1
se : d’organiser des conférences de spécialistes (
technologie
, agriculture, médecine, énergie atomique) ; de participer aux travaux
2
s, dans plusieurs domaines de la science et de la
technologie
. Leurs promoteurs ne manquent jamais d’insister sur la nécessité de r
3
la recherche, sciences physiques, mathématiques,
technologie
, sciences économiques, sociologie, biologie, génétique, médecine, phi
4
au moment où se constituaient la sociologie et la
technologie
, l’industrie, les nationalismes et la presse. On ne saurait imaginer
5
s sciences mêmes, que les cours de sciences et de
technologie
, indispensables certes, mais insuffisants lorsqu’il s’agit de créer,
6
utre part, est le continent dont la science et la
technologie
ouvrent la voie au monde entier, et qui, durant les trois derniers si
7
lle a transmis au monde entier les procédés de la
technologie
. Elle se doit d’en transmettre aussi les modes d’emploi. Toutes les c
8
comme naturel pour des générations formées par la
technologie
.) C’est dire tout l’avantage et l’avance effective d’une communauté d
9
de la connaissance en Occident. 3. Au-delà de la
technologie
. Comment passer de l’ère technique à l’ère de l’équilibre humain ? En
10
de la connaissance en Occident. 3. Au-delà de la
technologie
. Comment passer de l’ère technique à l’ère de l’équilibre humain ? En
11
comme naturel pour des générations formées par la
technologie
.) C’est dire tout l’avantage et l’avance effective d’une communauté d
12
de la connaissance en Occident. 3. Au-delà de la
technologie
. Comment passer de l’ère technique à l’ère de l’équilibre humain ? En
13
la recherche : sciences physiques, mathématiques,
technologie
, sciences économiques, sociologie, biologie, génétique, médecine, phi
14
les désastres et les apocalypses provoqués par la
technologie
, et bien ! il ne s’agit que d’une opération publicitaire destinée à f
15
ité, et de la personne dans la communauté. Que la
technologie
renoue de la sorte avec l’aventure culturelle, politique et métaphysi
16
poursuivent sous le couvert d’idéaux allégués. La
technologie
de demain devra combiner sa rigueur avec les exigences de l’art d’êtr
17
les désastres et les Apocalypses provoqués par la
technologie
, eh bien ! il ne s’agit que d’une opération publicitaire destinée à f
18
il entend : l’humanité, les systèmes sociaux, la
technologie
et l’environnement). Modèle simple constitué par le jeu de cinq param
19
s qu’elle s’est acquis grâce à la science et à la
technologie
. Ou encore, pour exprimer d’une manière plus générale ce même paradox
20
ce qui se fait en Europe : économie capitaliste,
technologie
et urbanisme, morale de la jeunesse droguée — contredit brutalement c
21
ines, restaurer son industrie, son commerce et sa
technologie
. Il fallait unir à cette fin nos maigres forces nationales. C’est ain
22
ait jamais imaginé : il repose entièrement sur la
technologie
et son évolution la plus probable au cours des vingt à trente années
23
r ses buts, soit parce qu’ils réduisent tout à la
technologie
. Ni les uns ni les autres n’auraient donc pu prévoir les deux phénomè
24
crédulité sans limites devant « la science », la
Technologie
, les Experts, et le Sacré national, glorifié notamment lors des jeux
25
n qui leur était livré dans le même paquet que la
technologie
et le DDT ? » Deux réponses à cette objection : 1° C’est l’Europe qui
26
rnent contre l’homme à plus long terme : toute la
technologie
actuelle vient de la guerre et y conduit. Elle répond aux défis de la
27
gens, […] forme particulièrement répugnante de la
technologie
, qui pourrait aboutir à la création d’un État policier électronique »
28
ns un monde soumis aux seuls « impératifs » de la
technologie
et du profit comptable. La prospective utile et significative ne peut
29
ustriel non équilibré par un développement moral,
technologie
« sauvage », sans vues prospectives, pharmacopée localement efficace
30
anticorps des virus répandus par nos États, notre
technologie
