1 de la Troisième République, de l’Amérique et des Soviets . Nous croyons ici que la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu

2 r le plan capitaliste, au déterminisme duquel les soviets n’échappent pas. 3° La dialectique historique ne peut que rendre comp

3 r le plan capitaliste, au déterminisme duquel les soviets n’échappent pas. 3° La dialectique historique ne peut que rendre comp

4 de la Troisième République, de l’Amérique et des Soviets . Nous croyons ici que la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu

5 la collectivisation abstraite préconisée par les soviets  ; antinationalistes et cependant patriotes ; fédéralistes dans le pla

6 de la Troisième République, de l’Amérique et des Soviets . Nous croyons ici que la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu

7 la collectivisation abstraite préconisée par les soviets  ; antinationalistes et cependant patriotes ; fédéralistes dans le pla

8 s banquiers, la confusion de la Révolution et des Soviets . Nous ne nous battrons ni pour les Forges, ni pour les agents de Mosc

9 ains du bureau d’un parti, d’un dictateur ou d’un soviet . Cela n’est pas invraisemblable : abdiquer toute espèce de conscience

10 se curieuse — ni d’un duce, ni d’un pape, ni d’un soviet , ni d’un caporal. Elle ne peut être ni achetée, ni vendue, ni élue, n

11 ues écrivains bourgeois trop contents de voir les Soviets repêcher les vieux mythes de leur classe. Et l’on repart, toutes voil

12 nt injuste et ridicule de reprocher au régime des Soviets certaines erreurs d’ordre métaphysique, qui leur paraissent sans grav

13 congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets . De toutes les confusions sentimentales ou idéologiques, généreuses o

14 ) au Plan est même si radicale, si naïve, que les Soviets en sont venus à confondre sans l’ombre d’un doute « culture » et « pr

15 dialecticiens »56. Les écrivains délégués par les Soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent

16 construction : la mesure pseudo-marxiste que les Soviets proposent en exemple s’est avérée, après quelques années, incapable d

17 uvons créer. Nous ne sommes pas en retard sur les Soviets ou sur l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas n

18 n homme, non plus celle des prolétaires unis, des Soviets . » — Internationalisme ? « L’important, ici, c’est de persuader aux g

19 st injuste et ridicule de reprocher au régime des soviets certaines erreurs d’ordre métaphysique, qui leur paraissent sans grav

20 congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets . De toutes les confusions sentimentales ou idéologiques, généreuses o

21 Plan, est même si radicale, ou si naïve, que les Soviets en sont venus à confondre, sans l’ombre d’un doute, culture et produc

22 dialecticiens »42. Les écrivains délégués par les soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent

23 construction : la mesure pseudo-marxiste que les Soviets proposent en exemple s’est avérée, après quelques années, incapable d

24 de gauche ou de droite. Or s’il est vrai que les Soviets avaient en 1920 l’âge de l’hitlérisme en 1936, la proximité immédiate

25 uvons créer. Nous ne sommes pas en retard sur les Soviets ou sur l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas n

26 quer, que je puisse tenir balance égale entre les Soviets et Hitler, et que je sois davantage frappé par ce qu’ils ont de commu

27 st injuste et ridicule de reprocher au régime des soviets certaines erreurs d’ordre métaphysique, qui leur paraissent sans grav

28 congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets . De toutes les confusions sentimentales ou idéologiques, généreuses o

29 Plan, est même si radicale, ou si naïve, que les Soviets en sont venus à confondre, sans l’ombre d’un doute, culture et produc

30 dialecticiens »43. Les écrivains délégués par les Soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent

31 construction : la mesure pseudo-marxiste que les Soviets proposent en exemple s’est avérée, après quelques années, incapable d

32 de gauche ou de droite. Or s’il est vrai que les Soviets avaient en 1920 l’âge de l’hitlérisme en 1936, la proximité immédiate

33 uvons créer. Nous ne sommes pas en retard sur les Soviets ou sur l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas n

34 quer, que je puisse tenir balance égale entre les Soviets et Hitler, et que je sois davantage frappé par ce qu’ils ont de commu

35 j’écris quelque chose sur le fascisme ou sur les soviets , de mettre en épigraphe à mon article : Je suis contre. Sinon, pour p

36 ître les communes révolutionnaires ; en 1917, les Soviets se sont dégagés de l’effervescence générale sous l’influence de deux

37 eptique : Staline, après vingt ans de pouvoir des Soviets , annonce une constitution qui renforce encore l’étatisme, et ne parle

