1
un portrait balzacien du brasseur d’affaires. Le
sujet
du Tarramagnou, c’est « la nouvelle mise en servitude du peuple rusti
2
it là les éléments d’un grand roman : autour d’un
sujet
de vaste envergure, et brûlant, une intrigue puissante, des personnag
3
au moment où l’on est sûr que ça brûle bien. Quel
sujet
plus riche pouvait-on rêver pour un psychologue de la puissance de Wa
4
a pensée protestante ». M. Guisan avait choisi un
sujet
qui permet de façon particulièrement frappante la comparaison des poi
5
Un plein succès a répondu à cette innovation. Le
sujet
de la première partie des conférences, les Objections des intellectue
6
ames à principes. Voilà, n’est-ce pas, un amusant
sujet
de conte moral, avec ses personnages un peu conventionnels et l’invra
7
ligne plus ferme, d’une unité plus pure aussi. Le
sujet
était périlleux : si particulier, il prêtait à des abus de pittoresqu
8
j’admire dans ces Bestiaires, presque malgré leur
sujet
trop pittoresque. « Honneur et longue fidélité aux taureaux braves et
9
tradictoires d’un individu. C’est pour traiter ce
sujet
pirandellien qu’on s’embarque dans une croisière de vacances, qui fin
10
que l’auteur ne se soit pas mieux abandonné à son
sujet
, d’un pathétique assez neuf. z. « Alfred Colling : L’Iroquois (Émil
11
on de l’édit de Nantes » (16 février 1927)i Le
sujet
que M. Esmonin, professeur à la Faculté des lettres de Grenoble, trai
12
La Maladère (février 1927)ac « Quel admirable
sujet
de roman, écrit Gide, au bout de quinze ans, de vingt ans de vie conj
13
aptif de sa propre jeunesse. » C’est ici un autre
sujet
du roman, qui se mêle étroitement au premier… Mais combien cette anal
14
prestigieuse et désolée… M. Jaloux a trouvé là un
sujet
qui convient admirablement à son art, où s’unissent aujourd’hui un ré
15
Voyez son portrait de Meili : il ne prend pas le
sujet
par l’intérieur, mais il taille ce visage dans une pâte riche et un p
16
sa femme (elle peint aussi, d’un œil regardant le
sujet
, de l’autre ce qu’en fait son mari). Et puis voici François Barraud,
17
eureux équilibre entre le réalisme imposé par les
sujets
et un style qui sait rester ample, d’une simplicité non dépourvue de
18
son tour que le masque d’un goût du malheur ? Le
sujet
profond de ce roman, où l’on voit comment Pierre en vient à sacrifier
19
intérêt bien vif. Et cela fournit un merveilleux
sujet
de conversation, au café. Dans un salon, par contre, c’est d’un ridic
20
tégie littéraire », de gazetiers ; au cœur de ces
sujets
qui paraît-il, ne sont pas d’actualité : la solitude, la maladie, la
21
pêche pas notre industriel de philosopher sur les
sujets
les plus divers. Les aphorismes sont assez révélateurs de la mentalit
22
t s’il a eu peur c’est qu’il n’a pas su aimer. Le
sujet
de Liszt et de Chopin, c’était l’amour, donc la douleur ; ici, c’est
23
randeur ; à quoi je me bornerai. Il a paru sur le
sujet
de l’instruction publique deux petits livres1 excellents dont je cons
24
instrument. Il a des idées modernes sur tous les
sujets
, espécialement sur la pédagogie. Ce mot revient souvent dans sa conve
25
sièrement. J’aurais voulu vous voir demander à un
sujet
de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté absolue. Il
26
t fallu certes une imagination prodigieuse au dit
sujet
pour se représenter même très vaguement notre actuelle civilisation.
27
randeur ; à quoi je me bornerai. Il a paru sur le
sujet
de l’instruction publique deux petits livres1 excellents dont je cons
28
sièrement. J’aurais voulu vous voir demander à un
sujet
de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la royauté absolue. Il
29
t fallu certes une imagination prodigieuse au dit
sujet
pour se représenter même très vaguement notre actuelle civilisation.
