1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 la peinture moderne » (30 octobre 1924)b Lundi soir , dans la salle du Lyceum, M. Conrad Meili parla des écoles qui représ
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
2 ue de théologie et de philosophie, inaugura lundi soir à l’aula, devant un très nombreux public, la série des conférences qu
3 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
3 ns ces milieux, comme M. Terrisse l’avait fait le soir avant pour les milieux d’ouvriers noirs au Cap. Sans toucher à des qu
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
4 Au creux des couleurs assourdies d’un divan le soir , tandis que les fenêtres s’ouvraient vers le ciel de Florence… « Du s
5 mouvante encore après tant d’autres, comme chaque soir un nouveau ciel. Il l’a transcrite en brèves notations lyriques suiva
5 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
6 ideau sur une pièce inexistante. Enfin le dernier soir , l’on vit apparaître un fakir… Il y eut aussi une assemblée délibérat
6 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
7 sistances à mon gré, agir sur les choses… Vers le soir , l’ardeur tombe : agir ? dans quel sens ? Provisoirement j’étais sauv
8 premier gage du divin… Reprendre l’offensive — au soir , je m’amuserai à mettre des étiquettes sur mes actes… Déjà je sens un
7 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
9 Soir de Florence (13 novembre 1926)h Des cris mouraient vers les berges
10 vre ainsi simplement. Sans pensée, perdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature… L’homme chante une plainte ino
11 s pensée, perdus dans un soir de n’importe où, un soir de la Nature… L’homme chante une plainte inouïe de pureté. Deux phras
12 lève les yeux, au plus beau ciel du monde. h. «  Soir de Florence », La Semaine littéraire, Genève, n° 1715, 13 novembre 19
8 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
13 ir, il ne sait plus de quels souvenirs ; jusqu’au soir où la douleur nette d’un amour réveillé l’envahit. Et Closain rencont
9 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
14 ma jeune angoisse… Je t’ai mieux aimée ; d’autres soirs , alors qu’une symphonie de joies émanait de toute la vie : chaque cho
10 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
15 la Faculté des lettres de Grenoble, traita mardi soir à la Grande salle des Conférences, devant un très bel auditoire, est
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
16 confondent Jérôme et Jean Tharaud ! » Il y a des soirs où tout ça semble idiot. Il y a des soirs où une idée de la responsab
17 y a des soirs où tout ça semble idiot. Il y a des soirs où une idée de la responsabilité s’empare de nous. Et nous calculons
18 ropos d’une apparition La vieille Monture 6 un soir nous apparut, lugubrement fardée, l’haleine mauvaise, édentée et tâch
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
19 eu de chose, il faut transplanter. Max Jacob. Ce soir -là, le programme comprenait : un film d’avant-guerre ; un film japona
20 vieux jeu avec leur baguette, pour moi qui chaque soir crée ma chambre en tournant un commutateur. Le vrai miracle du cinéma
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
21 ’une conférence sur le Salut de l’humanité.)   Ce soir en moi trépigne une rage. Sur quelles épaules jeter ce manteau de fla
22 etrouver quelques pages écrites il y a un an, tel soir de colère où le thermomètre eût indiqué 39° selon toute vraisemblance
14 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
23 nt aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle, le soir , à la lampe, en compagnie de sa femme (elle peint aussi, d’un œil reg
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
24 e, de peur qu’elle ne souffrît à cause de moi. Un soir qu’elle pleurait, je l’embrassai si fort… En un quart d’heure, je con
25 d’insouciance dans le bonheur de la saison. — Au soir , mon père savait tout. Il effleura mon front de ses lèvres sans une p
26 is nous avions aussi envie de pleurer, à cause du soir trop limpide et trop vaste, comme un avenir de bonheur fiévreux — cel
16 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
27 as entrer dans les cafés. Et puis, c’est égal, ce soir , tout cela est sans importance, car voici « l’heure des petits arbres
17 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
28 y échapperai pas plus qu’un autre : et qu’un beau soir il faille écrire pour vivre, possible ; mais, pour sûr, jamais vivre
18 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
29 ce au rêve que ma chambre où m’attendent tous les soirs quand je rentre du bureau, les gages insupportablement familiers d’un
30 n hasard qui opère au commandement de la main. Ce soir -là, une confiance me possédait, telle que je savais très clairement q
31 yeux las pleins de rêves, la misère qui fait des soirs si doux aux amants quand ils n’ont plus que des baisers au goût d’adi
