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pourtant une connaissance plus intime de certaine
tristesse
. Seule une maison blanche est arrêtée tout près de l’eau. Mais ce n’e
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issance : notre ambition la plus haute échoue. La
tristesse
règne sur nos villes. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre
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précise, cette minute est baignée d’une lueur de
tristesse
ou de sérénité qui métamorphose le paysage du passé. Ainsi de certain
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’il nomme élan mortel — générateur de l’incurable
tristesse
qui rôde dans certaine littérature d’aujourd’hui. J’ai dit : ravages
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masque d’une aimable mélancolie. C’est la sourde
tristesse
des choses qui vous échappent, des amours impossibles, des histoires
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ure neuchâteloise : un lyrisme un peu amer, d’une
tristesse
qui ne s’affiche pas, mais s’insinue dans toute sa palette, ce charme
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en devient moins brutale. Elle rôde ici comme une
tristesse
amoureuse. Elle n’est plus que l’approche d’une grandeur où se perdra
8
ive un peu vers ces Allemagnes où, tu le sais, la
tristesse
la plus amère invente encore des mélodies sentimentales, un peu bêtes
9
r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô
tristesse
des crèmeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
10
ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle
tristesse
. Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais plus
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certain, sourd, comme dit Charles Du Bos « cette
tristesse
par-delà la tristesse que Baring excelle à suggérer, qu’au deuxième m
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dit Charles Du Bos « cette tristesse par-delà la
tristesse
que Baring excelle à suggérer, qu’au deuxième mouvement, au mouvement
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du Quintette, Schumann a enclose et embaumée ». «
Tristesse
, par-delà la tristesse »… Un tel état de l’âme n’est plus très éloign
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a enclose et embaumée ». « Tristesse, par-delà la
tristesse
»… Un tel état de l’âme n’est plus très éloigné peut-être de cette jo
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redoutable réalité, et il pleura de crainte et de
tristesse
. Tout inspirait le respect : le bruit discordant des cymbales, les ps
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ersonnalité, la profondeur des sentiments et leur
tristesse
, que Frommel exprime au sujet de Mon Frère Yves. Il semble, en effet
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un sanglot retenu, et relâchée aux commissures, —
tristesse
et volupté. Mais le front d’une plénitude royale s’avance fortement c
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rlin réglemente la circulation de ses ferments de
tristesses
intellectuelles, sur une petite superficie minérale où la vie se déco
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en devient moins brutale. Elle rôde ici comme une
tristesse
amoureuse. Elle n’est plus que l’approche d’une grandeur où se perdra
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r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô
tristesse
des crèmeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
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ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle
tristesse
. Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais pas p
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sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa
tristesse
. Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout con
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re et pleurer ? Est-ce que c’est le bonheur et la
tristesse
? Est-ce que vous préférez l’un à l’autre ? Sonnette. — Petite leçon
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avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou la
tristesse
. Car vous ne savez pas où est votre bien. C’est pourquoi les mots vou
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rlin réglemente la circulation de ses ferments de
tristesses
intellectuelles, sur une petite superficie minérale où la vie se déco
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r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô
tristesse
des crémeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
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ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle
tristesse
. Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais pas p
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sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa
tristesse
. Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout con
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t variée, d’une nature contrastée de charme et de
tristesse
, ni même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman v
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conscients de leur démission spirituelle. D’où la
tristesse
qu’ils répandent sur l’époque. Et leur seul baume, c’est de la voir p
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lle ans. Ils sont mélancoliques : c’est encore la
tristesse
de la retraite et du désistement de l’esprit. Défaitisme, essentielle
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intensifier10 : la tâche grandira d’autant. Et la
tristesse
. « Le temps vuide » Il semble que la condamnation portée à l’or
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joie n’est pas avec ceux qui nous parlent de la «
tristesse
» du message barthien, puisqu’ils entendent désigner par là l’accepta
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intensifier74 : la tâche grandira d’autant. Et la
tristesse
. « Le temps Vuide » Il semble que la condamnation portée à l’or
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intensifier77 : la tâche grandira d’autant. Et la
tristesse
. « Le temps vuide » Il semble que la condamnation portée à l’or
36
le tourmente sans espoir, ironie triste de cette
tristesse
des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrète, ni jamais secoué
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le tourmente sans espoir, ironie triste de cette
tristesse
des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrète, ni jamais secoué
38
vre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans
tristesse
. Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingrate, dans sa courette p
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vre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans
tristesse
. Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingrate, ou dans sa courett
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dans l’odeur douce des magasins de tabac, dans la
tristesse
des ciels pesants sur les rues grises et trop bien astiquées. Méthode
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t le monde. Cette réponse écrite, j’ai lu votre «
Tristesse
de l’historien ». (Mounier et Niklaus, qui sortent de chez moi, peuve
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aussi sage de faire confiance à l’intuition. » —
Tristesse
de l’historien n’est-ce pas ? Et c’est pourtant celui-là même qu’avec
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selon la force de notre âme, soit la « délicieuse
tristesse
» et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transfigure, ou
44
… Séparons-nous pour nous entretenir encor de ces
tristesses
.133 ⁂ Il est certain que Milton quoique puritain subit l’influence
45
oient excitées, et que tout s’y ressente de cette
tristesse
majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette « tri
46
fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette «
tristesse
majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie », ce n’est que l
47
ur de confusions incalculables. Car enfin cette «
tristesse
» racinienne, si « majestueuse » qu’on la veuille, ainsi bornée à soi
48
ais les « passions excitées » par Racine, cette «
tristesse
» à laquelle il nous invite à prendre on ne sait quel « plaisir », ce
49
r les passions » pour « plaire » à un besoin de «
tristesse
majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine, comme Pétrarq
50
a systole de son cœur, c’est l’enthousiasme et la
tristesse
métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne,
51
mique. Il retombe, désenchanté, à l’analyse de sa
tristesse
et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabusé, l’on serait
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qui m’effrayent. Ô Nicolas, pourquoi me cacher ta
tristesse
? Nicolas. — Aujourd’hui, je dois t’en parler. Dorothée. — Pa
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selon la force de notre âme, soit la « délicieuse
tristesse
» et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transfigure, ou
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oient excitées, et que tout s’y ressente de cette
tristesse
majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette « tri
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fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette «
tristesse
majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie », ce n’est que l
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ur de confusions incalculables. Car enfin cette «
tristesse
» racinienne, si « majestueuse » qu’on la veuille, ainsi bornée à soi
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ais les « passions excitées » par Racine, cette «
tristesse
» à laquelle il nous invite à prendre on ne sait quel « plaisir », ce
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r les passions » pour « plaire » à un besoin de «
tristesse
majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine, comme Pétrarqu
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a systole de son cœur, c’est l’enthousiasme et la
tristesse
métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne,
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mique. Il retombe, désenchanté, à l’analyse de sa
tristesse
et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabusé, l’on serait
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selon la force de notre âme, soit la « délicieuse
tristesse
» et le spleen de la décadence, ou la souffrance qui transfigure, ou
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… Séparons-nous pour nous entretenir encor de ces
tristesses
.140 ⁂ Il est certain que Milton quoique puritain subit l’influence
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oient excitées, et que tout s’y ressente de cette
tristesse
majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette « tri
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fait tout le plaisir de la tragédie. » Or cette «
tristesse
majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie », ce n’est que l
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ur de confusions incalculables. Car enfin cette «
tristesse
» racinienne, si « majestueuse » qu’on la veuille, ainsi bornée à soi
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ais les « passions excitées » par Racine, cette «
tristesse
» à laquelle il nous invite à prendre on ne sait quel « plaisir », ce
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r les passions » pour « plaire » à un besoin de «
tristesse
majestueuse ». On est tout près de Port-Royal. Racine, comme Pétrarqu
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a systole de son cœur, c’est l’enthousiasme et la
tristesse
métaphysique. C’est la dialectique abyssale de l’hérésie manichéenne,
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mique. Il retombe, désenchanté, à l’analyse de sa
tristesse
et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabusé, l’on serait
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j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense dans sa
tristesse
: — Si je lui dis qu’elle ne m’aime pas, elle le croira. Si je lui di
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j’ai besoin de te battre ? Mais lui pense dans sa
tristesse
: — Si je lui dis qu’elle ne m’aime pas, elle le croira. Si je lui di
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’ai besoin de te battre ? Mais lui pense dans, sa
tristesse
: — Si je lui dis qu’elle ne m’aime pas, elle le croira. Si je lui di
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cette minute du plaisir. Ils fuient, bavardent.
Tristesse
platonicienne C’est dans l’accomplissement du plus violent amour q
74
’un sanglot retenu, et relâchée aux commissures —
tristesse
et volupté. Mais le front d’une plénitude royale s’avance fortement c
75
de l’Unité, Néron qui brûla Rome pour nourrir sa
tristesse
, Sade qui croyait à la Raison, Robespierre qui croyait à la Vertu, le
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e l’amour. 25. Vie et règne de l’amour. 26. «
Tristesse
de Néron » dans De deux choses l’une. 27. Apprentissage du christia
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de salle, un ton d’obsèques officielles mais sans
tristesse
. Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-Saxons, pensant
78
nu. Il désirait un palais vide à la mesure de sa
tristesse
. Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies
79
e à la mesure de sa tristesse. Il devint donc une
tristesse
errante, empruntant la forme des joies qu’il rencontrait ; et son dés
80
civile. Maintenant, on ne voit plus que le fond.
