1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 des « grands corps athlétiques ». Sur le stade au soleil se déploient les équipes, et l’équipier Montherlant les contemple, ém
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
2 minable, il ne restera plus que les flammes, les soleils et aussi les grimaces de douleur de ses tableaux. Il faut louer Paul
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
3 ime ; et l’étrange apaisement d’une vieillesse au soleil . Jouve semble avoir hésité entre plusieurs styles de roman. Un chapit
4 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
4 en dire du diable et se termina sous le plus beau soleil de printemps. Libre à qui veut d’y voir un symbole. On ne saurait exa
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
5 ries de verre et de ciment blanc, flamboyantes au soleil . Les vingt-quatre gratte-ciel de la cité, au centre, s’espacent autou
6 cités congestionnées, ce serait peut-être tuer au soleil des germes de révolution. Déjà des ingénieurs se sont mis à calculer
6 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
7 ndent leurs génies dans une sorte de cauchemar de soleil et de sang. On peut penser ce qu’on veut de ce paganisme exalté, tout
7 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
8 à ce chant. L’odeur du fleuve est son parfum, le soleil rouge sa douleur. Les bœufs blancs, les roues peintes du char, l’Ital
8 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
9 ouleurs fluides. Toute la tendresse que ranime un soleil lointain va tourner en cruelle mélancolie. Pourquoi, Henri de Closain
9 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
10 n physique de bonheur, dans une rue au coucher du soleil , des phares d’automobiles étoilent le brouillard, les visages se cach
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
11 er dans les régions de chasse gardée du ci-devant soleil . C’est là qu’Urbain, premier du nom dans sa famille, laquelle n’avait
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
12 en photographiée. C’est le film du type « Jeux de soleil dans les jardins, complets variés, ça fait toujours plaisir de voir d
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
13 sûr de n’avoir pas la tête en bas par rapport au soleil . Quelques gestes encore, interceptant les messages égarés de l’infini
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
14 e l’une à l’autre deux séries de profils jusqu’au soleil toujours de face. Il ne vit plus que la foule des yeux bleus, son ébl
15 s. Un bateau ne glisse pas plus doucement vers le soleil du haut-lac. Justement, voici que tout va s’ouvrir, qu’un monde s’est
14 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
16 ages sont plus calmes, les couleurs s’avivent, le soleil est sur le point de reparaître… Charles Humbert ou comment on passe
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
17 ces. Les fenêtres que j’ouvris firent tourner des soleils sur les parois claires. Du balcon, on voyait la mer, des bateaux, des
16 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
18 ses exigences. Mais le « rien de nouveau sous le soleil  » derrière lequel on se réfugie avec une paresse et une légèreté inou
17 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
19 ière et fait allusion à tout ce qu’il y a sous le soleil , et même ailleurs. Croyez-moi, ce qu’il faudrait écrire, c’est une Vi
18 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
20 is ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand soleil sur toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le s
21 reries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regards. Stéphan
19 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
22 uris qui trempent… Tout est familier, paisible au soleil . Il passait des heures à cette fenêtre, à marmotter. Vingt-sept ans d
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
23 amata a su le voir aussi « gris et ardent sous le soleil caché », ou bien, en un printemps liquide et glacé, balançant parmi l
24 l’on pût recréer toute la ferveur d’un coucher de soleil . Des formes purifiées, un relief net, une heureuse alliance de charme
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
25 , le tombeau du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait, nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
26 sent les paroles. Je vois des chevauchées sous le soleil , des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre e
27 , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans dout
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
28 étaient merveilleux. Les couleurs, la lumière du soleil , les dessins, les roses, les lèvres rouges des filles, tout était sur
24 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
29 t ce que nous ferons, comme la douce lumière d’un soleil caché14. » Écrire, tout en se taisant. Et ceux-là seuls entendront ce
25 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
30 ipe de la morale », tout en vénérant également le soleil , comme une « révélation du Très-Haut, et même la plus puissante qu’il
26 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
31 ère, et fait allusion à tout ce qu’il y a sous le soleil , et même ailleurs. Croyez-moi, vous pourriez écrire une Vie simultané
27 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
32 ups. Je vais marcher au long des trottoirs que le soleil lave à grande eau, et me laisser aller un peu à mes idées. Le commerc
28 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 , le tombeau du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait, nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes
34 sent les paroles. Je vois des chevauchées sous le soleil , des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre e
35 , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans dout
29 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
