1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 aîna sur les stades où je connus quelle confiance sourde aux contradictions intimes exige un acte victorieux. Autour de cette
2 i l’exalte, et tout ce qui la dompte, tout ce qui sourd en moi de trop grand pour ma vie — toute ma joie ! » Ce n’était plus
2 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 grands problèmes de l’heure. La violence même qui sourd dans son être intime l’en empêche, le préserve des états d’incertitud
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 , formes mouvantes, remous dans l’air et musiques sourdes . Penser serait sacrilège, comme une barre droite au travers d’un tabl
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
5 t déchirants des saxophones. Sortie dans un matin sourd , frileux, qui avait la nausée. Je rentrai seul. Voici quelques mots q
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
6 rend le masque d’une aimable mélancolie. C’est la sourde tristesse des choses qui vous échappent, des amours impossibles, des
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
7 quitta le bal au matin. Il neigeait dans les rues sourdes comme un songe de son enfance. Aux fenêtres du palais s’étoilèrent de
7 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
8 idité d’un lac, certaines atmosphères délavées et sourdes . « Temps couvert, calme, légères précipitations » annonce le bulletin
8 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
9 Nature, choses, bêtes et anges, — le voici devenu sourd à cette harmonie universelle, incapable d’en comprendre les correspon
9 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
10 iles, en hiver, viennent se briser avec un fracas sourd les îlots de glace qui descendent lentement le fleuve. Au cœur de Pro
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
11 oman au charme pénétrant et presque trop certain, sourd , comme dit Charles Du Bos « cette tristesse par-delà la tristesse que
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
12 fondeur — roman-plongée pourrait-on dire —, d’une sourde et hautaine gravité, apparaît comme le premier chef-d’œuvre d’une sor
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
13 ditant regard le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroïsme : « Et allons ! » Goethe seul est allé jusqu’
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
14 er, puisque ça dure depuis si longtemps. Masse de sourds , de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de n
15 se de sourds, de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de nos cris. Il est vrai que certains, au lendem
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
16 ns la tête par la paille que je suçais : me voici sourd à la musique mais des sonorités glacées naissent en moi. Cependant qu
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
17 les vidant, allant pincer le nerf Réalité avec un sourd gémissement de la pensée. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en mo
18 as serré contre la fenêtre. Elles ont senti cette sourde résistance et se sont assises plus loin en maugréant. La misère de to
19 tel cœur ne se fermerait pas devant la haine qui sourd de tant d’anxiétés. J’aimerais échanger mon costume clair de voyage c
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
20 ns la tête par la paille que je suçais : me voici sourd à la musique mais des sonorités glacées naissent en moi. Cependant qu
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
21 les vidant, allant pincer le nerf Réalité avec un sourd gémissement de la pensée. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en mo
22 as serré contre la fenêtre. Elles ont senti cette sourde résistance et se sont assises plus loin en maugréant. La misère de to
23 tel cœur ne se fermerait pas devant la haine qui sourd de tant d’anxiétés. J’aimerais échanger mon costume clair de voyage c
18 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
24 ébut de la décadence. Il y a des siècles de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le christianisme v
19 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
25 in. Il sévit dans nos églises, avec une virulence sourde , attisée de temps à autre par un sermon courageusement moralisateur2,
20 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
26 tre dans la musique de Schubert, dans tout ce qui sourd de cette Weltschmerz qui n’a pas de nom dans notre langue, et c’est p
21 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
27 once à créer, qui renonce à souffrir, qui se rend sourd à la question des choses en même temps qu’à la question de Dieu. Bapt
22 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
28 , nous avons parlé trop haut, à cause de quelques sourds , indisposant ceux qui ne le sont point. Nous tenterons simplement, dé
23 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
29 aiser ce regard qui nous perce, et si nous sommes sourds à sa voix, comment étouffer le scandale de cette mort qui définit le
24 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
30 ébut de la décadence. Il y a des siècles de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le christianisme v
25 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
31 er, puisque ça dure depuis si longtemps. Masse de sourds , de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de n
32 se de sourds, de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de nos cris. Il est vrai que certains, au lendem
26 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
33 ébut de la décadence. Il y a des siècles de lutte sourde entre ces deux vouloirs, et tant que dure la lutte le christianisme v
