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itude de la résurrection n’a rien à voir avec une
survie
de l’âme. L’homme meurt totalement, parce qu’il est totalement « chai
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imbaud, d’un Tolstoï ! mais la durée du monde, sa
survie
, est faite de telles compensations — cultivèrent ce défaut d’exigence
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imbaud, d’un Tolstoï ! mais la durée du monde, sa
survie
, est faite de telles compensations — cultivèrent ce défaut d’exigence
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er aux vivants. Par cette doctrine centrale de la
survie
des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs. Mais toute doctrine de
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er aux vivants. Par cette doctrine centrale de la
survie
des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs. Mais toute doctrine de
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er aux vivants. Par cette doctrine centrale de la
survie
des âmes, les Celtes s’apparentent aux Grecs. Mais toute doctrine de
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-elle au suicide, alors qu’elle ne croit pas à la
survie
, tandis que la foi des anciens temps redoutait une fin qui l’eût pour
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n’a pas lieu de se réjouir trop bruyamment de la
survie
des deux-cents cochons en uniformes. Les habitants d’Hiroshima n’ont
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-elle au suicide, alors qu’elle ne croit pas à la
survie
, tandis que la foi des anciens temps redoutait une fin qui pourtant l
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-elle au suicide, alors qu’elle ne croit pas à la
survie
, tandis que la foi des anciens temps redoutait une fin qui l’eût pour
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de la recherche pure est la condition même de la
survie
de l’Europe. C’est en effet la technique et son progrès constant qui
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u’on la défende contre les forces contraires à sa
survie
, qu’elle a créées. Mais si elle souffre encore des excès alternés de
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en compris, de la défense de l’Europe et de notre
survie
. Cette révolution dans la conscience bourgeoise est commencée. Mainte
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ement une nécessité vitale, la condition de notre
survie
et de l’avenir de notre culture. Ou bien nous ferons l’Europe, avec t
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teurs politiques un peu frottés de sociologie. La
survie
de l’Occident est une chose, la vérité de l’Esprit en est une autre.
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mort sans rien comprendre aux conditions de cette
survie
, sans purifier d’avance le jiva — sans s’ordonner d’avance, dirions-n
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mort sans rien comprendre aux conditions de cette
survie
, sans purifier d’avance son jîva, — sans s’ordonner d’avance, dirions
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toire qu’en se confondant avec les intérêts ou la
survie
militaire d’une nation ! Partie pour instaurer la fraternité mondiale
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enu problématique, — nul doute non plus que notre
survie
spirituelle dépende de sa restauration. On ne le trouvera jamais au t
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est désormais la condition non seulement de leur
survie
mais du juste exercice de leur fonction mondiale ; 2° cette union doi
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matérielles, à l’intérêt. C’est la croyance à la
survie
de l’âme personnelle, à quoi l’auteur substitue d’une manière assez s
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de la recherche pure est la condition même de la
survie
de l’Europe. C’est en effet la technique et son progrès constant qui
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u que l’union fédérale était la condition de leur
survie
individuelle. Les régions combinent ainsi les avantages du petit État
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c imposée comme la seule solution valable pour la
survie
de l’Europe. Et depuis, il travaille sans relâche à la cause du fédér
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r eux, le problème se résume encore à celui de la
survie
dans la rareté. Attention ! Je ne suis pas du tout pour que l’on frei
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recherche pure est la condition nécessaire de la
survie
de notre Europe. C’est en effet la technique et son progrès constant
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éens qui s’ignorent, et que la condition de notre
survie
, c’est de nous unir très vite dans une fédération. Or, pour moi, le c
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ut décider aujourd’hui, ce sont les conditions de
survie
du genre humain. Dans ce domaine, l’acte politique tel que je l’ai dé
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de l’action nécessaire, et payer le tribut de la
survie
de l’homme. L’écologie, qui est art et science des équilibres biologi
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d’autres centres du monde où les problèmes de la
survie
d’un lieu sublime se posent en des termes semblables. Ainsi, qu’est-c
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d’avenir à supputer : cent ans au maximum pour la
survie
de l’humanité, si l’on ne renverse pas la vapeur d’ici à dix ans : c’
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d’autres centres du monde où les problèmes de la
survie
d’un lieu sublime se posent en des termes semblables. Ainsi, qu’est-c
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venir et de décider aujourd’hui les conditions de
survie
du genre humain. Dans ce domaine, l’acte politique par excellence, qu
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e économie, pour la nature, et finalement pour la
survie
de l’espèce humaine. Qu’il s’agisse de la pollution résultant de la p
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eurs millions de fois ? Ou bien préférons-nous la
survie
de l’espèce ? Voulons-nous en priorité le Profit ou l’équilibre moral
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e économie, pour la Nature, et finalement pour la
survie
de l’espèce humaine. Qu’il s’agisse de la pollution résultant de la p
