1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 ent possible par la shakti… Dans certaines sectes tantriques , la femme devient elle-même une chose sacrée, une incarnation de la M
2 ystique75. » Il s’agit, par le cérémonial du yoga tantrique (contrôle de la respiration, répétitions de mantras ou formules sacré
3 elle par la déification du corps. La « chasteté » tantrique consiste donc à faire l’amour sans le faire, à rechercher l’exaltatio
4 ls. » L’auteur semble avoir deviné le caractère «  tantrique  » que prend l’amour courtois, dans le cycle breton, plus réellement,
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
5 ent possible par la shakti… Dans certaines sectes tantriques , la femme devient elle-même une chose sacrée, une incarnation de la M
6 ystique. »66 Il s’agit, par le cérémonial du yoga tantrique (contrôle de la respiration, répétitions de mantras ou formules sacré
7 elle par la déification du corps. La « chasteté » tantrique consiste donc à faire l’amour sans le faire, à rechercher l’exaltatio
8 ls. » L’auteur semble avoir deviné le caractère «  tantrique  » que prend l’amour courtois, dans le cycle breton plus réellement, j
3 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
9 ient possible par la Çatki… Dans certaines sectes tantriques , la femme devient elle-même une chose sacrée, une incarnation de la m
10 ystique.17 Il s’agit, par le cérémonial du yoga tantrique , de transcender la condition humaine. Le tantrisme bouddhique trouve
11 elle par la déification du corps. La « chasteté » tantrique consiste donc à faire l’amour sans le faire, à rechercher l’exaltatio
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
12 en connu de l’Inde : les upanishads et les écrits tantriques le désignent sous le nom de vajrolî mudrâ ou « geste de l’éclair » qu
13 si l’un des secrets de l’amour courtois. La forme tantrique ou courtoise de l’érotisme peut être interprétée de deux manières, so
14 e l’Éternel féminin au sens mystique. La maithuna tantrique (union sexuelle sacrée) et la cortezia des troubadours correspondent