36 uris qui trempent. Tout est familier, paisible au soleil . Il passait des heures devant cette fenêtre, à marmotter. Trente-sept
30 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
37 de s’étirer alors et de considérer les flaques de soleil sur la table. Je somnole dans une méditation à la fois distraite et n
38 (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commen
31 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
39 n voyait le golfe violacé écumer sous la masse du soleil . Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et
40 entre les sapins noirs, la rumeur du rivage et du soleil derrière nous décroissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une o
41 n s’élance au galop dans les flots. Un formidable soleil fait resplendir les dunes éblouissantes, autour du « Haff »19 coloré
42 ui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en des jeux inf
43 . Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entoure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs d
32 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
44 « bien » désiré tu les aimes ; mais tu sais qu’au soleil de l’aube aussi d’autres fois tu l’as possédé. Tu comprends maintenan
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
45 ups. Je vais marcher au long des trottoirs que le soleil lave à grande eau, et me laisser aller un peu à mes idées. Le commerc
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
46 , le tombeau du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait, nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes
47 sent les paroles. Je vois des chevauchées sous le soleil , des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre e
48 , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans dout
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
49 n voyait le golfe violacé écumer sous la masse du soleil . Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et
50 entre les sapins noirs, la rumeur du rivage et du soleil derrière nous décroissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une o
51 n s’élance au galop dans les flots. Un formidable soleil fait resplendir les dunes éblouissantes, autour du « Haff »11 coloré
52 ui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en des jeux inf
53 . Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entoure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs d
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
54 uris qui trempent. Tout est familier, paisible au soleil . Il passait des heures devant cette fenêtre, à marmotter. Trente-sept
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
55 de s’étirer alors et de considérer les flaques de soleil sur la table. Je somnole dans une méditation à la fois distraite et n
56 (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commen
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
57 ’après-midi, voici le soir, nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite. La stratosphère se dore. Des c
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
58 ir, elle est encore d’une présence envoûtante. Le soleil s’est caché derrière le Trou de Bourgogne. La grande rougeur du lac s
40 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
59 Sonne peut signifier, dans la langue de l’époque, Soleil ou Fils. hymne à dieu le père Pardonneras-tu ce péché où j’ai pris
60 té filé ? Oh ! Jure par toi-même qu’à ma mort ton Soleil Resplendira comme aujourd’hui, et à jamais ! Et cela fait, tu as fini
41 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
61 chaque printemps, saisissent le premier rayon de soleil venu et s’envolent dans une apologétique naturaliste, dont peu d’audi
42 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
62 treize jours un roman : L’Archer tirant contre le soleil . Accueilli à sa sortie de prison par une foule en fête, il entraîne u
43 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
63 dienne fouillés comme un cauchemar par le brusque soleil , et l’homme au centre, campé dans sa stature réelle, ouvrant les yeux
44 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
64 ons qu’elle est la lumière de nos lumières, et le soleil que rien ne peut décrire, mais qui fait voir le monde et chasse nos f
45 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
65 r la lumière créatrice. « L’œil ne verrait pas le soleil s’il n’était de nature solaire », dit Goethe. Une telle parole devanc
46 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
66 st disposé à leur donner. « Soyez ! Ah ! Soyez un soleil pour moi — Et non une lassante et exigeante personnalité. » L’homme m
47 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
67 n dialogue de Kassner6 — toutes les créatures, le Soleil , la Terre, la Lune, les plantes, les animaux et les pierres parlaient
48 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
68 ent, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil , la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatisme. J’observ
49 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
69 ns ombre. Surprendre ce Français, c’est passer au soleil  : c’est donc avouer un terrible secret ! Il arrive souvent qu’un étra
70 nt témoins, lorsque son imposture éclate au grand soleil , Mina s’écrie : « Oh ! mon pressentiment ! Oui, je le savais depuis l
71 adapté, — celui qui ne peut « trouver sa place au soleil  », et qui ne subsiste dans la compagnie de ses semblables que par un
72 mmençait à croître lorsqu’il se promenait dans le soleil . » Ici donc, pas de fixation morbide, comme dans Schlemihl. Aussi bie
50 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
73 Matinées d’hiver au midi Et voici par la grâce du soleil de janvier qu’un mot devient le plus beau de la langue : matinée. Tou
74 mard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil . Et les bonnes femmes disaient, au seuil du temple : « Voyez-vous ça,