Tristesse
, eau tiède et jaune des robinets du Ritz, rues étroites et fétides, p
81
voir chez eux ou ensemble, j’éprouve une sorte de
tristesse
. Ils paraissent encore moins intégrés que leurs confrères européens à
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de salle, un ton d’obsèques officielles mais sans
tristesse
. Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-Saxons, pensant
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rlin réglemente la circulation de ses ferments de
tristesses
intellectuelles, sur une petite superficie minérale où la vie se déco
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r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô
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des crèmeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
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ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle
tristesse
. Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais plus
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sous un arbre noir d’une femme abandonnée dans sa
tristesse
. Par moments il y a la Lune et le visage blanc de la femme debout con
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vre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans
tristesse
. Chacun pour soi sur sa parcelle de terre ingrate, ou dans sa courett
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dans l’odeur douce des magasins de tabac, dans la
tristesse
des ciels pesants sur les rues grises et trop bien astiquées. Méthode
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civile. Maintenant, on ne voit plus que le fond.
Tristesse
, eau tiède et jaune des robinets du Ritz, rues étroites et fétides, p
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voir chez eux ou ensemble, j’éprouve une sorte de
tristesse
. Ils paraissent encore moins intégrés que leurs confrères européens à
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de salle, un ton d’obsèques officielles mais sans
tristesse
. Ce fut une glorieuse journée, comme disent les Anglo-Saxons, pensant
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voir chez eux ou ensemble, j’éprouve une sorte de
tristesse
. Ils paraissent encore moins intégrés que leurs confrères européens à
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re et pleurer ? Est-ce que c’est le bonheur et la
tristesse
? Est-ce que vous préférez l’un à l’autre ? Sonnette. Comme vous ête
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avez jamais su si vous préfériez le bonheur ou la
tristesse
. Vous ne savez pas où est votre bien. Et c’est pourquoi les mots vous
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nerfs, impressionnable à l’excès, avec un fond de
tristesse
en quelque sorte permanent, une désespérance perpétuelle. Peter Schle
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à cette minute du plaisir. Ils fuient, bavardent.
Tristesse
platonicienne C’est dans l’accomplissement du plus violent amour qu’i
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nu. Il désirait un palais vide à la mesure de sa
tristesse
. Il devint donc une tristesse errante, empruntant la forme des joies
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e à la mesure de sa tristesse. Il devint donc une
tristesse
errante, empruntant la forme des joies qu’il rencontrait ; et son dés
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isme, mais avec sang-froid cette question : Notre
tristesse
et notre angoisse devant un héritage si compromis, sont-elles valable
100
sme, mais avec sang-froid, cette question : notre
tristesse
et notre angoisse devant un héritage si compromis sont-elles valables
101
t variée, d’une nature contrastée de charme et de
tristesse
, ni même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman v
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ou des chagrins intimes. Qu’ils n’aillent dire :
tristesse
… s’y plaisant… Interdiction faite au poète ! … Mais si un homme tient
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poète ! … Mais si un homme tient pour agréable sa
tristesse
, qu’on le produise dans le jour ! et mon avis est qu’on le tue, sinon
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t à cause du bonheur. Nous vous rendons « Bonjour
tristesse
» qui vous ravit. Mais ce n’est pas cela qui compte en France. A. Oui
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stalgie de la terre. (Notes de 1953, en avion)
Tristesse
, non pas « envahissante » mais au contraire : c’est comme si cet avio
106
ine. Si l’avion continuait vers l’espace infini ?
Tristesse
absolue, fin du Sens. Déchirant amour de la Terre ! Dans cent ans
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trui, ce besoin commun de se délivrer enfin de la
tristesse
du désir, mais le subir avait déjà tant de douceur que les images de
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bonheur dont ils ne savaient pas si c’était de la
tristesse
; seule la conviction d’être élus pour vivre l’exceptionnel retint le
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trui, ce besoin commun de se délivrer enfin de la
tristesse
du désir, mais le subir avait déjà tant de douceur que les images de
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bonheur dont ils ne savaient pas si c’était de la
tristesse
; seule la conviction d’être élus pour vivre l’exceptionnel retint le
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etourner à ma première charge… ce que je fis avec
tristesse
, larmes, grande sollicitude et détresse… Maintenant, si je voulais ré
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et comme frappé soudain d’une amère et invincible
tristesse
, à la vue d’un simple incident, d’un détail inattendu, qui va plus di
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ésirer sa mère, qui est morte en couches. Mais sa
tristesse
vient de cette mort, comme son nom même, et comme sa culpabilité. Et
114
e nous ne pouvons admettre.3 Ce n’est pas sans
tristesse
que je transcris ces phrases d’une injustice proprement aberrante4. À
115
tour, sous les formes les plus policées, « cette
tristesse
majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie » (Racine, préfac
116
citer les passions » pour plaire à un besoin de «
tristesse
majestueuse ». Racine va se retirer du monde et des passions mondaine
117
une fiction. Il constate. Sévérité du moraliste,
tristesse
de l’humaniste, mais ferveur de l’homme : « Tout est encore possible,
118
eu embarrassée, traduisaient au premier regard la
tristesse
et l’abattement ; mais si une sympathie profonde venait à l’émouvoir,