1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 n mécanicienne. (Les machines n’ont pas besoin de sommeil .) La fatigue devient un des éléments les plus importants de notre psy
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 radictoires ; au gré du temps, d’un sourire, d’un sommeil , tant de bonheurs ou de dégoûts étranges viennent m’habiter ; je ne s
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
3 èches… Puis la brume est venue comme une envie de sommeil . Une lampe dans la maison blanche nous a révélé proche la nuit. Nous
4 ir l’esprit se défaire et couler sans fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguement heureuse d’ê
5 fin vers un sommeil à l’odeur fade de fleuve, un sommeil de plante vaguement heureuse d’être pliée au vent qui ne parle jamais
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
6 ique, fait balle au cerveau du poète qui meurt de sommeil naturel. Le tunnel sous la Manche escamoté, le train dépose des compl
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
7 s d’un rêve sans issue, pesant comme l’envie d’un sommeil sans fin… J’avais soif, mais la seule vue d’un liquide me soulevait l
8 ux genoux, odeur de vieille fumée, et ce refus au sommeil qui meurtrit jusqu’à l’âme.) Convulsions d’oriflammes sur l’orchestre
9 chambre étroite… J’ai dormi quelques heures, d’un sommeil triste, tout enfiévré par la crainte du réveil. Puis je suis revenu d
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
10 , et des violons déchirants dans sa tête… Mais le sommeil s’évaporait aux caresses des flocons, plus perfides que des murmures
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
11 de chaque minute auquel succède immédiatement le sommeil . Je rêve beaucoup. Cela explique, m’a-t-on dit, le peu de goût que j’
8 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
12 straite et commerciale nécessité. Ennui, fatigue, sommeil sans prière. Cela s’appelle encore vivre. Mais l’homme qui était un m
9 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
13 ignes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil  ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très
10 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
14 ur lui-même il se perd en méditations éléates. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se voir : il est laid. Lâchement il s
11 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
15 re côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La perfection
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
16 re qui s’énerve, qui embrouille les règles, qui a sommeil , qui a peur de faire faux, parce que les autres auront fait juste, et
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
17 re qui s’énerve, qui embrouille les règles, qui a sommeil , qui a peur de faire faux, parce que les autres auront fait juste, et
14 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
18 tour. Ah ! qu’une nuit enfin, à la faveur de mon sommeil , on me vole à moi-même ! Que des êtres rêvés m’emportent ! — Ils me c
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
19 aupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil ) — et me voici plus seul, avec une nostalgie qui ne veut pas de la ro
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
20 e lui donner Kobé et les bas-fonds. La nature, le sommeil et les enfants étaient ses meilleurs réconforts. Comment et par quoi
17 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
21 des plus significatifs de ces récits (Dieu et le sommeil , Les Fins dernières) l’on assiste à un réveil, explosion de révolte o
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
22 ignes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous sommeil  ? demanda-t-il. Moi pas. D’ailleurs j’ai oublié mes clefs il y a très
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
23 gèreté éperdue… Mais une main de femme au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont tous ces gestes rythmés ? Anda
20 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
24 aupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil ) — et me voici plus seul, avec une nostalgie qui ne veut pas de la ro
21 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
25 re côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « La perfection
22 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
26 ns rebondis où l’on s’enfouit comme s’il était le sommeil même. Le bruit de la rivière et de l’écluse proche, — ce sera sa prem
27 c tout le mobile et l’ineffable du monde. Cure de sommeil , de rêves et de feuillages — et trois heures de tennis chaque après-m
28 ême ? La fille au collier bleu… Tout d’un coup le sommeil me vide les jambes. La nuit se ferme à l’imagination, cette nuit qu’i
29 très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil , je croyais qu’elle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis ren
30 ois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil . Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apaisée du sou
23 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
31 tour. Ah ! qu’une nuit enfin, à la faveur de mon sommeil , on me vole à moi-même ! Que des êtres rêvés m’emportent ! — Ils me c
