1 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
1 t grand temps qu’on nous traduise quelques essais théologiques . L’œuvre de Rudolf Kassner, de moindre envergure — à cause de sa rare
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
2 lleurs. Mais les tentatives de rupture proprement théologiques nous paraissent encore plus significatives et plus riches de possibil
3 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
3 s excusons pas d’avoir recours ici à des formules théologiques , puisque précisément, à l’origine du désordre, et plus encore dans so
4 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
4 s Kierkegaard, remet au premier plan de la pensée théologique . C’est de cette situation profondément paradoxale, assumée dans sa tr
5 e sur les possibilités et la valeur de l’activité théologique . Barth compare à plusieurs reprises la théologie à cette étrange main
5 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
6 s quotidiens. Il me reste à marquer la dépendance théologique d’une analyse qui peut paraître strictement humaine. On peut parler e
6 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
7 perd sa saveur. Les ravages de cette indifférence théologique sont tels qu’on se demande parfois si nos temples sont encore fréquen
7 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
8 de critiquer vivement certaines des suppositions théologiques qu’implique l’attitude de Buchman. Car ce n’est pas assez que de se r
8 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
9 e triomphe en général au terme des basses époques théologiques . 3. Jésus de Nazareth, mythe ou histoire ? chez Payot. 4. Chez Pa
9 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
10 as sans justifications philosophiques, voire même théologiques … mais nous en parlerons une autre fois. Autre question. — Qu’est-ce
10 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
11 n, l’esprit et la matière. Il évoque une position théologique . Il évoque un certain humanisme, un certain moralisme, un certain opt
12 ance, c’est-à-dire une opposition essentiellement théologique . Les marxistes croient (comme certain christianisme libéral et comme
11 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
13 ange ni bête : ni gauche ni droite23 (Fondements théologiques d’une action politique) En dépit de la vieille polémique des bien-p
12 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
14 s excusons pas d’avoir recours ici à des formules théologiques , puisque précisément, à l’origine du désordre, et plus encore dans so
13 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
15 nous montrer plus exigeants sur l’interprétation théologique qu’on nous propose au dernier chapitre. Prenons garde de laisser s’in
14 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
16 as sans justifications philosophiques, voire même théologiques … mais nous en parlerons une autre fois. Deuxième question. — Qu’est-
15 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
17 n, l’esprit et la matière. Il évoque une position théologique . Il évoque un certain humanisme, un certain moralisme, un certain opt
18 ance, c’est-à-dire une opposition essentiellement théologique . Les marxistes croient (comme certain christianisme libéral et comme
16 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
19 i ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique) 18 En dépit de la vieille polémique des bi
17 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
20 s excusons pas d’avoir recours ici à des formules théologiques , puisque précisément, à l’origine du désordre, et plus encore dans so
18 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
21 personnages de Dostoïevski, commentée sur le plan théologique par Karl Barth, et sur le plan d’une poésie philosophique par Kierkeg
19 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
22 uffisamment armés de sens critique, de certitudes théologiques , et de cette liberté spirituelle que confère la connaissance vivante
20 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
23 oriseraient plus que jamais à en attendre. Erreur théologique à l’origine : Schelling pour appuyer son intuition concrète de la tot
24 s les temps du Livre de Job, de ce profond traité théologique qui ne fait pas intervenir un seul concept abstrait, et qui ne connaî
21 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
25 Barth nous offre maints exemples de mise au point théologique des thèses parfois fort équivoques de Kierkegaard. Le plus frappant e
22 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
26 lleurs l’objet de la conviction. Une belle soirée théologique  ! On invoquait tantôt Heidegger ou Brunner, tantôt l’esprit français,
27 us essayez plutôt de la conjurer par des formules théologiques . Je ne nie pas un instant la vérité, comme telles, de ces formules. M
28 n suis trop sûr, quand vous en faites un argument théologique  ! Où donc est-il, celui qui accepte de mourir ? Oui, maintenant, je v
23 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
29 ntre vous trouvent ces préliminaires terriblement théologiques . Il se peut que ma définition de la vocation du chrétien vous ait par
24 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