75 traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chie
76 , reposent les mâles repus, pesamment allongés au soleil . J’en compte huit, de toutes tailles et pelages. La plupart sont beau
51 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
77 ssés à Paris non sans fièvre, et cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue, pauvre et joyeuse. Mais je vois bien q
78 e saison abstraite, on n’atteint presque rien. Le soleil froid à travers une brume lointaine agrandit les regards sans nourrir
79 ble activité humaine au ras du sol, sous ce grand soleil … Au nom de quelle « vérité » brutaliser et bouleverser à grand fracas
80 aisemblable ; et non plus moi. Premières roses au soleil , le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls. Il y a u
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
81 sons basses, des champs pauvres, des landes où le soleil qui reparaît fait briller des pyramides de sel. Au loin, parmi les la
82 assés à Paris non sans fièvre et cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue, pauvre et joyeuse… Mais je vois bien q
53 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
83 e saison abstraite, on n’atteint presque rien. Le soleil froid à travers une brume lointaine agrandit les regards sans nourrir
84 aisemblable ; et non plus moi. Premières roses au soleil , le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls. Il y a u
85 res pour rapporter de quoi déjeuner, des coups de soleil , et ces visions éclatantes de la côte, ce flamboiement de l’imaginati
54 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
86 ent, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil , la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatisme. J’observ
87 d’une baie qui donne sur « les flots », en plein soleil . Un peu étourdi. Souvenirs d’une plage de la Baltique ; d’un bar des
88 Matinée d’hiver au Midi. Et voici par la grâce du soleil de janvier qu’un mot devient le plus beau de la langue : matinée. Tou
89 t simple moyen… 3-4 mars 1935 Deux jours au soleil , à Cassis. Le village vit tout doucement, d’une vie enfantine. Point
90 mard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil . Et les bonnes femmes disaient, au seuil du temple : « Voyez-vous ça,
91 traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chie
92 , reposent les mâles repus, pesamment allongés au soleil . J’en compte huit, de toutes tailles et pelages. La plupart sont beau
55 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
93 5 Arrivée à Paris. — Après la Beauce au grand soleil , pendant des heures, après Versailles, voici la rencontre émouvante d
94 plein midi du grand corps de la France étirée au soleil . Tous les problèmes vont se poser autrement. Tout est soudain plus du
95 ûtes, et chacun s’y sent seul, tournant le dos au soleil toujours absent de l’imagerie des cauchemars. Pour bien comprendre le
56 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
96 « fin » paraît trop courte. Viser ailleurs qu’au soleil , c’est toujours tirer sur des hommes. Mais je n’entends pas parler d’
57 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
97 de nos yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil noir de la mélancolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de tort
98 vant Rousseau, c’est vraiment l’éclipse totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mérites » qui renden
58 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
99 ux corbeau là-haut croasse pour la pluie en plein soleil  ! — Radoteur ! Une voix des campagnes. —  Malheur, malheur, malheu
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
100 de nos yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil noir de la mélancolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de tort
101 vant Rousseau, c’est vraiment l’éclipse totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mérites » qui renden
60 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
102 de nos yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil noir de la mélancolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de tort
103 vant Rousseau, c’est vraiment l’éclipse totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mérites » qui renden
61 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
104 en le paysage vital, avec ses temps voilés et ses soleils , ses parcs, ses friches et ses habitations. Le phénomène-Goethe, dans
62 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
105 merveilleux festin de montagnes, de nuages et de soleil , et cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage. Il y avait un t
106 norme, riait d’un air stupide, le visage en plein soleil , et regardait au hasard devant lui. Ô abîme ! les Alpes étaient le sp
63 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
107 . Ils purent se croire libres un moment : mais le soleil fécond fit éclore du cadavre de l’oppresseur un essaim de petits tyra
64 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
108 merveilleux festin de montagnes, de nuages et de soleil , et cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage. Il y avait un t
109 norme, riait d’un air stupide, le visage en plein soleil , et regardait au hasard devant lui. O abîme ! les Alpes étaient le sp
110 . Ils purent se croire libres un moment : mais le soleil fécond fit éclore du cadavre de l’oppresseur un essaim de petits tyra
65 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
111 alpestre. Je l’ai senti le premier soir, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur oran
66 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
112 éveille en nous la connaissance du Bien, comme le soleil fait renaître les ombres ? 13. diable et péché Imaginez que le
67 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
113 éveille en nous la connaissance du Bien, comme le soleil fait renaître les ombres ? 13. diable et péché Imaginez que le
