1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
1 ec ses moyens matériels formidables des ensembles soumis aux lois de l’esprit et de la vie sociale, non plus à un opportunisme
2 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
2  : « en être » ou ne pas en être, c’est-à-dire se soumettre à la technique et s’abrutir spirituellement — ou se soumettre à l’Esp
3 la technique et s’abrutir spirituellement — ou se soumettre à l’Esprit, et tomber presque fatalement dans un anarchisme stérile.
4 empresse d’aliéner au profit de plaisirs tarifés, soumis plus subtilement encore que son travail aux lois d’une offre et d’une
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
5 ux de poulpes géants. Jules Verne a véritablement soumis la science à la poésie. Et l’on ne veut voir que jolis livres d’étren
4 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
6 Il est certain que s’ils avaient le courage de se soumettre au concret de l’esprit, ils comprendraient que le « service dans le t
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
7 : ce monde simplifié, si évident, si parfaitement soumis aux règles d’une arithmétique élémentaire, ce monde dont la Démocrati
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
8 té ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre les esprits au contrôle de l’État, voyons donc, — n’avez-vous pas hon
9 du fait que l’école est publique, obligatoire, et soumise au contrôle de l’État. Alors ? Ou bien vous acceptez le régime — mai
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
10 uvelles. Tenir compte du réel ne signifie pas s’y soumettre sans combat. L’utopiste est celui qui ne se résigne à aucun état de c
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
11 : ce monde simplifié, si évident, si parfaitement soumis aux règles d’une arithmétique élémentaire, ce monde dont la Démocrati
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
12 té ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre les esprits au contrôle de l’État, voyons donc, — n’avez-vous pas hon
13 du fait que l’école est publique, obligatoire, et soumise au contrôle de l’État. Alors ? Ou bien vous acceptez le régime — mais
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
14 uvelles. Tenir compte du réel ne signifie pas s’y soumettre sans combat. L’utopiste est celui qui ne se résigne à aucun état des
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
15 privilégié. Et parce que M. Du Bos ne cesse de la soumettre à des contrôles éthiques autant qu’esthétiques, il lui rend l’humilit
12 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
16 la science ne peut trouver que des déterminismes. Soumettre l’esprit à ses méthodes, c’est en réalité le soumettre aux lois de l’
17 ttre l’esprit à ses méthodes, c’est en réalité le soumettre aux lois de l’ordre matériel ; c’est se condamner donc à ne l’apercev
13 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
18 les protestants, qui lui furent plus que d’autres soumis , de par leur sérieux traditionnel. Et quand elle n’est point parvenue
14 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
19 conformisme et leur touchante orthodoxie. Ils se soumettent éperdument à toutes les directives même si comme on le vit naguère, c
15 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
20 nsé…). En face d’une civilisation de plus en plus soumise à ce dieu imbécile qu’elle honore sur les « places » et qui s’appelle
16 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
21 perd son mordant à n’ordonner que des idées, trop soumises par leur nature et dépourvues de coquetteries. À force de se craindre
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
22 perd son mordant à n’ordonner que des idées, trop soumises par leur nature et dépourvues de coquetteries. À force de se craindre
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
23 elle France, et dans quelle Europe ? Nous étions soumis à l’érosion de l’exil, moins brutale, certes, mais plus intime que ce
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
24 ne peut acquérir force de loi, avant d’avoir été soumise à l’examen d’un Comité composé du Conseil de Ville et des Députés de
20 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
25 ndiculairement. Chez les chrétiens, volonté de se soumettre à ce qui juge la vie. Chez les humanistes, volonté de vivre par eux-m
21 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
26 pas moins les « révolutions » établies, également soumises au primat de la masse, à l’anonymat et aux puissances de la matière.
