1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 pourtant une connaissance plus intime de certaine tristesse . Seule une maison blanche est arrêtée tout près de l’eau. Mais ce n’e
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
2 issance : notre ambition la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos villes. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 précise, cette minute est baignée d’une lueur de tristesse ou de sérénité qui métamorphose le paysage du passé. Ainsi de certain
4 ’il nomme élan mortel — générateur de l’incurable tristesse qui rôde dans certaine littérature d’aujourd’hui. J’ai dit : ravages
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
5 masque d’une aimable mélancolie. C’est la sourde tristesse des choses qui vous échappent, des amours impossibles, des histoires
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 ure neuchâteloise : un lyrisme un peu amer, d’une tristesse qui ne s’affiche pas, mais s’insinue dans toute sa palette, ce charme
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
7 en devient moins brutale. Elle rôde ici comme une tristesse amoureuse. Elle n’est plus que l’approche d’une grandeur où se perdra
7 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
8 ive un peu vers ces Allemagnes où, tu le sais, la tristesse la plus amère invente encore des mélodies sentimentales, un peu bêtes
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
10 ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle tristesse . Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais plus
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
11 certain, sourd, comme dit Charles Du Bos « cette tristesse par-delà la tristesse que Baring excelle à suggérer, qu’au deuxième m
12 dit Charles Du Bos « cette tristesse par-delà la tristesse que Baring excelle à suggérer, qu’au deuxième mouvement, au mouvement
13 du Quintette, Schumann a enclose et embaumée ». «  Tristesse , par-delà la tristesse »… Un tel état de l’âme n’est plus très éloign
14 a enclose et embaumée ». « Tristesse, par-delà la tristesse  »… Un tel état de l’âme n’est plus très éloigné peut-être de cette jo
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
15 redoutable réalité, et il pleura de crainte et de tristesse . Tout inspirait le respect : le bruit discordant des cymbales, les ps
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
16 ersonnalité, la profondeur des sentiments et leur tristesse , que Frommel exprime au sujet de Mon Frère Yves. Il semble, en effet
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
17 un sanglot retenu, et relâchée aux commissures, —  tristesse et volupté. Mais le front d’une plénitude royale s’avance fortement c
13 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
18 rlin réglemente la circulation de ses ferments de tristesses intellectuelles, sur une petite superficie minérale où la vie se déco
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
19 en devient moins brutale. Elle rôde ici comme une tristesse amoureuse. Elle n’est plus que l’approche d’une grandeur où se perdra
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
21 ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle tristesse . Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais pas p
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
22 sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse . Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout con
17 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
23 re et pleurer ? Est-ce que c’est le bonheur et la tristesse  ? Est-ce que vous préférez l’un à l’autre ? Sonnette. — Petite leçon
24 avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou la tristesse . Car vous ne savez pas où est votre bien. C’est pourquoi les mots vou
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
25 rlin réglemente la circulation de ses ferments de tristesses intellectuelles, sur une petite superficie minérale où la vie se déco
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
26 r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô tristesse des crémeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
27 ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle tristesse . Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais pas p
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
28 sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse . Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout con
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
29 t variée, d’une nature contrastée de charme et de tristesse , ni même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman v
22 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
30 conscients de leur démission spirituelle. D’où la tristesse qu’ils répandent sur l’époque. Et leur seul baume, c’est de la voir p
31 lle ans. Ils sont mélancoliques : c’est encore la tristesse de la retraite et du désistement de l’esprit. Défaitisme, essentielle
23 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
32 intensifier10 : la tâche grandira d’autant. Et la tristesse . « Le temps vuide » Il semble que la condamnation portée à l’or
24 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
33 joie n’est pas avec ceux qui nous parlent de la «  tristesse  » du message barthien, puisqu’ils entendent désigner par là l’accepta
25 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
34 intensifier74 : la tâche grandira d’autant. Et la tristesse . « Le temps Vuide » Il semble que la condamnation portée à l’or
26 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
35 intensifier77 : la tâche grandira d’autant. Et la tristesse . « Le temps vuide » Il semble que la condamnation portée à l’or
27 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
36 le tourmente sans espoir, ironie triste de cette tristesse des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrète, ni jamais secoué
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
37 le tourmente sans espoir, ironie triste de cette tristesse des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrète, ni jamais secoué
29 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
38 vre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans tristesse . Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingrate, dans sa courette p
30 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
39 vre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans tristesse . Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingrate, ou dans sa courett