, notre matérialisme, doivent être élaborés, et peuvent l’être. L’unio
31
Hendrijk Lorentz ? J’aurais dû vous parler de la
technologie
douce, qui, dans la nouvelle société, doit remplacer nos techniques d
32
engler — la civilisation mondiale du xxe siècle,
technologie
et pollution comprises, mais aussi le Roman de Tristan, et l’amour-pa
33
e, les sciences religieuses et les théologies, la
technologie
, la sociologie, et les théories récentes de la linguistique et du str
34
qui constituent l’impératif prioritaire, que les
technologies
doivent servir. Pratiquement : 1. Dans les rues de la polis grecque e
35
s, ce n’est pas une question d’architecture ni de
technologie
au premier chef, mais c’est d’abord une question de civisme. Seuls, l
36
, paraît être au reflux dans le pays-pilote de la
technologie
: en 1972, pour la première fois depuis que les États-Unis existent,
37
monde, qu’une « dernière défense » des nantis. La
technologie
dure, agressive et polluante, reste à leurs yeux l’arme par excellenc
38
’on lui avait promis dès les années 1950. « La
Technologie
arrangera cela » On nous assure maintenant que la Technologie arra
39
angera cela » On nous assure maintenant que la
Technologie
arrangera cela, puisqu’elle y pense déjà, et qu’elle peut tout. On s
40
pense déjà, et qu’elle peut tout. On sait que la
Technologie
est un concept sacré pour l’Amérique moderne — celle qui commence à B
41
hnique. Selon Dennis Gabor, la première loi de la
Technologie
s’énonce ainsi : « Tout ce qui peut être fait le sera. » C’est le jug
42
ppeler d’une technique peut-être mal réglée à une
technologie
mieux informée, sont ceux qui refusent en vérité de changer de plan e
43
re d’en éliminer pour un temps les symptômes. Une
technologie
plus poussée ne résoudrait rien par elle-même, tendrait même à tout a
44
c’est un exemple caractéristique des effets de la
technologie
… L’homme creux peut très bien exister ; une société d’hommes creux es
45
de rendre sensible une tendance très réelle de la
technologie
complice des États. Le phénomène du rejet marque ici la limite fixée
46
hénomène du rejet marque ici la limite fixée à la
technologie
par la vie même. Il fait comprendre aussi la révolte des jeunes (mais
47
États-nations au xxe siècle. Entre les armes, la
technologie
, et le pouvoir, les liens sont étroits et constants, au point qu’on n
48
sons précises mais invisibles de l’énergie. Notre
technologie
est ainsi la figure la plus ressemblante de l’Occident, qui se soucie
49
matérielle ou mécanique. Ainsi s’explique que la
technologie
tourne mal en Europe, où elle a partie liée avec la guerre, et menace
50
ment le feu utilitaire, celui qui permettra notre
technologie
. Or, Zeus « qui voit très loin » (Zeus euruopé ou Zeus europos 26) —
51
0, de quoi tuer toute vie sur la Terre29. Qui dit
technologie
(qui est la constitution d’une anti- ou para-nature) dit aventure, in
52
armi nous au rythme même des développements de la
technologie
, et selon les exigences du progrès — ces abstractions divinisées et c
53
e, le seul espoir pour notre espèce est dans la «
technologie
douce ». Mais elle suppose le rejet systématique des conditions menta
54
otre technique dure. Le seul espoir, c’est que la
technologie
se mette à respecter la nature et la vie, voire à s’inspirer de leurs
55
entre le soleil et nous, on nous répondra que ces
technologies
douces ne sont toujours pas au point, et on les rangera parmi les éne
56
». La constatation de la crise actuelle, due à la
technologie
« qui peut être mortelle », à l’explosion démographique, à la révolte
57
succès social, psychologique et politique, de la
technologie
déchaînée, et leurs conclusions sont lugubres : la mort psychique du
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rnent contre l’homme à plus long terme : toute la
technologie
actuelle vient de la guerre et y conduit. Elle répond aux défis de la
59
la trace… forme particulièrement répugnante de la
technologie
, qui pourrait aboutir à la création d’un État policier électronique92
