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a vraie richesse. De là sa modestie frappante, sa
tolérance
acquise non sans luttes, mais sa fermeté dans le conseil ; son accuei
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rsonne ne songe à contester l’opportunité. (Cette
tolérance
peut d’ailleurs paraître suspecte, à beaucoup de chrétiens.) C’est ai
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du prochain comme un sentiment bienveillant, une
tolérance
à l’égard du voisin, une façon plus commode de vivre en société. On a
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celle qu’eût pu écrire un savant laïque épris de
tolérance
, teinté de renanisme, et considérant les conquêtes de la Réforme comm
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du prochain comme un sentiment bienveillant, une
tolérance
à l’égard du voisin, une façon plus commode de vivre en société. On a
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place, sans raison et sans loyauté, mais dans la
tolérance
qu’on accorde aux flatteurs. Le plus beau de l’affaire, c’est qu’un h
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du prochain comme un sentiment bienveillant, une
tolérance
à l’égard du voisin, une façon plus commode de vivre en société. On a
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place, sans raison et sans loyauté, mais dans la
tolérance
qu’on accorde aux flatteurs. Le plus beau de l’affaire, c’est qu’un h
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. Et c’est cela qui n’est pas dans l’ordre. Cette
tolérance
serait-elle d’aventure une sorte d’ironie philosophique ? « Parle tou
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ant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine
tolérance
en est un autre — d’une paralysie dont le germe circule dans le sang
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. Et c’est cela qui n’est pas dans l’ordre. Cette
tolérance
serait-elle d’aventure une sorte d’ironie philosophique ? « Parle tou
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ant, elle n’est guère qu’un des signes — certaine
tolérance
en est un autre — d’une paralysie dont le germe circule dans le sang
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ropagande soviétique et fasciste, toute espèce de
tolérance
polie serait déjà une complicité. Ce n’est pas ainsi que je conçois l
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ou privées ? » Non, estime Cloots, bien que « la
tolérance
soit un mal nécessaire dans les conditions actuelles ». Car les spect
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en même temps qu’elle donnera une grande leçon de
tolérance
et d’humanité. n. « En marge de l’exposition : Nicolas de Flue vu p
16
te Par quelle voie ? Je n’aime pas beaucoup la
tolérance
, vertu qui naît en somme d’un scepticisme, car elle suppose que la pe
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ormiser, et qui est donc une mort de l’esprit. La
tolérance
était la pâle vertu des libéraux individualistes. L’intolérance est l
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et par là même il offre tous les avantages de la
tolérance
libérale, mais non pas ses inconvénients : car chacun dans le groupe
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ues personnelles : mais c’est peut-être moins par
tolérance
réelle que par prudence. Les adversaires politiques ou religieux, che
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der concrètement que sur des bases chrétiennes de
tolérance
et d’amour du prochain. Mais je tiens à redire ici ce que je disais c
21
t l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écrivains. 7.
Tolérance
. — Le fédéralisme véritable suppose une tolérance particulière : le r
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Tolérance. — Le fédéralisme véritable suppose une
tolérance
particulière : le respect des vocations supérieures ou rares, des exc
23
te Par quelle voie ? Je n’aime pas beaucoup la
tolérance
, vertu qui naît en somme d’un scepticisme, car elle suppose que la pe
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ormiser, et qui est donc une mort de l’esprit. La
tolérance
était la pâle vertu des libéraux individualistes. L’intolérance est l
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et par là même il offre tous les avantages de la
tolérance
libérale, mais non pas ses inconvénients : car chacun, dans le groupe
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ues personnelles : mais c’est peut-être moins par
tolérance
réelle que par prudence. Les adversaires politiques ou religieux, che
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t l’ont aimé. Ce sont nos meilleurs écrivains. 7.
Tolérance
. — Le fédéralisme véritable suppose une tolérance particulière : le r
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Tolérance. — Le fédéralisme véritable suppose une
tolérance
particulière : le respect des vocations supérieures ou rares, des exc
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sur « les derniers progrès de la science », cette
tolérance
même qui se manifestait à l’égard des « survivances religieuses », fi
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tons qu’il n’entraîne aucunement un éloge de la «
tolérance
» libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membr
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matique. Car l’harmonie des membres n’est pas une
tolérance
, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur !
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e d’accueillir les critiques avec mieux que de la
tolérance
: avec une volonté souriante mais sérieuse d’apprendre et de s’amélio
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es ou privées ? Non, estime Cloots, bien que « la
tolérance
soit un mal nécessaire dans les conditions actuelles ». Car les spect
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a vocation. Ce ne serait pas même une question de
tolérance
, vertu purement négative et qui naît le plus souvent du scepticisme.
35
Je dis bien l’amour, et non pas le respect ou la
tolérance
. L’amour des complexités culturelles, psychologiques, et même économi
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sur « les derniers progrès de la science », cette
tolérance
même qui se manifestait à l’égard des « survivances religieuses », fi
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e d’accueillir les critiques avec mieux que de la
tolérance
: avec une volonté souriante mais sérieuse d’apprendre et de s’amélio
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mour (plus encore que le respect ou que la simple
tolérance
) des complexités culturelles, psychologiques, et même économiques, te
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a vocation. Ce ne serait pas même une question de
tolérance
, vertu purement négative et qui naît le plus souvent du scepticisme.