32 r quelque chose. Je suis plein de rêves, certains soirs . Il faut pourtant rentrer chez moi, et ma femme m’embrasse et me rega
19 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
33 mme la mort le restitue au monde vers 5 heures du soir , dans la détresse des dernières sirènes. Au monde, c’est-à-dire à une
20 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
34 Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)l À Pierre Jeanneret et à son
35 ssants de la Petite-Entente, applaudissait chaque soir entre deux airs anglais Le Beau Danube bleu, en commémoration polie d
36 s balles perdues d’une révolution. Sept heures du soir  : le moment était venu d’arrêter le plan de la soirée, et cette prome
37 leur vie aux “divertissements” entre 10 heures du soir et 4 heures du matin, moyennant tant de schillings, dans un décor ban
38 fs il y a très, très longtemps… Et pas de Lune ce soir , il serait dangereux de s’endormir. » Se penchant vers moi il prononç
39 ose comme « pâtisserie-crème fouettée ». l. « Un soir à Vienne avec Gérard », La Nouvelle Semaine artistique et littéraire,
21 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
40 est pourquoi il fait peur à certaines femmes. Un soir , après quelques alcools et un échange de pensées au même titre avec u
22 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
41 s aux idylles démodées… Rentrons dans la ville un soir qu’elle s’amuse. Vous avez dîné au paprika chez des gens qui vous ont
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
42 nt des choses qu’on ne comprend pas, la prière du soir pour qu’il fasse beau demain, Michel Strogoff et Rémy un fils de vain
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
43 nt des choses qu’on ne comprend pas, la prière du soir pour qu’il fasse beau demain, Michel Strogoff et Rémy un fils de vain
25 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
44 illage où je suis né, qui n’est pas ma patrie. Ce soir -là, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adr
45 J’ai toujours méprisé le geste de l’homme qui, le soir dans sa chambre d’hôtel, ferme sa porte à double tour. Ah ! qu’une nu
46 nade d’une petite ville de l’Allemagne du Sud, un soir de mai. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et des touffes
26 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
47 capitale qui s’avance dans la lumière fauve d’un soir chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de ref
48 chaine). Et la générosité des lumières d’avant le soir , — et cette espèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appell
49 ent encore le Turc. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoya
27 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
50 ront comme une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout
51 déjà familières, et le passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’
52 chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêmes. À l’entrée d’un
53 se sont arrêtés dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel. Une lassitude de steppe brûlante, des ondulation
54 e l’Europe. Le hasard a voulu que j’y entende, un soir , une présentation de musiques hongroises, turques et chinoises, comme
55 chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir -là, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux
56 jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir , petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magda, to
57 mbre, en plein jour, tu t’endors, et que, vers le soir , tu t’éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
58 s critiques, artistes ou écrivains, s’est muée le soir du premier vernissage en une sympathie sincère et souvent fort admira
29 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
59 ressource de se faire instituteur. Il assiste un soir , par hasard, à une réunion d’évangélisation dont la description serai
60 moment où il avait décidé de se suicider. Mais un soir qu’il prêche au carrefour, la maladie qui depuis longtemps l’enfiévra
30 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
61 lui grandit. De partout l’orage s’amasse. Vers le soir , il éclate tragiquement. Est-ce la fin ? Grande heure de terreur et d
31 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
62 s de fumée et qui se cachent dans les journaux du soir , soit lentement doublé par le rapide de Bretagne. Ce long passage lum
63 jà, nous la portons encore comme le souvenir d’un soir d’adolescence sur la prairie où des filles s’éloignent en chantant. V
64 rève nuit d’août et souvenirs de nos enfances. Ce soir des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des ren
32 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
65 Un soir à Vienne avec Gérard À Pierre Jeanneret et à son étoile nervalienn
