1 uit un grand nombre de citations à l’appui de ses sophismes , ne se livre pas moins à des déductions in abstracto qui le mènent à

2 incu sans bataille. On voit assez à quel genre de sophismes conduit ce mouvement de l’esprit qui n’utilise une borne que pour sau

3 , moins le principe unificateur ». De quelques sophismes libérateurs La fonction de l’homme est aussi bien de croire que de

4 édifices, ne quitte plus, attiré par les premiers sophismes de l’aurore, ces corniches de craie où t’accoudant tu mêles tes trait

5 haque page de ses livres, on pourrait relever les sophismes plus ou moins conscients par lesquels il prétend ramener le bénéfice

6 on, d’autorégulation et d’alternances. Tel est ce sophisme , le paradoxe du bon marché. Celui de la réclame a même but, mêmes eff

7 mêmes effets. Mais le plus grave est peut-être le sophisme du loisir. M. Guglielmo Ferrero a fort bien montré, dans un article i

8 ance, puis désigne chez les surréalistes certains sophismes et ce « badinage mystique » sans l’accompagnement desquels, semble-t-

9 propres yeux l’Humanité. En passant, relevons un sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les méandres de notre chemin : « 

10 e les conventions établies, les traditions et les sophismes . Devant lui était le monde : le monde, l’énorme asile de fous dont Ei

11 elle s’érige en dialectique indépendante. Si des sophismes de ce genre n’apparaissent pas plus souvent chez d’autres « moraliste

12 étaché de la grâce se décompose avec virulence en sophismes , ou bien engendre des chimères. Tout, ainsi, devient inextricable. Le

13 , en Amérique par exemple. On se demande par quel sophisme un régime d’opinion put jamais être confondu avec un régime de libert

14 propres yeux l’Humanité. En passant, relevons un sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les méandres de notre chemin : « 

15 . Raison géométrique, adoration intellectuelle ou sophismes logiques, ce sont autant de formes d’une espèce de fuite en avant, au

16 insi que l’existence du psychologue repose sur un sophisme qu’il faut qualifier d’inversion pure et simple de l’humain. Le droit

17 qui voudraient nous y engager sont de misérables sophismes . Mais si la politique devient ce que nous voulons qu’elle soit, la qu

18 transition dont nous ne cesserons de dénoncer les sophismes et les trahisons. À nous de reprendre maintenant une tactique qui n’e

19 age. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le sophisme qui assimile « vraie démocratie » et gouvernement d’un seul appuyé su

20 r est beaucoup plus sensible à la dénonciation du sophisme contraire, parce qu’il en a souffert pendant les années d’inflation e

21 s années d’inflation et de chômage ; j’entends le sophisme des régimes parlementaires qui appellent « démocratie » le gouverneme

22 e pas, comme en France, on ne saurait parler sans sophisme de démocratie. Mais là où le référendum ne peut être provoqué que par

23 nt, comme en Allemagne, en ne saurait parler sans sophisme d’un contrôle de pouvoir par le peuple. 3. Nécessité du plébiscite

24 qui voudraient nous y engager sont de misérables sophismes . Mais si la politique devient ce que nous voulons qu’elle soit, la qu

25 mauté du matériel. Tout le reste est littérature, sophisme , et confusion de la tactique avec la vérité.

26 mauté du matériel. Tout le reste est littérature, sophisme , et confusion de la tactique avec la vérité.

27 nts d’un Érasme nous apparaissent comme autant de sophismes . Non seulement tous les humanistes, — des marxistes aux vieux libérau

28 nt très bien. Enfin Denis de Rougemont dénonça le sophisme sur lequel repose l’œuvre de M. Benda, œuvre, en dépit des prétention

29 e son auteur, purement polémique et politique. Ce sophisme consiste à enfermer les intellectuels dans le dilemme : pensée « pure

30 Logique observe à propos du premier dilemme — ou sophisme — « qu’il n’est point fâcheux d’offenser les hommes, quand on ne le p

31 nts d’un Érasme nous apparaissent comme autant de sophismes . Non seulement tous les humanistes — des marxistes aux vieux libéraux

32 au sens rationnel de ce terme. Certes, il y a du sophisme dans mon raisonnement : car tout se passe d’ordinaire comme si le bon

33 nce, et les impondérables deviennent décisifs. Le sophisme est alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et rais

