans leur effort pour « christianiser l’ordre social  ». Certains même parlent déjà du devoir qu’aurait l’Église de « chris
105 ’entendent-ils par « christianisation, de l’ordre social  » ? Ont-ils distingué clairement le péril de sécularisation de l’Évan
106 é jusqu’ici peu d’écho. La revue Le Christianisme social qui représente l’aile gauche intellectuelle du protestantisme, s’atta
53 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
107 n a essayé de nous faire croire que cet « ordre » social qui nous blessait, c’était un aspect nécessaire de l’« ordre chrétien
108 ons de nos églises qu’elles énoncent une doctrine sociale nouvelle opposée aux doctrines régnantes. Nous n’attendons rien d’auc
109 saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour mission de servir et de faire rayonner. » — L’idée de propriét
110 urs, les vérités saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la « sauvegarde » : 50 000 francs. Ah ! qu’un
111 me République… 2. Et non pas au nom d’un « ordre social chrétien qui s’opposerait au désordre actuel, capitaliste ou marxiste
54 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
112 tre premier numéro, que la solution des problèmes sociaux réside, par exemple, dans un embrassement général et sans condition,
55 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
113 il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni luttes sociales , ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-
56 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
114 ation, — et des attachements humains, des chaînes sociales . Du travailleur on a fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
57 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
115 blic, le résultat d’un déterminisme économique et social . Elle est, d’abord, l’acte qui crée de nouvelles déterminations, qui,
116 terre ne s’identifie pas pour nous à sa fonction sociale , ni à son utilité productive, ni à ses qualités biologiques. Une révo
117 r de rapports nouveaux dans la société, de forces sociales nouvelles. Le spirituel, c’est le mouvement, c’est le pouvoir de pous
58 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
118 verra comment il se peut faire que les tyrannies sociales , mondaines ou politiques, trahissent par leur raffinement, par leur p
59 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
119 sse par des congrégations interdites, ou les lois sociales les plus honorables, non établies par un travail parlementaire sérieu
60 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
120 ies d’avoir « prématurément » bouleversé un ordre social , qu’elles n’étaient pas encore en mesure de rénover radicalement. Mal
121 uvoir, dégénérer en dictatures. « L’État, l’Ordre social , la Centralisation, l’Autorité et la Discipline se trouvent ainsi éle
61 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
122 nts, les cartes de pain, des menaces de violences sociales . Que devenaient, dans tout cela, les belles synthèses de la théologie
62 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
123 olonté de considérer les problèmes économiques et sociaux dans leur totalité ; c’est aussi une volonté constante de changer de
124 d’abord, avec la nature ensuite, avec l’ambiance sociale enfin. Ce conflit comporte un choix permanent, donc un risque permane
125 ssédantes : les intellectuels. Par leur situation sociale , les fondateurs du socialisme scientifique contemporain, Marx et Enge
63 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
126 onnelle. On songe ici tout de suite à la question sociale . On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes qui aimai
127 aient à dire : « La solution des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle. » L’originalité d’une morale
128 morale individuelle apte à résoudre les conflits sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité, de cécité et de muti
129 ersement de l’individualisme. Ramener la question sociale aux limites de la personne, c’est constater que la question sociale,
130 s de la personne, c’est constater que la question sociale , en tant qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose pas ail
131 et l’on institue la police pour soutenir un corps social qui s’abandonne ; enfin la police décrète qu’elle est elle-même la fo
132 nent en fin de compte retentir tous les problèmes sociaux et spirituels. C’est en elle, et c’est en elle seule, qu’ils provoque
133 ssi, par conséquent, l’individu moral, l’individu social par excellence. Mais dans son acte seulement, c’est-à-dire dans l’ins
64 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
134 r le proverbe. Les lois générales, économiques ou sociales , sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionnons de notre
135 partis politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beaucoup de leur violence. Sans eux, nous ne saurions pas
65 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
136 les antagonismes féconds pour l’ensemble du corps social . Elles cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’union par e
137 identiques à ceux qui seront à la base de la vie sociale quotidienne. Nous n’établissons pas de distinction théorique et inopé
138 rales. Tout ce que nous allons dire sur la morale sociale ON peut être traduit immédiatement en institutions économiques par ex
139 ques par exemple. Pour nous, la véritable cellule sociale , c’est la personne, et non point la famille, qui lui est subordonnée.
