1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
1 écor conventionnel, un élément de pittoresque, un sublime tout fait, dont on agrémente des digressions sur l’ordre social. Mlle
2 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
2 pu être imaginé dans un absolu existant. Le plus sublime modèle et le plus attirant, l’imagination la plus dynamique de l’homm
3 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
3 pu être imaginé dans un absolu existant. Le plus sublime modèle et le plus attirant, l’imagination la plus dynamique de l’homm
4 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
4 i reconnu ? Un miracle, voilà une expérience, une sublime expérience ! Et combien édifiante ! (Se tournant vers un groupe de je
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
5 re37, c’est-à-dire de s’engager, où ils voient le sublime de l’esprit ? Ne vient-il pas de dire : « Qu’est-ce que la vérité ? »
6 e un dieu, comme un « idéal » ou comme l’esprit «  sublime  » des clercs, mais au contraire en s’abaissant. Telle est la parabole
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
7 ioche ou de marteau ». Les glaciers ne sont pas «  sublimes  » comme on chante dans les écoles suisses. Et il est faux de « chante
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
8  heureuse ». C’est encore une aspiration à la vie sublime , tout comme l’autre, mais cette fois du côté animal. C’est un idéal q
8 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
9 s l’Art poétique ? De cet ouvrage très sévère, et sublime en tant de passages, combien accepteraient l’inquisition ? Qu’on ne d
9 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
10 ne peut rien y changer ? Que l’esprit plane donc, sublime et décanté. Apportez-moi de quoi écrire et de quoi me laver les mains
11 culture se défait. Immortalité académique2, faux sublime officiel, envolées à la gloire d’un Descartes symbolique, on renonce
12 auteur » d’une tâche humaine a voulu se hisser au sublime , où le siècle bien trop heureux d’être débarrassé de son contrôle, la
10 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
13 moins qu’il ne s’agisse de quelque chose de moins sublime , et qui ressemble à l’attrait qu’exerçait certain garde-chasse sur la
11 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
14 dans la mesure où elle sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure où la synthèse des deux traditions sera dominée par l’
12 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
15 n goût de la grandeur ou de l’énormité, des fêtes sublimes . Quand je dis que l’État totalitaire menace de provoquer le désastre
13 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
16 ne peut rien y changer ? Que l’esprit plane donc, sublime et décanté. Apportez-moi de quoi écrire et de quoi me laver les mains
17  » d’une tâche humaine, elle a voulu se hisser au sublime , où le siècle, bien trop heureux d’être débarrassé de son contrôle, l
14 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
18 moins qu’il ne s’agisse de quelque chose de moins sublime , et qui ressemble à l’attrait qu’exerçait certain garde-chasse sur La
15 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
19 dans la mesure où elle sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure où la synthèse des deux traditions sera dominée par l’
16 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
20 ntre l’État. Le sens de la révolte se perd. Il se sublime , ô ironie, en rouspétance, en criailleries électorales, journalistiqu
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
21 aints esprits modernes ne manqueront pas de juger sublime  ! 8. Le Werther de Goethe succombe parce qu’il s’est livré à son ver
18 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
22 rticale, signe de notre verticalité infinie ou du sublime de notre spiritualité ». 10 octobre 1934 (Suite et fin.) — Deux
23 ntre l’État. Le sens de la révolte se perd. Il se sublime , ô ironie, en rouspétance, en criailleries électorales, journalistiqu
19 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
24 dans la mesure où elle sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure où la synthèse des deux traditions sera dominée par l’
20 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
25 sent des siècles de cartésianisme derrière ce cri sublime et désintéressé. Naturellement, mon auteur, une fois de plus, a cru d
21 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
26 les prophètes. Isaïe réveillait son peuple par le sublime oracle de Séir : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? — Le matin vie
22 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
27 ur protéger nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes  ». (Certain ministre de la propagande se chargerait très volontiers d
23 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
28 tion, et jusque dans sa fuite désespérée, dans la sublime coquetterie de sa fuite ! Et qu’il l’ignore, c’est essentiel à la gra
24 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
29 superstition du temps, la manie de « ramener » le sublime à l’infime, l’étrange erreur qui prend pour cause suffisante une cond