60
ns un monde soumis aux seuls « impératifs » de la
technologie
et du profit comptable. La prospective utile et significative ne peut
61
telettes, et cela s’appelle arroser — qui est une
technologie
douce et porteuse de vie. C’est là, dans les communes, que tout se
62
que prenant leurs modèles dans la biologie et les
technologies
douces187, non plus dans la mécanique et les techniques de brutalisat
63
r ont été frontalières en d’autres temps. 187. «
Technologie
douce » évoque « doux rêveur » dans les esprits qui se croient réalis
64
ropre en essayant de passer progressivement d’une
technologie
« dure » à une technologie douce…, etc. Depuis quarante ans, je le re
65
progressivement d’une technologie « dure » à une
technologie
douce…, etc. Depuis quarante ans, je le redis : la puissance, c’est l
66
monde, qu’une « dernière défense des nantis ». La
technologie
dure (hardware) agressive et polluante, reste à leurs yeux l’arme par
67
lculé Amory Lovins — alors que l’introduction des
technologies
douces, au contraire, créerait des dizaines de milliers d’emplois nou
68
On ajouterait de nos jours nos pollutions et nos
technologies
fauteuses de famines. 7. G. Boas et A. Lovejoy, Primitivism and rel
69
seul contre ces deux produits inéluctables de nos
technologies
: l’inflation et le chômage. Dans leur état actuel de division, nos s
70
rait-elle pas un premier phénomène de rejet de la
technologie
rationaliste et du matérialisme qu’elle favorise, contraire au Coran
71
nforcement totalitaire de l’État centralisé). 34.
Technologie
dure, technologies douces, énergies. 35. Transports, leurs modes, leu
72
aire de l’État centralisé). 34. Technologie dure,
technologies
douces, énergies. 35. Transports, leurs modes, leurs impacts sur natu
73
la recherche : sciences physiques, mathématiques,
technologie
, philosophie, éducation, droit international, histoire, arts, archéol
74
rait-elle pas un premier phénomène de rejet de la
technologie
rationaliste et du matérialisme qu’elle favorise, contraire au Coran
75
de la connaissance en Occident. 3. Au-delà de la
technologie
. Comment passer de l’ère technique à l’ère de l’équilibre humain ? En
76
de la danse et du rêve. Tout ce qui échappe à la
technologie
, et qu’elle tend à éliminer. Le xxe siècle n’a pas su produire à l’e
77
es propres au continent en capitaux, équipements,
technologie
, compétence et créativité. Faute de concertation à l’échelle continen
78
tie au transfert (par les multinationales) de nos
technologies
aux pays du tiers-monde ; enfin à une certaine lassitude de la sociét
79
itaire et de production sans cesse accrue par les
technologies
de pointe. Exemples : — les nouvelles techniques en sidérurgie, appli
80
onnellement « favorable » de l’exploitation de la
technologie
fondée sur la science, on s’est aperçu que cette même technologie n’é
81
ée sur la science, on s’est aperçu que cette même
technologie
n’était plus en mesure de se développer à la vitesse et dans les cond
82
écouvert la loi des rendements décroissants de la
technologie
, qui paraît dominer désormais la relation entre le progrès industriel
83
concertation internationale sur les transferts de
technologies
, afin d’éviter qu’ils ne détruisent les écosystèmes dans les pays réc
84
transition à une telle société ? Quelles sont les
technologies
requises ? 7. Diminuer (par décisions communautaires) le taux de cro
85
aux multinationales européennes, exportatrices de
technologies
, de faire des bénéfices très supérieurs à ce que coûte aux contribuab
86
Concerter à l’échelle mondiale les transferts de
technologie
. Tout cela suppose des pouvoirs fédéraux européens. 2. Donner aux com
87
er, qui est l’acte poétique, toutes choses que la
technologie
du xxe siècle menaçait de nous désapprendre. Le solaire n’est pas, n
88
gique ». Or « la science, source directe de cette
technologie
moderne, en porte une grande part de responsabilité ». Devant ce chan
89
ts, lettres, sciences, philosophie, architecture,
technologie