30
rt difficile de René Crevel ne s’étonneront ni du
sujet
ni de la manière de M. Jullien du Breuil. L’intérêt de ce genre de li
31
jeunesse d’après-guerre et des parents. Encore un
sujet
qui attend son maître. bf. « A. Jullien du Breuil : Kate, roman (Kr
32
Au
sujet
« d’un certain esprit français » (1er mai 1930)p 1. Un petit volum
33
velle Revue française , et qui ont, sur un tas de
sujets
pas importants, des idées « pertinentes », comme dit M. Charly Clerc
34
oir que le maniérisme, non la substance. p. « Au
sujet
“d’un certain esprit français” », Aujourd’hui, Lausanne, n° 22, 1er m
35
netteté et souvent, d’indépendance. Il dégage le
sujet
de l’épopée qu’est Maldoror — la révolte de l’homme contre son Créate
36
se. On sent bien ici que le critique a dominé son
sujet
. Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de ces remarques fort justes le
37
ralyse la mâchoire. 6. Doutes sur la nature du
Sujet
Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », reno
38
ession que je suis zur Sache, que je parle de mon
sujet
, — étant admis que mon sujet soit la Hongrie, ce qui me paraît infini
39
que je parle de mon sujet, — étant admis que mon
sujet
soit la Hongrie, ce qui me paraît infiniment baroque, à peine compréh
40
à peine compréhensible, car on ne choisit pas un
sujet
: on est sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la r
41
hensible, car on ne choisit pas un sujet : on est
sujet
. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la recherche de son
42
t sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du
Sujet
à la recherche de son Objet, — en passant par la Hongrie. — Mais puis
43
remplir les revues bien pensantes. Elle traite de
sujets
« bien hongrois » dans un style académique qui me paraît être le cont
44
sa folie, qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce
sujet
des phrases très frappantes : « L’un garde encore la connaissance au
45
i jamais cherché rien d’autre que d’approcher mon
sujet
, en m’identifiant d’aussi près qu’il m’était possible, non seulement
46
ses Approximations ; elles forment, tant par les
sujets
abordés que par le style des « approches », le livre le plus signific
47
on marché qu’on nous prodigue dans la presse. Les
sujets
: Walter Pater, Tolstoï, Hardy, Stefan George, Hofmannsthal. Que Char
48
ndre la tâche facile. Cernant de toutes parts son
sujet
, M. Du Bos choisit des bases d’approche parfois si éloignées, et prog
49
par l’attitude qu’il manifeste et commente. Son
sujet
: le voyage d’un jeune normalien marxiste. Citons quelques phrases qu
50
’est un véritable renouvellement de la peinture à
sujet
religieux qu’annonce cette grande composition : trois longues croix d
51
Vierge et les saints. En deux mots, il y a des «
sujets
catholiques », il n’y a pas de « sujets protestants ». Mais, dira-t-o
52
y a des « sujets catholiques », il n’y a pas de «
sujets
protestants ». Mais, dira-t-on, il y a tous les sujets chrétiens ! C’
53
s protestants ». Mais, dira-t-on, il y a tous les
sujets
chrétiens ! C’est bien là que nous voulions en venir : le dogme ne do
54
nt de l’âme allemande : le choix de la salle, les
sujets
abordés, jusqu’à la stature du conférencier en témoignent une fois de
55
Au
sujet
d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
56
e sa gravité. Maurice Baring exprime ce troisième
sujet
par deux vers de son ami Hilaire Belloc dont voici la traduction : L’
57
de souffrir par son amour. C’était là choisir un
sujet
inévitablement tragique. Car si l’histoire de l’ascension d’un caract
58
figurer ou d’y succomber. C’est cela qui forme le
sujet
implicite, nous l’avons dit, de son œuvre romanesque. Et c’est par to
59
erait pas autrement. 20. Pages 495-499. g. « Au
sujet
d’un grand roman : La Princesse Blanche de Maurice Baring », Foi et V