30 e se lasse pas de comparer le rôle de ces témoins théologiques au Jean-Baptiste de la Crucifixion de Grünewald, dont la main prodigi
25 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
31 minent notre siècle.) Du point de vue strictement théologique , qui est tout de même décisif en ces matières, l’alternative que je v
26 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
32 plines intellectuelles, singulièrement des études théologiques ou simplement logiques ». S’il m’est permis de faire ici un peu de th
33 compte cette erreur de vocabulaire, ou en langage théologique , ce blasphème ; 3° si l’incarnation de l’Esprit, c’est-à-dire Jésus-C
27 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
34 ne ici — M. Monod rejoint souvent des conclusions théologiques que Barth ne saurait renier. Cette convergence paradoxale et imprévue
35 reconnue grâce au Saint-Esprit. Laissons l’aspect théologique de cet ouvrage : son style de pensée, sa démarche insolite et dramati
36 nt de richesses disparates, le sérieux proprement théologique du raisonnement ne soit parfois diminué par certains calembours trop
37 considération hardie du cosmos. Quant à sa thèse théologique , je me contente de suggérer qu’on l’admettrait plus aisément si l’aut
28 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
38 sure du Moyen Âge, c’est justement cette primauté théologique . L’étudier en elle-même et dans ses manifestations ecclésiastiques,
29 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
39 ielle » sous toutes ses formes, et des mouvements théologiques et politiques qui préfigurent dès maintenant l’ordre nouveau, communa
30 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
40 sure du Moyen Âge, c’est justement cette primauté théologique . L’étudier en elle-même et dans ses manifestations ecclésiastiques, i
31 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
41 ielle » sous toutes ses formes, et des mouvements théologiques et politiques qui préparent et qui préfigurent dès maintenant l’ordre
32 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
42  : ils s’étonnent d’y trouver si peu de substance théologique et tant de plaisanteries parfois grossières, de platitudes, de contra
43 936) à louer la mesure et la sérieuse information théologique … Ceci dit, il est juste d’insister sur la grande valeur des travaux d
44 titude du « témoin ». Opposition qui, sur le plan théologique , ou mieux : dans la totalité de l’être, revient à celle d’un christia
45 que Luther est « déterministe ». Mais le sérieux théologique est chose trop rare, et pour beaucoup trop difficile à concevoir, pou
33 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
46 isse aux spéculations mystiques, et aux problèmes théologiques qui s’y rattachent étroitement, c’est cette étrangeté même de l’objet
47 et qu’il se pose au seul jugement métaphysique et théologique de chaque génération. 3. Ceci dit, il me paraît utile de poser ce pro
34 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
48 nt, répugne absolument à concevoir que les dogmes théologiques puissent figurer la théorie d’une pratique49. Le christianisme n’est
49 ns, car nous ne parlons pas de vérités « purement théologiques  » comme le dirait un incroyant. Que servirait à l’homme, tel que le v
50 et Marx !54 C’est ici qu’une critique proprement théologique se révèle seule capable de marquer les limites existant en fait, et l
51 mbe directement sous le coup de la seule critique théologique , ce sont les buts derniers du communisme et les postulats qu’il suppo
35 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
52  : ils s’étonnent d’y trouver si peu de substance théologique et tant de plaisanteries parfois grossières, de platitudes, de contra
53 936) à louer la mesure et la sérieuse information théologique … Ceci dit, il est juste d’insister sur la grande valeur des travaux d
54 titude du « témoin ». Opposition qui, sur le plan théologique , ou mieux : dans la totalité de l’être, revient à celle d’un christia
55 que Luther est « déterministe ». Mais le sérieux théologique est chose trop rare, et pour beaucoup trop difficile à concevoir, pou
36 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
56 sans doute attribuer au Procès une signification théologique . Mais ce n’est pas la seule possible. Il y a aussi dans ce livre une
37 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
57 ec Martin Heidegger et Karl Jaspers. La troisième théologique  : l’école dialectique, qui sous l’impulsion de Karl Barth est en trai
38 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
58 les, tant d’intentions52, tant de correspondances théologiques , et finalement pour en extraire un matériel encore utilisable. Il me
39 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
59 même que j’en ressens l’obligation. Ma formation théologique protestante m’incite à rechercher, en chaque domaine, non point le gé
40 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
60 . À l’occasion de ces traités, les mêmes disputes théologiques se produisirent, qui devaient renaître un peu plus tard dans le Moyen
41 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
61 té et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologiques traditionnelles qui ne trouvaient point dans la Bible leur fondement.
