1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
1 ulignent de verdure l’horizontale des toitures en terrasses . Des perspectives régulières recoupées à 200 et 400 mètres par les pl
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
2 nnonce du décès de mon père. » J’étais assis à la terrasse ensoleillée d’un café ; une brise passa, et une femme en robe bleue l
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
3 d’une flânerie de saison, vous vous attardez aux terrasses des cafés. Peut-être va-t-elle revenir avec son Johannes laqué. Ah !
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
4 vérences… La rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’o
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 xquise, navrante. Il reste de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y boire à petits coups une amertume acide et tiède comme
6 mmobilise une minute aux lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un souffle épi
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 s ponts sonores, au long d’un quai tout fleuri de terrasses  ; on nous déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis
8 ouverture étroite on passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu él
9 iennois, je les ai vus portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans leurs limousines armoriées — couronne
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
10 conte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi m
11 s de l’Asie. En sortant du concert, j’ai erré aux terrasses des hôtels, dans le grandiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’il
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
12 la maladie qui depuis longtemps l’enfiévrait, le terrasse , dans la boue, sous la pluie. Il renaîtra bientôt à la vie, mais cett
9 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
13 l’italienne. Un projecteur balaie les gazons, les terrasses , des amateurs de baisers dans l’ombre et des fumeurs isolés qui ont f
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
14 s ponts sonores, au long d’un quai tout fleuri de terrasses  ; on nous déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis
15 ouverture étroite on passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu él
16 iennois, je les ai vus portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans leurs limousines armoriées — couronne
17 conte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à
18 s de l’Asie. En sortant du concert, j’ai erré aux terrasses des hôtels, dans le grandiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’il
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
19 érences…   La rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’o
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
20 e jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brûlantes au matin, dominant la ville, ses bruits de c
13 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
21 xquise, navrante. Il reste de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y boire à petits coups une amertume acide et tiède comme
22 mmobilise une minute aux lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un souffle épi
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
23 l’italienne. Un projecteur balaie les gazons, les terrasses , des amateurs de baisers dans l’ombre et des fumeurs isolés qui ont f
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
24 s ponts sonores, au long d’un quai tout fleuri de terrasses  ; on nous déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis
25 ouverture étroite on passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu él
26 iennois, je les ai vus portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans leurs limousines armoriées — couronne
27 conte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de grande ville indescriptible, à
28 s de l’Asie. En sortant du concert, j’ai erré aux terrasses des hôtels, dans le grandiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’il
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
29 évérences… La rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’o
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
30 e jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brûlantes au matin, dominant la ville, ses bruits de c
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
31 st bien New York… Si je me retourne un peu sur ma terrasse , voici la perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un paysage im
32 Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de terrasses , du deuxième au trentième étage du River Club, où vivent des milliard
33 eure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées sur le onzième étage
34 plus bas dans les buildings voisins séparés de ma terrasse par un gouffre profond mais étroit, je vois des couples et des solita
35 oir, il fait trop chaud. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre
36 et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses , moments les plus aigus de la vie, au jour qui point, quand toutes ch
37 ent râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l
38 ique, l’autre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
39 Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du village viennent
20 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
40 de la République des Lettres, ayant sa place à la terrasse du café de leur commerce, emboîtant le pas à leurs musiques militaire
41 ergsonien pittoresque et succulent, devisant à la terrasse des Deux Magots, n’a pas eu le temps de s’apercevoir que « les grande
21 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
42 ans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la terrasse , une fontaine abondante coule dans un fort grand bassin rectangulaire
43 descend par d’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à
44 paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la terrasse , au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de l
45 village. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur
46 . Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasses , c’est gênant. Un homme me disait l’autre jour : Ah, monsieur le past
22 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
47 . Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre des terrasses , ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard,
48 itié humaine. J’entends un bruit de bêche sur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit p
49 oyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses , la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et le