27 une lutte réelle dont l’objet n’est autre que de soumettre les institutions aux exigences vitales de la personne concrète.   IV
28 r ce qui dans l’homme est le plus animal, le plus soumis aux instincts de brutalité. Le spirituel à la von Papen, ou le matéri
22 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
29 , et de l’autre, le service prolétarien collectif soumis directement à un centre de contrôle économique et statistique. 7° Ce
23 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
30 tion centrale de service industriel collectivisé, soumise à un organe de répartition, tout à fait distinct du pouvoir politique
31 , et de l’autre, le service prolétarien collectif soumis directement à un centre de contrôle économique et statistique. 7° Ce
24 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
32 tard, disent-ils4 ; en attendant, ils les veulent soumis .)   Dans de telles conjonctures, on comprendra sans peine qu’un intel
25 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
33 out incarnation de l’Esprit. Et l’incarnation est soumise aux nécessités de la « chair », qui ne sont pas variées à l’infini. D
26 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
34 ns ce qu’il a de plus animal, de plus aveuglément soumis à la nature, et en même temps qui propose un idéal standard, abstrait
35 ent des habitudes de pensée et de vie entièrement soumise aux lois du nombre et de la matière, pour ne rien dire de la police e
27 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
36 ndiculairement. Chez les chrétiens, volonté de se soumettre à ce qui juge la vie. Chez les humanistes, volonté de vivre par eux-m
28 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
37 n une « mise au pas », une inversion du spirituel soumis de force à la raison d’État ? C’est bien déjà la folie unitaire, le m
29 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
38 mérique se soviétise à son tour, si les fascismes soumettent de plus en plus la personne à la culture nationale, celle-ci à l’écon
30 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
39 discussion dans l’hémicycle se trouvera forcément soumis aux petites métamorphoses bien connues que voici : 1. — On coupera le
31 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
40 tard, disent-ils4 ; en attendant, ils les veulent soumis .) Dans de telles conjonctures, on comprendra sans peine qu’un intelle
32 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
41 out incarnation de l’Esprit. Et l’incarnation est soumise aux nécessités de la « chair », qui ne sont pas variées à l’infini. D
33 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
42 ns ce qu’il a de plus animal, de plus aveuglément soumis à la nature, et en même temps qui propose un idéal standard, abstrait
43 ent des habitudes de pensée et de vie entièrement soumise aux lois du nombre et de la matière, pour ne rien dire de la police e
34 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
44 ndiculairement. Chez les chrétiens, volonté de se soumettre à ce qui juge la vie. Chez les humanistes, volonté de vivre par eux-m
35 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
45 n une « mise au pas », une inversion du spirituel soumis de force à la raison d’État ? C’est bien déjà la folie unitaire, le m
36 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
46 mérique se soviétise à son tour, si les fascismes soumettent de plus en plus la personne à la culture nationale, celle-ci à l’écon
37 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
47 , il ne faut pas ni ne saurait suffire qu’elle se soumette à des réalités dont elle ignore ou répudie la loi interne : la tactiq
48 une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un penseur engag
38 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
49 rme du monde à venir ». Il reste dans le monde et soumis à ses lois, sachant pourtant qu’il n’appartient plus à sa forme, mais
39 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
50 té adaptée au cadre fixe des cités, hiérarchisée, soumise au bien d’une élite plus jalouse de ses droits que de ses charges, la
40 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
51 aisir son prochain, à concrétiser sa pensée, à la soumettre à la critique souveraine et parfaitement pénétrante de l’amour. Il ne
41 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
52 s-Christ par les artifices d’une pensée justement soumise au péché ? D’autre part, il nous est impossible de nous arrêter de pe
42 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
53 la grâce infuse ! et si toute notre humanité est soumise à cette fécondation permanente par je ne sais quelle radio céleste, p
43 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
54 : c’est là une occupation pénible à laquelle Dieu soumet les fils de l’homme. J’ai vu tout ce qui se fait sous les cieux, et v
44 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
55 . Si le concret est « ce qui engage », ce qui est soumis aux sanctions de la loi, ce qui exige une décision prise par une pers
45 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
56 ettre en tension. Il n’est d’action créatrice que soumise à la loi d’une pensée rigoureuse ; il n’est de pensée saine qu’engagé
46 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