38 à quelques années d’intervalle, la démocratie des Soviets , puis la dictature de Staline ; le pacifisme à tout prix des débuts e

39 j’écris quelque chose sur le fascisme ou sur les soviets , de mettre en épigraphe à mon article : Je suis contre. Sinon, pour p

40 ncontres avec des écrivains impressionnés par les Soviets , aussi par le cortège de la Bastille. Je leur demande ce qu’ils pense

41 e, il fut proprement balayé durant la période des Soviets . La morale des intellectuels nihilistes ou romantiques, qui inspirait

42 m du Christ ; nous disait-on, en avant contre les Soviets  ! Haro sur les rouges d’Espagne ! Déclarez la guerre à Hitler ! Ils p

43 itique extérieure de la France. Le pacte avec les Soviets l’irrite vivement. « Si la France, comme vous l’affirmez, préfère en

44 , il fut en principe balayé durant la période des Soviets . La morale des intellectuels nihilistes ou romantiques, qui inspirait

45 , il fut en principe balayé durant la période des Soviets . La morale des intellectuels nihilistes ou romantiques, qui inspirait

46 , il fut en principe balayé durant la période des Soviets . La morale des intellectuels nihilistes ou romantiques, qui inspirait

47 er, du traité de Versailles, ou des Juifs, ou des Soviets , ou des Ploutocrates anglo-saxons, donc des autres, toujours des autr

48 lui au nom de la « vraie » démocratie, celle des Soviets , et s’allie d’autre part avec certaines nations qui s’intitulent très

49 er, du traité de Versailles, ou des Juifs, ou des Soviets , ou des Ploutocrates anglo-saxons, donc des autres, toujours des autr

50 lui au nom de la « vraie » démocratie, celle des Soviets , en s’alliant d’autre part avec certaines nations qui s’intitulent tr

51 er, du traité de Versailles, ou des Juifs, ou des Soviets , ou des Ploutocrates anglo-saxons, donc des autres, toujours des autr

52 lui au nom de la « vraie » démocratie, celle des Soviets , en s’alliant d’autre part avec certaines nations qui s’intitulent tr

53 eut aller jusqu’à soutenir que s’il défendait les Soviets , il n’en resterait pas moins, par le fait de son être même, une prote

54 berté ? Ni de l’État, ni de la Révolution, ni des Soviets , ni de la Démocratie, et surtout pas de leurs experts. Il la tient de

55 p d’approbations enthousiastes. Savez-vous si les Soviets ont, pu s’emparer du secret de la bombe atomique ? Non, et nul ne le

56 ypocrisie. Je vais vous en donner un exemple. Les Soviets , qui se disent démocrates, dénonçaient naguère encore la Suisse, qui

57 u par les États fascistes, aussi bien que par les Soviets et par les socialistes anglais. Moi. — Voilà le problème embrouillé

58 artis socialistes subsistant dans les pays où les Soviets ne règnent pas, sont en voie de divergence et non de convergence, sur

59 ectacle de la mauvaise volonté internationale des Soviets , de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie

60 ypocrisie. Je vais vous en donner un exemple. Les Soviets qui se disent démocrates dénoncent la Suisse, qui est la plus vieille

61 u par les États fascistes, aussi bien que par les Soviets et par les socialistes anglais. Moi. — Voilà le problème embrouillé

62 berté ? Ni de l’État, ni de la révolution, ni des soviets , ni de la démocratie, et surtout pas de leurs experts. Il la tient de

63 ypocrisie. Je vais vous en donner un exemple. Les Soviets qui se disent démocrates dénoncent la Suisse, qui est la plus vieille

64 u par les États fascistes, aussi bien que par les Soviets et par les socialistes anglais. Moi. — Voilà le problème embrouillé

65 berté ? Ni de l’État, ni de la révolution, ni des Soviets , ni de la démocratie, et surtout pas de leurs experts. Il la tient de

66 , et qu’elle siège pour l’heure à Washington. Les Soviets se voient rejetés au stade mental de ces « chercheurs de Dieu » dont

67 j’écris quelque chose sur le fascisme ou sur les soviets , de mettre en épigraphe à mon article : Je suis contre. Sinon, pour p

68 ncontres avec des écrivains impressionnés par les Soviets , aussi par le cortège de la Bastille. Je leur demande ce qu’ils pense

69 itique extérieure de la France. Le pacte avec les Soviets l’irrite vivement. « Si la France, comme vous l’affirmez, préfère en