50 notre chambre, et dans la cour, et sur toutes les terrasses . Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé de
51 au jardin, je me penche par hasard au bord de la terrasse , et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et p
52 . Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très bien. S’il s’agit
53 t de marches nobles. La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à
54 maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses , enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée, on voit une
23 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
55 ans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la terrasse , une fontaine abondante coule dans un fort grand bassin rectangulaire
56 descend par d’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à
57 paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la terrasse , au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de l
58 village. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur
59 . Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasses , c’est gênant. Un homme me disait l’autre jour : Ah, monsieur le past
60 . Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre des terrasses , ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard,
61 itié humaine. J’entends un bruit de bêche sur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit p
62 oyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses , la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et le
63 notre chambre, et dans la cour, et sur toutes les terrasses . Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé de
64 au jardin, je me penche par hasard au bord de la terrasse , et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et p
65 . Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très bien. S’il s’agit
66 t de marches nobles. La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à
67 maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses , enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée, on voit une
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
68 n’a bougé. Les mêmes têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes cafés. Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histo
69 t 1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte d’Italie, au milieu de ce que les journaux appellent le «
25 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
70 e que j’aurai mieux à faire qu’à me rasseoir à la terrasse des Deux Magots. z. « Le petit nuage », La DAC, Berne, n° 3, avril 1
26 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
71 s sicut Deus ? « Qui est comme Dieu ? » Et ce cri terrasse le diable, cette lance transperce le serpent qui sifflait : « Vous se
27 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
72 s sicut Deus ? « Qui est comme Dieu ? » Et ce cri terrasse le diable, cette lance transperce le serpent qui sifflait : « Vous se
28 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
73 s sicut Deus ? « Qui est comme Dieu ? » Et ce cri terrasse le diable, cette lance transperce le serpent qui sifflait : « Vous se
29 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
74 e chaleur sur New York, et voici les balcons, les terrasses , les jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un
30 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
75 st bien New York… Si je me retourne un peu sur ma terrasse , voici la perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un paysage im
76 Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de terrasses , du dixième au trentième étage du River Club, où vivent les milliarda
77 eure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches, posées sur le onzième étag
78 lus bas, dans les buildings voisins séparés de ma terrasse par un gouffre profond mais étroit, je vois des couples et des solita
79 oir, il fait trop chaud. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre
80 et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses , moments les plus aigus de la vie, au jour qui point, quand toutes ch
81 ent râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l
82 ique, l’autre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de
31 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
83 st bien New York… Si je me retourne un peu sur ma terrasse , voici la perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un paysage im
84 Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de terrasses , du dixième au trentième étage du River Club, où vivent les milliarda
85 eure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches, posées sur le onzième étag
86 lus bas, dans les buildings voisins séparés de ma terrasse par un gouffre profond mais étroit, je vois des couples et des solita
87 oir, il fait trop chaud. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre
88 et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses , moments les plus aigus de la vie, au jour qui point, quand toutes ch
89 ent râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l
90 ique, l’autre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de
32 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
91 me de la vie… À Nîmes, halte de dix minutes à la terrasse d’un grand café. Beaucoup de monde, mais peu d’animation. On nous ser
92 er ? Sans eux, l’on oublierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent c
33 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
93 littéraire » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien
34 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
94 de la terre jusqu’au bleu pur, contemplées de la terrasse du cimetière où s’abrite une très vieille chapelle anglicane, sous de
35 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
95 imerie. À droite, je domine le toit plat, formant terrasse , d’une maison de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par
96 e chaleur sur New York, et voici les balcons, les terrasses , les jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un
36 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
97 au coin de Beekman Place et de la 51e rue. De ma terrasse vertigineuse, je domine toute proche la maison des Max Ernst, dont l’
98 st bien New York… Si je me retourne un peu sur ma terrasse , voici la perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un paysage im
99 Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de terrasses , du dixième au trentième étage du River Club, où vivent les milliarda
100 eure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées sur le onzième étage
