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ais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà le princ
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ais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé dans cent occasions analogues. Voilà le princi
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ais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà le princ
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ais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà le princ
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ais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà le princ
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e devant sa liberté peut se mesurer au nombre des
tireuses
de cartes et de leurs clients avides d’anesthésie morale. Nous toucho
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ais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà le princ
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e devant sa liberté peut se mesurer au nombre des
tireuses
de cartes et de leurs clients avides d’anesthésie morale. Nous toucho
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leur croyance et leur sagesse par l’entremise des
tireurs
de cartes. Cette hypothèse a été formulée par le grand indianiste Hei
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ais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà le princ
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conceptuel. Le point noir qu’atteint la flèche du
tireur
aux yeux bandés est le point zéro de la cible, le Néant qui est en mê
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vieux Zénon, qui n’atteint pas le but, et sur le
tireur
aveugle qui l’atteint, qui, sans le voir, l’atteint. Dans les deux ca
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t puis, parfois, cela touche le noir. De là mon «
Tireur
zen », mon zen… L’arc est toujours tendu. Et oui, bien sûr, pourquoi
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nts, d’étudiants, de gymnastes, de médecins ou de
tireurs
au fusil !)23 qui seules entretenaient l’idéal d’une patrie commune e
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conceptuel. Le point noir qu’atteint la flèche du
tireur
aux yeux bandés est le point zéro de la cible, le Néant qui est en mê
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vieux Zénon, qui n’atteint pas le but, et sur le
tireur
aveugle qui l’atteint, qui, sans le voir, l’atteint. Dans les deux ca
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t puis, parfois, cela touche le noir. De là mon «
Tireur
zen », mon zen… L’arc est toujours tendu. Eh oui, bien sûr, pourquoi
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où il a fait son service militaire (galon de bon
tireur
) et dont les maisons et les mœurs ne ressemblent à rien au monde ; au
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o avait fait son service et gagné un galon de bon
tireur
— moi aussi, je l’ai eu ! m’écriai-je — jusqu’à Soglio tout proche et
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e unité, on poussait l’entraînement des meilleurs
tireurs
. On négligeait les autres, et je me résolus à profiter de ce répit po
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itation sur cet art. Il s’agit du tir à l’arc. Le
tireur
zen doit arriver à s’identifier au but (à la cible), à avoir ce but e
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anière assez frappante, à mes images initiales du
tireur
au fusil ou à l’arc. ⁂ Je ne voudrais pas terminer cet exposé… téméra
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unité, l’on poussait l’entraînement des meilleurs
tireurs
. On négligeait les autres, et je me résolus à profiter de ce répit po
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es mains dans les poches de mon pardessus. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé dans cent occasions analogues. « Voilà le prin
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es mains dans les poches de mon pardessus. Un bon
tireur
l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais tr
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ireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon
tireur
ne s’est jamais trouvé dans cent occasions analogues. Voilà le princ