68 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
114 t ce que nous ferons, comme la douce lumière d’un soleil caché 12 ». Écrire, tout en se taisant. Et ceux-là seuls entendront c
69 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
115 dialogue de Kassner30 —, toutes les créatures, le soleil , la terre, la lune, les plantes, les animaux et les pierres parlaient
70 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
116 en le paysage vital, avec ses temps voilés et ses soleils , ses parcs, ses friches et ses habitations. Le phénomène-Goethe, dans
71 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
117 igurent les 12 signes du zodiaque que parcourt le soleil pendant les 4 saisons. Enfin il reste les 3 lettres dites les 3 Mères
118 Les symboles de la carte le confirment : le grand soleil blanc, en haut à droite, contient toutes les couleurs du spectre enco
119 e cette carte, jusqu’à ce qu’il revienne au grand soleil ou « Père » dont il est « tombé ». Il sera représenté successivement
72 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
120 ’après-midi, voici le soir, nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite. La stratosphère se dore. Des c
73 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
121 eux de populace et de parole rapide. Peut-être le soleil éteint se promène-t-il depuis quelques instants dans un ciel sale. Qu
122 utre côté, du côté de ce monde mal fait… Parut un soleil nouveau. Et ceux qui le voyaient prenaient un visage neuf, leurs yeux
123 tume de la Cour. Bien peu soutinrent les derniers soleils et l’agrandissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection,
124 amment au sein d’une perpétuelle pauvreté. Devint soleil . Et quel est celui qui s’approche avec son parapluie mal fermé sous l
74 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
125 Je l’ai senti le premier soir d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur oran
126 ace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil . À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues profondes,
75 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
127 Je l’ai senti le premier soir d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel, de cette couleur oran
128 ace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil . À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues profondes
76 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
129 baryton viennois de l’Opéra de New York, bains de soleil dans un parterre de jeunes déesses américaines, danse aux salons et f
130 pantoufles. Tel est pris et l’autre laissé. Et le soleil qui se couche ici, au même instant se lève ailleurs. C’est le même so
131 , au même instant se lève ailleurs. C’est le même soleil . Je pense que si j’étais en prison cette nuit, je n’aurais aucun repr
132 ous importés. Traversée de l’île en auto, sous un soleil qui attaquait en piqué. Pendant un kilomètre, il pleut des cordes, et
133 cirque immense des collines, piquées de villas au soleil , par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’herbe d’un marais.
134 it : olla / Je vais regarder, demain matin, si le soleil ne se lève pas à l’Occident. Mais au-delà de ce pittoresque accidente
135 ne de Maïpo pendant des heures, jusqu’à ce que le soleil couchant ait flambé les plumets des roseaux. Je ne pouvais m’en éloig
77 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
136 ’après-midi, voici le soir, nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite. La stratosphère se dore. Des c
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
137 n voyait le golfe violacé écumer sous la masse du soleil . Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et
138 entre les sapins noirs, la rumeur du rivage et du soleil derrière nous décroissant, tumulte d’un matin d’été. Maintenant une o
139 n s’élance au galop dans les flots. Un formidable soleil fait resplendir les dunes éblouissantes, autour du « Haff3 » coloré d
140 ui rôde autour de la faisanderie. Les couchers de soleil à cette saison se prolongent jusque vers onze heures, en des jeux inf
141 . Le meuglement des bœufs ne s’apaise pas sous le soleil et nous entoure d’une rumeur animale tenace comme toutes ces odeurs d
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
142 par à-coups. Marcher au long des trottoirs que le soleil lave à grande eau. Le commerce du monde mène plus loin qu’il n’y para
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
143 , le tombeau du prophète Gül Baba. Puis, comme le soleil se couchait, nous avons repassé un grand pont vibrant et nous sommes
144 sent les paroles. Je vois des chevauchées sous le soleil , des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre e
145 , au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans dout
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
146 uris qui trempent. Tout est familier, paisible au soleil . Il passait des heures devant cette fenêtre, à marmotter. Trente-sept
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
147 de s’étirer alors et de considérer les flaques de soleil sur la table. Je somnole dans une méditation à la fois distraite et n
148 (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commen
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
149 sons basses, des champs pauvres, des landes où le soleil qui reparaît fait briller des pyramides de sel. Au loin, parmi les la
150 assés à Paris non sans fièvre et cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue, pauvre et joyeuse… Mais je sens bien q
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
151 e saison abstraite, on n’atteint presque rien. Le soleil froid à travers une brume lointaine agrandit les regards sans nourrir
152 aisemblable ; et non plus moi. Premières roses au soleil , le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls. Il y a u
