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onfiance en soi, qu’une volonté presque inhumaine
torture
et conduit au crime. Et s’ils s’imposent comme types, c’est encore et
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de. Tant de séductions nous ont en vain tentés, ô
tortures
fascinantes de la sainteté, seules vous nous appelez encore hors de c
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des canards sauvages et leur faire subir diverses
tortures
fantaisistes, dont on se vantera interminablement à table. — Cruauté
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des canards sauvages et leur faire subir diverses
tortures
fantaisistes, dont on se vantera interminablement à table. — Cruauté
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rit et du cœur ont toujours paru préférables à la
torture
physique, ou même à sa menace. Autant dire qu’on les tient pour moins
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lui aussi, des emprisonnements, le bagne, et des
tortures
physiques inouïes. Mais ils ne se retrouvent que pour aller se faire
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une révolte plus émouvants d’être silencieux, des
tortures
dont les héros de Malraux n’ont pas toujours renoncé à faire de la li
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me ne s’avouera-t-il jamais lui-même que dans les
tortures
? u. « Destin allemand », Foi et Vie, Paris, n° 65, octobre-novembre
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éfinit leur dernière dignité d’Allemands dans les
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qu’un destin absurde leur réserve. « Il découvrit pour la première fo
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nité tragique, même goût des situations extrêmes (
tortures
en prison, folie des combats à la mitrailleuse presque à bout portant
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que la mort seule pouvait éteindre : ce fut la «
torture
d’amour » qu’ils se mirent à aimer pour elle-même. La passion des « p
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la harpe de Tristan123, c’est dans le cri de la «
torture
délicieuse », du mal aimé, du plaisir qui consume : Ô tendres, angél
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e —, la femme ne sera jamais que l’occasion d’une
torture
qu’il préfère à tout : Je sais, suivant mon feu partout où il me fui
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fois avec une ténacité telle qu’il m’enlace et me
torture
des journées et des nuits entières. Et ces moments-là, pour moi, ne r
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ncolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de
tortures
transfigurantes, de la nuit abyssale où l’éclair de l’amour illumine
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u lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des
tortures
d’où nous tirerons encore quelque plaisir, et cela fait partie de not
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que la mort seule pouvait éteindre : ce fut la «
torture
d’amour » qu’ils se mirent à aimer pour elle-même. La passion des « p
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la harpe de Tristan141, c’est dans le cri de la «
torture
délicieuse », du mal aimé, du plaisir qui consume : Ô tendres, angél
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e —, la femme ne sera jamais que l’occasion d’une
torture
qu’il préfère à tout : Je sais, suivant mon feu partout où il me fui
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fois avec une ténacité telle qu’il m’enlace et me
torture
des journées et des nuits entières. Et ces moments-là, pour moi, ne r
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ncolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de
tortures
transfigurantes, de la nuit abyssale où l’éclair de l’amour illumine
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u lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des
tortures
d’où nous tirerons encore quelque plaisir, et cela fait partie de not
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que la mort seule pouvait éteindre : ce fut la «
torture
d’amour » qu’ils se mirent à aimer pour elle-même. La passion des « p
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la harpe de Tristan130, c’est dans le cri de la «
torture
délicieuse », du mal aimé, du plaisir qui consume : Ô tendres, angél
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e —, la femme ne sera jamais que l’occasion d’une
torture
qu’il préfère à tout : Je sais, suivant mon feu partout où il me fui
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fois avec une ténacité telle qu’il m’enlace et me
torture
des journées et des nuits entières. Et ces moments-là, pour moi, ne r
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ncolie ». Surgi des profondeurs de l’âme avide de
tortures
transfigurantes, de la nuit abyssale où l’éclair de l’amour illumine
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u lieu de négliger l’objet, détruisons-le par des
tortures
d’où nous tirerons encore quelque plaisir, et cela fait partie de not
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qu’il se fait l’instrument de nos plus épuisantes
tortures
. À quel moment l’amour est-il devenu souffrance ? Dans le langage de
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angage mystique : joie consumante, feu qui glace,
tortures
aimées, ardeur cruelle, « tout et rien ». Le passionné finit par voir
31
s su produire les ingrédients indispensables à sa
torture
, à sa grandeur, à son orgueil de créature faite à l’image de Dieu et
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qu’il se fait l’instrument de nos plus épuisantes
tortures
. À quel moment l’amour est-il devenu souffrance ? Dans le langage de
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angage mystique : joie consumante, feu qui glace,
tortures
aimées, ardeur cruelle, « tout et rien ». Le passionné finit par voir
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s su produire les ingrédients indispensables à sa
torture
, à sa grandeur, à son orgueil de créature faite à l’image de Dieu et
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qu’il se fait l’instrument de nos plus épuisantes
tortures
. À quel moment l’amour est-il devenu souffrance ? Dans le langage de
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angage mystique : joie consumante, feu qui glace,
tortures
aimées, ardeur cruelle, — « tout et rien ». Le passionné finit par vo
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s de génie assez coriace pour survivre à pareille
torture
au ralenti, même avec une prime d’un million, resplendissant au terme
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blèmes qui se posaient à la Ligue, assassinats et
tortures
en moins. Les mêmes peuvent rire de l’armée suisse parce qu’elle n’eu
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mbien d’heures, ressemblent de plus en plus à une
torture
chinoise, savamment dosée et progressive, exécutée avec une politesse
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enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