57 sformation du monde. Autrement, il est animal, et soumis à la forme des choses, — à la commune dégradation. Ceux qui ne croien
58 acte est impossible et que le tout de l’homme est soumis au calcul, tout cet effort des sciences et des sociologies établit à
47 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
59 it est d’entrer dans le monde, non point pour s’y soumettre , mais pour le transformer en vérité. Mission que l’Évangile et la thé
48 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
60 et à seule fin de la laisser s’épanouir. Il faut soumettre la dictature à la liberté, il faut une dictature pour la liberté — un
61 rses dictatures, lesquelles, pour n’avoir pas été soumises dès le début à une volonté perspicace et fanatique de libération, ne
49 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
62 n industrielle et l’invention technique se voient soumises , en régime capitaliste, à la spéculation, aux profits commerciaux, au
63 ittéraire et la création intellectuelle se voient soumises de plus en plus à des nécessités commerciales qui devraient normaleme
50 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
64 C’est-à-dire que toute loi proposée par l’État et soumise au référendum se voit ipso facto repoussée par la majorité des citoye
51 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
65 utorité est ce qui fait qu’un pouvoir qui lui est soumis , s’exerce en réalité. Ainsi le pouvoir n’est jamais qu’un instrument
52 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
66 a culture ne vient qu’après. Ainsi tout se trouva soumis à des fins purement matérielles, dont on espérait qu’il naîtrait spon
53 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
67 exercer aucun contrôle sur son parler, qu’elle ne soumet plus à un but unanime. Si bien que les écrivains ne sont plus compris
54 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
68 eur. C’est une occupation pénible à laquelle sont soumis ceux qui écrivent au xxe siècle que de faire la chasse aux gros male
55 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
69 encore moins de Spinoza, cette raison-là se voit soumise à une double fatalité que l’histoire de la bourgeoisie a révélée au d
70 que est cette lourdeur matérialiste qui finit par soumettre l’homme lui-même aux lois du nombre, qui sont les lois des choses, la
56 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
71 diviser pour régner, car c’est ainsi que l’homme soumet à son action le monde des choses. Et quand elle a décomposé l’obstacl
57 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
72 e rapporte plus à un modèle unique, et qu’elle ne soumet plus à un but unanime. Si bien que les écrivains ne sont plus compris
58 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
73 culture ne vient qu’après. Ainsi, tout se trouva soumis à des fins purement matérielles, dont on espérait qu’il naîtrait spon
59 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
74 age.)   Moralisme. — La morale est identiquement soumise dans les deux cas à l’édification (Aufbau) socialiste ou nationale. L
60 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
75 e pose à l’esprit est la suivante : ou bien il se soumet à la mesure faite pour régler l’action (entendez l’action politique !
61 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
76 st qu’elles sont extérieures à la personne. Elles soumettent le tout de l’homme à une partie de son activité, qui est l’activité s
62 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
77 t une hiérarchie monumentale, et il s’agit de lui soumettre nos jugements les plus intimes avec une fidélité pesante et très sévè
78 maniaques, mains machinales et qu’aucun charme ne soumet  : ce sont les mains des agités, et non point de ceux qui agissent. No
79 our illustrer cette inversion des hiérarchies qui soumet l’homme à ses outils, et la pensée à ses contrôles, rien de plus frap
80 e place ici. Encore une fois, il ne s’agit pas de soumettre la pensée aux mains, mais de la rendre active. 66. On peut faire un
63 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
81 tère distinctif de la serve pensée — de la pensée soumise au processus économique par exemple, ou bien à la sécurité morale — e
82 ans effet dans le domaine de l’action, qui serait soumis à des déterminismes matériels dont ils ont cependant la faiblesse d’a
83 r, d’un certain fanatisme spirituel, consistant à soumettre sans cesse l’automatisme de la pensée à sa volonté créatrice, et à re
84 t à ses origines vivantes, et d’autre part, de le soumettre à une fin commune. Tandis que les uns imaginent le donné, l’état du l
85 bstrait la volonté de s’ordonner à un but, et d’y soumettre ses moyens. Le style qu’il faut à une pensée communautaire ne sera pa
86 me, la personne libre mais responsable…) Un style soumis à la rudesse nouvelle, non pas aux prudences que l’on sait. Un style
87 e allusion impure ; Kierkegaard, si désespérément soumis aux intermittences de la foi, que l’ironie chez lui jaillit au point
88 n dirai autant de l’ascèse formelle à laquelle se soumet Valéry, à la suite de Mallarmé. 95. Application à la politique : l’i
89 lème. Le vice des dictatures modernes est d’avoir soumis l’aspect concret à l’abstrait, alors qu’il fallait au contraire soume