70 remiers sur les victoires finlandaises contre les Soviets , qui répètent la tactique des Suisses au Morgarten en 1315 ; et sur l

71 s). C’est au nom d’une doctrine semblable que les Soviets ont exigé le veto dans tous les cas où l’unanimité ne pourrait pas s’

72 ement mondial, c’est la méfiance systématique des Soviets . Or je crains qu’il n’y ait rien à faire pour la surmonter. Car la ca

73 bel avenir — en URSS. Voyez dans quels termes les Soviets dénoncent la « morale déliquescente » des romans français modernes, e

74 s de la coutume, qui triomphent dans l’empire des Soviets . Comme aussi le respect de la science appliquée qui régit dans ces de

75 ectacle de la mauvaise volonté internationale des Soviets , de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie

76 s de la coutume, qui triomphent dans l’empire des Soviets . Comme aussi le respect de la science appliquée qui régit dans ces de

77 es d’inclure les Russes — la Sainte Russie ou les Soviets  — dans une fédération européenne, la question, aujourd’hui, ne se pos

78 il me dit : « Le fond de l’affaire, c’est que les Soviets , dans le jeu mondial, se sentent le partenaire le plus faible. Tout l

79 s, la situation est la suivante : pendant que les Soviets nous accusent de préparer un bloc occidental — et les blocs, nous dis

80 ’un peu d’union tout de même, pour faire face aux Soviets et au déficit en dollars. Si peu que rien, en fait, car selon sa broc

81 ’un peu d’union tout de même, pour faire face aux Soviets et au déficit en dollars. Si peu que rien, en fait, car selon sa broc

82 our fabriquer soit un Yankee, soit un citoyen des Soviets (il faut toujours partir des cas les plus faciles). Pour réussir un b

83 méricain tend à être une moyenne, si le sujet des Soviets est le produit d’un plan, l’Européen est par essence un être qui diff

84 ingrad : il est fermé depuis bien des années, les Soviets ayant décidé, en plein accord avec Goebbels, que notre art était déca

85 temps de le répéter ou jamais : d’autres que les Soviets ont tiré sur la foule des prolétaires revendiquant leur droit de vivr

86 it d’excuser le péché des bourgeois par celui des Soviets  ; mais la seconde, nous l’avons sous les yeux, consiste à s’emparer d

87 temps de le répéter, ou jamais : d’autres que les Soviets ont tiré sur la foule des prolétaires revendiquant leur droit de vivr

88 it d’excuser le péché des bourgeois par celui des Soviets  ; mais la seconde, nous l’avons sous les yeux, consiste à s’emparer d

89 la France ! » — pas davantage que le cri : « Les Soviets partout ! » ne signifiera sous Lénine : « Vive la Russie ! » Il procl

90 de « science allemande », etc. (variétés que les Soviets englobent d’ailleurs sous le titre diffamant de « science bourgeoise 

91 oint : Vive la France ! — pas davantage que « les Soviets partout ! » ne signifiera sous Lénine : Vive la Russie ! Il proclame

92 e (31 octobre 1955) M. Molotov rappelle que le Soviet suprême de l’URSS a décidé le 5 août 1955 que « l’établissement de re

93 mais un instrument de la politique étrangère des Soviets , destiné à apporter certains avantages à l’État, spécialement en ce q

94 blié en 1955 par la National Science Foundation : Soviet Professional Manpower : Its Education, Training and Supply. aj. « Fo

95 mps de faire l’Europe par crainte de déplaire aux Soviets et de plaire aux Américains, voilà qui revient en fait à supprimer l’

96 ntales de démocratie socialiste, et priverait les Soviets d’un de leurs meilleurs prétextes à stopper brutalement ce progrès. P

97 sans doute d’annexer l’Europe à leurs fiefs. Les Soviets le voudraient aussi. Quoi de commun entre cette volonté impérialiste

98 Chili ou l’Australie. Vient ensuite l’empire des Soviets , qui subit depuis quarante ans une occidentalisation planifiée mais g

99 onde ne peut plus vous empêcher de penser que les Soviets ne sont pas si mal, puisqu’ils ont lancé leur Spoutnik. Si les États-

100 ient proprement irrépressible et balaye tout. Les Soviets avaient bien calculé le raz de marée de sympathie que le petit satell

101 on dira que mon plan n’eût visé qu’à frustrer les Soviets d’une gloire très légitime. En vérité, ce plan eût préparé le public

102 férence met en lumière l’avantage appréciable des Soviets sur Attila. Ensuite, le christianisme ne trouvait devant lui qu’une r