34 age. Il se peut qu’il soit un instant gêné par le sophisme qui assimile « vraie démocratie » et gouvernement d’un seul appuyé su

35 r est beaucoup plus sensible à la dénonciation du sophisme contraire, parce qu’il en a souffert pendant les années d’inflation e

36 s années d’inflation et de chômage ; j’entends le sophisme des régimes parlementaires qui appellent « démocratie » le gouverneme

37 e pas, comme en France, on ne saurait parler sans sophisme de démocratie : les pouvoirs délégués échappent à tout contrôle, ils

38 nt, comme en Allemagne, on ne saurait parler sans sophisme d’un contrôle du pouvoir par le peuple : c’est le pouvoir qui se conf

39 au sens rationnel de ce terme. Certes, il y a du sophisme dans mon raisonnement : car tout se passe d’ordinaire comme si le bon

40 nce, et les impondérables deviennent décisifs. Le sophisme est alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et rais

41 au sens rationnel de ce terme. Certes, il y a du sophisme dans mon raisonnement : car tout se passe d’ordinaire comme si le bon

42 nce, et les impondérables deviennent décisifs. Le sophisme est alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et rais

43 au sens rationnel de ce terme. Certes, il y a du sophisme dans mon raisonnement : car tout se passe d’ordinaire comme si le bon

44 nce, et les impondérables deviennent décisifs. Le sophisme est alors du côté du bon sens, qui recommandait un choix mûri et rais

45 monade cancéreuse, introduisant dans l’univers ce sophisme de pure angoisse : le mensonge d’aucune vérité. 8. Légion Enfin

46 nous faire douter de son existence même. 9. Le sophisme L’Ange déchu nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre esp

47 édulité de ces « sceptiques », et l’impardonnable sophisme dont ils se montrent les victimes : « Le diable est un bonhomme à cor

48 a pris le jeu en main ! C’est lui qui invente nos sophismes moraux, efface nos catégories, transforme ce péché habituel en une « 

49 . Ce n’est encore qu’une variante scientifique du sophisme de l’incognito. Point de diable aux yeux des freudiens, mais seulemen

50 l, ces derniers temps. 34. « Vital » et autres sophismes Tout le mal vient de vouloir s’échapper pour ne point s’avouer res

51 que qu’une observation juste — mais seulement les sophismes qui s’en autorisent. C’est le diable qui m’intéresse, et les prétexte

52 eux sur ses motifs et ne se paye plus aisément de sophismes cousus de fil blanc. Nulle part le masochisme et l’égoïsme étroit ne

53 nt de certaines amours pseudo-mystiques, nœuds de sophismes spirituels où le serpent se love avec délices. La sexualité se distin

54 lle va créer, en vertu de sa logique folle et des sophismes du Néant qui néantit. 41. Le coup de pistolet Je me crois en En

55 le vertige du malheur ; et qu’elles réfutent les sophismes de l’Abîme comme une aube d’été évapore les brumes ! On dit que le dé

56 t la crédulité des sceptiques, et l’impardonnable sophisme dont ils se montrent les victimes : « Le diable est un bonhomme à cor

57 ellule cancéreuse, introduisant dans l’univers ce sophisme de pure angoisse : le mensonge de nulle vérité. 10. L’Accusateur

58 uel pourrait se révéler le Tentateur ? 12. Le sophisme L’Ange déchu nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre esp

59 a pris le jeu en main ! C’est lui qui invente nos sophismes moraux, efface nos catégories, transforme ce péché habituel en une « 

60 . Ce n’est encore qu’une variante scientifique du sophisme de l’incognito. Point de diable aux yeux des freudiens, mais seulemen

61 belle et bonne théologie nous sauvait bientôt du sophisme , tandis qu’à coup sûr nous sommes pris si nous ignorons même l’existe

62 t prétexte à se fuir… 50. « Vital » et autres sophismes Tout le mal vient de vouloir s’échapper pour ne point s’avouer res

63 que qu’une observation juste — mais seulement les sophismes qui s’en autorisent. C’est le diable qui m’intéresse, et les prétexte

64 eux sur ses motifs et ne se paye plus aisément de sophismes cousus de fil blanc. Nulle part le masochisme et l’égoïsme étroit ne

65 nt de certaines amours pseudo-mystiques, nœuds de sophismes spirituels où le serpent se love avec délices. La sexualité se distin

66 lle va créer, en vertu de sa logique folle et des sophismes du Néant qui néantit. 57. Le coup de pistolet Je me crois en E