60
donné toute une suite de chefs-d’œuvre lyriques à
sujets
alpestres. « Toute une tradition d’individualisme lui frayait la voie
61
e discussion vive avec des étudiants chrétiens au
sujet
d’un de leurs camarades, Eiichi se décide soudain à quitter l’Univers
62
s demande de me dire clairement votre pensée à ce
sujet
. Eiichi se taisait. Une minute, deux minutes s’écoulèrent. Quatre ou
63
xe siècle. L’on serait surpris de constater à ce
sujet
que les jugements d’un Vinet sur le romantisme, ceux d’un Frommel sur
64
n dépit de certain défaut de sympathie avec leurs
sujets
) d’une perspicacité prophétique. 26. Dire de Gide qu’il est un écri
65
it penser aux conteurs de la fin du xviiie ; des
sujets
dans le goût allemand, tels sont les éléments qui composent non sans
66
e marâtre et n’a que faire de nos tendresses. Les
sujets
de Jean Cassou sont très particuliers — jusqu’à l’arbitraire parfois
67
aussi celui de la lenteur des choses. Cet art, le
sujet
des Signes parmi nous, par sa simplicité même, le met en valeur mieux
68
tout à fait singulière d’un tel livre. Il y a des
sujets
éternels, ou mieux, perpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et l
69
l y a des sujets éternels, ou mieux, perpétuels —
sujets
d’étonnement perpétuel — et la Fin du Monde est l’un d’eux. Un vrai m
70
la manière. Je suis parfois bien tranquille à ce
sujet
, parfois, quand je suis calme, très calme, et que je sens tout le bie
71
re au préfet de Police sur les Embarras de Paris.
Sujet
de pastiche facile : décrire l’état d’esprit du Français moyen qui br
72
offensive à cette personne humaine. Le choix des
sujets
abordés dans son livre montre un esprit averti des vraies valeurs de
73
alyse la mâchoire. vi Doutes sur la nature du
sujet
Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », reno
74
ession que je suis zur Sache, que je parle de mon
sujet
, — étant admis que mon sujet soit la Hongrie, ce qui me paraît infini
75
que je parle de mon sujet, — étant admis que mon
sujet
soit la Hongrie, ce qui me paraît infiniment baroque, à peine compréh
76
à peine compréhensible, car on ne choisit pas un
sujet
: on est sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la r
77
hensible, car on ne choisit pas un sujet : on est
sujet
. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la recherche de son
78
t sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du
Sujet
à la recherche de son Objet, — en passant par la Hongrie. — Mais puis
79
remplir les revues bien pensantes. Elle traite de
sujets
« bien hongrois » dans un style académique qui me paraît être le cont
80
remplir les revues bien pensantes. Elle traite de
sujets
« bien hongrois » dans un style académique qui me paraît être le cont
81
à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel
sujet
d’examen venait de m’être réservé, ou quelles lettres j’allais recevo
82
— par cela même précisé — de mon Europe. Et vrai
sujet
, tout au moins manifeste, de cette suite d’entrevisions des temps mêl
83
paru proprement incroyable. Je ne trouve d’autre
sujet
de m’étonner que de n’en point trouver justement. Tout est pareil à m
84
itants, un pays de quarante mille bons et fidèles
sujets
… « En 1818 déjà — écrit M. Arthur Piaget dans sa remarquable Histoire
85
on. Je crois que toute autre considération sur ce
sujet
semblait aux yeux de mon père indigne d’une pensée. Et certes, il n’e
86
mme qui pose des questions, mais c’est Dieu, seul
Sujet
. Et alors l’homme, enfin, devient responsable3 devant Dieu et devant
87
ons donc à serrer un peu les deux termes de notre
sujet
, cherchons à dégager leur réalité dans nos vies. 1. Il nous faut tout
88
es, il jette l’esprit du lecteur dans le vif d’un
sujet
, et loin d’exploiter l’avantage de cette surprise, place aussitôt une
89
