1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 e cauchemar que rêve à côté de nous le IIIe Reich somnambulique . Nous avons tout à craindre des « inspirations » du Führer, mais que
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
2 , Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet merveilleux, dont il n’aura jamais épu
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
3 , Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet merveilleux, dont il n’aura jamais épu
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
4 , Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet merveilleux, dont il n’aura jamais épu
5 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
5 it les masses à un état d’hypnose, d’inconscience somnambulique , dans lequel le moins courageux sera capable d’exécuter des actes éto
6 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
6 it les masses à un état d’hypnose, d’inconscience somnambulique , dans lequel le moins courageux sera capable d’exécuter des actes éto
7 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
7 it les masses à un état d’hypnose, d’inconscience somnambulique , dans lequel le moins courageux sera capable d’exécuter des actes éto
8 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
8 ns, voilà le cauchemar qu’aura rêvé le IIIe Reich somnambulique . Maladie religieuse bien plus que politique, et dont les causes doive
9 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
9 , Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet merveilleux, dont il n’aura jamais épu
10 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
10 , Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet merveilleux, dont il n’aura jamais épu