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
32 gèreté éperdue… Mais une main de femme au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont tous ces gestes rythmés ? Anda
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 aupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil ) — et me voici plus seul, avec une nostalgie qui ne veut pas de la ro
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
34 re côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « …la perfectio
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
35 ns rebondis où l’on s’enfouit comme s’il était le sommeil même. Le bruit de la rivière et de l’écluse proche, — ce sera sa prem
36 c tout le mobile et l’ineffable du monde. Cure de sommeil , de rêves et de feuillages — et trois heures de tennis chaque après-m
37 ême ? La fille au collier bleu… Tout d’un coup le sommeil me vide les jambes. La nuit se ferme à l’imagination, cette nuit qu’i
38 très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil , je croyais qu’elle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis ren
39 ois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil . Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apaisée du sou
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
40 haine ! — Malheur sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’armes martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irré
29 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
41 désespoir, ou si l’on veut, je peux rêver dans le sommeil du désespoir à ma perfection idéale, je peux rêver ma vocation et ses
30 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
42 t l’ordre dans la rue, la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette liste de bienfaits le développement
31 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
43 t l’ordre dans la rue, la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette liste de bienfaits le développement
32 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
44 e bureau ou d’usine. Après le travail et avant le sommeil (bien plus semblable au second qu’au premier) la lecture, aujourd’hui
33 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
45 e grand tam-tam de la tribu qui est déclenché. Le sommeil même doit être mis au pas, et l’inconscient rythmé lugubrement. 11
34 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
46 êt presque toujours la forme d’un vœu de mort. Le sommeil préfigure la mort pour le poète romantique ; et la mort progressive à
47 onnel. 6. En effet, pour les romantiques, « le sommeil est une préfiguration de la mort », et c’est uniquement dans la mort
35 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
48 des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à la vie. Ce n’est pas la plus noble part, et l’homme vigoureux préfé
36 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
49 e haine ! Malheur sur nous ! Nuit lugubre et sans sommeil — rythmée d’armes martelées — Ha ! ha ! — Meute folle, meurtrière — ô
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
50 des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à la vie. Ce n’est pas la plus noble part, et l’homme vigoureux préfé
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
51 des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à la vie. Ce n’est pas la plus noble part, et l’homme vigoureux préfé
39 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
52 êt presque toujours la forme d’un vœu de mort. Le sommeil préfigure la mort pour le poète romantique ; et la mort progressive à
53 op. cit. 88. En effet pour les romantiques, « le sommeil est une préfiguration de la mort », et c’est uniquement dans la mort
40 1946, Journal des deux mondes. Intermède
54 e haine ! — Malheur sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’armes martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irré
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
55 gèreté éperdue… Mais une main de femme au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont tous ces gestes rythmés ? Anda
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
56 aupière lourde de celui qui succombe à l’excès du sommeil ) — et me voici plus seul, avec une nostalgie qui ne veut pas de la ro
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
57 re côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » — et cet aveu mystérieux : « … la perfecti
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
58 ns rebondis où l’on s’enfouit comme s’il était le sommeil même. Le bruit de la rivière et de l’écluse proche, — ce sera sa pre
59 c tout le mobile et l’ineffable du monde. Cure de sommeil , de rêves et de feuillages — et trois heures de tennis chaque après-m
60 ême ? La fille au collier bleu… Tout d’un coup le sommeil me vide les jambes. La nuit se ferme à l’imagination, cette nuit qu’i
61 très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil , je croyais qu’elle était un arbre, ou bien une prairie. (Je suis ren
62 ois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil . Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apaisée du sou