— dont jamais la commune appartenance à l’unité européenne n’aura été
90
et des Campanella, le futurisme des arts et de la
technologie
; à la découverte de l’espace terrestre et sidéral par Colomb et par
91
les domaines du savoir humain, de la poésie à la
technologie
, et qui semble actuellement dominer l’université française, comme l’É
92
ni nos projets. » L’avion, l’auto, tout ce que la
technologie
a réalisé, ce sont des rêves de l’homme, dont nous ne pouvions pas pr
93
uel nous jettent les récents développements de la
technologie
et en général des sciences physiques, chimiques et biologiques, consi
94
res découvertes de la science ou inventions de la
technologie
n’ont été que par métaphore des « révolutions ». Par quoi l’on voulai
95
é accrues de la personne. 3. Ambivalence de la
technologie
Je ne suis pas et n’ai jamais été, pour des raisons ou préjugés qu
96
ons jamais l’ambivalence inévitable de toutes nos
technologies
. — La « révolution » technique de l’automation devait amener l’ère de
97
l’industrie parte non pas des possibilités de la
technologie
, mais des besoins existants (contrairement à la phrase citée plus hau
98
’est le cas de l’électronique — les progrès de la
technologie
vont beaucoup plus vite que les besoins. 87. Cf. article du Dr Klaus
99
uel nous jettent les récents développements de la
technologie
et, en général, des sciences physiques, chimiques et biologiques, con
100
découvertes de la Science ou les inventions de la
Technologie
n’ont été que par métaphore des « révolutions ». Par révolution, l’on
101
que je souhaite aborder. 3. Ambivalence de la
technologie
Il m’importe d’insister tout d’abord sur ce point : je ne suis pas
102
ons jamais l’ambivalence inévitable de toutes nos
technologies
: — la « révolution » technique de l’automation devait amener l’ère d
103
l’industrie parte non pas des possibilités de la
technologie
, mais des besoins existants (contrairement à la phrase citée plus hau
104
’est le cas de l’électronique — les progrès de la
technologie
vont beaucoup plus vite que les besoins. » 76. Cf. art. du Dr Klaus
105
t toute chose, il faut considérer la fin. Car la
technologie
n’innove pas selon la loi des choses, domaine du prévisible, mais sel
106
de l’ordre de cinq à dix ans dans le monde de la
technologie
où l’inertie pourtant est tellement inférieure à ce qu’elle est dans
107
« lois » de l’économie, les « impératifs » de la
technologie
et la « fatalité » de la guerre, c’est-à-dire, dans l’ère nucléaire,
108
domaine des sciences physiques, dans celui de la
technologie
, en biologie et même en génétique, mais comme il semble à peu près ex
109
es propres au continent en capitaux, équipements,
technologie
, compétence et créativité. Faute de concertation à l’échelle continen
110
développements des sciences physiques et de leurs
technologies
de pointe, dont il n’a pu connaître en 1948 que les balbutiements : j
111
u chômage ? » Je posais la question suivante : la
technologie
moderne permet de libérer l’ouvrier des tâches mécaniques et serviles
112
problème crucial des progrès indissociables de la
technologie
et du chômage ? Essayons de voir un peu ce que nous disent les chiffr
113
nit un bel exemple des pouvoirs libérateurs de la
technologie
. Mais libérer l’homme de l’esclavage des machines n’est rien encore s
114
l y a cinquante ans, à propos des résultats de la
technologie
occidentale : liberté ou chômage ? La question n’a toujours pas reçu
115
ependant que les couvents donnaient naissance aux
technologies
mécaniques et agricoles du monde occidental. Mais de nos centrales nu
116
omplexité du monde moderne. L’essor des nouvelles
technologies
, la diversification des moyens de communication, par exemple, permett
117
tions fondamentales. Dès lors que l’industrie, la
technologie
, assurent aux hommes le nécessaire vital, et permettent d’attendre un
118
éré de la nécessité pure, grâce aux progrès de la
technologie
. Mais cette libération contraint paradoxalement l’humanité au choix d