140 n pouvoir contre le capitalisme et les inégalités sociales qui en résultent, par exemple. 8. Le fait que l’égalité ne soit poss
66 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
141 on signifie d’abord création de l’ordre. L’action sociale ne saurait être que la résultante irrépressible de cet acte fondament
67 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
142 complexe de fonctions ; ses allusions au désordre social  ; la corrélation qu’il indique entre l’optimisme du progrès technique
68 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
143 phiques et leurs conclusions d’ordre politique et social . Ces conclusions ne manqueront pas d’impressionner certain public au
144 re bon ménage avec la société la plus strictement sociale  ». Et voici détendu le ressort de la Révolution nécessaire. Mais qu’e
69 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
145 existe pas de théorie du désordre. Toute doctrine sociale , fût-elle la plus subversive, est la doctrine d’un certain ordre terr
146 de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale imposée. C’est une doctrine pessimiste, une politique de la camisole
147 état de choses qui s’offre à nous ? De l’action «  sociale  » ? C’est dans ce sens que concluent les Compagnons, groupe fondé par
148 es étudiants chrétiens, sur le modèle des Équipes sociales de Robert Garric. Créer des contacts vivants avec les milieux ouvrier
149 -elle pas des problèmes de doctrine économique et sociale qu’on ne saurait esquiver sans manquer à son tour de réalisme ? La pl
150 son tour de réalisme ? La plupart des tentatives sociales ou politiques que je vois s’esquisser parmi nous me paraissent pécher
151 e foi, qui transcendent le plan de toute doctrine sociale . Mais il fallait en parler ici : elle marque le pôle du refus, dans n
152 éformes nécessaires. Les doctrines économiques et sociales développées par Esprit et surtout par l’Ordre nouveau auraient conqui
153 assifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale , de guerres, de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme
154 tholiques (JOC) ; Démocrates populaires ; Équipes sociales de Robert Garric ; la revue Esprit  ; le groupe Réaction et son orga
155 e et les doctrines politiques », Le christianisme social , Paris, n° 6, juillet-août 1934, p. 49-58.
70 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
156 s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de problèmes sociaux , ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en
157 d et le plus populaire de son pays, une puissance sociale et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un récit auto
71 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
158 s, lorsqu’il dénonce les mythes de l’hégélianisme social . « Le meilleur moyen de s’en affranchir sera d’en revoir l’origine. P
159 us nécessaire de réfuter les objections du « sens social  ». Plusieurs ouvrages de Kierkegaard portent cette dédicace fameuse :
72 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
160 pas. Ce qui leur manque, c’est peut-être le sens social , tout simplement. Mais il manque à presque tous nos contemporains. J’
161 esque tous nos contemporains. J’entends, par sens social , la connaissance vivante du principe spirituel, affectif et communaut
73 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
162 as tout le roman français. Balzac, c’est le roman social . Balzac — et Stendhal, bien sûr — ce sera l’honorable, la géniale exc
74 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
163 n les accuse d’impatiences suspectes, de rancunes sociales , de nietzschéisme mal digéré. Les excuses qu’on leur offre ne sont gu
164 sus depuis, longtemps actif. Tant qu’une sécurité sociale et financière assure aux jeunes bourgeois un lieu héréditaire, un pat
165 qui s’imposent à chaque pas entre les conditions sociales que l’on sait n’être plus immuables… Perspectives d’aventure. Ambitio
166 nt que les bourgeois s’obstinent à nommer l’ordre social . Visage de l’État, Raison d’État, semblable aux raisons obscures et i
75 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
167 té qu’avait l’auteur de ne décrire que les effets sociaux , politiques et culturels de la Réforme, sans les rapporter à l’évolut
76 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
168 du n’est conçu qu’à partir de l’ensemble du corps social , comme un élément numérique, indifférencié, objectif. On l’obtient pa
169 ciologique qui prophétise la dissolution du corps social en individus libres au terme d’une évolution scientifique et organisé
170 stitue à mes yeux la règle d’or de toute doctrine sociale et politique. Est-ce à dire que le bien de tous doive être mis au ser
171 et peut-être son contraire. La formule du rapport social ne doit pas contenir une revendication de droit, mais une position de
77 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
172 conflit concret, — et découvre bientôt qu’il est social ou politique. Ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle avait cru voi
78 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
173 ique et proprement fiévreux des grands mouvements sociaux contemporains (hitlérisme) est très frappant. Il n’y a pas lieu d’ins
79 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
174 ue et capitaliste ; elle s’oppose à l’émiettement social de la démocratie individualiste ; elle s’oppose à l’exploitation de l
175 erreur plus profonde. Elle traduit, dans l’ordre social , une méconnaissance intime des valeurs et de leur hiérarchie. Elle tr
80 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
176 porte rarement le poids des injustices du régime social . Il joue. Il joue une partie dont il ignore volontairement l’enjeu. C
81 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
177 r le proverbe. Les lois générales, économiques ou sociales , sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionnons de notre
178 partis politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beaucoup de leur violence. Sans eux, nous ne saurions pas
82 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
179 éritable nature des rapports humains et du statut social dont ils étaient les bénéficiaires. L’affirmation brutale du primat d
180 primitivement bon a été gâté par des institutions sociales irrationnelles, et qui l’ont exploité. (Mais d’où vient cet esprit d’
83 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