30 ondamner sa vie « finie ». Le dieu Éros exalte et sublime nos désirs, les rassemblant dans un Désir unique, qui aboutit à les n
31 Wagner, au deuxième acte de Tristan, fera le cri sublime de Brengaine : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die N
32 eligieuse, l’idée transcendentale, l’élan vers le sublime , ne peuvent être toujours présents. Viennent-ils à manquer, tout ce q
33 ez un mystique de l’envergure d’un Henri Suso, le sublime nous semble parfois frôler le ridicule. Il est sublime quand, par pié
34 me nous semble parfois frôler le ridicule. Il est sublime quand, par piété envers la Vierge, il rend hommage à toutes les femme
35 e dans la boue pour laisser passer une pauvresse. Sublime encore, quand il suit les usages de l’amour profane et célèbre le jou
25 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
36 ’il se modèle spontanément à la ressemblance du «  sublime  » qu’elles ont su rendre inoubliable. C’est pourquoi l’on n’aura pas
37 écrit au seuil de la Vita Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur,
38 ouvelle, et pour qu’à la passion ne manque pas le sublime , voici la divinisation. Pétrarque demande comment il se peut faire qu
39 us heureuse. C’est encore une aspiration à la vie sublime , tout comme l’autre, mais cette fois du côté animal. C’est un idéal q
40 e la vie sociale. 17.Stendhal, ou le fiasco du sublime Homme du xviiie siècle, ayant subi la « touche » du romantisme, e
41 t dans son « âme », c’est-à-dire dans son goût du sublime , ce vide dont parlait Fichte, cet appel insatiable à l’inconnu, à l’I
26 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
42 tion, et jusque dans sa fuite désespérée, dans la sublime coquetterie de sa fuite ! Et qu’il l’ignore, c’est essentiel à la gra
27 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
43 superstition du temps, la manie de « ramener » le sublime à l’infime, l’étrange erreur qui prend pour cause suffisante une cond
44 ondamner sa vie « finie ». Le dieu Éros exalte et sublime nos désirs, les rassemblant dans un Désir unique, qui aboutit à les n
45 t Wagner au deuxième acte de Tristan, fera le cri sublime de Brengaine : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die N
46 eligieuse, l’idée transcendantale, l’élan vers le sublime , ne peuvent être toujours présents. Viennent-ils à manquer, tout ce q
47 ez un mystique de l’envergure d’un Henri Suso, le sublime nous semble parfois frôler le ridicule. Il est sublime quand, par pié
48 me nous semble parfois frôler le ridicule. Il est sublime quand, par piété envers la Vierge, il rend hommage à toutes les femme
49 e dans la boue pour laisser passer une pauvresse. Sublime encore, quand il suit les usages de l’amour profane et célèbre le jou
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
50 ’il se modèle spontanément à la ressemblance du «  sublime  » qu’elles ont su rendre inoubliable. C’est pourquoi l’on n’aura pas
51 écrit au seuil de la Vita Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur, d
52 ouvelle, et pour qu’à la passion ne manque pas le sublime , voici la divinisation. Pétrarque demande comment il se peut faire qu
53 us heureuse. C’est encore une aspiration à la vie sublime , tout comme l’autre, mais cette fois du côté animal. C’est un idéal q
54 e la vie sociale. 17.Stendhal, ou le fiasco du sublime Homme du xviiie siècle, ayant subi la « touche » du romantisme, e
55 t dans son « âme », c’est-à-dire dans son goût du sublime , ce vide dont parlait Fichte, cet appel insatiable à l’inconnu, à l’I
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
56 tion, et jusque dans sa fuite désespérée, dans la sublime coquetterie de sa fuite ! Et qu’il l’ignore, c’est essentiel à la gra
30 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
57 superstition du temps, la manie de « ramener » le sublime à l’infime, l’étrange erreur qui prend pour cause suffisante une cond
58 ondamner sa vie « finie ». Le dieu Éros exalte et sublime nos désirs, les rassemblant dans un Désir unique, qui aboutit à les n
59 Wagner, au deuxième acte de Tristan, fera le cri sublime de Brengaine : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die N
60 eligieuse, l’idée transcendantale, l’élan vers le sublime , ne peuvent être toujours présents. Viennent-ils à manquer, tout ce q
61 ez un mystique de l’envergure d’un Henri Suso, le sublime nous semble parfois frôler le ridicule. Il est sublime quand, par pié
62 me nous semble parfois frôler le ridicule. Il est sublime quand, par piété envers la Vierge, il rend hommage à toutes les femme
63 e dans la boue pour laisser passer une pauvresse. Sublime encore, quand il suit les usages de l’amour profane et célèbre le jou
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
64 ’il se modèle spontanément à la ressemblance du «  sublime  » qu’elles ont su rendre inoubliable. C’est pourquoi l’on n’aura pas
65 écrit au seuil de la Vita Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur,
66 ouvelle, et pour qu’à la passion ne manque pas le sublime , voici la divinisation. Pétrarque demande comment il se peut faire qu
67 us heureuse. C’est encore une aspiration à la vie sublime , tout comme l’autre, mais cette fois du côté animal. C’est un idéal q