67 le vertige du malheur ; et qu’elles réfutent les sophismes de l’Abîme comme une aube d’été évapore les brumes ! On dit que le dé

68 t la crédulité des sceptiques, et l’impardonnable sophisme dont ils se montrent les victimes : « Le diable est un bonhomme à cor

69 ellule cancéreuse, introduisant dans l’univers ce sophisme de pure angoisse : le mensonge de nulle vérité. 10. L’accusateur

70 quel pourrait se révéler le Tentateur ? 12. Le sophisme L’Ange déchu nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre esp

71 a pris le jeu en main ! C’est lui qui invente nos sophismes moraux, efface nos catégories, transforme ce péché habituel en une « 

72 . Ce n’est encore qu’une variante scientifique du sophisme de l’incognito. Point de diable aux yeux des freudiens, mais seulemen

73 belle et bonne théologie nous sauvait bientôt du sophisme , tandis qu’à coup sûr nous sommes pris si nous ignorons même l’existe

74 et prétexte à se fuir… 50. « Vital » et autres sophismes Tout le mal vient de vouloir s’échapper pour ne point s’avouer res

75 que qu’une observation juste — mais seulement les sophismes qui s’en autorisent. C’est le diable qui m’intéresse, et les prétexte

76 eux sur ses motifs et ne se paye plus aisément de sophismes cousus de fil blanc. Nulle part le masochisme et l’égoïsme étroit ne

77 nt de certaines amours pseudo-mystiques, nœuds de sophismes spirituels où le serpent se love avec délices. La sexualité se distin

78 lle va créer, en vertu de sa logique folle et des sophismes du Néant qui néantit. 57. Le coup de pistolet Je me crois en En

79 le vertige du malheur ; et qu’elles réfutent les sophismes de l’Abîme comme une aube d’été évapore les brumes ! On dit que le dé

80 vaise humeur. En la copiant, je n’y vois plus que sophismes . Non, la gloire, ce n’est pas l’amour mais au contraire le mépris du

81 édulité de ces « sceptiques », et l’impardonnable sophisme dont ils se montrent les victimes : « Le diable est un bonhomme à cor

82 monade cancéreuse, introduisant dans l’univers ce sophisme de pure angoisse : le mensonge d’aucune vérité. h. « Les tours du d

83 nt de certaines amours pseudo-mystiques, nœuds de sophismes spirituels où le serpent se love avec délices. La sexualité se distin

84 r mieux les comparer, c’est créer le type même du sophisme , un problème de la forme et du fond, un problème de la poule et de l’

85 ur, quelque défaut subtil mais essentiel, quelque sophisme irréductible et irritant. Ou bien serait-ce que tout cela signifie et

86 nts d’un Érasme nous apparaissent comme autant de sophismes . Non seulement tous les humanistes — des marxistes au vieux libéraux 

87 . Et celui qui désire ne gagnera jamais. C’est le sophisme de l’empereur : Napoléon n’est pas un Bonaparte comblé, mais quelqu’u

88 biguë en fait qu’en intention, si l’on néglige le sophisme de la moustache, qui en disqualifie toute la fin. (Hitler portait la

89 vaise humeur. En la copiant, je n’y vois plus que sophismes . Non, la gloire, ce n’est pas l’amour mais au contraire le mépris du

90 . Et celui qui désire ne gagnera jamais. C’est le sophisme de l’empereur : Napoléon n’est pas un Bonaparte comblé, mais quelqu’u

91 rait demeurée indifférente. Ce paradoxe couvre un sophisme . Car les journaux ne sauraient décrire l’opinion sans la modifier : c

92 e raisonnement d’une écrasante simplicité dans le sophisme . Et puis, vous le savez tous, tout cela ne sonne pas vrai, n’est pas

93 geois. Fin d’un mythe, mais aussi d’un monstrueux sophisme . Allez redire, ô philosophes qui vantiez la violence ouvrière, substa

94 erreur de logique. Il est aisé de répondre à ces sophismes par un exemple bien connu, et par un rappel à l’histoire. Logique ou

95 geois. Fin d’un mythe, mais aussi d’un monstrueux sophisme . Allez redire, ô philosophes qui vantiez la violence ouvrière, « subs

96 isée CED. Elle y serait noyée et sans force. » Ce sophisme insultant va servir de slogan à la campagne neutraliste, si ce n’est

