1
ans, j’avais appris à lire, en cachette, avec une
sœur
aînée. L’année suivante, on me mit à l’école, parce que c’est la loi.
2
tie. L’instruction publique et la Démocratie sont
sœurs
siamoises. Elles sont nées en même temps. Elles ont cru et embelli d’
3
que tout le reste est absurde. Et voilà pour les
sœurs
siamoises. Continuons. La démocratie doit à l’École de vivre encore.
4
5 ans, j’avais appris à lire, en cachette avec ma
sœur
aînée. L’année suivante, on me mit à l’école, parce que c’est la loi.
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tie. L’instruction publique et la Démocratie sont
sœurs
siamoises. Elles sont nées en même temps. Elles ont crû et embelli d’
6
que tout le reste est absurde. Et voilà pour les
sœurs
siamoises. Continuons. La démocratie doit à l’École de vivre encore.
7
s apprennent de leurs mères ». Combien j’aime ces
sœurs
des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Du
8
ensait au sort de Tsukamoto ; à sa stupide petite
sœur
, à lui-même, et il éclata en sanglots. Soudain, il prit une décision.
9
e des gens de la campagne. Il serait auprès de sa
sœur
, que personne n’aimait. Il décida de retourner chez lui la nuit même,
10
s plus grands noms : Milton, Bach, Rembrandt, les
sœurs
Brontë, Henrik Ibsen et ces deux Danois prodigieux, Hans-Christian An
11
s apprennent de leurs mères ». Combien j’aime ces
sœurs
des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Du
12
ostale et d’une réminiscence littéraire. Ses deux
sœurs
sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous le même paraplui
13
s apprennent de leurs mères ». Combien j’aime ces
sœurs
des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Du
14
ostale et d’une réminiscence littéraire. Ses deux
sœurs
sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous le même paraplui
15
ethe des Affinités, Jacobsen, George Eliot et les
sœurs
Brontë, Dickens, Strindberg, Hamsun et Lagerlöf, Henry James, Gottfri
16
est politique chez vous, même les biographies de
sœurs
d’hôpital, je pense. L’insolence paralyse un fonctionnaire allemand.
17
qu’il s’interroge sur ce qu’est devenue sa petite
sœur
: le vœu de retrouver la morte, de communier avec un autre univers, l
18
t aux blanches mains croit son ami amoureux de sa
sœur
. Cette erreur — provoquée par le nom des deux femmes — est la seule «
19
n’autorise point… et qui introduit la nouveauté,
sœur
de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut bea
20
que tout ce que le frère me refuse, j’entends la
sœur
me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « décrit » ainsi sa Dame : elle
21
ur les femmes, pas plus que si toutes étaient mes
sœurs
; c’est pourquoi je suis envers elles humble, complaisant, loyal et d
22
nt malgré lui pour Aricie, qui est la fille et la
sœur
des ennemis mortels de son père. Ainsi donc, Aricie, c’est « l’amou
23
valeur et de prix. Vous m’avez faite reine, et ma
sœur
, vous l’avez épousée pour l’amour de moi. Écoutez-moi, vous, comtes B
24
us, comtes Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère
sœur
, recevez-en la confidence, et vous surtout, Jésus mon rédempteur, je
25
’un mariage de consolation du vassal (ici avec la
sœur
de son amie, là avec son homonyme) — enfin dans les deux légendes, l’
26
ns). — Bénis soyez-vous de Dieu, chers frères et
sœurs
. D’où venez-vous ? Le 1er pèlerin. — Nous sommes venus d’Alsace,
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t aux blanches mains croit son ami amoureux de sa
sœur
. Cette erreur — provoquée par le nom des deux femmes — est la seule «
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que tout ce que le frère me refuse, j’entends la
sœur
me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « décrit » ainsi sa Dame : elle
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ur les femmes, pas plus que si toutes étaient mes
sœurs
; c’est pourquoi je suis envers elles humble, complaisant, loyal et d
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n’autorise point… et qui introduit la nouveauté,
sœur
de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut bea
31
nthétise toute la nature féminine, elle est mère,
sœur
, épouse, fille… elle est le chemin du salut79 ». Ainsi le tantrisme a
32
nt malgré lui pour Aricie, qui est la fille et la
sœur
des ennemis mortels de son père. » Ainsi donc, Aricie, c’est « l’amou
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t aux blanches mains croit son ami amoureux de sa
sœur
. Cette erreur provoquée par le nom des deux femmes — est la seule « r
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que tout ce que le frère me refuse, j’entends la
sœur
me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « décrit » ainsi sa Dame : elle
35
ur les femmes, pas plus que si toutes étaient mes
sœurs
; c’est pourquoi je suis envers elles humble, complaisant, loyal et d
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n’autorise point… et qui introduit la nouveauté,
sœur
de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut bea
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nthétise toute la nature féminine, elle est mère,
sœur
, épouse, fille… elle est le chemin du salut »70. Ainsi le tantrisme a
38
nt malgré lui pour Aricie, qui est la fille et la
sœur
des ennemis mortels de son père. » Ainsi donc, Aricie, c’est « l’amou
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valeur et de prix. Vous m’avez faite reine, et ma
sœur
, vous l’avez épousée pour l’amour de moi. Écoutez-moi, vous, comtes B
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us, comtes Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère
sœur
, recevez-en la confidence, et vous surtout, Jésus mon rédempteur, je
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’un mariage de consolation du vassal (ici avec la
sœur
de son amie, là avec son homonyme) — enfin dans les deux légendes, l’
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qu’il s’interroge sur ce qu’est devenue sa petite
sœur
: le vœu de retrouver la morte, de communier avec un autre univers, l
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s apprennent de leurs mères ». Combien j’aime ces
sœurs
des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Du
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ostale et d’une réminiscence littéraire. Ses deux
sœurs
sont venues la chercher, et nous sommes rentrés sous le même paraplui
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est politique chez vous, même les biographies de
sœurs
d’hôpital, je pense. L’insolence paralyse un fonctionnaire allemand.
