1 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
1 i vous gagnez de l’argent, vous louerez un de ces studios bien nus, où la vie prend un visage tellement abstrait qu’on n’arrive
2 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
2 r Denis de Rougemont (8 juillet 1939)n Dans ce studio parisien, dont les larges fenêtres regardent un des boulevards les pl
3 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
3 isoire, puisqu’il loge présentement dans un clair studio qui lui a été prêté par un de ses confrères en matière de « journal »
4 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
4 e V. O. envoyait à ma femme. Plantée au milieu du studio , dans un gros pot de grès, elle règne comme la Beauté même, comme la
5 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
5 p tard : et qu’ils s’en doutent. L’importance des studios de New York s’accroît sans cesse. On parle d’un nouveau centre de pro
6 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
6 e V. O. envoyait à ma femme. Plantée au milieu du studio , dans un gros pot de grès, elle règne comme la Beauté même, comme la
7 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
7 omande, moi de la Suisse allemande. En sortant du studio , nous apprenons que Paris vient d’être bombardé pour la première fois
8 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
8 ne fils des Pitoëff, se voient priés de passer au studio 16 pour l’émission. Dans cinq minutes, au fond d’une campagne françai
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
9 envoyée par V. O. pour notre installation dans ce studio que Gide nous prête. Plantée au milieu de la pièce, dans un gros pot
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
10 omande, moi de la Suisse allemande. En sortant du studio , nous apprenons que Paris vient d’être bombardé pour la première fois
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
11 ss et Pierre Baudet, se voient priés de passer au studio 16 pour l’émission. Dans cinq minutes, au fond d’une campagne françai
12 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
12 ne fils des Pitoëff, se voient priés de passer au studio 16 pour l’émission. Dans cinq minutes, au fond d’une campagne françai
13 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
13 op tard, et qu’ils s’en doutent. L’importance des studios de New York s’accroît sans cesse. On parle d’un nouveau centre de pro
14 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
14 mais vraiment j’entends mal) : « Vous cherchez un studio  ? » — « Oui, c’est exactement ce qu’il me faut. » Il a l’air étonné,
15 ulement, je comprends qu’il avait dit : « J’ai un studio … » Le lendemain matin, très tôt, nous arrivons chez lui, ma femme et
16 tôt, nous arrivons chez lui, ma femme et moi. Le studio est vaste et plaisant, agrémenté d’un escalier conduisant à une large
17 uteilles de bière et nous les offre. Au milieu du studio pend un trapèze. Gide s’y appuie des deux mains, se balance en regard
18 qu’il compte s’absenter pour huit jours. Mais son studio me restera ouvert ; que j’y vienne prendre tous les livres dont je po
15 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
19 l’étranger. La Radio suisse est une fédération de studios locaux largement autonomes, mais le Conseil fédéral nomme son directe
16 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
20 les exigences de l’actualité, qui sont celles des studios d’abord, mais aussi de l’opinion publique qui a le droit d’être infor
17 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
21 mais vraiment j’entends mal) : « Vous cherchez un studio  ? » — « Oui, c’est exactement ce qu’il me faut. » Il a l’air étonné,
22 ulement, je comprends qu’il avait dit : « J’ai un studio … ». Le lendemain, très tôt, nous arrivons chez lui. Le studio est vas
23 e lendemain, très tôt, nous arrivons chez lui. Le studio est vaste et plaisant, agrémenté d’un escalier conduisant à une large
24 uteilles de bière et nous les offre. Au milieu du studio pend un trapèze. Gide s’y appuie des deux mains, se balance en regard
25 qu’il compte s’absenter pour huit jours. Mais son studio me restera ouvert ; que j’y vienne prendre tous les livres dont je po
18 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
26 mande, moi de la Suisse alémanique. En sortant du studio , nous apprenons que Paris vient d’être bombardé pour la première fois
19 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
27 l’étranger. La Radio suisse est une fédération de studios régionaux largement autonomes, mais le Conseil fédéral nomme son dire
20 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
28 phase contenue, en marchant à grands pas dans son studio  : « L’Européen le plus moderne, c’est vous pape Pie X ! », criait-il
21 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
29 phase soutenue, en marchant à grands pas dans son studio  : « L’Européen le plus moderne c’est vous pape Pie X ! », criait-il e
22 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
30 e ! » Le mercredi des Cendres de 1942, dans un studio du Village, à New York, je décide de me mettre à écrire La Part du d
23 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
31 e. Apprenant que je cherchais de toute urgence un studio et ne trouvais rien, il m’avait offert à l’improviste d’habiter avec
32 e d’habiter avec ma femme, pour quelques mois, un studio communiquant avec sa bibliothèque. Nous y arrivons le lendemain matin