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eurs millions de fois ? Ou bien préférons-nous la
survie
de l’espèce ? Voulons-nous en priorité le profit, ou l’équilibre mora
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’expression est une condition biologique de notre
survie
». James Fawcett s’interroge : la société occidentale est-elle encore
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petit par rapport aux problèmes dont dépend notre
survie
, qui se posent à l’échelle européenne et mondiale6 ». Cette analyse p
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illimitée. Là réside le plus grave danger pour la
survie
du genre humain. Car cette souveraineté sans limites se présente tou
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élai, de bombes atomiques, pose le problème de la
survie
du genre humain au-delà du xxe siècle. En effet, le dogme de la souv
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peuvent à tout instant devenir tragiques pour la
survie
de l’État d’Israël et pour la paix en général. Enfin, et c’est le com
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versité n’est pas intéressée au premier chef à la
survie
de cette culture ? 20. Mal vue en Europe surtout et par ces masochi
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ses dernières chances de paix, d’autonomie, et de
survie
de son identité, de son génie. — Comment alors, évaluez-vous les ch
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tout cela ne peut durer. Aucune des conditions de
survie
d’une civilisation quelconque ne se trouve remplie par la nôtre : ni
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us n’avons guère plus de temps pour décider de la
survie
de notre espèce. — Seriez-vous radicalement pessimiste ? — Pessimi
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érien a peut-être, pour ultime conséquence, notre
survie
écologique, alors que Ford aurait pu, à lui seul, nous conduire à l’a
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and ils sont devenus un peu trop nombreux pour la
survie
harmonieuse du groupe, ils ont commencé à essaimer ; ils ont aujourd’
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ent irréversibles, celles qui peuvent affecter la
survie
de l’espèce, et appellent donc une politique globale de toute urgence
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; ils sont confrontés au problème de leur propre
survie
, celle de leurs enfants et petits-enfants et de toute la race humaine
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e de toute espèce de politique ou stratégie de la
survie
humaine. Cette prévision, d’origine agricole, est donc annuelle. L’èr
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nation : il suffit de se laisser glisser. Mais la
survie
de l’humanité dans un environnement d’air libre suppose les images en
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cider de grands objets, l’union de l’Europe et la
survie
de la démocratie, ou la désertion du forum, appel au règne millénaire
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erait en fait la souveraineté de l’Inde, voire sa
survie
. Aux dernières nouvelles, cependant, le président de la République in
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onfiné dans des unités closes. L’enjeu qui est la
survie
de l’espèce nous enjoint de faire ici l’économie des chicaneries habi
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branche de l’alternative peut seule permettre la
survie
du genre humain174. 3. — La « taille européenne. » C’est au Techno
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points résument assez bien ce qui peut assurer la
survie
de l’Occident, et ses conséquences pour le Monde. — « Vous croyez don
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sur toutes informations devenues vitales pour la
survie
du genre humain, guerre ABC, centrales nucléaires et pollution des oc
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60, il faut décider aujourd’hui les conditions de
survie
du genre humain. Dans ce domaine, l’acte politique qui est le choix d
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ses dernières chances de paix, d’autonomie, et de
survie
de son identité, de son génie. — Comment alors, évaluez-vous les ch
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tout cela ne peut durer. Aucune des conditions de
survie
d’une civilisation quelconque ne se trouve remplie par la nôtre : ni
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us n’avons guère plus de temps pour décider de la
survie
de notre espèce. Pédagogie des catastrophes — Seriez-vous radic
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l. Proposant, avec son dernier livre, un “plan de
survie
pour l’Europe”, à la triple enseigne de la défense de l’environnement
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, puis d’indépendance politique, et finalement de
survie
pure et simple. Déséquilibres démographiques, pénuries et famines, mo
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des forces européennes. Il n’est pas sain que la
survie
abusive (en Europe comme en Amérique latine) de régimes dictatoriaux,
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dès la Renaissance. Le sort du monde et la propre
survie
de l’Europe dépendent désormais de notre capacité à présenter au mond
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ération continentale s’avérait nécessaire pour la
survie
de l’Europe. C’est un fait facilement vérifiable que le concept de ré
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très concrètement, dans notre ère atomique, de la
survie
de l’espèce. Et ce serait manquer la chance nouvelle d’inventer un mo
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ope est simplement une nécessité, la condition de
survie
de nos peuples et pas seulement du maintien de leur niveau de vie, un
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L’Europe : idéal… et moyen de
survie
(3 août 1979)an J’entends dire que l’idée d’Europe unie ne serait
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ope est simplement une nécessité, la condition de
survie
de nos peuples et pas seulement du maintien de leur niveau de vie : u
72
e continent, non comme idéal, mais comme moyen de
survie
. an. « L’Europe : idéal… et moyen de survie », Ouest-France, Rennes
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de survie. an. « L’Europe : idéal… et moyen de
survie
», Ouest-France, Rennes, 3 août 1979, p. 1 et 3.
