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eut nous amener à constater, sans plus, que notre
soi-disant
progrès social correspond à un recul humain. Par exemple, est-ce un p
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eut nous amener à constater, sans plus, que notre
soi-disant
progrès social correspond à un recul humain. Par exemple, est-ce un p
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hances d’être chrétien qu’un quelconque happy end
soi-disant
édifiant, s’il est certain que l’Évangile et ses promesses de salut s
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hances d’être chrétien qu’un quelconque happy end
soi-disant
édifiant s’il est certain que l’Évangile et ses promesses de salut so
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vant lesquelles on se courbe parce qu’elles sont,
soi-disant
, fatales, perdent beaucoup de leur majesté redoutable, dès que l’on c
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evant lesquelles on se courbe parce qu’elles sont
soi-disant
fatales, perdent beaucoup de leur majesté redoutable dès que l’on con
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utions étrangères ou périmées, et de mots d’ordre
soi-disant
« tactiques », mis au service non point d’un idéal communautaire, mai
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ste. Mais ailleurs, il exalte l’égoïsme contre la
soi-disant
morale du Christ, et au nom d’une espèce de « virtu » dont il laisse
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pense. Un jeune barthien (agressif). — Ôtez la
soi-disant
expérience chrétienne : eh bien, il reste simplement le message exist
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utions étrangères ou périmées, et de mots d’ordre
soi-disant
« tactiques », mis au service non point d’un idéal communautaire, mai
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ession de la réalité, l’idée de masse. La culture
soi-disant
prolétarienne se révéla finalement ce qu’elle était dès le début : cu
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ession de la réalité, l’idée de masse. La culture
soi-disant
prolétarienne se révéla finalement ce qu’elle était dès le début : cu
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ession de la réalité, l’idée de masse. La culture
soi-disant
prolétarienne se révéla finalement ce qu’elle était dès le début : cu
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se révéler insoluble : ou bien, pour assurer une
soi-disant
liberté, on cherche à affaiblir le pouvoir, à multiplier des garantie
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aussi mal interprété par ses garants que par ses
soi-disant
bénéficiaires. Hors de chez nous, l’on pense généralement : la Suisse
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ssance des forces dionysiaques persécutées par un
soi-disant
christianisme. Toute la littérature moderne entonna l’hymne de la « l
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ssance des forces dionysiaques persécutées par un
soi-disant
christianisme. Toute la littérature moderne entonna l’hymne de la « l
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ssance des forces dionysiaques persécutées par un
soi-disant
christianisme. Toute la littérature moderne entonna l’hymne de la « l
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fois spontanée et réglée d’avance. Or nos cultes
soi-disant
liturgiques sont exactement le contraire : ils sont composés selon le
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aussi mal interprété par ses garants que par ses
soi-disant
bénéficiaires. Hors de chez nous, l’on pense généralement : la Suisse
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ui permit de découvrir cette vérité terrible : le
soi-disant
christianisme des temps modernes est une tromperie, une immense illus
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ue prétendent laisser nos libéraux jobards et nos
soi-disant
neutralistes, c’est la condition même de ce qu’ils entendent garder :
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éalisés en Europe, pour l’ensemble de nos nations
soi-disant
souveraines, et fragilement alliées plutôt qu’unies. J’avais énuméré
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ions, dont on attend encore qu’ils définissent la
soi-disant
autonomie de leur culture. En vérité, sur ce plan-là, nulle réalité c
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ait, mais je vois que personne n’y croit chez les
soi-disant
libéraux, puisqu’ils jettent les hauts cris dès que quelqu’un suggère
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Trop d’obstacles psychologiques, traditionnels ou
soi-disant
économiques, s’opposent à l’union nécessaire. Pour les tourner (seule
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er le défi à cause de sa division en petits États
soi-disant
« souverains » (exemple de la crise de Suez). — L’Europe, foyer vivan
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alité, au lieu de rester prisonniers des préjugés
soi-disant
réalistes d’avant-hier. Je me résumerai par deux mots : optimisme et
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ntérêts, aux mœurs, aux coutumes de localité, nos
soi-disant
patriotes ont déclaré la guerre à toutes ces choses. Ils ont tari cet
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mi nous. Souvent on souhaiterait d’être un de ces
soi-disant
sauvages nés dans les îles des mers du Sud, pour pouvoir au moins une
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pas seulement dangereux mais vain. Cette méthode
soi-disant
réaliste serait simplement utopique et vouée dès le départ à un échec
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qui est bien loin d’être le cas des souverainetés
soi-disant
« absolues » des grands ou petits États de l’Europe désunie. Voyons c
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vons pas eu la chance, ou le malheur, d’avoir une
soi-disant
culture nationale, intermédiaire entre l’Europe et nos cités. Ici, je
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de paresse que représentent ailleurs les cultures
soi-disant
« nationales ». Et n’est-ce pas à ce caractère « immédiatement europé
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vons pas eu la chance, ou le malheur, d’avoir une
soi-disant
« culture nationale », intermédiaire entre l’Europe et nos cités. Je
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de paresse que représentent ailleurs les cultures
soi-disant
« nationales ». Et n’est-ce pas à ce caractère « immédiatement europé
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vons pas eu la chance, ou le malheur, d’avoir une
soi-disant
« culture nationale », intermédiaire entre l’Europe et nos cités. Je
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moralisme « embourgeoisé » et « hypocrite » des «
soi-disant
chrétiens ». Toutefois, ces motivations spirituelles ou civiques, pur
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ique de la physique et des mathématiques. — Leurs
soi-disant
démonstrations dépendent de leurs conventions. Tautologies que tout c
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États et montre bien ce qu’il faut penser de leur
soi-disant
« originalité culturelle ». Ainsi le mot dubron : eau en celtique, do
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forcés de renoncer à la forme État-nation et aux
soi-disant
économies nationales qui posent des tas de problèmes radicalement fau
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ope pour empêcher le retour des guerres entre nos
soi-disant
« grandes puissances ». La CECA puis la CEE ont permis à la France et
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et devant nous des « fatalités » alléguées et de
soi-disant
« impératifs techniques », on nous empêche d’élaborer une politique r
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de Suez la France et la Grande-Bretagne, nations
soi-disant
souveraines, et insistant plus encore que n’importe quelle autre sur
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moralisme « embourgeoisé » et « hypocrite » des «
soi-disant
chrétiens ». Toutefois, ces motivations spirituelles ou civiques, pur
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é, car ainsi que Gabor le précise aussitôt, « le (
soi-disant
) progrès applique de nouvelles techniques et crée de nouvelles indust
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ens ne pensent qu’à ça : dépecer la France. « Les
soi-disant
régionalistes, déclame-t-il, ne sont en fait que des séparatistes ! »
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taline de « biologie marxiste » ! En réalité, nos
soi-disant
« cultures nationales » sont des découpages arbitraires, opérés sur l
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e chômage. Dans leur état actuel de division, nos
soi-disant
« souverainetés nationales » ne peuvent en fait : — ni résister à la
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eur état actuel de division, pas une seule de nos
soi-disant
« souverainetés nationales » ne peut en fait : — ni résister seule à
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mais cédé à la mode jargonnante qui tyrannise nos
soi-disant
sciences humaines, refus qui touche à l’héroïsme quand on publie, pré
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en France, au moment où je rédige ces lignes, le
soi-disant
libéralisme serait proprement inconcevable. À quel niveau situer le t