27 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
34 er, puisque ça dure depuis si longtemps. Masse de sourds , de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de n
35 se de sourds, de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de nos cris. Il est vrai que certains, au lendem
28 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
36 s voisins sur un fond de tempête et de battements sourds — avec des gestes de prêtre, avec une sorte de douceur… Pendant six m
29 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
37 qu’ils interpellent, et qu’ils traitent comme des sourds . 26. Contrairement à ce qui se passe normalement dans les cas d’homo
30 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
38 emploi le plus précis ? Que sert de parler à des sourds  ? Et ne sont-ils pas sourds, ces hommes qui ne savent plus entendre e
39 sert de parler à des sourds ? Et ne sont-ils pas sourds , ces hommes qui ne savent plus entendre exactement le nom « propre »
31 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
40 qu’ils interpellent, et qu’ils traitent comme des sourds . 35. Contrairement à ce qui se passe normalement dans les cas d’homo
32 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
41 qu’ils interpellent, et qu’ils traitent comme des sourds . 36. Contrairement à ce qui se passe normalement dans les cas d’homo
33 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
42 contre dès les premiers pas une vieille mendiante sourde . Une voiture le dépasse, conduite par une riche jeune fille des envir
34 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
43 nt que sa bonne conscience — et je ne sais quelle sourde curiosité ! — le pousse ailleurs, lui indique d’autres buts, l’invite
35 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
44 Tout dépend de lui, et il refuse ! D’où la haine sourde , et en même temps le respect religieux qu’on lui porte. Peut-être n’e
36 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
45 s voisins sur un fond de tempête et de battements sourds .) Pas à pas il s’avance, il accueille l’hommage, le long de la passer
37 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
46 t dans la nuit, grouillant de casques, de reflets sourds et de gamelles entrechoquées. Et, plus tard, au matin, quand l’attaqu
38 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
47 ng d’étroits couloirs où je coudoyais des soldats sourds et muets — tous les numéros arrachés — tandis que des sifflets annonç
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
48 certaine froideur avec laquelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux « charmes » du récit, essayons de résumer « objective
40 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
49 hant du monde éclate à leurs oreilles et les rend sourds au cri du vieux guetteur ! Chœur des puissances. (Plan 1.) Autrich
41 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
50 nglotez — sur les foyers désertés — hou ! hou ! — Sourde plainte, les tambours — couvrent ta voix déplorable. — Que dis-tu ? —
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
51 certaine froideur avec laquelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux « charmes » du récit, essayons de résumer « objective
43 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
52 certaine froideur avec laquelle nous la mènerons. Sourds et aveugles aux « charmes » du récit, essayons de résumer « objective
44 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
53 imisme du Progrès. Pendant un siècle, elle fit la sourde oreille, avec un petit air entendu, quand certains lui posaient cette
45 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
54 imisme du Progrès. Pendant un siècle, elle fit la sourde oreille, avec un petit air entendu, quand certains lui posaient cette
46 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
55 ement l’espèce de gêne morale, puis d’intolérance sourde et larvée qui paralyse chez nous les esprits « trop » entreprenants.
47 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
56 ue… » Je ferme les yeux et j’écoute le grondement sourd des pneus qui mordent le béton. En cinq heures, nous aurons couvert l
48 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
57 urs un malaise fondamental. Une espèce de révolte sourde anime la femme contre sa condition. Dans cette liberté que l’homme lu
49 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
58 t ce qui peut être détruit, le soit. Que tous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte périssent dans la surdité. Qu’y po
59 t être détruit, le soit. Que tous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte périssent dans la surdité. Qu’y pouvons-nous ?
50 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
60 ait en savoir plus que moi sur mon propre compte. Sourde aux protestations d’un moi réel, mais qui ne pourrait produire ses pr
51 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
61 ignes du monde nous appellent. Pourquoi se rendre sourd à ces invites ? Si la divination n’est encore aujourd’hui que la scie
62 urs un malaise fondamental. Une espèce de révolte sourde anime la femme contre sa condition. Dans cette liberté que l’homme lu
52 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
63 t ce qui peut être détruit, le soit. Que tous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte périssent dans la surdité. Qu’y po
64 t être détruit, le soit. Que tous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte périssent dans la surdité. Qu’y pouvons-nous ?