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ien que sa famille (ses parents, ses frères et sa
sœur
) joue un rôle important dans la vie de Marcel. — Depuis que mon père
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1 avril 1953)j Fils de pasteur comme les trois
sœurs
Brontë, Nietzsche, Herman Hesse, Pearl Buck, Curzio Malaparte et tant
48
lare Luther — inaugurant ainsi la poésie moderne,
sœur
des sciences. Les « adversaires » du Christ ont souvent mieux compris
49
n’autorise point… et qui introduit la nouveauté,
sœur
de la superstition, fille de l’inconstance ». Et saint Thomas, au siè
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nthétise toute la nature féminine, elle est mère,
sœur
, épouse, fille… elle est le chemin du salut »21. Ainsi le tantrisme a
51
lare Luther — inaugurant ainsi la poésie moderne,
sœur
des sciences. Les « adversaires » du Christ ont souvent mieux compris
52
e sa passion, déçue par la réalité, sur sa propre
sœur
, c’est-à-dire sur le seul prochain qu’il parvienne à aimer comme lui-
53
rochain est « interdit » par la morale. Aimant sa
sœur
, Ulrich veut toucher l’interdit et posséder l’inaccessible, qui est l
54
qui unira ses héros : Ulrich et Agathe, frère et
sœur
. Admirable coïncidence, qu’il faut bien attribuer à la logique du Myt
55
mat et l’ambition. Ulrich von X. converse avec sa
sœur
Agathe, dont il sent qu’il commence à l’aimer, et lui raconte, sans t
56
e nymphet. Une autre fois, parlant encore avec sa
sœur
des formes de l’amour « insaisissables » qui lui semblent d’ailleurs
57
a passion. À cette rêverie se mêle l’image de sa
sœur
Agathe, retrouvée après de longues années, et qui, fuyant son mari, v
58
ché sa voie seul et non sans insolence, le mot de
sœur
avait été chargé pour lui d’une nostalgie vague, bien qu’il n’eût jam
59
u’il n’eût jamais songé alors qu’il possédait une
sœur
réelle et vivante… Incontestablement, des phénomènes analogues sont f
60
ues sont fréquents. Dans plus d’une existence, la
sœur
imaginaire n’est que la forme juvénile, insaisissable, d’un besoin d’
61
yable des réflexions échangées par le frère et la
sœur
, la qualité de leurs exigences morales et de leurs nostalgies spiritu
62
inconciliables. Première version : le frère et la
sœur
cèdent à leur amour, réfugiés sans passeports dans une île de l’Adria
63
n qu’une longue conversation entre le frère et la
sœur
qui s’aiment, dans leur jardin où choit sans fin du haut des arbres s
64
vers 357 de sa Théogonie. Parmi les innombrables
sœurs
Océanides, Hésiode nomme encore Asie, et Métis ou la Raison, première
65
ne parenté directe, comme celle du frère et de la
sœur
. Cependant, il y a un lien indirect, et c’est encore la mythologie qu
66
e que là où les autres nations sont seulement des
sœurs
, elle est mère.31 Au xxe siècle, il y aura une nation extraordinair
67
blables ? La passion et la mort ne sont-elles pas
sœurs
? »122 Au comble du défi, Don Juan vient de surprendre la vérité sec
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e sa passion, déçue par la réalité, sur sa propre
sœur
, c’est-à-dire sur le seul prochain qu’il parvienne à aimer comme lui-
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rochain est « interdit » par la morale. Aimant sa
sœur
, Ulrich veut toucher l’interdit et posséder l’inaccessible, qui est l
70
qui unira ses héros : Ulrich et Agathe, frère et
sœur
. Admirable coïncidence, qu’il faut bien attribuer à la logique du Myt
71
imat et l’ambition. Ulrich von X converse avec sa
sœur
Agathe, dont il sent qu’il commence à l’aimer, et lui raconte, sans t
72
e nymphet. Une autre fois, parlant encore avec sa
sœur
des formes de l’amour « insaisissables » qui lui semblent d’ailleurs
73
passion. À cette rêverie se mêle l’image de sa
sœur
Agathe, retrouvée après de longues années, et qui, fuyant son mari, v
74
ché sa voie seul et non sans insolence, le mot de
sœur
avait été chargé pour lui d’une nostalgie vague, bien qu’il n’eût jam
75
il n’eût jamais songé, alors, qu’il possédait une
sœur
réelle et vivante… Incontestablement, des phénomènes analogues sont f
76
ues sont fréquents. Dans plus d’une existence, la
sœur
imaginaire n’est que la forme juvénile, insaisissable, d’un besoin d’
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yable des réflexions échangées par le frère et la
sœur
, la qualité de leurs exigences morales et de leurs nostalgies spiritu
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inconciliables. Première version : le frère et la
sœur
cèdent à leur amour, réfugiés sans passeports dans une île de l’Adria
79
n qu’une longue conversation entre le frère et la
sœur
qui s’aiment, dans leur jardin où choit sans fin du haut des arbres s
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blables ? La passion et la mort ne sont-elles pas
sœurs
?48 » Au comble du défi, Don Juan vient de surprendre la vérité secrè
81
, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses
sœurs
, et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple (Luc, XIV, 26).