31 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
40 dans l’odeur douce des magasins de tabac, dans la tristesse des ciels pesants sur les rues grises et trop bien astiquées. Méthode
32 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
41 t le monde. Cette réponse écrite, j’ai lu votre «  Tristesse de l’historien ». (Mounier et Niklaus, qui sortent de chez moi, peuve
42 aussi sage de faire confiance à l’intuition. » — Tristesse de l’historien n’est-ce pas ? Et c’est pourtant celui-là même qu’avec
33 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
43 selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tristesse  » et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transfigure, ou
34 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
44 … Séparons-nous pour nous entretenir encor de ces tristesses .133 ⁂ Il est certain que Milton quoique puritain subit l’influence
45 oient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette « tri
46 fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette «  tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie », ce n’est que l
47 ur de confusions incalculables. Car enfin cette «  tristesse  » racinienne, si « majestueuse » qu’on la veuille, ainsi bornée à soi
48 ais les « passions excitées » par Racine, cette «  tristesse  » à laquelle il nous invite à prendre on ne sait quel « plaisir », ce
49 r les passions » pour « plaire » à un besoin de «  tristesse majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine, comme Pétrarq
50 a systole de son cœur, c’est l’enthousiasme et la tristesse métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne,
51 mique. Il retombe, désenchanté, à l’analyse de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabusé, l’on serait
35 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
52 qui m’effrayent. Ô Nicolas, pourquoi me cacher ta tristesse  ? Nicolas. —  Aujourd’hui, je dois t’en parler. Dorothée. —  Pa
36 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
53 selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tristesse  » et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transfigure, ou
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
54 oient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette « tri
55 fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette «  tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie », ce n’est que l
56 ur de confusions incalculables. Car enfin cette «  tristesse  » racinienne, si « majestueuse » qu’on la veuille, ainsi bornée à soi
57 ais les « passions excitées » par Racine, cette «  tristesse  » à laquelle il nous invite à prendre on ne sait quel « plaisir », ce
58 r les passions » pour « plaire » à un besoin de «  tristesse majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine, comme Pétrarqu
59 a systole de son cœur, c’est l’enthousiasme et la tristesse métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne,
60 mique. Il retombe, désenchanté, à l’analyse de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabusé, l’on serait
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
61 selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tristesse  » et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transfigure, ou
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
62 … Séparons-nous pour nous entretenir encor de ces tristesses .140 ⁂ Il est certain que Milton quoique puritain subit l’influence
63 oient excitées, et que tout s’y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette « tri
64 fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette «  tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie », ce n’est que l
65 ur de confusions incalculables. Car enfin cette «  tristesse  » racinienne, si « majestueuse » qu’on la veuille, ainsi bornée à soi
66 ais les « passions excitées » par Racine, cette «  tristesse  » à laquelle il nous invite à prendre on ne sait quel « plaisir », ce
67 r les passions » pour « plaire » à un besoin de «  tristesse majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine, comme Pétrarqu
68 a systole de son cœur, c’est l’enthousiasme et la tristesse métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne,
69 mique. Il retombe, désenchanté, à l’analyse de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabusé, l’on serait
40 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
70 j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense dans sa tristesse  : — Si je lui dis qu’elle ne m’aime pas, elle le croira. Si je lui di
41 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
71 j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense dans sa tristesse  : — Si je lui dis qu’elle ne m’aime pas, elle le croira. Si je lui di
42 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
72 ’ai besoin de te battre ? Mais lui pense dans, sa tristesse  : — Si je lui dis qu’elle ne m’aime pas, elle le croira. Si je lui di
43 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
73 cette minute du plaisir. Ils fuient, bavardent. Tristesse platonicienne C’est dans l’accomplissement du plus violent amour q
44 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
74 ’un sanglot retenu, et relâchée aux commissures —  tristesse et volupté. Mais le front d’une plénitude royale s’avance fortement c
45 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
75 de l’Unité, Néron qui brûla Rome pour nourrir sa tristesse , Sade qui croyait à la Raison, Robespierre qui croyait à la Vertu, le
76 e l’amour. 25. Vie et règne de l’amour. 26. «  Tristesse de Néron » dans De deux choses l’une. 27. Apprentissage du christia
46 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
77 de salle, un ton d’obsèques officielles mais sans tristesse . Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-Saxons, pensant
47 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
78 nu. Il désirait un palais vide à la mesure de sa tristesse . Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies
79 e à la mesure de sa tristesse. Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies qu’il rencontrait ; et son dés
48 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
80 civile. Maintenant, on ne voit plus que le fond. Tristesse , eau tiède et jaune des robinets du Ritz, rues étroites et fétides, p
49 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
81 voir chez eux ou ensemble, j’éprouve une sorte de tristesse . Ils paraissent encore moins intégrés que leurs confrères européens à