lant tambour-major et Nizan sergent recruteur. Le
sujet
est plus grave. Non pas du point de vue de la politique, car les part
90
çoit, l’intérieur égare ; l’objet pur opprime, le
sujet
pur s’évade ; les morales échouent, l’immoralisme n’est qu’une morale
91
midt domine trop constamment et trop aisément son
sujet
. Non point qu’il le maintienne arbitrairement dans les cadres d’une d
92
c autant de précision que pouvait en permettre un
sujet
aussi vaste, ils ont réussi à brosser le panorama habilement suggesti
93
ème, n’est pas l’objet de nos recherches, mais le
Sujet
de toute existence et de toute recherche. Il est la présupposition de
94
soient pour moi une « deuxième personne », un tu
sujet
d’une parole qui m’advient6. On voudrait nous faire croire aujourd’hu
95
nnemis » ? 6. Je préfère employer le pronom tu,
sujet
de son action — plutôt que le toi, plus couramment employé par certai
96
Nous reviendrons beaucoup plus longuement sur ce
sujet
dans un volume d’essais philosophiques en préparation : L’Homme debou
97
une effervescence lyrique autour d’un texte. Son
sujet
d’ailleurs s’y prête peu. Mais on regrette parfois qu’il suive à pas
98
qui est assez paradoxal dans une telle œuvre. Le
sujet
de Taille de l’Homme, c’est en effet l’opposition cosmique du monde m
99
moins, ce qui s’est passé chez les bourgeois, au
sujet
du mot « esprit ».) Le vrai matérialiste, c’est Ramuz. Parce qu’il ai
100
rde lumineuse, dont on dirait qu’elle est le vrai
sujet
de ce grand livre. Je ne vous conterai pas « l’histoire ». Cette chro
101
ntraste singulièrement avec le réalisme brutal du
sujet
. Que le lecteur, pourtant, ne se laisse point arrêter par des définit
102
ace dont nous disposons pour aborder de si grands
sujets
, force nous est de condenser, de couper court à des développements qu
103
: cette attitude de l’homme qui ne veut plus être
sujet
de son action, qui l’abandonne aux lois mythiques de l’histoire. Kier
104
, la dignité de l’homme, c’est qu’il soit seul le
sujet
de sa vie. Mais encore faut-il se garder d’entendre l’expression au s
105
dre l’expression au sens des romantiques. Je suis
sujet
, mais il reste à savoir d’où vient ce je, comment il peut agir. S’agi
106
riété… Le croyant seul agit, et seul il peut être
sujet
de son action, mais c’est qu’il est, dans l’autre sens du terme, « as
107
, ce résumé laisse à peine entrevoir le véritable
sujet
de l’œuvre, celui que désigne le titre. Ces six hommes63 ont été chas
108
es français qu’on puisse comparer, tant pour leur
sujet
que pour leur atmosphère et leur tension65, à ce Destin allemand, qui
109
op. cit., appendice, p. vii. 17. Voir aussi, au
sujet
du service civil, les propositions du Plan, p. 46. 18. Nous les auri
110
Au
sujet
d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)g Voulez-vous un paradox
111
rde lumineuse, dont on dirait qu’elle est le vrai
sujet
de ce grand livre. Le silence à peu près général de la critique à pro
112
rie des Courtis. (Éditions « Je sers ».) g. « Au
sujet
d’un roman : Sara Alelia », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 629,
113
si vous y tenez. Pour être juste, si toutefois le
sujet
en vaut la peine, je concéderai qu’il arrive parfois qu’on trouve dan
114
par un événement ; il faut que la rencontre d’un
sujet
avec un objet soit attestée par quelque modification sensible. Les ob
115
isit. La connaissance d’un homme n’est réellement
sujet
que dans l’instant où elle rencontre une occasion de s’exercer, et la
116
ue nous venons de proposer, transforme l’équation
sujet
en vrai sujet, et l’équation objet en vrai objet. 2. Le concret, c
117
de proposer, transforme l’équation sujet en vrai
sujet
, et l’équation objet en vrai objet. 2. Le concret, c’est la présen
118
près les données qu’il faut mettre en présence.