42 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
62 s la conscience infiniment plus avertie et plus «  théologique  » du Docteur augustin. Ce serait ainsi par son aspect le plus catholi
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
63 couverte et la publication, en 1939, d’un ouvrage théologique (tardif il est vrai) le Livre des deux Principes 37 s’ajoutant à la r
64 . À l’occasion de ces traités, les mêmes disputes théologiques se produisirent, qui devaient renaître un peu plus tard dans le Moyen
65 arviennent à la transmuer en vertus et en vérités théologiques  : saint Bernard de Clairvaux et Abélard sont les pôles de ce drame da
66 e et du service, sa « théologie » et ses disputes théologiques , ses « initiés », les troubadours, et ses « croyants », le grand publ
67 rit remarquablement conscient de ses implications théologiques , fut le fait de Gottfried de Strasbourg, vers le début du xiiie sièc
68 la Nonne n’a cessé de hanter l’auteur de la plus théologique des versions de Tristan. 103. Un seul exemple : Gottfried v. 18352 à
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
69 té et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologiques traditionnelles qui ne trouvaient point dans la Bible leur fondement1
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
70 couverte et la publication, en 1939, d’un ouvrage théologique (tardif il est vrai) le Livre des deux Principes 30 s’ajoutant à la r
71 . À l’occasion de ces traités, les mêmes disputes théologiques se produisirent, qui devaient renaître un peu plus tard dans le Moyen
72 arviennent à la transmuer en vertus et en vérités théologiques  : saint Bernard de Clairvaux et Abélard sont les pôles de ce drame da
73 e et du service, sa « théologie » et ses disputes théologiques , ses « initiés », les troubadours, et ses « croyants », le grand publ
74 rit remarquablement conscient de ses implications théologiques , fut le fait de Gottfried de Strasbourg, vers le début du xiiie sièc
75 la Nonne n’a cessé de hanter l’auteur de la plus théologique des versions de Tristan. 95. Un seul exemple : Gottfried v. 18352 à
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
76 té et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologiques traditionnelles qui ne trouvaient point dans la Bible leur fondement1
47 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
77 s qu’aucune autre dans les périodes de dépression théologique . D’où le ressentiment qu’à son égard conçoivent beaucoup de « protest
48 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
78 Le premier de ces trois points est avant tout théologique . Je n’insisterai donc pas : vous avez entendu et entendrez encore des
79 itions dont je ne puis traiter ici : restauration théologique (elle est en plein essor) ; confession de foi (on en parle beaucoup) 
49 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
80 des hommes et des paysages dans une architecture théologique , c’est à peu près ce que nous avons perdu par une longue suite de « l
50 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
81 pliste, notre méfiance à l’égard de toute rigueur théologique , notre incompréhension des vraies complexités spirituelles, ont rejet
51 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
82 a terre sont religions de la mort. Vieille vérité théologique , que les malheurs du temps illustrent et raniment : « Ne craignez pas
52 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
83 tion biblique du diable, non pas dans ses aspects théologiques proprement dits, mais en tant qu’elle nous aide à mieux comprendre la
53 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
84 a terre sont religions de la mort. Vieille vérité théologique , que les malheurs du temps illustrent et raniment : « Ne craignez pas
54 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
85 n, qu’ils n’ont pas lu de leur vie un seul traité théologique . On les étonnerait davantage en leur disant que cela se sent dans tou
86 ent et son vocabulaire sont nés des grands débats théologiques aux siècles de la primitive Église. Notre musique, notre sculpture, n
87 n’aient été, à l’origine, des prises de position théologiques . Ignorer la théologie, c’est rompre avec la tradition la plus féconde
88 de l’Église et les grands hérétiques. La naïveté théologique de notre siècle est l’un des avantages les plus considérables de la n