68 e la vie sociale. 17.Stendhal, ou le fiasco du sublime Homme du xviiie siècle, ayant subi la « touche » du romantisme, e
69 t dans son « âme », c’est-à-dire dans son goût du sublime , ce vide dont parlait Fichte, cet appel insatiable à l’inconnu, à l’I
32 1940, Articles divers (1938-1940). Les Suisses sont-ils « à la hauteur » de la Suisse ? (20 janvier 1940)
70 utres, si nos Alpes sont belles et nos glaciers «  sublimes  », il n’y a pas là de quoi nous vanter. D’abord, ce n’est pas notre f
71 s, de nuages et de soleil, et cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage. Il y avait un témoin, en effet, un seul, car du
72 et de soleil, et cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage. Il y avait un témoin, en effet, un seul, car du reste l’espl
33 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
73 ur protéger nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes  ». (Certain ministre de la propagande se chargerait très volontiers d
34 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
74 nous mettait hors d’état d’imaginer à la fois le sublime et le pire. « Trop beau pour être vrai », c’était un de nos proverbes
35 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
75 nous mettait hors d’état d’imaginer à la fois le sublime et le pire. « Trop beau pour être vrai », c’était un de nos proverbes
36 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
76 ur protéger nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes  ». (Certain ministre de la propagande se chargerait très volontiers d
37 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
77 dant : si nos Alpes sont belles et nos glaciers «  sublimes  », il n’y a pas là de quoi nous vanter ! D’abord ce n’est pas notre f
78 s, de nuages et de soleil, et cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage. Il y avait un témoin, en effet, un seul ; car d
79 et de soleil, et cherchant un témoin sublime à ce sublime paysage. Il y avait un témoin, en effet, un seul ; car du reste l’esp
38 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
80 ur protéger nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes  ». Si nous sommes là, c’est pour exécuter la mission dont nous sommes
39 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
81 ste. Comment éliminer l’apport du diable aux plus sublimes créations de l’esprit ? Je ne pense pas qu’aucun créateur puisse se f
82 héorique — du bien de l’autre et de la foi jurée. Sublime astuce, car cette sincérité garde encore le nom d’une vertu. Mais voi
40 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
83 confiance, la menace et la riposte, l’abîme et le sublime  ? Aucune époque ne fut plus antispirituelle, car aucune ne s’est tant
84 Quand vous mettez sur votre gramophone un disque sublime intimement chéri depuis longtemps — Monteverde, Mozart ou Bach — et q
41 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
85 ste. Comment éliminer l’apport du diable aux plus sublimes créations de l’esprit ? Je ne pense pas qu’aucun créateur puisse se f
86 héorique — du bien de l’autre et de la foi jurée. Sublime astuce, car cette sincérité garde encore le nom d’une vertu. Mais voi
42 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
87 confiance, la menace et la riposte, l’abîme et le sublime  ? Aucune époque ne fut plus antispirituelle, car aucune ne s’est tant
88 Quand vous mettez sur votre gramophone un disque sublime intimement chéri depuis longtemps, — Monteverdi, Mozart ou Bach — et
43 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
89 ste. Comment éliminer l’apport du diable aux plus sublimes créations de l’esprit ? Je ne pense pas qu’aucun créateur puisse se f
90 héorique — du bien de l’autre et de la foi jurée. Sublime astuce, car cette sincérité garde encore le nom d’une vertu. Mais voi
44 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
91 ioche ou de marteau. » Les glaciers ne sont pas «  sublimes  » comme on chante dans les écoles suisses. Et il est faux de « chante
45 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — L’Art poétique de Claudel
92 s l’Art poétique ? De cet ouvrage très sévère, et sublime en tant de passages, combien accepteraient l’inquisition ? Qu’on ne d
46 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
93 ’il présentait, portaient les sentiments jusqu’au sublime , proposaient des types de vie haute, et réveillaient des forces endor
47 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
94 semble. Pour un homme qui est seul, Manhattan est sublime . Il n’a qu’à s’oublier dans l’énergie fusante de cette capitale du ma
48 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
95 les prophètes. Isaïe réveillait son peuple par le sublime oracle de Séir : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? — Le matin vie
49 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
96 ur protéger nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes  ». (Certain ministre de la propagande se chargerait très volontiers d
50 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
97 semble. Pour un homme qui est seul, Manhattan est sublime . Il n’y a qu’à s’oublier dans l’énergie fusante de cette capitale du