66 ssants de la Petite-Entente, applaudissait chaque soir entre deux airs anglais Le Beau Danube bleu, en commémoration polie d
67 s balles perdues d’une révolution. Sept heures du soir  : le moment était venu d’arrêter le plan de la soirée, et cette prome
68 ur vie aux « divertissements » entre 10 heures du soir et 4 heures du matin, moyennant tant de schilling, dans un décor bana
69 très longtemps, très longtemps… Et pas de Lune ce soir , il serait dangereux de s’endormir. » Se penchant vers moi il prononç
33 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
70 capitale qui s’avance dans la lumière fauve d’un soir chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de ref
71 chaine). Et la générosité des lumières d’avant le soir , — et cette espèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appell
72 ent encore le Turc. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoya
73 ront comme une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout
74 déjà familières, et le passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’
75 chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêmes. À l’entrée d’un
76 se sont arrêtés dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel. Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations
77 e ne sais quel hasard a voulu que j’y entende, un soir , une audition de musiques hongroises, turques et chinoises, commentée
78 chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir -là, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux
79 jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir , petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magda, to
80 mbre, en plein jour, tu t’endors, et que, vers le soir , tu t’éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit
34 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
81 veau m’enfonçant au hasard dans la forêt. Vers le soir , j’étais bien perdu. La lumière montait vers la cime des arbres, aux
82 s un œil égrillard. Impossible de lire Meister ce soir . Je ne sais pas ce qu’il y a, sinon que je dois retenir violemment un
83 de l’air des collines, il semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jard
84 Rose de Tannenbourg L’esplanade du Brühl, un soir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et d
85 e aussi de leurs familiarités. J’étais attablé ce soir -là dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer
86 me —, et l’amour qu’ils essaient encore le samedi soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais seuleme
35 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
87 voici donc en taxi, « nous deux le fantôme ». Ce soir -là, le fantôme ayant envie de manger ferme a donné au chauffeur l’adr
88 J’ai toujours méprisé le geste de l’homme qui, le soir dans sa chambre d’hôtel, ferme sa porte à double tour. Ah ! qu’une nu
36 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
89 mes genoux griffés comme ceux des garçons, et le soir quand on me faisait souhaiter dans ma prière « qu’il fasse beau demai
90 usez beaucoup. Vraiment vous devez être jaloux ce soir . Quand vous cédez à votre manie de remuer des métaphysiques à propos
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
91 s de fumée et qui se cachent dans les journaux du soir , soit lentement doublé par le rapide de Bretagne. Ce long passage lum
92 jà, nous la portons encore comme le souvenir d’un soir d’adolescence sur la prairie où des filles s’éloignent en chantant. V
93 ve nuit d’août et souvenirs de nos enfances. Ce «  soir des signes » où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des r
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
94 capitale qui s’avance dans la lumière fauve d’un soir chaud sur la plaine, avec ses dômes et ses façades exubérantes de ref
95 chaine). Et la générosité des lumières d’avant le soir , — et cette espèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appell
96 ent encore le Turc. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoya
97 ront comme une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout
98 déjà familières, et le passage des trains chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’
99 chaque soir nous redirait un adieu bref, — chaque soir plus infime, à cause de l’éloignement en nous-mêmes. À l’entrée d’un
100 se sont arrêtés dans cette plaine. Mais c’est le soir au camp, perpétuel. Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations
101 e ne sais quel hasard a voulu que j’y entende, un soir , une audition de musiques hongroises, turques et chinoises, commentée
102 chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir -là, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux
103 jardins publics à l’écart d’un concert du samedi soir , petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magda, to
104 mbre, en plein jour, tu t’endors, et que, vers le soir , tu t’éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