153 res pour rapporter de quoi déjeuner, des coups de soleil , et ces visions éclatantes de la côte, ce flamboiement de l’imaginati
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
154 ent, peut-être même haïssent la couleur verte, le soleil , la nature, la propreté. Ils aiment le noir. Avec fanatisme. J’observ
155 d’une baie qui donne sur « les flots », en plein soleil . Un peu étourdi. Souvenirs d’une plage de la Baltique ; d’un bar des
156 Matinée d’hiver au Midi. Et voici par la grâce du soleil de janvier qu’un mot devient le plus beau de la langue : matinée. Tou
157 t simple moyen… 3-4 mars 1935 Deux jours au soleil , à Cassis. Le village vit tout doucement, d’une vie enfantine. Point
158 mard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil . Et les bonnes femmes disaient, au seuil du temple : « Voyez-vous ça,
159 traces de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chie
160 , reposent les mâles repus, pesamment allongés au soleil . J’en compte huit, de toutes tailles et pelages. La plupart sont beau
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
161 5 Arrivée à Paris. — Après la Beauce au grand soleil , pendant des heures, après Versailles, voici la rencontre émouvante d
162 plein midi du grand corps de la France étirée au soleil . Tous les problèmes vont se poser autrement. Tout est soudain plus du
163 ûtes, et chacun s’y sent seul, tournant le dos au soleil toujours absent de l’imagerie des cauchemars. Pour bien comprendre le
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
164 Je l’ai senti le premier soir d’octobre, quand le soleil couchant flambait les hauteurs des gratte-ciel de cette couleur orang
165 ace, double le ciel, qui règne seul au coucher du soleil . À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues profondes
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
166 baryton viennois de l’Opéra de New York, bains de soleil dans un parterre de jeunes déesses américaines, danse aux salons et f
167 pantoufles. Tel est pris et l’autre laissé. Et le soleil qui se couche ici, au même instant se lève ailleurs. C’est le même so
168 , au même instant se lève ailleurs. C’est le même soleil . Je pense que si j’étais en prison cette nuit, je n’aurais aucun repr
169 ous importés. Traversée de l’île en auto, sous un soleil qui attaquait en piqué. Pendant un kilomètre, il pleut des cordes, et
170 cirque immense des collines, piquées de villas au soleil , par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’herbe d’un marais,
171 iné, devant la lagune de Maïpo, jusqu’à ce que le soleil couchant ait flambé les plumets des roseaux. C’est un marécage infini
172 ts des grises étendues. Dans les brumes dorées le soleil s’enlisa, tandis que s’apaisait la rumeur primitive, au ras des prair
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
173 ’après-midi, voici le soir, nous volons contre le soleil et le temps coule deux fois plus vite. La stratosphère se dore. Des c
90 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
174 là ! » Un peu plus tard, ce fut un jour de grand soleil sur toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le s
175 reries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regards. Stéphan
91 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
176 ns ombre. Surprendre ce Français, c’est passer au soleil  : c’est donc avouer son terrible secret ! Il arrive souvent qu’un étr
177 le contrat, lorsque son imposture éclate au grand soleil , Mina s’écrie : « Oh ! mon pressentiment ! Oui, je le savais depuis l
178 adapté, — celui qui ne peut « trouver sa place au soleil  », et qui ne subsiste dans la compagnie de ses semblables que par un
179 mmençait à croître lorsqu’il se promenait dans le soleil . » Ici donc, pas de fixation morbide, comme dans Schlemihl. Aussi bie
92 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
180 eux de populace et de parole rapide. Peut-être le soleil éteint se promène-t-il depuis quelques instants dans un ciel sale. Qu
181 utre côté, du côté de ce monde mal fait… Parut un soleil nouveau. Et ceux qui le voyaient prenaient un visage neuf, leurs yeux
182 tume de la Cour. Bien peu soutinrent les derniers soleils et l’agrandissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection,
183 amment au sein d’une perpétuelle pauvreté. Devint soleil . Et quel est celui qui s’approche avec son parapluie mal fermé sous l
93 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
184 ir, elle est encore d’une présence envoûtante. Le soleil s’est caché derrière le Trou de Bourgogne. La grande rougeur du lac s
94 1948, Suite neuchâteloise. VII
185 ir, elle est encore d’une présence envoûtante. Le soleil s’est caché derrière le Trou de Bourgogne. La grande rougeur du lac s
95 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
186 entre nos peuples fondraient comme neige sous le soleil d’avril. Imaginez ce grand jardin de l’Europe où vous pourriez circul
96 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
187 au xxe siècle, que le pouvoir de faire lever le soleil , revendiqué par les rois-dieux. 6. Les paragraphes importent, dans un
97 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
188 ciers. Un mont tout blanc ou tout rose, au gré du soleil , mais dont l’appel muet fait battre le cœur, même des plus simples ge
98 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
189 . Ils purent se croire libres un moment : mais le soleil fécond fit éclore du cadavre de l’oppresseur un essaim de petits tyra
99 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
190 înes de montagnes, des lacs et des fleuves, et le soleil se jouait sur la jeune verdure couverte de rosée. Je voyais dans tout
100 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
191 » d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier défi au Soleil disparu derrière l’horizon jaune de la mer d’Occident. C’est le cri d