1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ui pensent ces carnages inévitables, avec un bref soupir s’y résignent, puis tablent sur eux, et d’autres qui tiennent qu’une
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
2 onges. On exigeait d’une saison de marque de tels soupirs , d’ailleurs invraisemblables, qu’à leurs reflets se fussent évanouis
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
3 , tante Harriet, j’y vais. — Tante Harriet eut un soupir de soulagement. La question était réglée : du moment qu’on allait à l
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 och Schicksal, es ist alles Schicksal ! » Avec un soupir c’est irrésistible, et cela signifie d’ailleurs qu’il n’y a pas lieu
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 och Schicksal, es ist alles Schicksal ! » Avec un soupir c’est irrésistible, et cela signifie d’ailleurs qu’il n’y a pas lieu
6 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
6 eant au passage où l’Apôtre nous fait entendre ce soupir de toute la Création vers la révélation des « enfants de lumière », e
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
7 eant au passage où l’Apôtre nous fait entendre ce soupir de toute la création vers la révélation des « enfants de lumière », e
8 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
8 attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs  ? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, a
9 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
9  ? Quel doute !… » Il s’effraye de l’équivoque du soupir , mais n’en conclut pas moins avec une sorte de dépit à peine voilé :
10 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
10 rencontre est une offre de grande efficacité. Les soupirs composent son artillerie. Sa prise de possession est un embrassement.
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
11 attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs  ? Souffle, souffle, ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande,
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
12  ? Quel doute !… » Il s’effraye de l’équivoque du soupir , mais n’en conclut pas moins avec une sorte de dépit à peine voilé :
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
13 rencontre est une offre de grande efficacité. Les soupirs composent son artillerie. Sa prise de possession est un embrassement.
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
14 attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs  ? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, a
15 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
15  ? Quel doute !… » Il s’effraye de l’équivoque du soupir , mais n’en conclut pas moins avec une sorte de dépit à peine voilé :
16 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
16 rencontre est une offre de grande efficacité. Les soupirs composent son artillerie. Sa prise de possession est un embrassement.
17 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
17 la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir … La vie s’arrête. Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la ru
18 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
18 mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très doux, comm
19 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
19 la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir … La vie s’arrête. Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la ru
20 1946, Lettres sur la bombe atomique. La fin du monde
20 mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très doux, comm
21 1946, Lettres sur la bombe atomique. La fin du monde
21 mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce pas le soupir enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très doux, comm
22 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
22 och Schicksal, es ist alles Schicksal ! » Avec un soupir c’est irrésistible, et cela signifie d’ailleurs qu’il n’y a pas lieu
23 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
23 eant au passage où l’Apôtre nous fait entendre ce soupir de toute la création vers la révélation des « enfants de lumière », e
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
24 le long de la balustrade de fer forgé, les longs soupirs des chiens s’étirant sur leurs pattes, le pare luisant, les hêtres ro
25 la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir … La vie s’arrête. Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la ru
25 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
26 rs fériés, les Gaules leurs cités et les derniers soupirs de la Grèce devinrent encore illustres dans la ligne achéenne. Mais n
26 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
27 rnière flamme qui est la plus longue ; le dernier soupir qui est le plus profond. À la veille de disparaître, les frontières d
27 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
28 e ou ne sera pas ») et la régler jusqu’au moindre soupir . Autoritaire et libertaire, anarchiste et sacerdotal, rhéteur de la r
28 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
29 e ou ne sera pas ») et la régler jusqu’au moindre soupir . Autoritaire et libertaire, anarchiste et sacerdotal, rhéteur de la r
29 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
30 . Car c’est l’Esprit qui nous meut à prier. Les «  soupirs inexprimables » de la prière en nous répondent seuls à la réalité de
30 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
31 . — Ah ? Que faire ? — Eh bien ! nous mettrons un soupir  ». Il m’a dit : « Quand vous écrivez les paroles d’un chœur, chantez-
31 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
32 laît. Miroir, depuis qu’en toi je me suis vu, mes soupirs profonds me tuent, et ainsi je me suis perdu, comme le beau Narcisse
32 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
33 a que les troubadours exprimaient dans le cri, le soupir , la mélopée ou la fulguration lyrique. La poésie courtoise a sensibil
33 1983, Articles divers (1982-1985). Bertrand de Launay, Le Poker nucléaire : comme brebis à l’abattoir [préface] (1983)
34 faux prophète) Et dans la tradition biblique, ce soupir déchirant du vrai prophète : Seigneur, tu le sais, je n’ai pas désir