105 , est revenue avec insistance : il la joue chaque soir , plusieurs fois. Je suis allé lui demander ce que c’était. « L’hymne
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
106 veau m’enfonçant au hasard dans la forêt. Vers le soir , j’étais bien perdu. La lumière montait vers la cime des arbres, aux
107 s un œil égrillard. Impossible de lire Meister ce soir . Je ne sais pas ce qu’il y a, sinon que je dois retenir violemment un
108 de l’air des collines, il semble que mon sang ce soir la comprenne et lui réponde sourdement. La nuit s’ouvre comme un jard
109 Rose de Tannenbourg L’esplanade du Brühl, un soir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers noirs des lampions et d
110 la servante au corridor.) 30 juin 1929 Hier soir sur la route des collines, pendant une promenade d’après dîner avec m
111 u qui m’attendait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être réservé, ou quelles lettr
112 uelles lettres j’allais recevoir le lendemain. Le soir montait autour de nous, des fenêtres s’allumaient à nos pieds dans le
113 dans la matinée, une à Neuchâtel à sept heures du soir . Celle qui est bordée de noir est d’un ami aîné qui mentionne en pass
114 er dernier17. Lorsque j’ai vu ces enveloppes hier soir , un peu après neuf heures, sans rien deviner de leur contenu que je n
115 aussi de leurs familiarités. » J’étais attablé ce soir -là dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer
116 me —, et l’amour qu’ils essaient encore le samedi soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais seuleme
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
117 s’élever rayonnants dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et dé
118 inatrice et bafouée. Demain, la guerre ! Le soir du 28 août 1939, je finissais de dîner dans un hôtel de La Chaux-de-F
119 chœur me dit : « C’est difficile de chanter ça ce soir . Les mots vous restent dans la gorge… » Le drame ne put être joué, la
120 n pierraille lépreuse. N’importe quel badaud d’un soir de juin pouvait s’annexer pour toujours le bonheur d’un couchant sur
121 Quelques jeunes gens viennent boire un verre, le soir . Un violoniste s’escrime à vingt reprises sur le deuxième Concerto br
122 Europe. J’en connais par avance la nostalgie. Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses, d’argent et d’éclats
123 de la matinée. Voici déjà l’après-midi, voici le soir , nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite.
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
124 s qui n’a pas terminé son message. Il me parle ce soir de plus loin, d’au-delà de mon petit pays, dans l’espace et le temps
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
125 rsonne ne passe jamais, voilà la vie ! Mais si ce soir une femme venait à moi comme le miracle que j’attends, je lui dirais 
126 ne sera plus jamais tout à fait comme avant.) Ce soir , elle est encore d’une présence envoûtante. Le soleil s’est caché der
44 1933, Présence, articles (1932–1946). Paysage de tête : poème (1933)
127 luvienne où maintenant descend, suspendue dans le soir et dans la transparence, l’épouvantable constatation de la mort. c.
45 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
128 le dieu glacé État qu’ils édifient pour le Grand Soir . Et cet éclat rougeâtre, hurlant, du crépuscule qui se prépare, c’est
129 ’est qu’il m’arrive encore de me voir entraîné ce soir -là dans leurs rangs, serrant les coudes, entraîné par l’ivresse de la
46 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
130 le dieu glacé État qu’ils édifient pour le Grand Soir fasciste ou stalinien. Et cet éclat rougeâtre, hurlant, du crépuscule
131 ’est qu’il m’arrive encore de me voir entraîné ce soir -là dans leurs rangs, serrant les coudes, entraîné par l’ivresse de la
47 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
132 utorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce Soir plutôt que par l’Intransigeant. Ce n’est pas signer ici plutôt que là
133 nt la menace hitlérienne (voir le manifeste de Ce Soir ) ont exprimé en toute clarté qu’ils étaient de vrais libéraux, irresp
48 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
134 cène, si imprévue pour la plupart des hôtes de ce soir -là, ne laissa pas de nous plonger dans la gêne, dont quelques-uns ne
49 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
135 on, à laquelle je vais limiter mes réflexions, ce soir  : — quelle peut être la vocation de ce chrétien dans cette cité ? Ce
136 je réfléchissais à ce que je devais vous dire ce soir , j’ai éprouvé plus que jamais le sentiment d’une grande absurdité. So
137 t contenu dans ces mots-là, et si je parvenais ce soir à vous les rendre vivants et présents, et si vous n’emportiez d’ici q
138 ec dans l’eau ? J’aurais renoncé à vous parler ce soir si je n’avais eu à vous offrir que ces négations nécessaires. Car on