103 point Vive la France ! — pas davantage que « les Soviets partout ! » ne signifiera sous Lénine : Vive la Russie ! Il proclame

104 ement l’époque : l’Europe unie ou le triomphe des Soviets . Fallait-il être avec les communistes ou non ? C’était le vrai fond d

105 ait le vrai fond de leur débat. Cependant que les Soviets axaient leur politique sur l’Europe qu’ils voulaient empêcher de s’un

106 hémence suspecte — par tous ceux qui admirent les Soviets . Or déjà ces derniers ont rétabli l’usage, sur une base « scientifiqu

107 tiviste, et la praxis pas plus que la theoria des Soviets ne conduisant là, alors l’URSS apparaît, objectivement parlant, comme

108 américain croit mieux au sien, mais le mythe des Soviets est mieux cru hors de l’URSS. Du point de vue de la personne enfin :

109 chniques (taylorisme ou psychanalyse), ce que les Soviets ont fait de la croyance en l’Histoire, et ce que les peuples de l’Ori

110 ristianisme ? Du point de vue de la tactique, les Soviets jouent gagnant. Car au moment précis où le christianisme a renoncé à

111 Chili ou l’Australie. Vient ensuite l’empire des Soviets , qui subit depuis quarante ans une occidentalisation planifiée mais g

112 vy Mir, cités plus haut, la lutte idéologique des Soviets contre l’Occident serait compatible avec la coexistence pacifique, ma

113 chniques (taylorisme ou psychanalyse), ce que les Soviets ont fait de la croyance en l’Histoire, et ce que les peuples de l’Ori

114 blié en 1955 par la National Science Foundation : Soviet Professional Manpower : Its Education, Training and Supply. bn. « La

115 es par les congrès du Parti et promulguées par le Soviet suprême et le Conseil des ministres de l’URSS. Quel que soit le degré

116 e la Pologne semble prête à déclencher contre les Soviets . En 1939, Retinger qui, jusque-là, « n’a jamais servi ni un homme ni

117 e par Hitler ou passée au rouleau compresseur des Soviets serait-elle encore elle-même et surtout conserverait-elle la puissanc

118 e histoire. Soit contre les Turcs soit contre les Soviets , il sert de prétexte opportun, il permet de dramatiser la thèse posit

119 ermon ? » « La décision n’appartient-elle pas aux Soviets  ? Car s’ils décident la guerre, a) ils sont victorieux et ils établis

120 alisme helvétique mais aussi l’idée primitive des soviets (conçue par Lénine lorsqu’il était en Suisse), l’anarchisme à la Bako

121 i les Turcs devant Vienne à deux reprises, ni les Soviets nous pressant à l’Est et nous minant à l’intérieur par les partis qu’

122 eptique : Staline, après vingt ans de pouvoir des Soviets , annonce une constitution qui renforce encore l’étatisme, et ne parle

123 à quelques années d’intervalle, la démocratie des Soviets , puis la dictature de Staline ; le pacifisme à tout prix des débuts e

124 artis socialistes subsistant dans les pays où les Soviets ne règnent pas, sont en voie de divergence et non de convergence, sur

125 retirait, mine de rien, la Grande-Bretagne et les Soviets , bienveillants témoins d’un mariage de raison entre la France et l’Al

126 disait que la révolution communiste, c’était les soviets plus l’électricité. Pour moi, le fédéralisme, c’est l’autonomie des r

127 disait que la révolution communiste, c’était les soviets plus l’électricité. Pour moi, le fédéralisme, c’est l’autonomie des r

128 blié en 1955 par la National Science Foundation : Soviet Professional Manpower: Its Education, Training and Supply. 20. J’off

129 de « science allemande », etc. — variétés que les Soviets englobent d’ailleurs sous le titre diffamant de « science bourgeoise 

130 disait que la révolution communiste, c’était les soviets plus l’électricité. Pour moi, le fédéralisme, c’est l’autonomie des r

131 ltranationaliste » écrasant les autonomies et les soviets locaux ou régionaux.   2. Les idéologies ne comptent pas, au regard d

132 ements plus nationalistes les uns les autres. Les soviets ou conseils d’usine et de village, première formule de participation,

133 Kerenski ? Il n’y avait rien à prendre. Celui des Soviets  ? Lénine n’y croyait pas et fit tout pour l’éliminer, c’est-à-dire po

134 s minimiser (« On exagère », « On fait le jeu des Soviets  », « Nos experts ont démontré… ») ; c) à tourner les règlements édict