89 tence du problème. Un certain nombre de tendances théologiques traditionnelles sont très probablement d’origine satanique : le pélag
55 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
90 tion biblique du diable, non pas dans ses aspects théologiques proprement dits, mais en tant qu’elle nous aide à mieux comprendre la
56 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
91 a terre sont religions de la mort. Vieille vérité théologique , que les malheurs du temps illustrent et raniment. « Ne craignez pas
57 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
92 n, qu’ils n’ont pas lu de leur vie un seul traité théologique . On les étonnerait davantage en leur disant que cela se sent dans tou
93 ent et son vocabulaire sont nés des grands débats théologiques aux siècles de la primitive Église. Notre musique, notre sculpture, n
94 n’aient été, à l’origine, des prises de position théologiques . Ignorer la théologie, c’est rompre avec la tradition la plus féconde
95 de l’Église et les grands hérétiques. La naïveté théologique de notre siècle est l’un des avantages les plus considérables de la n
96 ence du problème. Un certain nombre de tendances théologiques traditionnelles sont très probablement d’origine satanique : le pélag
58 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
97 s allez passer sans crier gare à des propositions théologiques . Souffrez alors que je m’avoue incompétent, et que j’assiste sans vou
59 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
98 Château, rapproche de la certitude mes hypothèses théologiques  : « Qu’est-ce en effet que ce « Château » avec ses étranges dossiers,
60 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
99  : ils s’étonnent d’y trouver si peu de substance théologique et tant de plaisanteries parfois grossières, de platitudes, de contra
100 attitude du témoin. Opposition qui, dans le plan théologique , ou mieux, dans la totalité de l’être, revient à celle d’un christian
101 que Luther est « déterministe ». Mais le sérieux théologique est chose trop rare, et pour beaucoup trop difficile à concevoir, pou
61 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
102 qu’aucune autre, dans les périodes de dépression théologique . D’où le ressentiment qu’à son égard conçoivent beaucoup de protestan
103 r des questions infiniment complexes, sociales ou théologiques , ne saurait s’expliquer autrement que par une défiance d’artiste à l’
62 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
104 Hegel, sont nées d’une controverse manifestement théologique à ses origines.) Et, en second, lieu, si la culture perd contact avec
105 réserver les droits et les devoirs de la critique théologique sur tous les plans et pas seulement d’une façon négative et restricti
63 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
106 ient en termes intraduisibles dans les catégories théologiques traditionnelles. Quant aux fidèles, ils avaient à se défendre contre
64 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
107 ptimisme fondamental. La transcendance ? Un terme théologique , probablement réactionnaire. Et le Mal, enfin ? Un trouble de fonctio
65 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
108 pris le départ dans une polémique spécifiquement théologique . Le marxisme ne fait pas exception à cette règle, comme on s’en conva
109 ce parfois suspecte — mais le débat central reste théologique , qu’on le veuille ou non, qu’on l’admette comme Bergson vers la fin d
110 critiques littéraires un minimum de connaissances théologiques , dont ils se montrent cruellement dépourvus. Et de même, je suis le p
111 les écoles modernes d’un point de vue strictement théologique  ? Une histoire qui nous montrerait non seulement ce que les écrivains
112 ageuse. Pourquoi faudrait-il qu’à l’obscurantisme théologique qui dénote la culture d’aujourd’hui, réponde chez les théologiens un
113 et de timidité bourgeoise, plutôt que de rigueur théologique  ? Au nom des besoins de la paroisse de campagne, trop souvent prise c
114 nçu, les thèses suivantes. 6. C’est l’extrémisme théologique qui agit aujourd’hui sur les écrivains, tandis que le libéralisme ten
115 rict, mais toute son œuvre manifeste une attitude théologique parfaitement cohérente et intransigeante, d’où son influence profonde
116 ral trouve à se nourrir moins dans telle doctrine théologique régnante que dans l’atmosphère et l’ambiance de controverses théologi
117 e dans l’atmosphère et l’ambiance de controverses théologiques mêlées à des questions politiques. Exemples : La poésie des troubado
