1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
1 urprenant. L’image physique, qui dans les langues sémitiques est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan
2 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
2 urprenant. L’image physique, qui dans les langues sémitiques est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan
3 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
3 urprenant. L’image physique qui, dans les langues sémitiques , est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Rena
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
4 expulsion du paradis terrestre. c) L’étymologie sémitique , dérivant Europe de ereb, qui veut dire soir, a été longtemps admise.
5 qu’il soit venu, directement ou indirectement, du sémitique ereb, soir. d) Reste notre nom grec, celui de la Fille d’Agénor. Ici
5 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
6 est beaucoup plus ancien, et les mythes grecs et sémitiques beaucoup moins éloignés de la réalité qu’on ne l’imagine généralement
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
7 e. À la vérité, l’arrière-plan du mythe grec est sémitique . Il se situe dans un complexe assyrio-hébraïque auquel la Bible fait
8 entation »8. Tout concourt à prouver l’ascendance sémitique du mythe grec, ce qui n’a rien pour étonner le lecteur des travaux de
9 poèmes homériques et la Bible et sur les origines sémitiques de tant de noms de dieux et de lieux grecs. Et tout cela nous renvoie
10 éral qui a porté d’Est en Ouest, du Proche-Orient sémitique vers le « continent sans nom » des peuplades colonisantes et des élém
11 xpulsion du paradis terrestre. » c) L’étymologie sémitique , dérivant Europe de Ereb 19, qui veut dire soir, couchant, paraît s’i
12 une raison supplémentaire en faveur de l’origine sémitique  : On a cessé de croire à la parenté d’Erèbe et d’Europe, par quoi en
13 qu’il soit venu, directement ou indirectement, du sémitique ereb, soir. d) Reste notre nom grec, celui de la fille d’Agénor. Ic
14 est beaucoup plus ancien, et les mythes grecs et sémitiques beaucoup moins éloignés de la réalité qu’on ne l’imagine généralement
7 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
15 e là, sur les terres du Couchant, que les langues sémitiques nomment Ereb, très probable étymologie du nom d’Europe. Plus tard, sa
8 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
16 e là, sur les terres du Couchant, que les langues sémitiques nomment Ereb, très probable étymologie du nom d’Europe9. Plus tard, s
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
17 urprenant. L’image physique qui, dans les langues sémitiques , est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Rena
10 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
18 ment celles du Proche-Orient antique et du Levant sémitique , du mithraïsme, des sectes gnostiques, puis des Celtes, et des Germai
11 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
19 ignorée de l’Égypte et niée par l’Asie. Tradition sémitique  : elle est double : les Phéniciens, « Hébreux de la Mer », colonisent