Sujet
en tant qu’actif, objet en tant qu’agi, sont des concepts dont le seu
119
’être de l’objet lorsqu’il est mis en présence du
sujet
n’est point passive ; elle est de résister. Mais l’objet ne peut, par
120
e, provoquer aucune présence. C’est là le rôle du
sujet
, et sa nature. La manière d’être du sujet est essentiellement provoca
121
rôle du sujet, et sa nature. La manière d’être du
sujet
est essentiellement provocante. Il cherche partout un objet qui lui d
122
rps-à-corps avec l’objet. Par où l’on voit que le
sujet
détient une primauté de fait. Il peut s’éprouver dans l’angoisse, il
123
éjà consciente ; cependant que l’objet, séparé du
sujet
, n’a rien en lui qui le pousse à chercher ce dont il manque, et n’a p
124
jet que lorsque j’en fais mon objet. Tel étant le
sujet
, on peut voir qu’il n’est autre que l’homme. Seul, dans tout l’univer
125
ne fatalité abstraite pesant sur la conscience du
sujet
. Mais dès que l’homme secoue ce sortilège, sort de ses ombres, cherch
126
est pas de décrire, mais d’inventer. L’acte étant
sujet
pur, il ne sera jamais un objet de l’entendement. Et c’est pourquoi r
127
ons établi que la présence est le fait de l’homme
sujet
à l’instant qu’il rencontre son objet. L’homme sujet, c’est l’homme s
128
et à l’instant qu’il rencontre son objet. L’homme
sujet
, c’est l’homme seul à l’instant qu’il cesse de l’être. Ainsi la voie
129
à cet instant une personne. L’homme n’est un vrai
sujet
que parce qu’il est personnellement assujetti à l’impulsion indescrip
130
dans l’acte qui fonde sa qualité incomparable de
sujet
; si l’on admet enfin que la personne est proprement la sujétion de l
131
a liberté. Il a su reconnaître que l’homme est un
sujet
(au sens initiateur, et non pas ironique !) et qu’il dépend de lui qu
132
anière de la mieux provoquer — mais glorifiant le
sujet
pur comme tel, il dégrade son existence, c’est-à-dire qu’il l’atrophi
133
es plutôt hésitantes. Tant que Breton invente son
sujet
, en partant d’un donné très réduit et de quelques rythmes lyriques, s
134
on numéro 6 (mars 1933), une confrontation sur ce
sujet
: Rupture entre l’ordre chrétien et le désordre établi. Cet article y
135
ons donc à serrer un peu les deux termes de notre
sujet
, cherchons à dégager leur réalité dans nos vies. 1. Il nous faut tout
136
on numéro 6 (mars 1933), une confrontation sur ce
sujet
: Rupture entre l’ordre chrétien et le désordre établi. Cet article y
137
cherchons donc à serrer les deux termes de notre
sujet
, cherchons à dégager leur réalité dans nos vies. 1. Il nous faut tout
138
s les pays où le sens civique a faibli. Voir à ce
sujet
la Ve Partie de cet ouvrage. 45. C’est ainsi qu’on nomma les dragons
139
cinquante ans et d’une jeune femme forme l’unique
sujet
de cette méditation. Deux êtres très divers se sont unis dans une pas
140
ce de laisser mûrir ses livres ; d’attendre qu’un
sujet
impose sa forme propre, ses proportions et ses « valeurs », dirait un
141
couvre pas mal d’infidélités profondes. Certains
sujets
mériteraient à peine 50 pages, d’autres demandent trois volumes… Mais
142
t visage La vision relie et sépare. Passant du
sujet
à l’objet, elle les unit dans le temps même qu’elle les distingue. Ca
143
s qu’on ne le croit couramment. Au fond, son vrai
sujet
, c’est l’étude concrète de la communauté qui peut s’instituer par le
144
« les formes de langage sont… symboliques et sont
sujettes
aux critiques que l’on est en droit de formuler quant à la logique do
145
» : il lui arrive d’accorder le verbe non avec le
sujet
, mais avec le nombre des compléments : « Si les mots ne naissent que
146