50 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
82 de salle, un ton d’obsèques officielles mais sans tristesse . Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-Saxons, pensant
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
83 rlin réglemente la circulation de ses ferments de tristesses intellectuelles, sur une petite superficie minérale où la vie se déco
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
84 r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
85 ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle tristesse . Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais plus
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
86 sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa tristesse . Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout con
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
87 vre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans tristesse . Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingrate, ou dans sa courett
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
88 dans l’odeur douce des magasins de tabac, dans la tristesse des ciels pesants sur les rues grises et trop bien astiquées. Méthode
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
89 civile. Maintenant, on ne voit plus que le fond. Tristesse , eau tiède et jaune des robinets du Ritz, rues étroites et fétides, p
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
90 voir chez eux ou ensemble, j’éprouve une sorte de tristesse . Ils paraissent encore moins intégrés que leurs confrères européens à
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
91 de salle, un ton d’obsèques officielles mais sans tristesse . Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-Saxons, pensant
59 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
92 voir chez eux ou ensemble, j’éprouve une sorte de tristesse . Ils paraissent encore moins intégrés que leurs confrères européens à
60 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
93 re et pleurer ? Est-ce que c’est le bonheur et la tristesse  ? Est-ce que vous préférez l’un à l’autre ? Sonnette. Comme vous ête
94 avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou la tristesse . Vous ne savez pas où est votre bien. Et c’est pourquoi les mots vous
61 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
95 nerfs, impressionnable à l’excès, avec un fond de tristesse en quelque sorte permanent, une désespérance perpétuelle. Peter Schle
62 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
96 à cette minute du plaisir. Ils fuient, bavardent. Tristesse platonicienne C’est dans l’accomplissement du plus violent amour qu’i
63 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
97 nu. Il désirait un palais vide à la mesure de sa tristesse . Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies
98 e à la mesure de sa tristesse. Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies qu’il rencontrait ; et son dés
64 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
99 isme, mais avec sang-froid cette question : Notre tristesse et notre angoisse devant un héritage si compromis, sont-elles valable
65 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
100 sme, mais avec sang-froid, cette question : notre tristesse et notre angoisse devant un héritage si compromis sont-elles valables
66 1948, Suite neuchâteloise. VI
101 t variée, d’une nature contrastée de charme et de tristesse , ni même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman v
67 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
102 ou des chagrins intimes. Qu’ils n’aillent dire : tristesse … s’y plaisant… Interdiction faite au poète ! … Mais si un homme tient
103 poète ! … Mais si un homme tient pour agréable sa tristesse , qu’on le produise dans le jour ! et mon avis est qu’on le tue, sinon
68 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
104 t à cause du bonheur. Nous vous rendons « Bonjour tristesse  » qui vous ravit. Mais ce n’est pas cela qui compte en France. A. Oui
69 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
105 stalgie de la terre. (Notes de 1953, en avion) Tristesse , non pas « envahissante » mais au contraire : c’est comme si cet avio
106 ine. Si l’avion continuait vers l’espace infini ? Tristesse absolue, fin du Sens. Déchirant amour de la Terre ! Dans cent ans
70 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
107 trui, ce besoin commun de se délivrer enfin de la tristesse du désir, mais le subir avait déjà tant de douceur que les images de
108 bonheur dont ils ne savaient pas si c’était de la tristesse  ; seule la conviction d’être élus pour vivre l’exceptionnel retint le
71 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
109 trui, ce besoin commun de se délivrer enfin de la tristesse du désir, mais le subir avait déjà tant de douceur que les images de
110 bonheur dont ils ne savaient pas si c’était de la tristesse  ; seule la conviction d’être élus pour vivre l’exceptionnel retint le
72 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
111 etourner à ma première charge… ce que je fis avec tristesse , larmes, grande sollicitude et détresse… Maintenant, si je voulais ré
73 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
112 et comme frappé soudain d’une amère et invincible tristesse , à la vue d’un simple incident, d’un détail inattendu, qui va plus di
74 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
113 ésirer sa mère, qui est morte en couches. Mais sa tristesse vient de cette mort, comme son nom même, et comme sa culpabilité. Et
75 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
114 e nous ne pouvons admettre.3 Ce n’est pas sans tristesse que je transcris ces phrases d’une injustice proprement aberrante4. À
76 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
115 tour, sous les formes les plus policées, « cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie » (Racine, préfac
116 citer les passions » pour plaire à un besoin de «  tristesse majestueuse ». Racine va se retirer du monde et des passions mondaine
77 1977, Articles divers (1974-1977). Au tableau d’honneur de Parents : L’Avenir est notre affaire (octobre 1977)
117 une fiction. Il constate. Sévérité du moraliste, tristesse de l’humaniste, mais ferveur de l’homme : « Tout est encore possible,
78 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
118 eu embarrassée, traduisaient au premier regard la tristesse et l’abattement ; mais si une sympathie profonde venait à l’émouvoir,