181 nous, de théoriciens du désordre. Toute doctrine sociale , aujourd’hui, fût-elle même la plus subversive, est la doctrine d’un
182 de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale imposée. C’est une doctrine pessimiste, une politique de la camisole
183 éponse à une enquête de la Revue du christianisme social , sur l’attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux e
184 itude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du temps. 24. Illustration politique : à tout système q
84 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
185 n a essayé de nous faire croire que cet « ordre » social qui nous blessait, c’était un aspect nécessaire de l’« ordre chrétien
186 ous de nos églises qu’elles énoncent une doctrine sociale opposée aux doctrines régnantes. Nous n’attendons rien d’aucun acte d
187 saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour mission de servir et de faire rayonner. » — L’idée de propriét
188 urs, les vérités saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la « sauvegarde » : 50 000 francs. Ah ! qu’un
189 e République… 32. Et non pas au nom d’un « ordre social chrétien », qui s’opposerait au désordre actuel, capitaliste ou marxi
85 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
190 il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni luttes sociales , ni lutte contre la nature définitivement asservie. Cet homme sera-t-
86 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
191 ire ; sa dialectique ; ses méthodes politiques et sociales . Je puis leur reconnaître une part importante de vérité, surtout dans
87 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
192 elé « dieu » le principe de cohérence de leur vie sociale et privée. Le fascisme aboutit donc nécessairement à la divinisation
88 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
193 apable d’édifier un monde culturel, économique et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’État marxiste idéal ne lai
89 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
194 les antagonismes féconds pour l’ensemble du corps social . Elles cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’union par et
195 identiques à ceux qui seront à la base de la vie sociale quotidienne. Nous n’établissons pas de distinction théorique et inopé
196 morales. Et tout ce que nous disons sur la morale sociale doit et peut être immédiatement traduit en institutions économiques p
197 emple. Dans l’ordre nouveau, la véritable cellule sociale , c’est la personne, et non point la famille, qui lui est subordonnée.
198 n pouvoir contre le capitalisme et les inégalités sociales qui en résultent, par exemple. 63. Le fait que l’égalité ne soit pos
90 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
199 e livre, de philosophie politique et de doctrines sociales  ; cela paraîtra sans doute un comble d’ingénuité ou d’ironie — au cho
200 une renaissance spirituelle, dont le présent état social ne permet pas de prévoir la nature. Et je ne donne ici que deux exemp
201 Les fascistes, lorsqu’ils critiquent les plans sociaux des groupes personnalistes, ont coutume de les ranger sous une rubriq
202 , et d’autant plus passionnément que ses coutumes sociales sont plus tyranniquement hiérarchisées et honorées. Le Français est l
203 ées et honorées. Le Français est l’être le plus «  social  » du monde. On l’admet volontiers, mais il faut voir ce que cela sign
204 ers, mais il faut voir ce que cela signifie. Être social , dans le sens de sociable, c’est honorer les catégories et convention
205 able, c’est honorer les catégories et conventions sociales , les avantages, les commodités, les honneurs qui s’attachent au rang,
206 n’est plus contradictoire. Le Français moyen, né social , et décidé à le rester, a besoin d’affirmer hautement qu’il est égali
91 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
207 rales.) 4. Mieux vaut un convaincu sans influence sociale , que mille sympathisants prisonniers du désordre établi. (Car cet hom
208 nifie que la période de transition au nouvel état social est dès maintenant inaugurée, à l’intérieur du désordre établi. (Cond
92 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
209 ation, — et des attachements humains, des chaînes sociales . Du travailleur on a fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
93 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
210 ion du socialisme français de ses buts proprement sociaux . Il a fait de la « gauche » un parti négatif, anticlérical d’abord. I
211 fonder raisonnablement l’espoir d’une rénovation sociale et même culturelle de ce pays. C’est Proudhon, et non point Marx, qui
212 éformes nécessaires. Les doctrines économiques et sociales développées par Esprit et surtout par L’Ordre nouveau auraient co
213 assifs, refus du capitalisme créateur d’injustice sociale , de guerres, de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme
94 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
214 phiques et leurs conclusions d’ordre politique et social . Ces conclusions ne manqueront pas d’impressionner certain public au
95 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
215 ment intégrée à notre patrimoine moral, culturel, social , national et même religieux. ⁂ Kierkegaard en tant que chrétien sait
96 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
216 un conflit concret, et découvre bientôt qu’il est social ou politique. Ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle avait cru voi
97 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
217 ique et proprement fiévreux des grands mouvements sociaux contemporains (hitlérisme) est très frappant. Il n’y a pas lieu d’ins
98 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
218 tisme totalitaire ; elle s’oppose à l’émiettement social de la démocratie individualiste ; elle s’oppose à l’exploitation de l
219 erreur plus profonde. Elle traduit, dans l’ordre social , une méconnaissance intime des valeurs et de leur hiérarchie. Elle tr
99 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
220 porte rarement le poids des injustices du régime social . Il joue. Il joue une partie dont il ignore volontairement l’enjeu. C
100 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
221 r le proverbe. Les lois générales, économiques ou sociales , sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionnons de notre
222 partis politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beaucoup de leur violence. Sans eux, nous ne saurions pas