53 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
65 ait en savoir plus que moi sur mon propre compte. Sourde aux protestations d’un moi réel, mais qui ne pourrait produire ses pr
54 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
66 ignes du monde nous appellent. Pourquoi se rendre sourd à ces invites ? Si la divination n’est encore aujourd’hui que la scie
67 urs un malaise fondamental. Une espèce de révolte sourde anime la femme contre sa condition. Dans cette liberté que l’homme lu
55 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
68 t ce qui peut être détruit, le soit. Que tous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte périssent dans la surdité. Qu’y po
69 t être détruit, le soit. Que tous les sourds trop sourds pour entendre l’alerte périssent dans la surdité. Qu’y pouvons-nous ?
56 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
70 ditant regard le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroïsme : « Et allons ! » Goethe seul est allé jusqu’
57 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
71 iser ce regard qui nous perce ; et si nous sommes sourds à sa voix, comment étouffer le scandale de cette mort qui définit le
58 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
72 ue… » Je ferme les yeux et j’écoute le grondement sourd des pneus qui mordent le béton. En cinq heures, nous aurons couvert l
59 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
73 t dans la nuit, grouillant de casques, de reflets sourds et de pas lourdement rythmés. Et, plus tard, au matin, quand l’attaqu
74 ng d’étroits couloirs où je coudoyais des soldats sourds et muets — tous les numéros arrachés — tandis que des sifflets annonç
60 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
75 campagnes par les chefs locaux, et sur la colère sourde de la population. Si l’Espagne entre en guerre demain, ce sera sans d
61 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
76 encore l’adieu parmi la foule, refusés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le plancher de la cabine. Le petit ventilat
62 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
77 ons peu et nous étions heureux. À sept heures une sourde explosion s’est longuement répercutée, venant du fond de la baie, prè
63 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
78 ous sommes portés par cette passion à nous rendre sourds et aveugles devant tout ce qui menace de la rendre impossible. Ainsi
64 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
79 ous sommes portés par cette passion à nous rendre sourds et aveugles devant tout ce qui menace de la rendre impossible. Ainsi
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
80 ns la tête par la paille que je suçais : me voici sourd à la musique mais des sonorités glacées naissent en moi. Cependant qu
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
81 les vidant, allant pincer le nerf Réalité avec un sourd gémissement de la pensée. J’ai vu la vie, c’est fini, je rentre en mo
82 as serré contre la fenêtre. Elles ont senti cette sourde résistance et se sont assises plus loin en maugréant. La misère de to
83 tel cœur ne se fermerait pas devant la haine qui sourd de tant d’anxiétés. J’aimerais échanger mon costume clair de voyage c
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
84 er, puisque ça dure depuis si longtemps. Masse de sourds , de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de n
85 se de sourds, de muets et d’aveugles, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de nos cris. Il est vrai que certains, au lendem
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
86 nt que sa bonne conscience — et je ne sais quelle sourde curiosité ! — le pousse ailleurs, lui indique d’autres buts, l’invite
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
87 s voisins sur un fond de tempête et de battements sourds .) Pas à pas il s’avance, il accueille l’hommage, le long de la passer
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
88 t dans la nuit, grouillant de casques, de reflets sourds et de pas lourdement rythmés. Et, plus tard, au matin, quand l’attaqu
89 ng d’étroits couloirs où je coudoyais des soldats sourds et muets — tous les numéros arrachés — tandis que des sifflets annonç
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
90 campagnes par les chefs locaux, et sur la colère sourde de la population. Si l’Espagne entre en guerre demain, ce sera sans d
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
91 encore l’adieu parmi la foule, refusés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le plancher de la cabine. Le petit ventilat
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
92 ons peu et nous étions heureux. À sept heures une sourde explosion s’est longuement répercutée, venant du fond de la baie, prè
74 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
93 ensualité. Ils croient sentir entre les sexes une sourde hostilité, qu’ils attribuent naturellement à l’action des tabous puri
75 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
94 épare à droite comme à gauche, avec cette minutie sourde et aveugle aux indications du réel qu’apportent à leurs petites occup