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
63 e grand tam-tam de la tribu qui est déclenché. Le sommeil même doit être mis au pas, et l’inconscient rythmé lugubrement. 11
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
64 e haine ! — Malheur sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’armes martelées — meute folle, meurtrière — ô rumeur irré
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
65 logue dans l’éveil à la fonction onirique dans le sommeil . Rites, symboles constants, figures des jeux, rhétorique, fêtes et li
48 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
66 chose qu’ils aiment plus que la nourriture ou le sommeil ou le vin ou la compagnie d’un ami. C’est la raison pour laquelle ils
49 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
67 r lui-même, il se perd en méditations éléates. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se voir : il est laid. Lâchement il s
50 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
68 onter : « Les Indiens n’admettaient rien. Sauf le Sommeil , le plus profond Oubli, où l’on était en n’étant pas. Pour le joindre
51 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
69 t pas répondu. Épuisé, je me suis laissé aller au sommeil en gémissant : j’ai entendu une voix très compatissante qui me disait
52 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
70 oire un somnifère, mais n’ose pas profiter de son sommeil . Au matin, c’est elle qui le séduit ! Commence la longue fuite du bea
53 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
71 la nuit et où l’aurore est proche, l’heure où le sommeil , plus doux que le miel, posé sur les paupières des hommes, détend leu
72 ? Qui était cette étrangère que j’ai vue dans mon sommeil  ? Quel désir d’elle a envahi mon âme ! Et elle, de son côté, avec que
73 t tout de son long Argos, orné d’yeux rebelles au sommeil  ; du sang rouge d’Argos, surgissait un oiseau, fier de son plumage fl
54 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
74 ncore, « seule et sans dormir avec personne », le Sommeil , les Songes ; mais enfin, de son frère Erèbe lui-même, l’Éther et la
55 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
75 absorption totale dans l’Absolu du Soi : le grand sommeil , lentement atteint, et qu’on peut appeler l’enstase. Et les mystiques
76 on des temps, pas même le Soi qui dormira dans un sommeil sans rêves — leur idée du bonheur — entre deux Créations totalement i
56 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
77 oire un somnifère, mais n’ose pas profiter de son sommeil . Au matin, c’est elle qui le séduit ! Commence la longue fuite du bea
57 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
78 absorption totale dans l’Absolu du Soi : le grand sommeil , lentement atteint, et qu’on peut appeler l’enstase. Et les mystiques
79 on des temps, pas même le Soi qui dormira dans un sommeil sans rêves — leur idée du bonheur — entre deux Créations totalement i
58 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
80 la nuit et où l’aurore est proche, l’heure où le sommeil , plus doux que le miel, posé sur les paupières des hommes, détend leu
81 ? Qui était cette étrangère que j’ai vue dans mon sommeil  ? Quel désir d’elle a envahi mon âme ! Et elle, de son côté, avec que
82 t tout de son long Argos, orné d’yeux rebelles au sommeil  ; du sang rouge d’Argos, surgissait un oiseau, fier de son plumage fl
83 ncore, « seule et sans dormir avec personne », le Sommeil , les Songes ; mais enfin, de son frère Erèbe lui-même, l’Éther et la
59 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
84 dans le sang, si tous les ministres perdaient le sommeil à force de réfléchir et si chaque jour une dizaine d’entre eux perdai
60 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
85 Au retrait de l’ombre des chênes, j’ai trompé le sommeil pour tenter de surprendre l’éveil du mythe dans l’espace du rêve, et
61 1970, Articles divers (1970-1973). La place du livre dans l’information de l’homme moderne (1970)
86 toujours le temps nécessaire, aux dépens de leur sommeil quelquefois, plutôt qu’aux dépens de leur travail. C’est dommage, il
62 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
87 , des villes, des eaux, de l’air, des corps et du sommeil par l’industrie et par l’auto est-elle un produit spécifique de notre
63 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « La religion du Progrès »
88 ppelle, de glucose, liquide sucré qui facilite le sommeil des personnes âgées. Le succès de son livre me paraît d’ailleurs plus
64 1975, Articles divers (1974-1977). « Le sort des écrivains emprisonnés constitue un drame et un avertissement » (juin 1975)
89 n dit contre Staline mais l’autre jour dans votre sommeil , vous avez rêvé de le tuer. On vous a interrogé sous hypnose et vous
65 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
90 straite et commerciale nécessité. Ennui, fatigue, sommeil sans prière106. » Cela s’appelle encore vivre. Mais l’homme qui était
66 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
91 , des villes, des eaux, de l’air, des corps et du sommeil par l’industrie et par l’auto est-elle un produit spécifique de notre