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ui pensent ces carnages inévitables, avec un bref
soupir
s’y résignent, puis tablent sur eux, et d’autres qui tiennent qu’une
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onges. On exigeait d’une saison de marque de tels
soupirs
, d’ailleurs invraisemblables, qu’à leurs reflets se fussent évanouis
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, tante Harriet, j’y vais. — Tante Harriet eut un
soupir
de soulagement. La question était réglée : du moment qu’on allait à l
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och Schicksal, es ist alles Schicksal ! » Avec un
soupir
c’est irrésistible, et cela signifie d’ailleurs qu’il n’y a pas lieu
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och Schicksal, es ist alles Schicksal ! » Avec un
soupir
c’est irrésistible, et cela signifie d’ailleurs qu’il n’y a pas lieu
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eant au passage où l’Apôtre nous fait entendre ce
soupir
de toute la Création vers la révélation des « enfants de lumière », e
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eant au passage où l’Apôtre nous fait entendre ce
soupir
de toute la création vers la révélation des « enfants de lumière », e
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attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes
soupirs
? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, a
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? Quel doute !… » Il s’effraye de l’équivoque du
soupir
, mais n’en conclut pas moins avec une sorte de dépit à peine voilé :
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rencontre est une offre de grande efficacité. Les
soupirs
composent son artillerie. Sa prise de possession est un embrassement.
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attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes
soupirs
? Souffle, souffle, ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande,
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? Quel doute !… » Il s’effraye de l’équivoque du
soupir
, mais n’en conclut pas moins avec une sorte de dépit à peine voilé :
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rencontre est une offre de grande efficacité. Les
soupirs
composent son artillerie. Sa prise de possession est un embrassement.
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attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes
soupirs
? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, a
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? Quel doute !… » Il s’effraye de l’équivoque du
soupir
, mais n’en conclut pas moins avec une sorte de dépit à peine voilé :
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rencontre est une offre de grande efficacité. Les
soupirs
composent son artillerie. Sa prise de possession est un embrassement.
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la mer, un courant d’air de l’East River, quelque
soupir
… La vie s’arrête. Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la ru
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mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce pas le
soupir
enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très doux, comm
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la mer, un courant d’air de l’East River, quelque
soupir
… La vie s’arrête. Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la ru
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mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce pas le
soupir
enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très doux, comm
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mort ! » ce beau choral de Bach, n’est-ce pas le
soupir
enfantin que l’on croit parfois distinguer, très bas, très doux, comm
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och Schicksal, es ist alles Schicksal ! » Avec un
soupir
c’est irrésistible, et cela signifie d’ailleurs qu’il n’y a pas lieu
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eant au passage où l’Apôtre nous fait entendre ce
soupir
de toute la création vers la révélation des « enfants de lumière », e
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le long de la balustrade de fer forgé, les longs
soupirs
des chiens s’étirant sur leurs pattes, le pare luisant, les hêtres ro
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la mer, un courant d’air de l’East River, quelque
soupir
… La vie s’arrête. Le business même s’alourdit et s’endort. Dans la ru
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rs fériés, les Gaules leurs cités et les derniers
soupirs
de la Grèce devinrent encore illustres dans la ligne achéenne. Mais n
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rnière flamme qui est la plus longue ; le dernier
soupir
qui est le plus profond. À la veille de disparaître, les frontières d
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e ou ne sera pas ») et la régler jusqu’au moindre
soupir
. Autoritaire et libertaire, anarchiste et sacerdotal, rhéteur de la r
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e ou ne sera pas ») et la régler jusqu’au moindre
soupir
. Autoritaire et libertaire, anarchiste et sacerdotal, rhéteur de la r
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. Car c’est l’Esprit qui nous meut à prier. Les «
soupirs
inexprimables » de la prière en nous répondent seuls à la réalité de
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. — Ah ? Que faire ? — Eh bien ! nous mettrons un
soupir
». Il m’a dit : « Quand vous écrivez les paroles d’un chœur, chantez-
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laît. Miroir, depuis qu’en toi je me suis vu, mes
soupirs
profonds me tuent, et ainsi je me suis perdu, comme le beau Narcisse
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a que les troubadours exprimaient dans le cri, le
soupir
, la mélopée ou la fulguration lyrique. La poésie courtoise a sensibil
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faux prophète) Et dans la tradition biblique, ce
soupir
déchirant du vrai prophète : Seigneur, tu le sais, je n’ai pas désir