139 re de ces deux amis auxquels nous pensons tous ce soir et qui, du fond de leur prison, tout près d’ici, posent à notre consc
140 once d’un monde nouveau. ⁂ Je n’ai pas cherché ce soir à vous décrire impartialement la situation : il eût fallu beaucoup pl
50 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
141 Führer à son peuple. Je roulais ces pensées, hier soir , debout parmi la foule qui n’avait pas trouvé de places assises dans
51 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
142 tour de lui. De partout l’orage s’amasse. Vers le soir il éclate tragiquement. Est-ce la Fin ? Grande heure de terreur et de
52 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
143 vainquit de son vivant. Cependant les journaux du soir à cinq-cent-mille exemplaires et la radio atteignent des millions d’a
53 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
144 t en faire un dieu, et pour cela le couche chaque soir sur un lit de braises. « Il supporte l’ardeur des charbons, et cette
54 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
145 vainquit de son vivant. Cependant les journaux du soir tirent à 500 000 exemplaires et la radio atteint des millions d’audit
55 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
146 vainquit de son vivant. Cependant les journaux du soir tirent à 500 000 exemplaires et la radio atteint des millions d’audit
56 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
147 d’à-propos, album de cartes postales en couleur : soir de Capri, jeune princesse peignant à l’aquarelle, baisers dans les ja
57 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
148 eur gros raisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir . Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticu
149 convoqué aux entretiens qu’il organise le samedi soir , dans une salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroisse.
150 es ». — Ils étaient en effet une quarantaine hier soir . Je suis entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fo
151 temps à autre. Il paraît que ça chauffe certains soirs . Mais le pasteur préside et on le respecte : 40 ans ; genre ancien co
152 étariat. 17 février 1935 Cercle d’hommes. — Hier soir le sujet de l’entretien était le problème de l’autorité. La discussio
58 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
153 eures, sans bouger, et s’envole d’un coup vers le soir . Le lendemain, il est là de nouveau, posé sur une tuile ronde. Il y a
154 bas ? Je vais m’y mettre. 28 février Terminé hier soir la rédaction de ma conférence. Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C
155 oléances » à madame Simard, que j’ai trouvée hier soir devant son seuil, entourée de commères qui entretiennent son chagrin
59 1937, Esprit, articles (1932–1962). Marius Richard, Le Procès (juin 1937)
156 rare. « Ce serait si bien si l’on pouvait, chaque soir et chaque matin, écrire dans les journaux qui s’impriment quelques he
60 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
157 cembre 1933 Un discours de l’instituteur. — Hier soir , séance de Pathé-Baby organisée par l’instituteur dans la salle de l’
158 es moments pathétiques. Il annonce le sujet de ce soir  : Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis ! Je vous rapp
159 ssons devant la salle du curé, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma. On entend rire des enfants. — J’ai rencontré le
160 ’y aller à bicyclette. J’essaierai d’aller demain soir entendre la réponse. La mère Renaud vient de m’apprendre que l’orateu
161 décembre 1933 Je relève les notes prises l’autre soir sur la conférence à A… … Grande salle de la mairie, voûtée, peinte en
162 p trop simple pour vous, ce que je leur ai dit ce soir , j’ai dû vous ennuyer, hein ? » Je le rassure vivement. Ce n’est pas
163 re, ici. Surtout il ne faut pas les brusquer ! Ce soir , il s’agissait de gagner leur confiance, et ensuite on verra si on pe
61 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
164 longtemps en fait de « rentrées ».   14 juin Hier soir , j’avais fait une dernière revue de nos possibilités de subsister pen
165 ’a le plus frappé c’est que je m’étais fâché hier soir , et que la Providence, évidemment, se payait ma tête. Ensuite j’ai ca
62 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
166 bre 1933 Un discours de l’instituteur. — Hier soir , séance de Pathé-Baby organisée par l’instituteur dans la salle de l’
167 es moments pathétiques. Il annonce le sujet de ce soir  : Qu’est-ce qu’être laïque ? — « Messieurs, chers amis ! Je vous rapp
168 ssons devant la salle du curé, qui donne aussi ce soir une séance de cinéma. On entend rire des enfants. J’ai rencontré le c
169 ’y aller à bicyclette. J’essaierai d’aller demain soir entendre la réponse. La mère Renaud vient de m’apprendre que l’orateu