90 et à l’abstrait, alors qu’il fallait au contraire soumettre la technique de l’État aux personnes. 99. Aux individualistes ration
64 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
91 ne signifie pas du tout que la pensée doive être soumise à l’action — bien au contraire ! — mais que le risque de penser est a
65 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
92 eur. C’est une occupation pénible à laquelle sont soumis ceux qui écrivent au xxe siècle que de faire la chasse aux gros male
66 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
93 encore moins de Spinoza, cette raison-là se voit soumise à une double fatalité que l’histoire de la bourgeoisie a révélée au d
94 que est cette lourdeur matérialiste qui finit par soumettre l’homme lui-même aux lois du nombre, qui sont les lois des choses, la
67 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
95 diviser pour régner, car c’est ainsi que l’homme soumet à son action le monde des choses. Et quand elle a décomposé l’obstacl
68 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
96 e rapporte plus à un modèle unique, et qu’elle ne soumet plus à un but unanime. Si bien que les écrivains ne sont plus compris
69 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
97 culture ne vient qu’après. Ainsi, tout se trouva soumis à des fins purement matérielles, dont on espérait qu’il naîtrait spon
70 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
98 rage.)   Moralisme : La morale est identiquement soumise dans les deux cas à l’édification (Aufbau) socialiste ou nationale. L
71 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
99 e pose à l’esprit est la suivante : ou bien il se soumet à la mesure faite pour régler l’action (entendez l’action politique),
72 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
100 st qu’elles sont extérieures à la personne. Elles soumettent le tout de l’homme à une partie de son activité, qui est l’activité s
73 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
101 t une hiérarchie monumentale, et il s’agit de lui soumettre nos jugements les plus intimes avec une fidélité pesante et très sévè
102 maniaques, mains machinales et qu’aucun charme ne soumet  : ce sont les mains des agités, et non point de ceux qui agissent. No
103 our illustrer cette inversion des hiérarchies qui soumet l’homme à ses outils, et la pensée à ses contrôles, rien de plus frap
104 s politique. Encore une fois, il ne s’agit pas de soumettre la pensée aux mains, mais de la rendre active. 68. On peut faire une
74 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
105 tère distinctif de la serve pensée — de la pensée soumise aux processus économiques par exemple, ou bien à la sécurité morale —
106 ans effet dans le domaine de l’action, qui serait soumis à des déterminismes matériels dont ils ont cependant la faiblesse d’a
107 r, d’un certain fanatisme spirituel, consistant à soumettre sans cesse l’automatisme de la pensée à sa volonté créatrice, et à re
108 t à ses origines vivantes, et d’autre part, de le soumettre à une fin commune. Tandis que les uns imaginent le donné, l’état du l
109 bstrait la volonté de s’ordonner à un but, et d’y soumettre ses moyens. Le style qu’il faut à une pensée communautaire ne sera pa
110 me, la personne libre mais responsable…) Un style soumis à la rudesse nouvelle, non pas aux prudences que l’on sait. Un style
111 e allusion impure ; Kierkegaard, si désespérément soumis aux intermittences de la foi, que l’ironie chez lui jaillit au point
112 lème. Le vice des dictatures modernes est d’avoir soumis l’aspect concret à l’abstrait, alors qu’il fallait au contraire soume
113 et à l’abstrait, alors qu’il fallait au contraire soumettre la technique de l’État aux personnes. 102. Aux individualistes ratio
75 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
114 in, dont le domaine cultivé par des esclaves (non soumis aux obligations militaires) est demeuré intact et a progressé sous la
115 listes font du prolétariat une armée industrielle soumise à une rude discipline : le fouet pour l’ouvrier qui a mal fait son tr
76 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
116 u début. Aujourd’hui, ils se voient obligés de se soumettre aux goûts (supposés) du public. Ils renoncent à former ces goûts. Ils
77 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
117 suffire à nous obtenir le salut, étant elle-même soumise au mal. Tout le reste est psychologie, littérature et scolastique. Il
78 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
118 ennent de ceci : que nous n’acceptons pas de tout soumettre aux volontés de Dieu. Nous réservons certaines activités, celles-là p
79 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
119  » (Benjamin Constant). « Car la création a été soumise à la vanité — non de son gré mais à cause de celui qui l’y a soumise 
120 — non de son gré mais à cause de celui qui l’y a soumise  — avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de l
80 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
121 ’autant plus « concrètes », l’État qu’ils veulent soumettrait le tout de l’homme à la part de servitude matérielle que comporte sa
81 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
122 les elle existe. C’est l’idolâtrie qui consiste à soumettre l’homme à la « lettre » d’une législation divine, mais dont l’homme s