51 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
98 aires, font de la mort une plaisanterie d’un goût sublime qui perd son sel à être répétée, étouffent d’une seule pensée les exp
52 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
99 aires, font de la mort une plaisanterie d’un goût sublime qui perd son sel à être répétée, étouffent d’une seule pensée les exp
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
100 aints esprits modernes ne manqueront pas de juger sublime  ! 34. Le Werther de Goethe succombe parce qu’il s’est livré à son ve
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
101 rticale, signe de notre verticalité infinie ou du sublime de notre spiritualité ». 10 octobre 1934 (Suite et fin.) — Deux
102 re l’État. Le sens de la révolte se perd. Il se «  sublime  », ô ironie, en rouspétance, en criailleries électorales, journalisti
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
103 les prophètes. Isaïe réveillait son peuple par le sublime oracle de Séir : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? — Le matin vie
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
104 ur protéger nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes  ». (Certain ministre de la propagande se chargerait très volontiers d
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
105 semble. Pour un homme qui est seul, Manhattan est sublime . Il n’y a qu’à s’oublier dans l’énergie fusante de cette capitale du
58 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
106 aires, font de la mort une plaisanterie d’un goût sublime qui perd son sel à être répétée, étouffent d’une seule pensée les exp
59 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
107 sans offense, nos modestes sagesses et les folies sublimes des grandes Nations contemporaines. Mais il n’est pas exact que l’Eur
60 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
108 sans offense, nos modestes sagesses et les folies sublimes des grandes nations contemporaines. Mais il n’est pas exact que l’Eur
61 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
109 enaissance ou vers la décadence ? Je crois que la sublime réponse à la question des lendemains nous a été donnée une fois pour
62 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
110 sans offense, nos modestes sagesses et les folies sublimes des grandes Nations contemporaines. Mais il n’est pas exact que l’Eur
63 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
111 , les montagnes lointaines ou proches figurant le sublime et le familier, le grand couloir des vents européens et ces prairies
64 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
112 e est morte en discutant le sexe des anges, sujet sublime , mais l’empereur combattait sur les remparts. Je ne connais pas de co
65 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
113 chrétien. Tout cela serait absurde si ce n’était sublime , si ce n’était finalement bien plus intelligent, bien plus sage et bi
66 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
114 nécessaire pour conquérir Jérusalem. Ce demi-fou sublime , pieux et mégalomane, n’a rien fait de ce qu’il croyait faire, ni de
67 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
115 , les montagnes lointaines ou proches figurant le sublime et le familier, le grand couloir des vents européens, et ces prairies
68 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
116 n’entend pas nos grandeurs, car la musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’oreille d’un Oriental, c’est un bruit vagu
69 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
117 iciel qu’une villa de banlieue, mais la Place est sublime . Il faut en interdire l’accès à ceux qui pensent et qui parlent comme
70 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
118 il en oublie l’impulsion primitive et la liaison sublime avec nos buts derniers. 14. Alexandre était mort depuis plus de tro
71 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
119 chrétien. Tout cela serait absurde si ce n’était sublime , si ce n’était finalement bien plus intelligent, bien plus sage et bi
72 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
120 s la foi d’Abraham : Colón l’exalte en un passage sublime de sa lettre aux Altesses, datée « des Indes, en l’île de la Jamaïque
73 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
121 art est l’amour, non le procédé d’expression ; le sublime , non la différence ; l’achèvement valable pour tous, non la petite va
74 1958, Articles divers (1957-1962). Pourquoi la guerre ? Un échange de lettres prophétique entre Einstein et Freud (avril 1958)
122 plus tard à l’explosion d’Hiroshima. Tragique et sublime ironie de ce dialogue de deux génies, dont l’un voit bien l’avenir, m
75 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
123 n’entend pas nos grandeurs. Car la musique est le sublime de l’Occident, mais pour l’oreille d’un Oriental, c’est un bruit vagu
76 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
124 orée, aux éclats toujours imprévisibles, à jamais sublimes et tragiques ! Oh ! comme il est doux d’exister. Comme il est doux de