un objet extérieur » (p. 283). Autrement dit, le
sujet
se désiste de sa responsabilité au profit de l’objet, — d’où l’erreur
147
option du matérialisme historique qui décharge le
sujet
de son actualité. 23. Voir toutefois page 297 un essai de réaffirmat
148
ine qu’on y voit trop, et passionnants à cause du
sujet
, même maltraité. Miss Brett raconte la même période et n’irrite pas,
149
ts que le politicien, sans doute intimidé par son
sujet
. En bref, M. Duhamel proposait au moins deux palais. « Comment célébr
150
. Publiez un article dans un hebdomadaire, sur un
sujet
littéraire à la mode, et tenant compte de la frivolité du genre, vous
151
politique des partis, dans cette revue : c’est le
sujet
le plus vain, le plus stérile et le plus irritant qui soit, dès qu’on
152
Nous en détachons ces pages qui se rattachent au
sujet
du présent numéro. »
153
n’a pas son origine dans les choses, mais dans le
sujet
connaissant », nous retrouvons cette définition du temps comme refus
154
ue le temps de Schopenhauer est « l’idéalité » du
sujet
connaissant, — une chimère spiritualiste, une nostalgie. C’est pourqu
155
u bourgeois, mais décisive. À une enquête dont le
sujet
était : La rencontre la plus importante de votre vie ? M. Clément Vau
156
hesse rend à la pauvreté dont elle a su tirer des
sujets
populaires. Donc, jusqu’à ces dernières années, l’écrivain doit se ba
157
rarement chez un individu, qui constitue le vrai
sujet
de ses romans. Passage du Poète — ou du diable (dans le Règne de l’es
158
Les Signes parmi nous. Dans la simplicité de son
sujet
, ce récit réalise d’une manière exemplaire l’accord des éléments dont
159
etc. La subjectivité, c’est le fait de devenir le
sujet
de la vérité, et non pas seulement son admirateur enthousiaste. On di
160
se la volonté qu’on met à le réaliser. Tel est le
sujet
de la Pureté du cœur. La plupart des écrits proprement religieux de K
161
ausse, à son point de vue, ce qui eût été le vrai
sujet
d’un livre qui porte un pareil titre. Car la crise du Progrès n’est r
162
es et dont le sens fût reconnu de tous, prince et
sujets
, clercs, soldats et marchands législateurs et pédagogues. Ainsi l’his
163
n’est réel et ne mérite que l’on s’inquiète à son
sujet
que lorsqu’il s’abaisse au niveau des hommes concrets, des ouvriers a
164
un discours dont l’ornement paraît enfin tout le
sujet
. Mais de la réponse de Calvin, de cette Épître à Sadolet dont chaque
165
es et dont le sens fût reconnu de tous, prince et
sujets
, clercs, soldats et marchands, législateurs et pédagogues. Ainsi l’hi
166
appliquerai à définir le seul aspect moral de mon
sujet
: quelle est l’attitude de pensée, le parti pris fondamental qui peut
167
ctive — il est vrai qu’elle les dispensait d’être
sujets
de leur pensée ! — à une Nécessité qu’ils croyaient déceler et décrir
168
t ainsi revêtir par l’objet la violence propre au
sujet
. Son exercice crée donc un risque, que l’on ne saurait affronter si l
169
s », de l’impersonnel.) L’acte, étant immédiat au
sujet
, ne peut pas, sans cesser d’être acte, être posé en face de l’acteur.
170
n’est réel et ne mérite que l’on s’inquiète à son
sujet
que lorsqu’il s’abaisse au niveau des hommes concrets, des ouvriers a
171
un discours dont l’ornement paraît enfin tout le
sujet
. Mais de la réponse de Calvin, de cette Épître à Sadolet dont chaque
172
es et dont le sens fût reconnu de tous, prince et
sujets
, clercs, soldats et marchands, législateurs et pédagogues. Ainsi l’hi
173
appliquerai à définir le seul aspect moral de mon
sujet
: quelle est l’attitude de pensée, le parti pris fondamental qui peut