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it d’autre part les plus graves menaces contre la
survie
de l’humanité : armes nucléaires, pollution d’envergure mondiale des
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t facilement imaginables, je dis seulement que la
survie
de la culture européenne dépendra de notre aptitude à optimaliser les
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, puis d’indépendance politique, et finalement de
survie
pure et simple. Car il est clair qu’aucun de nos pays ne saurait fair
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tre prises qu’en commun. Il n’est pas sain que la
survie
abusive (en Europe comme en Amérique latine) de régimes dictatoriaux,
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nnier dans un domaine aujourd’hui décisif pour la
survie
à terme de l’humanité. Un projet européen dans le domaine des transpo
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: celui du désarmement nucléaire, condition de la
survie
de l’espèce humaine en tant que civilisation. Il est temps de libérer
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la Nature, et qu’à vouloir les ignorer, c’est la
survie
de l’humanité que l’on menace. L’écologie est donc une véritable poli
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peut-être celui de notre milieu vital — de notre
survie
. Dangers signalés par l’écologie Les rapports annuels des Natio
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. On offre des propositions concrètes, un plan de
survie
de l’Europe et de l’humanité. Qu’avons-nous proposé dans ces pages
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seule réponse encore possible à des problèmes de
survie
, qui ne sont pas seulement économiques mais moraux et même spirituels
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se laisser guider par les conditions concrètes de
survie
de l’humanité. Les formes et formules de vie en société qui favorisen
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Le « réalisme » nous conduit à la guerre, mais la
survie
du genre humain dépendra du respect du réel et de la possibilité de l
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ns une partie où se joue la paix, c’est-à-dire la
survie
du genre humain ? L’accusé véritable en cette affaire n’est-il pas le
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brillante et jargonnante, qui se moque des fins (
survie
d’abord, puis Vie développée vers le Sens), et ne tient compte que de
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onoculture et de l’agrobusiness que dépendra leur
survie
. 9. Ayant ainsi passé les bornes de la plus insolente naïveté, rien n
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e la Nature vivante, et de sa corruption ou de sa
survie
, l’écologie nous l’a rappelé au cours des deux dernières décennies av
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que « l’équilibre de l’homme dans la nature et la
survie
de la civilisation, peut-être même de la race humaine soient gravemen
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u prétendu « réalisme » qui mesure les chances de
survie
d’un pays en termes de budget militaire et non pas de santé civique.
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nniez dix à quinze ans au plus pour décider de la
survie
de notre espèce. Votre avertissement a-t-il été entendu ? Dans les tr
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es aux problèmes de l’emploi, de l’énergie, de la
survie
écologique des continents, des océans… Thème du fédéralisme, au-delà
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rix un dialogue ? C’est parce que la condition de
survie
de l’Europe est dans son union, dans sa fédération, sur la base même
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vous n’avez pas le droit de « jouer au poker » la
survie
de l’humanité. En attendant, il devient chaque jour plus évident qu’à
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à la guerre nucléaire : fin de l’Histoire ; ou la
survie
et la domination d’un des Grands à la faveur d’une dégradation morale