82 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
123 suffire à nous obtenir le salut, étant elle-même soumise au mal. Tout le reste est psychologie, littérature et scolastique. Il
83 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
124 rement dit, mais, peu ou prou, de chaque individu soumis aux lois d’une collectivité délirante. Sur la foi d’affiches officiel
84 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
125 el, il ne faut pas et il ne suffit pas qu’elle se soumette à des réalités dont elle ignore ou répudie la loi interne : la tactiq
126 une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un penseur engag
85 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
127 aiter que les écrivains de nos démocraties soient soumis pendant quelque temps à des sanctions conditionnelles très précises,
86 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
128 e que la plupart des lois proposées par l’État et soumises au référendum sont ipso facto repoussées par la majorité des citoyens
87 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Directeurs d’inconscience (11 avril 1939)
129 telle d’une Église ou d’une foi, nous nous sommes soumis naïvement à d’innombrables influences incontrôlées, donc tyranniques,
88 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
130 fuit à peine atteints. Faudra-t-il se résoudre à soumettre le cas aux docteurs indiscrets de l’école viennoise ? Le beau sujet !
89 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
131 angage métaphorique et régulier, comme s’il était soumis , en ce domaine, à des lois plus précises et plus constantes que celle
90 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
132 France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même
133 est un ange déchu, emprisonné dans la matière, et soumis de ce fait aux lois des corps dont la plus tyrannique est la procréat
91 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
134 se croit rejetée par Dieu, qu’elle arracha à Job soumis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi, mon Dieu, m’as-tu fait c
92 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
135 n confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis , est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement à ces deux courants i
136 que Corneille est le premier auteur qui ait voulu soumettre la passion à la raison, sinon à la morale. Il serait donc le premier
137 et retrouve en elle son appui, et que la chair se soumette à l’esprit et retrouve par lui sa paix. Telle est la voie. Éros morte
93 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
138 conception de l’amour. Les deux domaines restent soumis à des lois tout à fait distinctes, et privées de commune mesure. Il n
139 ionnelles de la lutte. À partir de 1920, on ne se soumettra plus aux « simagrées diplomatiques » de l’ultimatum et de la « déclar
94 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
140 France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même
141 t prisonnière d’un corps aux appétits terrestres, soumis aux lois de la procréation et de la mort. Mais le Christ est venu par
142 cluses et faux reclus85 ». Ils seront détruits, «  soumis à toute ruine », et tourmentés en enfer. Noble Amour a promis qu’il
95 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
143 se croit rejetée par Dieu, qu’elle arracha à Job soumis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi, mon Dieu, m’as-tu fait c
96 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
144 n confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis , est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement à ces deux courants i
145 que Corneille est le premier auteur qui ait voulu soumettre la passion à la raison, sinon à la morale. Il serait donc le premier
146 et retrouve en elle son appui, et que la chair se soumette à l’esprit et retrouve par lui sa paix. Telle est la voie. Éros morte
97 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
147 conception de l’amour. Les deux domaines restent soumis à des lois tout à fait distinctes, et privées de commune mesure. Il n
148 ionnelles de la lutte. À partir de 1920, on ne se soumettra plus aux « simagrées diplomatiques » de l’ultimatum et de la « déclar
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
149 France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même
150 t prisonnière d’un corps aux appétits terrestres, soumis aux lois de la procréation et de la mort. Mais le Christ est venu par
151 cluses et faux reclus »77. Ils seront détruits, «  soumis à toute ruine », et tourmentés en enfer. Noble Amour a promis qu’il
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
152 se croit rejetée par Dieu, qu’elle arracha à Job soumis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi, mon Dieu, m’as-tu fait c
100 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
153 n confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis , est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement à ces deux courants d
154 que Corneille est le premier auteur qui ait voulu soumettre la passion à la raison, sinon à la morale. Il serait donc le premier
155 et retrouve en elle son appui, et que la chair se soumette à l’esprit et retrouve par lui sa paix. Telle est la voie. Éros morte