1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 bolique ou senhal, exactement comme les mystiques soufis désignent Dieu dans leurs poèmes ! 52. Au moment de donner le bon à
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 oits, son symbolisme enfin, remonte de l’Irak des soufis platonisants et manichéisants jusqu’à l’Espagne arabe, et passant par
3 bolique ou senhal, exactement comme les mystiques soufis désignent Dieu dans leurs poèmes ! 52. Retrouvés en 1930 au Fayoum (
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
4 oits, son symbolisme enfin, remonte de l’Irak des soufis platonisants et manichéisants jusqu’à l’Espagne arabe, et passant par
5 bolique ou senhal, exactement comme les mystiques soufis désignent Dieu dans leurs poèmes ! 45. Retrouvés en 1930 au Fayoum (
4 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
6 siècle. 7. Relevons qu’Avicenne et le mystique soufi écrivaient tous les deux dans cette « circonscription intermédiaire e
7 nitio vesperlina, aux manichéens et aux mystiques soufis , et à leurs lointains disciples cathares et « courtois », à Pic de la
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
8 siècle. 7. Relevons qu’Avicenne et le mystique soufi écrivaient tous les deux dans cette « circonscription intermédiaire e
9 nitio vespertina, aux manichéens et aux mystiques soufis , et à leurs lointains disciples cathares et « courtois », à Pic de la
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
10 tzsche, et publie les grands textes des mystiques soufis , mais l’Iran et l’Arabie sont en pleine crise d’adaptation à l’habitu
11 spirituels, l’Iran du mazdéisme et des mystiques soufis , proche de l’Inde mais enté sur le tronc abrahamique, d’où sont issus
12 ntaires qu’Henry Corbin nous donne de la mystique soufi , « la totalité de notre être, ce n’est pas seulement cette partie que
13 il Iran désignait comme Fravarti 62. » L’Ange des soufis n’évoque pas seulement cette part initiante de l’être renouvelé qui d
14 pesée des âmes. Le mazdéisme, comme plus tard les soufis , et comme le christianisme véritable, ne demande pas d’abord ce qu’es
15 bouddhisme — et certainement le mazdéisme et les soufis  : il s’agit d’une seule quête de l’esprit, dont le Graal, ou l’Ange,
16 ; et nulle ne s’inspira jamais de la mystique des soufis , et pour cause. Si je les fais intervenir ici, c’est à titre d’évocat
17 donc permanente de l’esprit : le mazdéisme et les soufis ont proposé des notions de l’homme et de l’amour homologues aux notio
18 ncés est indéniable. Si le symbolisme concret des soufis transpose doublement tous les termes à la fois dans le surnaturel (ou
19 e structure. Mais « l’Imagination créatrice » des soufis , comme l’angélologie du mazdéisme, nous fait voir combien plus viveme
20 figures angéliques du vrai moi dans le mysticisme soufi et même la « rencontre aurorale » de l’âme et de sa Dâenâ au pont Chi
21 deux phrases sont à rapprocher de cette vue d’un soufi  : « Le paradis du gnostique fidèle, c’est son corps même, et l’enfer
7 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
22 tzsche, et publie les grands textes des mystiques soufis , mais l’Iran, l’Arabie sont en pleine crise d’adaptation à l’habitus
23 spirituels, l’Iran du mazdéisme et des mystiques soufis , proche de l’Inde mais enté sur le tronc abrahamique, d’où sont issus
24 ntaires qu’Henry Corbin nous donne de la mystique soufi , « la totalité de notre être, ce n’est pas seulement cette partie que
25 il Iran désignait comme Fravarti 96. » L’Ange des soufis n’évoque pas seulement cette part initiante de l’être renouvelé qui d
26 pesée des âmes. Le mazdéisme, comme plus tard les soufis , et comme le christianisme véritable, ne demande pas d’abord ce qu’es
27 bouddhisme — et certainement le mazdéisme et les soufis  : il s’agit d’une seule quête de l’esprit, dont le Graal, ou l’Ange,
28 ; et nulle ne s’inspira jamais de la mystique des soufis , et pour cause. Si je les fais intervenir ici, c’est à titre d’évocat
29 donc permanente de l’esprit : le mazdéisme et les soufis ont proposé des notions de l’homme et de l’amour homologues aux notio
30 ncés est indéniable. Si le symbolisme concret des soufis transpose doublement tous les termes à la fois dans le surnaturel (ou
31 e structure. Mais « l’Imagination créatrice » des soufis , comme l’angélologie du mazdéisme, nous fait voir combien plus viveme
32 figures angéliques du vrai moi dans le mysticisme soufi , et même la « rencontre aurorale » de l’âme et de sa Dâenâ au pont Ch
33 deux phrases sont à rapprocher de cette vue d’un soufi  : « Le paradis du gnostique fidèle, c’est son corps même, et l’enfer
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
34 ais l’interdit, et de cet interdit, les mystiques soufis des ixe au xiie siècles ont tiré les symboles de leur lyrisme ésoté
9 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
35 ntiment, intimement liée à l’hérésie mystique des soufis dans l’islam et donnant lieu à un mouvement propagé de Bagdad à l’And
10 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
36 en même temps proche de la mystique islamique des soufis . Je ne puis ici que renvoyer au monument de science passionnée que re
11 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
37 t Nunc . Lui s’occupait déjà des grands mystiques soufis , et surtout de Sohrawardi, dès 1931. Cette même année, je publiais di
12 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Utopie, technique, État-nation (printemps 1980)
38 as du tout spirituel, dans les œuvres du mystique soufi Sohrawardi d’Alep (1155-1191). Ce qu’il nomme en persan Nâ-kopââbâd s
13 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
39 t Nunc . Lui s’occupait déjà des grands mystiques soufis , et surtout de Sohrawardi, dès 1931. Cette même année, je publiais di