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. Je dis bien l’amour et non pas le respect ou la
tolérance
. L’amour des complexités culturelles, psychologiques, et même économi
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a vraie richesse. De là sa modestie frappante, sa
tolérance
acquise non sans luttes, mais sa fermeté dans le conseil ; son accuei
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arrive que la lettre d’un décret tue l’esprit de
tolérance
là où il existe, ou serve de prétexte facile à l’esprit d’intolérance
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fécond, de la mise en question réciproque dans la
tolérance
mutuelle, et d’une morale civique européenne, commune aux deux famill
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st dans le jeu ménagé entre ces éléments, dans la
tolérance
nécessaire que développent la dispersion et l’interpénétration de ces
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d’une montre de précision, avec ce qu’il faut de
tolérance
entre les parties pour que le mécanisme joue. Cette tolérance n’est p
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tre les parties pour que le mécanisme joue. Cette
tolérance
n’est pas seulement morale, ce « jeu » est prévu par les lois : ce so
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pays composé de vingt-cinq patries minuscules, la
tolérance
est une nécessité vitale. Mais s’il n’est pas question d’éliminer le
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clésiastiques, ce qui peut expliquer en partie la
tolérance
montrée par Rome, dans les débuts, à l’égard des innovations religieu
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fécond, de la mise en question réciproque dans la
tolérance
mutuelle, et d’une morale civique européenne, commune aux deux famill
50
ation le meilleur de notre culture : non point la
tolérance
indifférente, mais le sens des tensions fécondes et de l’union dans l
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l’on pense toujours d’un lieu qu’on aime. Sur la
tolérance
Le Traité sur la tolérance est un joyeux fatras. On y trouve un récit
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ieu qu’on aime. Sur la tolérance Le Traité sur la
tolérance
est un joyeux fatras. On y trouve un récit de l’affaire Calas, des co
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cit de l’affaire Calas, des considérations sur la
tolérance
chez les Grecs, les Hébreux, les Romains et les premiers chrétiens, d
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par le PC. Le problème est de savoir si la vraie
tolérance
permet que l’on tolère le Parti. Un Mandarin dit au jésuite et aux de
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mencent par n’être pas fanatiques pour mériter la
tolérance
. » Ailleurs encore, Voltaire approuve l’empereur Yont-Chin, le plus s
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mlin) pour ces meurtres ? C’est donc au nom de la
tolérance
que Voltaire conclut à la dissolution nécessaire du PC. « Si leur ins
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ne représentation du PCF au Parlement traduit une
tolérance
paradoxale. Au mieux, elle constitue un privilège comparable à celui
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qu’ils maintiennent ou restaurent. Cependant, la
tolérance
védantique a conduit l’Inde à la résignation, tandis que l’unitarisme
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artis à l’image de celui qui d’abord l’unifia. La
tolérance
mutuelle entre de tels partis est donc contraire à leur définition :
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nt nos calamités », comme on lit au Traité sur la
tolérance
. Sur les « mémoires d’une jeune fille rangée ». — L’une des derniè
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e. Derrière les apparences de la rue, derrière la
tolérance
déjà presque sans bornes accordée à ce que l’on appelait naguère porn
62
t générateur de complexes et de névroses. D’où la
tolérance
que j’ai dite, et qui effraye tant d’observateurs. Avant de nous effr
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e. Derrière les apparences de la rue, derrière la
tolérance
déjà presque sans bornes accordée à ce que l’on appelait naguère porn
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, générateur de complexes et de névroses. D’où la
tolérance
que j’ai dite, et qui effraye tant d’observateurs. Avant de nous effr
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naturel, et consequemment indissoluble. La même
tolérance
doit s’étendre au domaine de la religion : Qu’est-il besoin de se fa
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le qui puisse être établie chez les hommes est la
tolérance
: la paix imaginée par un Français nommé l’abbé de Saint-Pierre, est
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Si nous ne sauvons pas les valeurs de liberté, de
tolérance
et de libre examen, dit l’un, — si nous ne sauvons pas, au contraire,
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vient de sa répugnance pour tout fanatisme, de sa
tolérance
et de son penchant pour un scepticisme indulgent, en un mot de sa bon
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it convaincu que le principe de la liberté, de la
tolérance
et du libre examen n’a pas le droit de se laisser exploiter par le fa
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nnes organisées depuis quelques décennies avec la
tolérance
des hiérarchies ecclésiastiques, nous assistons dans cette génération
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vocation. Ce ne serait pas une simple question de
tolérance
, vertu négative et qui naît le plus souvent du scepticisme, mais plut
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en l’amour, et non pas le respect théorique ou la
tolérance
complaisante. L’amour des complexités culturelles, psychologiques, et
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nt pas être imaginés sous la forme négative d’une
tolérance
mutuelle, d’une neutralisation des différences, d’un compromis conclu
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sur « les derniers progrès de la science », cette
tolérance
même qui se manifestait à l’égard des « survivances religieuses », fi
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tons qu’il n’entraîne aucunement un éloge de la «
tolérance
» libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membr
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matique. Car l’harmonie des membres n’est pas une
tolérance
, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur !