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vers 357 de sa Théogonie. Parmi les innombrables
sœurs
Océanides — dont il ne cite qu’une quarantaine — Hésiode nomme encore
83
ur taille que par leur beauté sans tache. Quoique
sœurs
du même sang, elles habitaient deux patries, l’une la Grèce, dont le
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ne parenté directe, comme celle du frère et de la
sœur
. Cependant, il y a un lien indirect, et c’est encore la mythologie qu
85
e que là où les autres nations sont seulement des
sœurs
, elle est mère. Cette maternité de la généreuse France éclate dans to
86
cratie en paix avec elle-même, toutes les nations
sœurs
ayant pour cité et pour chef-lieu Paris, c’est-à-dire la liberté ayan
87
rdre à ses cinq fils de partir à la quête de leur
sœur
enlevée. Chacun fit voile dans une direction différente. Et l’un fond
88
Thrace ; et comme il désespérait de retrouver sa
sœur
pour la ramener aux rives maternelles de l’Asie, il alla demander à l
89
rdre à ses cinq fils de partir à la quête de leur
sœur
enlevée. Chacun fit voile dans une direction différente. Et l’un fond
90
Thrace ; et comme il désespérait de retrouver sa
sœur
pour la ramener aux rives maternelles de l’Asie, il alla demander à l
91
aggravé la mise au pas des petites « républiques
sœurs
». Dans le même temps, l’Europe « décolonisait », non pas à cause du
92
ien que sa famille (ses parents, ses frères et sa
sœur
) joue un rôle important dans la vie de Marcel. — Depuis que mon père
93
le les relations entre la Bulgarie et sa « grande
sœur
Slave », l’URSS… Négation à priori de toute influence occidentale sur
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re de Musil, c’est l’inceste entre le frère et la
sœur
. Et dans Le Docteur Jivago, c’est la Russie, telle que Pasternak l’ai
95
ique, toutes nos langues se ressemblent comme des
sœurs
. Vue de loin, l’unité culturelle de l’Europe est un fait que personne
96
ique, toutes nos langues se ressemblent comme des
sœurs
. Vue de loin, l’unité culturelle de l’Europe est un fait que personne
97
Moi, j’ai appris à lire hors de l’école, avec ma
sœur
. En m’amusant, et en cachette. J’avais 5 ans. Je cite aussi, dans les
98
ela remonte plus haut. À 5 ans, avec l’aide de ma
sœur
aînée, j’avais appris à lire en trois semaines, par libre curiosité,
99
transformer la poésie qui avait été longtemps sa
sœur
siamoise. À quoi, dans Les Celtes et la civilisation celtique, Jean
100
e, de l’Angleterre, de la Bourgogne. L’une de ses
sœurs
épouse le roi Pierre d’Aragon, l’autre le roi Alfonse de Castille. Lu
101
laire des romans et des chansons, parlent d’« âme
sœur
», de « fusion des âmes », d’« extase amoureuse », où les amants croi
102
e fait amoureux d’Aricie « qui est la fille et la
sœur
des ennemis mortels de son père ». Aricie sera donc pour Hippolyte l’
103
Cependant, c’est le roman anglais, de Melmoth aux
sœurs
Brontë puis à Thomas Hardy, qui traduira le mieux l’action souterrain
104
qui décrit une passion incestueuse entre frère et
sœur
, et la Lolita de Nabokov, qui décrit la passion d’un quadragénaire po
105
nt les réalités ? Nos langues sont presque toutes
sœurs
ou cousines, et nos littératures ont toutes utilisé au cours des âges
106
mes tantes (voir ici même ceux de Marthe Monvert,
sœur
de mon père) évoquent le Saint-Aubin du dernier siècle, celui de mon