101 lus bas, dans les buildings voisins séparés de ma terrasse par un gouffre profond mais étroit, je vois des couples et des solita
102 oir, il fait trop chaud. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre
103 et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses , moments les plus aigus de la vie, au jour qui point, quand toutes ch
104 ent râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mais le cœur s’ouvre — l
105 ique, l’autre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
106 l’italienne. Un projecteur balaie les gazons, les terrasses , des amateurs de baisers dans l’ombre et des fumeurs isolés qui ont f
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
107 s ponts sonores, au long d’un quai tout fleuri de terrasses  ; on nous déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis
108 ouverture étroite on passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu él
109 iennois, je les ai vus portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans leurs limousines armoriées — couronne
110 conte la musique — tu vas l’entendre à toutes les terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de ville indescriptible, à demi m
111 s de l’Asie. En sortant du concert, j’ai erré aux terrasses des hôtels, dans le grandiose bavardage des Tziganes. Qu’est-ce qu’il
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
112 érences…   La rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’o
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
113 e jardin est abandonné depuis des années, sur ses terrasses étroites, déjà brûlantes au matin, dominant la ville, ses bruits de c
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
114 ans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la terrasse , une fontaine abondante coule dans un fort grand bassin rectangulaire
115 descend par d’étroits escaliers aux quatre autres terrasses du jardin, étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à
116 paraissait désert. Nous nous sommes assis sur la terrasse , au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de l
117 village. En face ou à côté, il y a les cafés, les terrasses sous les platanes, et le dimanche matin, les hommes y vont boire leur
118 . Si l’on va au culte, il faut défiler devant les terrasses , c’est gênant. Un homme me disait l’autre jour : « Ah, monsieur le pa
119 . Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre des terrasses , ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est vu du premier regard,
120 itié humaine. J’entends un bruit de bêche sur une terrasse invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit p
121 oyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasses , la colline plus riche d’ombres et de lueurs doucement étagées. Et le
122 notre chambre, et dans la cour, et sur toutes les terrasses . Avec des cris et des râles presque humains. Ce matin, j’ai trouvé de
123 au jardin, je me penche par hasard au bord de la terrasse , et voilà que je découvre au-dessous de moi un spectacle étrange et p
124 . Le bassin est à 50 mètres de la maison, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très bien. S’il s’agit
125 t de marches nobles. La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à
126 maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses , enclos de très hauts murs. À travers la grille ouvragée, on voit une
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
127 n’a bougé. Les mêmes têtes aux mêmes heures à la terrasse des mêmes cafés. Chaque chose est à sa place dans l’espace et l’histo
128 t 1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte d’Italie, au milieu de ce que les journaux appellent le «
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
129 ême de la vie… À Nîmes, halte de dix minutes à la terrasse d’un grand café. Beaucoup de monde, mais peu d’animation. On nous ser
130 er ? Sans eux, l’on oublierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent c
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
131 littéraire » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
132 de la terre jusqu’au bleu pur, contemplées de la terrasse du cimetière où s’abrite une très vieille chapelle anglicane, sous de
133 rivons aujourd’hui, un château anglais entouré de terrasses et de jardins à la française, statues, pièces d’eau et boulingrins. L
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
134 e. Plus à droite, je domine le toit plat, formant terrasse , d’une maison de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par
135 us, Frobenius. Hier c’était au Brevoort, la seule terrasse de café de New York, avec quelques jeunes professeurs de l’École libr
136 e chaleur sur New York, et voici les balcons, les terrasses , les jardins suspendus jusqu’au trentième étage qui se couvrent d’un
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
137 man Place et de la cinquante et unième rue. De ma terrasse vertigineuse, je domine toute proche la maison des Max Ernst, dont l’
138 st bien New York… Si je me retourne un peu sur ma terrasse , voici la perspective de l’East River jusqu’à Brooklyn. Un paysage im
139 Si je me tourne vers le nord, je vois un monde de terrasses , du dixième au trentième étage du River Club, où vivent des milliarda
140 eure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées sur le onzième étage
141 plus bas dans les buildings voisins séparés de ma terrasse par un gouffre profond mais étroit, je vois des couples et des solita
142 oir, il fait trop chaud. Des rires viennent d’une terrasse obscure, un cliquetis de tiges de verre dans les highballs. Je rentre
143 et j’aligne mes mots. Petits matins déjà doux des terrasses , moments les plus aigus de la vie, au jour qui point, quand toutes ch
144 ent râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mais le cour s’ouvre — l
145 ique, l’autre en Moïse de Michel-Ange. Et sur une terrasse dormante, deux ou trois étages plus bas, quelqu’un sortait en robe de
146 ant comme une petite maison en soi, posée sur les terrasses . 94. Je n’oublie pas celui du général de Gaulle à la radio de Londre
48 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
147 littéraire » dans ce pays. Et ce n’était pas une terrasse de café, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien
148 imerie. À droite, je domine le toit plat, formant terrasse , d’une maison de trois étages, qui est un couvent. Les nonnes, deux p
49 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
149 ne connais dans tout New York qu’une seule vraie terrasse de café, celle du Brevoort, au bas de la Cinquième Avenue. C’est là q