170 cembre 1933 Je relève les notes prises l’autre soir sur la conférence à A. — Grande salle de la Mairie, voûtée, peinte en
171 p trop simple pour vous, ce que je leur ai dit ce soir , j’ai dû vous ennuyer, hein ? » Je le rassure vivement. Ce n’est pas
172 re, ici. Surtout il ne faut pas les brusquer ! Ce soir , il s’agissait de gagner leur confiance, et ensuite on verra si on pe
173 ier 1934 (dans l’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de pétrole, e
174 moi, je sais seulement que je suis content. Hier soir , j’avais fait une dernière revue de nos possibilités de subsister pen
175 le plus frappé, c’est que je m’étais fâché, hier soir , et que la Providence, évidemment, se payait ma tête. Ensuite, j’ai c
63 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
176 eur gros raisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir . Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticu
177 rennent le train à la gare Saint-Lazare un samedi soir de beau temps, en plein été, est assez exactement prévu par les stati
178 un des voyageurs « autorisés » à se déplacer, tel soir , l’impression de n’avoir plus sa liberté. Ce qui change tout, bien en
179 pas m’occuper ! » À 10 kilomètres d’ici, hier au soir , pressé de rentrer, je hèle une auto. Le conducteur est seul. Il me p
180 convoqué aux entretiens qu’il organise le samedi soir , dans une salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroisse.
181 es ». — Ils étaient en effet une quarantaine hier soir . Je suis entré comme ils achevaient de boire leur tasse de café au fo
182 temps à autre. Il paraît que ça chauffe certains soirs . Mais le pasteur préside et on le respecte : 40 ans ; genre ancien co
183 n. 17 février 1935 Cercle d’hommes. — Hier soir , le sujet de l’entretien était le problème de l’autorité. La discussi
184 eures, sans bouger, et s’envole d’un coup vers le soir . Le lendemain, il est là, de nouveau, posé sur une tuile ronde. Il y
185 is m’y mettre. 28 février 1935 Terminé hier soir la rédaction de ma conférence. Ce matin le pigeon n’est pas revenu. C
186 ondoléances » à Mme Simard, que j’ai trouvée hier soir devant son seuil, entourée de commères qui entretiennent son chagrin
64 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
187 e souviens de hauts rochers encore clairs dans un soir alpestre… Immédiatement après les blocs, s’étend la zone. Je longe l’
188 ité, la fin des fins, le bout de la nuit… Mais ce soir , sous les marronniers de l’avenue, tout ce petit monde me paraît libr
189 e petit monde me paraît libre et presque heureux. Soir villageois, ciel de province, jeux d’enfants et chansons, accordéon…
190 fioritures rapides comme des « n’est-ce pas ». Soir du 14 juillet 1935 Voici une heure que je suis assis à une terrass
191 urager ! 21 juillet 1935 Je traversais hier soir le quartier de Passy, en proie aux tourments bienheureux d’une idée s
192 hain. — Dans la presse du métro, vers 7 heures du soir , j’avais réussi à ouvrir le livre que je portais, et j’avais coupé qu
65 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
193 ome d’Hiver, et le lendemain, fait publier par Ce Soir  : « Les élus communistes exigent que Blum reste au pouvoir ! » Le Par
66 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
194 ie de famille possible, avec ce système. Tous les soirs , deux de mes enfants sur trois sont pris par le Parti. Ma fille aînée
195 s empêcher notre fils, qui a 15 ans, de sortir un soir qu’il est un peu malade, par exemple, nous risquerions une mauvaise h
67 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
196 utorité. Ce n’est pas faire payer sa prose par Ce Soir plutôt que par l’Intransigeant. Ce n’est pas signer ici plutôt que là
197 nt la menace hitlérienne (voir le manifeste de Ce Soir ) ont exprimé en toute clarté qu’ils étaient de vrais libéraux, irresp
68 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une révolution refoulée (juillet 1938)
198 ne la prépare. M. Staline a d’autres plans, et Ce soir a d’autres vertus. S’il se fait une révolution, elle sera donc improv
69 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
199 ager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir , harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez que cela v
70 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
200 ue la nuit cède au jour ! » Et en effet, le 20 au soir — à peine plus tôt que je ne l’avais prévu — j’inscrivais ce terrible
71 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
201 te, offert par le hasard d’une rencontre, un beau soir de juillet aux Deux Magots. Je leur réponds qu’on ne m’a pas nommé da
202 , une causerie sur le mouvement personnaliste, ce soir , à la réunion politique des SA. — Que pensez-vous de ce livre ? — C’e
203 e du peuple et je n’ai pas manqué le service7, ce soir . J’ai fait attester ma présence et j’ai lu avec enthousiasme le VB 8.