77 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Carlo Curcio, Europa, Storia di un’idea (septembre 1959)
125 notre union, à travers 27 siècles de pensée où le sublime voisine avec l’absurde, le pittoresque avec le raisonnable, mais dont
78 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
126 déaux de 48 en un européisme et en un mondialisme sublimes , achevant ainsi — mais dans l’imaginaire — la dialectique nationale d
79 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
127 de l’amour et du vrai moi instaure le normal, le sublime , et la problématique de l’Occident chrétien. Il conditionne aussi les
128 ution de méthode dialectique. — Au défi de dogmes sublimes et qui prétendent transfigurer la vie concrète, l’Occident répond par
80 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
129 nce dionysiaque, la tragédie introduit un symbole sublime , le mythe ; et elle suscite chez celui-là l’illusion que la musique n
81 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Pour une mythanalyse de la culture
130 de guides dans la Comédie infernale, purgative ou sublime de nos désirs, de nos passions, de notre amour. Quand nous ignorons l
82 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
131 orée, aux éclats toujours imprévisibles, à jamais sublimes et tragiques ! Oh ! comme il est doux d’exister. Comme il est doux de
83 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
132 nce dionysiaque, la Tragédie introduit un symbole sublime , le mythe ; et elle suscite chez celui-là l’illusion que la musique n
84 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
133 de l’amour et du vrai moi instaure le normal, le sublime , et la problématique de l’Occident chrétien. Il conditionne aussi les
134 ution de méthode dialectique. — Au défi de dogmes sublimes et qui prétendent transfigurer la vie concrète, l’Occident répond par
85 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Misère et grandeur de saint Paul
135 ymnes de victoire et d’action de grâces, brefs et sublimes dans leur élan. Mais du point de vue de l’histoire, tout change. C’es
86 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
136 e l’unité. Dante en est le premier témoin, viril, sublime et absolu. Situons-le dans le débat du siècle, entre l’Empire, la pap
87 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
137 s et d’être fondu en un. »61 Après cette utopie sublime de la Paix par l’Empire — bafouée par des siècles de progrès constant
88 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
138 quit à Naples en 1668 et y mourut en 1744. Esprit sublime , universel, et souvent désordonné, historien aux vues amples et poéti
139 d’une part cette religion enseigne des vérités si sublimes que les plus profonds d’entre les systèmes philosophiques de l’antiqu
89 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
140 ient jusqu’à tirer gloire, comme membres de cette sublime corporation, d’aller finir leur vie dans de pieuses méditations entre
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
141 aux de 1848 en un européisme et en un mondialisme sublimes , achevant ainsi — mais dans l’imaginaire — la dialectique nationale d
142  ! Salut Homme ! Subis ton élargissement fatal et sublime , ô ma patrie, et, de même qu’Athènes est devenue la Grèce, de même qu
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
143 irant ces merveilleux enfants… Songe merveilleux, sublime aberration de l’humanité ! L’âge d’or est le rêve le plus invraisembl
92 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
144 nitude des temps » selon saint Paul22. À l’utopie sublime du poète, exaltant un but inaccessible mais qui ne cessera de hanter
93 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
145 dans la mesure où elle sera biblique ou grecque, sublime dans la mesure où la synthèse des deux traditions sera dominée par l’
94 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
146 ssons Dieu. » Si je la transpose au domaine moins sublime que j’essaie aujourd’hui d’explorer, elle me paraît rendre compte du
95 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
147 ssons Dieu. » Si je la transpose au domaine moins sublime que j’essaie aujourd’hui d’explorer, elle me paraît rendre compte du
96 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
148 ertes dans l’idée sotte ou perverse de réduire le sublime au sordide ou seulement à l’insignifiant, mais parce que je crois au
97 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
149 nom ait donné lieu d’une part à la désignation «  sublime  » de la Suisse : c’est la « libre Helvétie » des romantiques et de no
98 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
150 que, exultante et savante, vocalise du trivial au sublime avec une liberté sans égale dans nos lettres. 102. Tout cela raconté
99 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
151 nous étions un peu rivales… »), s’élève jusqu’au sublime dans la frivolité et touche aux ravissements d’une poésie pure. Quels
100 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
152 dans notre monde, s’est fait par les petits ; de sublime , par les infimes ; et de divin par un bébé qu’on ne savait trop comme