1 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
1 tres. Une femme aux cheveux noirs en bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il avait murmuré : Marie Pleyel. Quand la pl
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
2 tres. Une femme aux cheveux noirs en bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il avait murmuré : Marie Pleyel. Quand la pl
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 e grande jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Andersen. Oh ! qu’elle vienne s’asseoir ici ! Mais je
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 e grande jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Andersen. Oh ! qu’elle vienne s’asseoir ici ! Mais je
5 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
5 dérations très vaguement physiognomoniques sur le teint et la complexion de l’auteur de l’Institution. Ce qui ne fait guère h
6 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
6 us dur, sportif, le regard froid et « objectif », teint pâle, lunettes, une lourdeur dans le bas du visage10. Avant 1933, on
7 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
7 s à Nous, regarde notre doigt que nous avons déjà teint dans le sang des amants. » De plus, les indiscrets sont soupçonnés d’
8 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
8 s à Nous, regarde notre doigt que nous avons déjà teint dans le sang des amants. » De plus, les indiscrets sont soupçonnés d’
9 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
9 s à Nous, regarde notre doigt que nous avons déjà teint dans le sang des amants. » De plus, les indiscrets sont soupçonnés d’
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
10 e grande jeune fille nette aux yeux bleu-vert, au teint de princesse d’Andersen. Oh ! qu’elle vienne s’asseoir ici ! Mais je
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
11 us dur, sportif, le regard froid et « objectif », teint pâle, lunettes, une lourdeur dans le bas du visage56. Avant 1933, on
12 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
12 une de ces cartes qui représentent un amoureux au teint de cire penché sur une beauté bleuâtre, le tout sur fond bistré et ar
13 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
13 s prenaient ce type dur, ce regard “objectif”, ce teint pâle, cette lourdeur dans le bas du visage, qui permet de reconnaître
14 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
14 prenaient ce type dur, ce regard « objectif », ce teint pâle, cette lourdeur dans le bas du visage, qui permet de reconnaître
15 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
15 és de pâtre grec, un front de taurillon d’Uri, le teint brun. Virtuosité du trait qui me rappelle Urs Graf, prédominance du g
16 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
16 r la faim. Quand ses chaussettes sont trouées, il teint à l’encre ses talons. En 1887, une espèce de vagabond sans bagage éch
17 1972, Penser avec les mains (1972). Préface 1972
17 hacun voit que ce ne sont pas les communistes bon teint de l’Union des écrivains soviétiques qui sont « engagés » par leur œu
18 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). « L’écrivain engagé, tel que je l’imagine et l’appelle »
18 aujourd’hui : ce ne sont pas les communistes bon teint de l’Union des écrivains soviétiques qui sont « engagés » par leur œu
19 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
19 le dernier attribut de la jeunesse évanouie ; son teint sans couleur, ses cils pâles, ses yeux d’un bleu presque éteint, sa p