50 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
150 Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du village viennent
51 1948, Suite neuchâteloise. VII
151 Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du village viennent
52 1950, Articles divers (1948-1950). Il est impossible de sauver l’Europe sans sauver sa culture (5 août 1950)
152 leur métier de nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. ⁂ Je dirai plus. Le monde mode
53 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
153 leur métier de nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. Bien plus, le monde moderne to
54 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
154 leur métier de nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. Je dirai plus. Le monde modern
55 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
155 leur métier de nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou par nos livres. Bien plus, le monde moderne to
56 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
156 to. Devant moi, quelques marches conduisent à une terrasse surélevée d’un mètre. Des hommes assis sur le rebord, jambes pendante
157 té de la rue. Au fond, dans le prolongement de la terrasse , on distingue entre les feuillages des maisons, des enfants qui jouen
57 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
158 le crépuscule d’un régime (octobre 1957)ag Une terrasse de café, sur cette place de Venise que le Guide bleu décrit un peu my
159 lichés. Je n’entends ici, dans les ruelles et aux terrasses , que des jugements triviaux ou malveillants : il paraît que les canau
58 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
160 roulant, jusqu’à l’ombrage des marronniers de la terrasse . Là, Kassner recevait presque chaque jour des visiteurs venus des qua
59 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
161 roulant, jusqu’à l’ombrage des marronniers de la terrasse . Là, Kassner recevait presque chaque jour des visiteurs venus des qua
60 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
162 e l’âme européenne. … Maintenant, sur une immense terrasse d’Elsinore, qui va de Bâle à Cologne, qui touche aux sables de Nieupo
61 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
163 ché, boutiques, chapelles, sans oublier plusieurs terrasses de café. Dans le centre aussi, un groupe de bâtiments contient la bib
62 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
164 ché, boutiques, chapelles, sans oublier plusieurs terrasses de café. Dans le centre aussi, un groupe de bâtiments contient la bib
63 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
165 il en inclinant sa tête aux traits profonds. À la terrasse de l’auberge voisine, sur une petite place au soleil, il parle du pay
166 es qu’elle impose au vigneron travaillant sur les terrasses de Lavaux : « D’où cette démarche qu’ils ont ; d’où encore la nécessi
64 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Stampa, vieux village… (15-16 janvier 1966)
167 ues, et nous sommes allés prendre un verre sur la terrasse du Café de la Poste, au grand soleil. J’écrivais à ce moment un livre
65 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
168 On se rencontrait chez l’un ou l’autre, faute de terrasses de café, une ou deux soirées par semaine, et l’on se livrait avec bea
66 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
169 urtout dans les rues de Paris, suivant Nadja, aux terrasses de café entouré de son groupe, ou seul, dans sa veste de daim, arpent
170 On se rencontrait chez l’un ou l’autre, faute de terrasses de café, une ou deux soirées par semaine, et l’on se livrait avec bea
67 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
171 aît leur présence…) ⁂ Nous avons déjeuné sur une terrasse d’auberge accrochée juste au-dessous du tournant de la route, à deux-
68 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
172 leur métier de nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris, ou dans nos livres. Je dirai plus. Le monde moder
69 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui
173 ché, boutiques, chapelles, sans oublier plusieurs terrasses de café. Dans le centre aussi, un groupe de bâtiments contient la bib
70 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
174 leur métier de nos maîtres, dans nos écoles, aux terrasses des cafés de Paris ou dans nos livres. Je dirai plus. Le monde modern
71 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
175 , lieu des échanges économiques, des portiques ou terrasses de cafés réservés aux échanges d’opinions et de nouvelles, plus tard
72 1973, Articles divers (1970-1973). Une possibilité européenne : la région genevoise (novembre 1973)
176 ccupait la délégation française, à Versoix. De la terrasse , il lui fit admirer le paysage, en précisant que là-bas, de l’autre c
73 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
177 cours et séminaires se tenaient au début sur une terrasse d’auberge, sur un pré, dans une salle de bal du seul hôtel. Depuis, M
74 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). III. Venise : colloque sur le fédéralisme, modèle de l’Europe
178 ns trajets. J’ai cherché pendant des années cette terrasse de petit restaurant sur une place que fermait au sud le haut mur gren
75 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
179 , lieu des échanges économiques, des portiques ou terrasses de cafés réservés aux échanges d’opinions et de nouvelles, plus tard
76 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
180 n, nous sillonnions New York à la recherche d’une terrasse de café, que nous ne trouvâmes jamais. Parfois, dans la 5e Avenue, Br
77 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
181 es à barreaux de fer donnent sur les vignobles en terrasse et le lac dans sa coupe de lumière. Ramuz vous offre une cigarette de
78 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Université par l’Europe et vice versa (hiver 1979)
182 ché, boutiques, chapelles, sans oublier plusieurs terrasses de café. Dans le centre aussi, un groupe de bâtiments contient la bib
79 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
183 e. Plus à droite, je domine le toit plat, formant terrasse , d’une maison de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par
80 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
184 eures. J’y suis à 20 h 03. Duchamp est là, sur la terrasse , « toujours un peu plus qu’exact », me dit-il, comme pour s’excuser.
81 1988, Inédits (extraits de cours). Communautés, communes
185 es journaux. C’est encore devant les cafés et les terrasses de cafés que vous avez, aujourd’hui, les kiosques à journaux. C’est a