204 par exemple ce grand industriel qu’il a invité ce soir avec nous, et qui posait naguère au social-démocrate. Nous parlons po
205 ie de famille possible, avec ce système. Tous les soirs , deux de mes enfants sur trois sont pris par le Parti. Ma fille aînée
206 s empêcher notre fils, qui a 15 ans, de sortir un soir qu’il est un peu malade, par exemple, nous risquerions une mauvaise h
207 r vérifier si la porte a été refermée à clé. Hier soir , il m’avait remis la note du mois de décembre. En plus des 70 marks p
208 e leur mouvement, et communier dans la prière. Ce soir , le pasteur Niemöller parle ici à cinq-mille auditeurs réunis dans le
209 juin 1936. Départ Nous quittons l’Allemagne ce soir . Hier, nous chantions encore avec les étudiants, dans une auberge for
210 mpression ? Ah ! si je pouvais garder celle de ce soir , et celle-là seule, la dernière et la plus ancienne, tous mes souveni
211 hitlérisme. 7. Le service des SA qui a lieu deux soirs par semaine, a. 8. Völkischer beobachter, quotidien officiel du Pa
72 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
212 s’élever rayonnants dans la lueur éternisée d’un soir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et dé
73 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
213 disparaissant derrière les titres des journaux du soir que le malheur des temps est une vieille expression… Oui, de tout tem
214 e dépend pas de nos misères. J’y songeais l’autre soir , à Orléans, en entendant la Jeanne d’Arc au bûcher de Paul Claudel et
74 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
215 nouvelle de l’entrevue décisive de Munich. Or, au soir de ce jour me parvint par hasard un livre sur la vie de Nicolas de Fl
216 r ! Le message de l’ermite du Ranft prenait en ce soir -là des résonances monumentales. Cette petite scène de Stans, que nous
75 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
217 ivre, les délais à courir, le sujet à me fuir… Le soir même, rentrant de voyage, ma femme m’apporte un livre qu’on lui a prê
76 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
218 ine ces notes de voyage — me décourage un peu, ce soir . On dirait une école primaire démesurée. C’est le contraire de ce qui
77 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
219 ôté, à la même heure conçoit les mêmes gestes. Le soir venu, ils se retrouvent, et avouent leur nouveau tourment : « En mal
220 entables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir , lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au fils. Da
78 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
221 ci Tristan livré au plus cruel conflit, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, il ne peut se résoudre à
79 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
222 du mythe…) Lettre de Diotima à Hölderlin : Hier soir , j’ai longuement réfléchi sur la passion. Sans doute, la passion de l
223 rs ; le jour, forme illimitée de la créature ; le soir , négation illimitée de l’existence à l’origine de l’univers ; la nuit
80 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
224 ais avant la bataille d’Azincourt. Par erreur, le soir , il dépasse le village que les fourrageurs lui ont assigné pour y dor
225 que » des alliés. On connaît le mot de Goethe, au soir de la bataille : « De ce lieu, de ce jour, date une ère nouvelle dans
81 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
226 ager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir , harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez que cela v
82 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
227 t de Champagne : Douce dame, s’il vos plesoit un soir M’avriez vos plus de joie doné C’onques Tristans, qui en fist son pou
83 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
228 e tendresse que de remords que je me rappelle, ce soir , ces folies-là. Nous vivions dans une sorte d’euphorie constante, cou
229 petite morale du loisir ne serait pas déplacée ce soir , dans cette halte du souvenir et de l’amitié. Vraiment, quel danger y
84 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
230 e en année. Ce qu’il nous importe de souligner ce soir , ce sont deux traits évidemment communs à ces régimes : leur oppositi
85 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
231 dans les cieux. Le récitant. Le chœur. Ce soir encore, Confédérés Prêtez l’oreille ! Notre héros et notre saint no
86 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
232 s sortent de la maison.) 1. Des matines jusqu’au soir Quelle est ma chanson ? Du plus beau pays à voir Telle est ma chanson
233 ie à l’armée ! Dix ans de guerre, et à la fin, ce soir au camp, après notre dernier combat. J’entends encore notre fanfare d
87 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
234 nseigneur l’abbé d’Einsiedeln est arrivé ici hier soir , avec une suite brillante et nombreuse, dont vous avez la queue devan
235 de Berne et l’Autrichien qui sont arrivés hier au soir , ce n’est pas pour la curiosité que ces messieurs ont fait le voyage.