118 e recherches peut-être féconde. 10. Une critique théologique de la littérature devra mettre en garde son public contre l’illusion
66 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
119 des hommes et des paysages dans une architecture théologique , c’est à peu près ce que nous avons perdu par une longue suite de « l
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
120 u rétablir sans cesse la cohérence de mes options théologiques , philosophiques et politiques. Et elle me permettait surtout de ne pa
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
121 la nécessité, pourtant prochaine, des définitions théologiques . C’est dans ce sens qu’on est en droit de parler d’un paganisme irrat
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
122 des hommes et des paysages dans une architecture théologique , c’est à peu près ce que nous avons perdu par une longue suite de « l
70 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
123 s allez passer sans crier gare à des propositions théologiques . Souffrez alors que je m’avoue incompétent, et que j’assiste sans vou
71 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
124 ient en termes intraduisibles dans les catégories théologiques traditionnelles. Quant aux fidèles, ils avaient à se défendre contre
72 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
125 ptimisme fondamental. La transcendance ? Un terme théologique , probablement réactionnaire. Et le Mal enfin ? Un trouble de fonction
73 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
126 ’il convient de les chercher dans un récent passé théologique . Il était de mise, au siècle dernier, chez les protestants, de déclar
127 es raisons, l’on peut attendre du grand renouveau théologique , initié par Karl Barth, un renouveau protestant dans la littérature.
128 s, pensez-vous que ceci soit dû à une orientation théologique , à des circonstances historiques, au hasard des situations ? Quel ris
74 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
129 la conversation vers des sujets religieux ou même théologiques , comme si c’était précisément pour m’en parler qu’il m’offrait l’hosp
75 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
130 e mes études, mon évolution philosophique et même théologique , enfin par une double prise de conscience historique, provoquée d’une
76 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
131 ns extérieures. Plus morale que rituelle, et plus théologique que mystique, c’est dans une œuvre comme la Croix-Rouge ou dans le ra
77 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
132 énote un abaissement catastrophique de la culture théologique dans notre monde, pour ne rien dire de la philosophie, de l’étymologi
78 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
133 1, lesquels ne seront pas abolis pour des raisons théologiques , mais militaires dans le premier cas, techniques dans l’autre. Enfin,
79 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
134 xploration de la matière (août 1955)r Genèse théologique de la personne Les mémoires d’un Grégoire de Nazianze, les chroniq
135 . Ainsi naquit l’idée de Personne, terme purement théologique aux yeux des Pères de Nicée, mais qui devait apparaître, après coup,
136 re science. Certes, on ne peut dire que le modèle théologique ait précédé la découverte des antinomies du réel : le conflit qui opp
137 hoix n’est donc pas scientifique, mais proprement théologique  : c’est l’hérésie que j’ai décrite. Qu’en est-il du choix des savants
138 nulle perte de temps29. Mais là encore, le choix théologique reste aussi apparent qu’il est inévitable. Et il opère en général sur
139 le qu’on reprochait au Moyen Âge. Car les vérités théologiques d’alors étaient plus à la portée du croyant moyen que les théories de
80 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
140 me relève autant des traditions philosophiques et théologiques de l’Occident que de l’héritage théologique de la chrétienté oriental
141 s et théologiques de l’Occident que de l’héritage théologique de la chrétienté orientale. Or, tout cela n’est pas dû à une simple i
81 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
142 arviennent à la transmuer en vertus et en vérités théologiques . Saint Bernard de Clairvaux et Abélard sont les pôles de ce drame dan
143 e et du service, sa « théologie » et ses disputes théologiques , ses « initiés », les troubadours, et ses « croyants », le grand publ
