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urprenant. L’image physique, qui dans les langues
sémitiques
est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan
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urprenant. L’image physique, qui dans les langues
sémitiques
est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan
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urprenant. L’image physique qui, dans les langues
sémitiques
, est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Rena
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expulsion du paradis terrestre. c) L’étymologie
sémitique
, dérivant Europe de ereb, qui veut dire soir, a été longtemps admise.
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qu’il soit venu, directement ou indirectement, du
sémitique
ereb, soir. d) Reste notre nom grec, celui de la Fille d’Agénor. Ici
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est beaucoup plus ancien, et les mythes grecs et
sémitiques
beaucoup moins éloignés de la réalité qu’on ne l’imagine généralement
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e. À la vérité, l’arrière-plan du mythe grec est
sémitique
. Il se situe dans un complexe assyrio-hébraïque auquel la Bible fait
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entation »8. Tout concourt à prouver l’ascendance
sémitique
du mythe grec, ce qui n’a rien pour étonner le lecteur des travaux de
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poèmes homériques et la Bible et sur les origines
sémitiques
de tant de noms de dieux et de lieux grecs. Et tout cela nous renvoie
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éral qui a porté d’Est en Ouest, du Proche-Orient
sémitique
vers le « continent sans nom » des peuplades colonisantes et des élém
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xpulsion du paradis terrestre. » c) L’étymologie
sémitique
, dérivant Europe de Ereb 19, qui veut dire soir, couchant, paraît s’i
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une raison supplémentaire en faveur de l’origine
sémitique
: On a cessé de croire à la parenté d’Erèbe et d’Europe, par quoi en
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qu’il soit venu, directement ou indirectement, du
sémitique
ereb, soir. d) Reste notre nom grec, celui de la fille d’Agénor. Ic
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est beaucoup plus ancien, et les mythes grecs et
sémitiques
beaucoup moins éloignés de la réalité qu’on ne l’imagine généralement
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e là, sur les terres du Couchant, que les langues
sémitiques
nomment Ereb, très probable étymologie du nom d’Europe. Plus tard, sa
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e là, sur les terres du Couchant, que les langues
sémitiques
nomment Ereb, très probable étymologie du nom d’Europe9. Plus tard, s
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urprenant. L’image physique qui, dans les langues
sémitiques
, est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Rena
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ment celles du Proche-Orient antique et du Levant
sémitique
, du mithraïsme, des sectes gnostiques, puis des Celtes, et des Germai
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ignorée de l’Égypte et niée par l’Asie. Tradition
sémitique
: elle est double : les Phéniciens, « Hébreux de la Mer », colonisent