97 isée CED. Elle y serait noyée et sans force. » Ce sophisme insultant va servir de slogan à la campagne neutraliste. Un revers fr

98 pe par ces « grandes voix » débitant avec âme des sophismes vulgaires. De Gasperi parlait d’une voix sévère et fraternelle, avec

99 i tout à l’heure sur ce point : c’est le nœud des sophismes de K. Second argument : « La métamorphose qui porte les maîtres du K

100 indiquées : elles présentent le même caractère de sophisme concret, sans issue, conduisant à l’idée de rupture nécessaire. Comm

101 même, intervenir dans vos affaires ? A. Assez de sophismes et de provocations impérialistes ! Vous êtes riche, je suis pauvre, v

102 l’a fait, que sans historiens plus d’Histoire. Le sophisme paraît éclatant. Si l’on y réfléchit avec quelque rigueur, il devient

103 tre Dieu et le Général ; mais elle échoue dans un sophisme . En effet, si Sartre préfère Dieu au Général, c’est qu’il peut nier l

104 solent, mais que je crois sincère jusque dans ses sophismes . Il exprime un ardent désir de faire accepter la doctrine de la « coe

105 ous sommes en réalité. Je ne vois guère moins de sophisme dans cet argument que dans ceux de K. ; guère plus de justification a

106 presque religieux… mais ce sont là de misérables sophismes . En admettant qu’il ne t’ait pas laissé de souvenir voluptueux, il t’

107 ient donc sur le même plan, s’agissant du salut ? Sophisme  ! s’écrient les bourgeois. C’est qu’ils ont deux poids et deux mesure

108 ique grecque, par exemple, ne saurait excuser nos sophismes ou nos étourderies. Mais ce serait une erreur dès maintenant que de l

109 ue européenne, c’est la nécessité de sortir de ce sophisme théorique opposant deux réalités encore à naître. Le moyen pratique d

110 souhaitable, se trouve bloqué de nos jours par un sophisme . Les partisans de l’union immédiate exigent que les États-nations ren

111 tat nationalistes donnent d’ailleurs dans le même sophisme quand ils refusent l’union immédiate sous prétexte qu’elle impliquera

112 tiative Schwarzenbach risque fort de recouvrir un sophisme chez la plupart de ceux qui viennent de le découvrir. Ils nous disent

113 l’a fait, que sans historiens plus d’Histoire. Le sophisme paraît éclatant. Si l’on y réfléchit avec quelque rigueur, il devient

114 pratiquement, le 5 août 1945, à Hiroshima. Le sophisme des « deux cultures » Cependant un danger subsiste. L’ère de l’aut

115 rante qui exaspère les débats sur l’Europe est le sophisme anachronique : on dénonce les dangers qu’une certaine politique, résu

116 naux et traductions, précieux commentaires. 235. Sophismes courants sur cathares-troubadours : — X n’est pas cathare, car il ne

117 ute prospective. Il serait facile d’en déduire un sophisme du gouvernement : — Si l’avenir est totalement imprévisible, ne préte

118 iers de l’humanité n’en font pas partie… C’est un sophisme . Car si les deux tiers de l’humanité sont encore dans un état de sous

119 inition de la mode. Je crains qu’il s’agisse d’un sophisme que beaucoup de gens approuvent par simple étourderie. Pour qu’il y a

120 hnique coûtera trop cher ! Mais voyons le nœud du sophisme . Ceux qui proposent d’en appeler d’une technique peut-être mal réglée

121 léaire, et recourant néanmoins au même système de sophismes . Parlant au cours d’une émission de la TV française — essayant de par

122 ute prospective. Il serait facile d’en déduire un sophisme du gouvernement : — Si l’avenir est totalement imprévisible, ne préte

123 haque page de ses livres, on pourrait relever les sophismes plus ou moins conscients par lesquels il prétend ramener le bénéfice

124 reste « c’est l’État qui paiera ». Et cent autres sophismes pitoyables exonérant tour à tour notre moi, notre profession, notre c

125 sujet, ambiguë jusqu’à la contradiction, jusqu’au sophisme logiquement inévitable. En effet, si je dis que je ne crois plus au

126 e, il y a deux-cents ans que Rousseau a réfuté le sophisme , qui équivaudrait à exclure la possibilité d’existence de la Suisse.

127 d’une volonté générale et on tombe dans tous les sophismes qui conduisent à la dictature, quand cette dictature se prétend l’exp