1 p d’une fiscalité toujours plus oppressive et des taxes successorales, la propriété apparente, terrienne et immobilière, conc

2 e de toutes les guerres modernes. Cette faiblesse taxe identiquement l’ONU, et c’est précisément pour cette raison que beauc

3 le jour de l’échéance.) Il achète, en réglant ses taxes , une bonne conscience civique qui fait partie de son hygiène autant q

4 s continental, puis multiplication des douanes et taxes intérieures). Vers 1830, les premières fabriques de machines s’instal

5 tel d’entre eux. On ne comptait pas moins de 400 taxes et droits de péages sur les marchandises passant d’un canton à un aut

6 nton du Tessin « ne prélevait pas moins de treize taxes différentes sur la route du Gothard, avec obligation de décharger cha

7 isans et nationalistes, plus paralysantes que les taxes frappant la circulation de ses instruments et de ses produits. Chaque

8 imaginatif qui ressuscite le passé qu’il aime, «  taxe  » avec une rigueur « haute et distante, comme il convient à l’histori

9 ssion, la tyrannie et leurs souffrances ? Toynbee taxe d’orgueil cette objection : Nous Occidentaux, parce qu’humains, avon

10 e.) Chacun peut vendre ses produits partout, sans taxes , et acheter ce qui se fait partout, au même prix et en francs europée

11 utateurs, ce regard maîtrisé, sans illusions, qui taxe le réel à sa juste valeur. J’ai parlé de plus d’un peuple dans mes li

12 utres. On comptait en Suisse plus de quatre-cents taxes sur le trafic des marchandises, cantonales, communales et même féodal

13 canton du Tessin ne prélevait pas moins de treize taxes différentes sur la route du Gothard, avec obligation de décharger cha

14 r le suffrage féminin : faire payer aux femmes la taxe militaire si on leur accordait le droit de vote. Cette taxe est due p

15 aire si on leur accordait le droit de vote. Cette taxe est due par tous les hommes reconnus inaptes au service, ou par les o

16 utateurs, ce regard maîtrisé, sans illusions, qui taxe le réel à sa juste valeur. J’ai parlé de plus d’un peuple dans mes li

17 s sur lesquels les gens d’Aarburg prélevaient des taxes en vertu d’un privilège impérial — va devenir au xxe siècle le cours

18 ark, l’Italie), on se plaint plus qu’ailleurs des taxes d’État qui frappent lourdement l’exploitation. (Exemple : au Danemark

19 e et d’incertitude permanente dans l’édition. Les taxes douanières prélevées sur les disques de gramophones et sur les films

20 de douanes. (Imaginez que dans certains pays, on taxe les livres au kilo, quel que soit leur contenu. Et le reste à l’avena

21 isans et nationalistes, plus paralysantes que les taxes frappant la circulation de ses instruments et de ses produits. Chaque

22 ais dès qu’il compte, pèse et mesure, ou lève des taxes pour la capitale…   Facteurs économiques. En revanche les réalités é

23 de type napoléonien, enfin des États totalitaires taxe d’utopie, non sans hargne, correspond — comme l’auteur le démontre pa

24 douane qui n’existent plus : c’est parce que les taxes payées sur la vente des produits ne sont pas encore harmonisées entre

25 que l’auto dans tel pays de la CEE, et que si les taxes sur le tabac apportent à l’État tant de milliards par an, les soins h

26 les gouvernements, qui prélèvent de 55 à 66 % de taxes « fiscales » du prix de vente de l’essence, et qui ont donc un intérê

27 s de fonctions : état civil (baptêmes, mariages), taxes et impôts, banque. L’administration est donc exercée par l’Église. L’