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emblent exclure. Tout ceci, non dans un esprit de
tolérance
mutuelle un peu condescendante, de laxisme théologique, ou simplement
78
rtie par nos coutumes précisément fédéralistes de
tolérance
calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe
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t-être en partie par nos coutumes fédéralistes de
tolérance
calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe
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les vertus et les défauts typiques qu’appelle la
tolérance
fédéraliste. Enquêtes sociologiques, études d’opinion et analyse des
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la un milieu qui réponde, qui ménage une certaine
tolérance
aux innovations, voire aux excès, aux erreurs de ceux qui créent et q
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jeu ménagé entre ces éléments, dans la nécessaire
tolérance
que développent la dispersion et l’interpénétration de ces groupes, d
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re de précision, avec tout juste ce qu’il faut de
tolérance
pour que le mécanisme joue. Cette tolérance n’est pas seulement moral
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ut de tolérance pour que le mécanisme joue. Cette
tolérance
n’est pas seulement morale, ce « jeu » est prévu par les lois : ce so
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les vertus et les défauts typiques qu’appelle la
tolérance
fédéraliste. Enquêtes sociologiques, études d’opinion et analyse des
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vertus « fédérales » de sérieux, de solidité, de
tolérance
et de neutralité, en vient à déprimer l’élan verbal, le sens du jeu v
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pays composé de vingt-cinq patries minuscules, la
tolérance
est une nécessité vitale. Mais s’il n’est pas question d’éliminer le
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clésiastiques, ce qui peut expliquer en partie la
tolérance
montrée par Rome, dans les débuts, à l’égard des innovations religieu
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rtie par nos coutumes précisément fédéralistes de
tolérance
calculée et d’empirisme, qui supposent qu’on ne pousse pas sa pointe
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chage sérieux et ça n’incite pas à l’effort, à la
tolérance
, l’amour difficile. Il manque le pacte. L’engagement total. Je ne cro
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L’Europe est donc nécessairement une école de la
tolérance
. Elle ne doit condamner — dans son sein tout d’abord — que les régime
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fécond, de la mise en question réciproque dans la
tolérance
mutuelle. Et cela nous a conduits à esquisser les principes d’une mor
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révèlent bel et bien épuisables, et limites de la
tolérance
tant animale que végétale à la pollution sous toutes ses formes. Faut
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imple, l’anti-régime5. 3. Voir le Traité sur la
tolérance
. 4. Défense et réhabilitation finale de Calas, de Sirven, de Lally-
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point dans les compromis dogmatiques ni dans une
tolérance
émue, mais à partir des divergences les plus strictement formulées. O
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deux notes critiques à Esprit en 1936. Tant de
tolérance
envers des « fascistes antiouvriers » dépasse la mesure. Mais en juil
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utions et nos comportements sociaux : solidarité,
tolérance
, sens des diversités, goût de l’autonomie, et non pas individualisme
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de la solidarité civique, de la mesure, et de la
tolérance
socratique. Mais elle nous montre aussi, dans la Rome impériale la na
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on et de la mesure, de l’esprit critique et de la
tolérance
socratique. Mais l’histoire nous montre aussi la naissance dans la Ro
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uellement viable désormais. Première vertu : la
tolérance
Érasme le premier en fit l’éloge, et il est ainsi devenu le vrai p
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enu le vrai père d’une éthique du fédéralisme. Sa
tolérance
n’est pas ce que l’on croit d’ordinaire, n’est pas manque de rigueur,
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as acceptation bonhomme ou lasse d’une erreur. La
tolérance
est au contraire affirmation du bon droit absolu de la différence ; d
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e sens de l’humour est une forme de cet esprit de
tolérance
qui est la première vertu fédéraliste, en ceci qu’il tend à désarmer
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ne puis guère imaginer plus belle déclaration de
tolérance
que cette pensée du moraliste neuchâtelois Félix Bovet, publiée au dé
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pour l’individu une sorte de morale ; celle de la
tolérance
, du fair-play, du respect de l’autre. Mais force est de constater qu’
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tons qu’il n’entraîne aucunement un éloge de la «
tolérance
» libérale à base d’indifférence dogmatique. Car l’harmonie des membr
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matique. Car l’harmonie des membres n’est pas une
tolérance
, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur !
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fédéralisme et de sa vertu la plus profonde : la
tolérance
rigoureuse, — celle qui n’est pas facilitée, ni mollesse du jugement,
109
ntarité parfaite des notions de fédéralisme et de
tolérance
. Le principe de tolérance s’est trouvé ouvrir la voie aux premiers th
110
ns de fédéralisme et de tolérance. Le principe de
tolérance
s’est trouvé ouvrir la voie aux premiers théoriciens du fédéralisme,