82 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
144 Les Confessions. 7. Saint Thomas d’Aquin : Somme théologique . 8. Béroul : Tristan. 9. Chrétien de Troyes : Le Chevalier au lion. 1
83 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
145 ’Europe va se détacher du monde antique. Genèse théologique de la personne Les mémoires d’un Grégoire de Nazianze, les chroniq
146 . Ainsi naquit l’idée de Personne, terme purement théologique aux yeux des Pères de Nicée, mais qui devait apparaître, après coup,
147 ces débats, informa par la suite toute la pensée théologique , dans les époques où la philosophie n’était encore que sa servante. M
84 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
148 6, lesquels ne seront pas abolis pour des raisons théologiques , mais militaires dans le premier cas, techniques dans l’autre. Enfin,
85 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
149 re science. Certes, on ne peut dire que le modèle théologique ait précédé la découverte des antinomies du réel : le conflit qui opp
150 hoix n’est donc pas scientifique, mais proprement théologique  : c’est l’hérésie que j’ai décrite. Qu’en est-il du choix des savants
151 nulle perte de temps65. Mais là encore, le choix théologique reste aussi apparent qu’il est inévitable. Et il opère en général sur
152 le qu’on reprochait au Moyen Âge. Car les vérités théologiques d’alors étaient plus à la portée du croyant moyen que les théories de
86 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
153 ne seule phrase : c’est de notre culture entière, théologique , philosophique et politique, que sont nées toutes nos sciences, et la
87 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
154 e l’Empire (Arcadius et Honorius), tantôt moitiés théologiques de l’Église (Rome et Byzance), ou enfin vastes et vagues désignations
88 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
155 s ecclésiastiques, voire que les grandes disputes théologiques qui ont formé la pensée de l’Europe au cours de siècles, qui me passi
89 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
156 omie, ils ne montent pas sur leurs grands chevaux théologiques , mais chacun suit sa voie, son « svadharma », sa religion particulièr
90 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
157 104 Tenter d’établir, en ce point, si l’attitude théologique de Kierkegaard « explique » sa conduite amoureuse, ou si ce n’est pas
91 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Pour une mythanalyse de la culture
158 Tenter de leur échapper en les taxant d’erreur —  théologique ou rationnelle — est une entreprise illusoire. Il s’agit de comprendr
92 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
159 31 » Tenter d’établir, en ce point, si l’attitude théologique de Kierkegaard « explique » sa conduite amoureuse, ou si ce n’est pas
93 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
160 la conversation vers des sujets religieux ou même théologiques , comme si c’était précisément pour m’en parler qu’il m’offrait l’hosp
94 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
161 omie, ils ne montent pas sur leurs grands chevaux théologiques , mais chacun suit sa voie, son « svadharma », sa religion particulièr
95 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Misère et grandeur de saint Paul
162 l’indignation morale et les règlements de comptes théologiques alternent leurs motifs, entrecoupés d’appels au secours (« Qui me dél
96 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
163 e l’Empire (Arcadius et Honorius), tantôt moitiés théologiques de l’Église (Rome et Byzance), ou enfin vastes et vagues désignations
97 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
164 des chrétiens aspire à professer la même religion théologique , politique et morale ; mais avant que ce miracle soit accompli, tous
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
165 er en trois périodes, qui correspondent en termes théologiques au Père, au Fils et au Saint-Esprit ; en termes philosophiques à ce q
99 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
166 échapper à ces guerres sans fin, à ces querelles théologiques et scolastiques qui se terminent trop souvent sur le bûcher ? Comment
100 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
167 uits les plus typiques des débats philosophiques, théologiques et politiques qui définissent l’esprit européen au xixe siècle. Ce s