torture
et le voisin tout en grognant met ses pantoufles. Tel est pris et l’a
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sonne ne lui résistait, il n’y aurait pas même de
tortures
. Mais quand tout serait pareil à leur vue, tout serait changé d’une m
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rit et du cœur ont toujours paru préférables à la
torture
physique, ou même à sa menace. Autant dire qu’on les tient pour moins
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des canards sauvages et leur faire subir diverses
tortures
fantaisistes, dont on se vantera longuement à table. — Cruauté franch
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blèmes qui se posaient à la Ligue, assassinats et
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en moins. Les mêmes peuvent rire de l’armée suisse parce qu’elle n’eu
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mbien d’heures, ressemblent de plus en plus à une
torture
chinoise, savamment dosée et progressive, exécutée avec une politesse
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enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
torture
et le voisin tout en grognant met ses pantoufles. Tel est pris et l’a
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sonne ne lui résistait, il n’y aurait pas même de
tortures
. Mais quand tout serait pareil à leur vue, tout serait changé d’une m
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rit et du cœur ont toujours paru préférables à la
torture
physique, ou même à sa menace. Autant dire qu’on les tient pour moins
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souffrir, et tient pour perversion ce goût de la
torture
exaltante et intéressante qui fait le sujet de nos plus beaux romans
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rit et du cœur ont toujours paru préférables à la
torture
physique, ou même à sa menace. Autant dire qu’on les tient pour moins
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s de génie assez coriace pour survivre à pareille
torture
au ralenti, même avec une prime d’un million resplendissant au terme
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souffrir, et tient pour perversion ce goût de la
torture
exaltante et intéressante qui fait le sujet de nos plus beaux romans
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des témoins, des victimes toutes récentes de ces
tortures
, nous qui avons pu garder le droit de savoir, le droit de nous inform
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ncile portent les traces de la persécution et des
tortures
qu’ils ont subies.) Spectacle à vrai dire confondant. Tout cela groui
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tions de l’Histoire, l’extorsion des aveux par la
torture
, les génocides en URSS, le niveau de vie inférieur des ouvriers russe
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dans chaque individu, n’en a pas moins connu les
tortures
, les bûchers, la guillotine et les massacres (patriotiques ou religie
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ils, par l’enlèvement des biens, les prisons, les
tortures
, les meurtres, et par les actions de grâce rendues à Dieu (lisez : au
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dans chaque individu, n’en a pas moins connu les
tortures
, les bûchers, la guillotine et les massacres (patriotiques ou religie
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ent les traces physiques de la persécution et des
tortures
qu’ils ont subies.) Spectacle à vrai dire confondant. Tout cela groui
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i règlent tout ; de l’autre, les problèmes et les
tortures
morales… Les Églises chrétiennes ont toujours mieux réussi dans leurs
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i règlent tout ; de l’autre, les problèmes et les
tortures
morales… Les Églises chrétiennes ont toujours mieux réussi dans leurs
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eule à le chercher. En face de l’inconnu et de la
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pas encore oubliée. Bien entendu, de siècle en siècle, un même destin
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ire, que deux millions de personnes déplacées, la
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et « notre désastre spirituel » sont sans importance à mes yeux « qua
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blèmes qui se posaient à la Ligue, assassinats et
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en moins. Les mêmes peuvent rire de l’armée suisse parce qu’elle n’eu
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mais par exemple le choix d’une vocation, où ces
tortures
morales seront une bizarrerie du passé culturel européen, de même que
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s » plus ou moins « joyeusement consentis », de «
tortures
morales », de « tentation surmontée », etc. Sans délai, sans débat, s
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des témoins, des victimes toutes récentes de ces
tortures
? Nous qui avons pu garder le droit de savoir, le devoir de nous info
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res ou le réduire à une totale solitude sont deux
tortures
équivalentes. Toute la vie est fondée sur une série de couples antino
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ans bouger, est une bien trop longue brimade, une
torture
, à la limite, pour les meilleurs. L’école est devenue synonyme de mal
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s sangs », comme on dit, se ronge l’âme. Ainsi la
torture
par l’aigle signifie la souffrance des pulsions animiques prises dans
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t psychique du dernier opposant dans les caves de
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du ministère de l’Amour. En France, Gaston Berger puis Bertrand de Jo
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inzaine pour exclure toute espèce de recours à la
torture
. Tous les autres l’ont pratiquée, ou la pratiquent ; s’en réservent l
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de toutes ces formes de persécution étatique, de
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policière, d’inquisitions administratives signées illisible, et de me
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de la mort nazis ou du Goulag, aujourd’hui de la
torture
dans plus de cent pays… Le deuxième tour du diable a été de nous fair
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posés par les Pouvoirs à ces visites, un total de
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quotidiennes qui n’est pas loin de l’ordre de grandeur du Goulag. Si
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lemande à la SDN) il me montra les cicatrices des
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que les nazis lui avaient infligées. Aviateur, il occupa un poste-clé
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et pour les riches, le divan remplacera le lit de
torture
. Mais le diable sera, comme avant, chez les Inquisiteurs et non chez