1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
1 s’est ouvert devant lui. Et l’eau n’est pas moins somptueuse . Et bien sûr, je n’ai pas bougé. C’est une question d’amitié. Pourtan
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 ns, des couvertures de livres, des étoffes, d’une somptueuse fantaisie ; et qu’Alice Perrenoud combine de petits tableaux en papie
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
3 iel au sortir du treizième tunnel, vers des parcs somptueux et secrets, vers tout un monde intimidant, peuplé d’angoisses et de f
4 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
4 qui n’avons pas voulu souffrir ». « Dans l’église somptueuse paraît le Très Vénérable et Très Noble Premier Prédicateur Général de
5 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
5 ont retournés comme « invendus » avec une facture somptueuse  ; enfin sur la brutalité des procédés utilisés pour « mettre au pas »
6 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
6 l’orchestre-jazz du chef-lieu : il arrive dans un somptueux car d’excursion capitonné de velours violet, horriblement moderne. Ce
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
7 l’orchestre-jazz du chef-lieu : il arrive dans un somptueux car d’excursion capitonné de velours violet horriblement moderne. Cep
8 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
8 qui n’avons pas voulu souffrir. » Dans l’église somptueuse paraît le très vénérable et très noble Premier Prédicateur général de
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
9 l’orchestre-jazz du chef-lieu : il arrive dans un somptueux car d’excursion capitonné de velours violet horriblement moderne. Cep
10 1948, Suite neuchâteloise. I
10 iel au sortir du treizième tunnel, vers des parcs somptueux et secrets, vers tout un monde intimidant, peuplé d’angoisses et de f
11 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
11 seuse et ses pas, dont chacun signifiait, l’éclat somptueux des soies, des couleurs, des bijoux, je songeais que l’idée de « mauv
12 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
12 on de la passion par l’amour vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé Souffles d’un jour d’été. Il ne s’y passe rien qu’u
13 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
13 on de la passion par l’amour vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé Souffles d’un jour d’été. Il ne s’y passe rien qu’u
14 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
14 dépense magnifique, le goût de la nouveauté et du somptueux , qui caractérisent tant de princes et de grands marchands de l’époque
15 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
15 dépense magnifique, le goût de la nouveauté et du somptueux , qui caractérisent tant de princes et de grands marchands de l’époque
16 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
16 Zellweger forment avec l’église baroque la place somptueuse de Trogen, — petit village au cœur d’un haut pays de collines chauves
17 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). III. Venise : colloque sur le fédéralisme, modèle de l’Europe
17 ns une très vaste salle décorée de fresques de la somptueuse Fondation Cini, j’ai introduit la séance par ces mots : Nous sommes
18 1977, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La réponse de Denis de Rougemont (1977)
18 l’Europe . Merci, mes chers amis, pour ce cadeau somptueux — sur lequel je vais me jeter, toutes affaires cessantes, à peine sor
19 1977, Articles divers (1974-1977). L’Avenir est votre affaire (11 octobre 1977)
19 e qui va plus vite que le son », comme il dit, ce somptueux gadget de seize milliards dont les contribuables français et anglais