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
236 té, à la même heure conçoit les mêmes regrets. Le soir venu, ils se retrouvent, et avouent leur nouveau tourment : « En mal
237 entables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir , lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au fils. Da
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
238 ci Tristan livré au plus cruel conflit, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, il ne peut se résoudre à
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
239 du mythe…) Lettre de Diotima à Hölderlin : Hier soir , j’ai longuement réfléchi sur la passion. Sans doute, la passion de l
240 rs ; le jour, forme illimitée de la créature ; le soir , négation illimitée de l’existence à l’origine de l’univers ; la nuit
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
241 ais avant la bataille d’Azincourt. Par erreur, le soir , il dépasse le village que les fourrageurs lui ont assigné pour y dor
242 que » des alliés. On connaît le mot de Goethe, au soir de la bataille : « De ce lieu, de ce jour, date une ère nouvelle dans
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
243 ager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir , harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez que cela v
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
244 é, à la même heure, conçoit les mêmes regrets. Le soir venu, ils se retrouvent, et avouent leur nouveau tourment : « En mal
245 entables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir , lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au fils. Da
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
246 ci Tristan livré au plus cruel conflit, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, il ne peut se résoudre à
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
247 du mythe…) Lettre de Diotima à Hölderlin : Hier soir , j’ai longuement réfléchi sur la passion. Sans doute, la passion de l
248 rs ; le jour, forme illimitée de la créature ; le soir , négation illimitée de l’existence à l’origine de l’univers ; la nuit
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
249 ais avant la bataille d’Azincourt. Par erreur, le soir , il dépasse le village que les fourrageurs lui ont assigné pour y dor
250 que » des alliés. On connaît le mot de Goethe, au soir de la bataille : « De ce lieu, de ce jour, date une ère nouvelle dans
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
251 ager autour du vaillant travailleur qui rentre le soir , harassé, se retremper dans la paix familiale, vous verrez que cela v
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
252 t de Champagne : Douce dame, s’il vos plesoit un soir M’avriez vos plus de joie doné C’onques Tristans, qui en fist son po
99 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
253 culture en Occident. Je voudrais vous montrer ce soir que cette crise n’est pas théorique ; qu’elle a des conséquences prat
254 ues milliers de lecteurs, tandis que la presse du soir et la radio atteignent chaque jour des millions d’hommes, et c’est to
100 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
255 rain bondé. Une journée de reprise à Paris. Et ce soir , me voici [venu] assister à un débat, dans un cercle privé, sur la po
256 ent — que le premier se mette à lire la presse du soir , et le second celle du matin ? 29 avril 1939 Comme il est des stratèg
257 39 La grande ville traversée dans la fatigue d’un soir pluvieux, Paris, souffrance des visages et des corps, exercice perpét
258 uit des autobus ; ou bien de ce temple, un samedi soir , où la Sainte-Cène est partagée dans un silence de catacombes. Centre
259 Saint-Germain-des-Prés, le printemps parisien, ce soir , tourne à l’été. La lumière mûrit là-haut, sur le clocher roman de ce