76 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
95 ensualité. Ils croient sentir entre les sexes une sourde hostilité, qu’ils attribuent naturellement à l’action des tabous puri
77 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
96 ue… » Je ferme les yeux et j’écoute le grondement sourd des pneus qui mordent le béton. En cinq heures nous aurons couvert le
78 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
97 épare à droite comme à gauche, avec cette minutie sourde et aveugle aux indications du réel qu’apportent à leurs petites occup
79 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rapport moral présenté par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)
98 e sont pas d’ordre technique. Ils résultent de la sourde opposition à nos entreprises que nous sentons dans certains milieux,
80 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
99 les plus anarchiques, à s’expatrier pour fuir la sourde et quasi inconsciente persécution de l’opinion publique. Mais revenon
100 ion nationale ou de Bonaparte. Mais la résistance sourde et obstinée des civils, les révoltes sans cesse renaissantes des vall
81 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
101 triomphé, au terme de plusieurs siècles de luttes sourdes ou déclarées, et d’intrigues diplomatiques avec les puissances voisin
82 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
102 ale de nos valeurs et de nos produits) L’Asie sourde à nos mélodies L’énoncé des plus hautes valeurs européennes tient
83 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
103 ique dévastant, la lucidité calme, le lyrisme qui sourd en dépit de l’acuité d’un regard constamment critique, l’infinie vari
84 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
104 publique : celle-ci « ne fera point de propagande sourde ou incendiaire chez ses voisins ». Certes, elle va protéger, par la f
85 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
105 paré par ces quelques accords dissonants, dont la sourde interrogation n’a pu manquer de réveiller dans la mémoire musicale de
86 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
106 ique dévastant, la lucidité calme, le lyrisme qui sourd en dépit de l’acuité d’un regard constamment critique, l’infinie vari
87 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
107 paré par ces quelques accords dissonants, dont la sourde interrogation n’a pu manquer de réveiller dans la mémoire de Nietzsch
88 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
108 aux États divisant le corps de l’Europe restèrent sourds aux appels du Pontife, comme à ceux de son rival le roi de Bohême. Il
89 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
109 force la vocation fédératrice de l’Europe, et la sourde angoisse de l’époque devant les prétentions absolutistes des États. T
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
110 veilleront bientôt un reste de bon sens, et cette sourde indignation que l’habitude de l’humiliation et de la terreur ne peuve
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
111 rierez au despotisme étranger comme à une enclume sourde  : Ô despotisme, nous t’avons servi, adoucis-toi, ouvre-toi, pour que
92 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
112 vec force la vocation fédérale de l’Europe, et la sourde angoisse de l’époque devant les prétentions absolutistes des États. T
93 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
113 Tout dépend de lui, et il refuse ! D’où la haine sourde , et en même temps le respect religieux qu’on lui porte. Peut-être n’e
94 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
114 ait grand soin de ne pas les justifier, malgré la sourde résistance qu’il devait bien sentir chez ses subordonnés. Quels pouva
115 e — et la marche plus silencieuse, rythmée par le sourd cliquetis des gamelles et des casques fixés aux ceinturons, parut ces
95 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
116 ésultent, mais aussi et peut-être surtout par une sourde insatisfaction de soi-même et de la « paix helvétique », qui trahit l
96 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
117 n’est pas seulement absence du son, du sens, mais sourde pulsation d’un blanc, d’un vide. « Énigme, ce qui naît d’un jaillisse
97 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
118 allois et écossais. Agitation basque et catalane, sourde mais profonde. Plasticages à Saint-Brieuc, dans le Tyrol du Sud, à Lo
98 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
119 ite et haute, doucement modelée par la source qui sourd des entrailles de la Terre, par mille veines de la pierre, et suinte
120 ose à l’idée même d’une « prise de vue ». Quelque sourd interdit règne ici. Quelque chose ici s’est passé et peut-être se pas
99 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
121 gallois et écossais. Agitation basque et catalane sourde , mais profonde. Plasticages à Saint-Brieuc, dans le Tyrol du Sud, à L
100 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
122 ns doute vital, et non moins vain ? 22. L’Asie sourde à nos mélodies L’énoncé des plus hautes valeurs européennes tient