1
va-t-il rire, va-t-il pleurer ? m’embrasser ou me
tuer
? Il sent autour de lui quelque chose qui le gêne. C’est l’empire. Il
2
de nos cités congestionnées, ce serait peut-être
tuer
au soleil des germes de révolution. Déjà des ingénieurs se sont mis à
3
vait tant souffrir et ne plus aimer ». Closain se
tue
pour finir le livre. Livre charmant et bizarre, où la sentimentalité
4
orme… Je ne comprends plus pourquoi je devrais me
tuer
, pourquoi je souffre, ce que c’est que la souffrance, ce que c’est qu
5
pure de ces espaces définis par quelques plans ne
tue
pas un certain mystère. Cette cour sans issue, cette tulipe bizarre,
6
ais écrivain ? — Hélas ! soupirez-vous. Mais j’ai
tué
la littérature en moi, n’en parlez plus, j’en sors, je l’abandonne… M
7
fois — et ce n’est pas que je m’en vante, — j’ai
tué
un amour naissant, à force de le crier sur les toits. Ainsi, parler l
8
icible. (Depuis le temps qu’on sait que la lettre
tue
ce qu’elle prétend exprimer ; depuis le temps qu’on l’oublie.) Vous m
9
n de défense. On cherche un mot, une phrase, pour
tuer
une réalité dont la connaissance devient douloureuse et troublante. A
10
nt douloureuse et troublante. Ainsi la conscience
tue
la connaissance. (« Connaissance » étant pris avec son sens le plus p
11
e son époque ? Rendre impuissant c’est à coup sûr
tuer
. Or on parle de l’élever à la présidence de la République. Qu’un tel
12
te à deux dimensions ; la conscience ne pouvait y
tuer
un lyrisme quasi inexistant, mais bien y exciter un esprit critique f
13
e citoyen bagnard auquel il est promis. Mais elle
tue
tout ce qui lui donnerait l’envie de se libérer — et peut-être les mo
14
chiffrables. Dans la mesure où il y parvient, il
tue
les existences particulières, ou bien c’est qu’elles sont déjà mortes
15
e citoyen bagnard auquel il est promis. Mais elle
tue
tout ce qui lui donnerait l’envie de se libérer — et peut-être les mo
16
chiffrables. Dans la mesure où il y parvient, il
tue
les existences particulières, ou bien c’est qu’elles sont déjà mortes
17
plus la colère. Ah ! nous ne risquons pas d’être
tués
par des statues !) Tout d’un coup, trois hommes qui ont du cran. Deux
18
mence : Nietzsche. Ainsi l’atmosphère moraliste a
tué
les germes de l’imagination créatrice chez les protestants, qui lui f
19
, l’ordre règne à Varsovie, et en France on ne se
tue
plus que par amour. (Mais à Moscou, les petits Russes naissent avec u
20
s les suiveurs qui suivent en vérité des fantômes
tués
par leurs modèles, sont les orthodoxes qui momifient Lénine pour oser
21
ersonne ne déclare un Bien si haut qu’on se fasse
tuer
pour ce Bien ? Ceci pour indiquer à la fois l’importance et les limit
22
eu s’oppose à cette loi des hommes qui veut qu’on
tue
. Une décision se formule, peut-être pour la première fois, dans la so
23
entre les idéaux pour lesquels nous nous ferions
tuer
, et les buts de ceux qui nous feraient volontiers tuer. Jean-Richard
24
et les buts de ceux qui nous feraient volontiers
tuer
. Jean-Richard Bloch l’a dit à la barre des témoins : Martin fait dans
26
e seule chose pour laquelle j’accepte de me faire
tuer
, parce que ce ne serait pas crever bassement dans la haine, mais ce s
27
Hic et Nunc , Paris, n° 1). j. « À prendre ou à
tuer
», La Nouvelle Revue française, Paris, n° 231, décembre 1932, p. 838-
28
dans le même temps, un jugement abstrait, qui la
tue
. Le sentimentalisme n’est pas du tout le contraire du rationalisme (m
29
onnante, au lieu que le plaisir ou la fuit, ou la
tue
. La sensualité adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est tou
30
ais l’autre jour que les Suisses les avaient tous
tués
au Morgarten ! — et mes Juifs de grogner d’aise. La noblesse germaniq
31
son désir. (« Oh ! qu’il garde ses flèches, il ne
tuerait
qu’un songe. ») La nuit fraîche m’a réveillé. Mais tandis qu’ici j’éc
32
dans le même temps, un jugement abstrait, qui la
tue
. Le sentimentalisme n’est pas du tout le contraire du rationalisme (m
33
onnante, au lieu que le plaisir ou la fuit, ou la
tue
. La sensualité adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est tou
34
son désir. (« Oh ! qu’il garde ses flèches, il ne
tuerait
qu’un songe. ») La nuit fraîche m’a réveillé. Mais tandis qu’ici j’éc
35
s cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne
tuent
pas la liberté dans les pays seulement où elles sévissent, mais aussi
36
hose d’irremplaçable, de quelque chose qu’on peut
tuer
, mais qu’on ne peut conquérir par la force, et qui vaut plus, insonda
37
r eux la moindre des réalités humaines qu’ils ont
tuées
. “… car ils ne savent ce qu’ils font.” » Ce texte parut le 17 juin da
38
nds aussi, finalement, ont souffert, se sont fait
tuer
, ont été envahis. Qu’est-ce que cela prouve ? Quand l’avalanche balay
39
sent. Faut-il croire qu’ils sont prêts à se faire
tuer
, c’est-à-dire dans ce cas précis désintégrer, peler et ronger jusqu’a
40
’est lui d’abord qu’il faut détruire si l’on veut
tuer
ces racines et surtout empêcher qu’elles ne se reforment. La nécessit
41
ait. Et sa dictature n’est pas l’ordre. Elle peut
tuer
les bêtes, couper les arbres et peupler les déserts ; sur le principe
42
s n’a pu y parvenir. À la fin du cauchemar, on le
tue
dans des conditions trop déprimantes pour qu’il puisse songer même à
43
e la santé moins déprimée d’un autre siècle avait
tué
. C’est aussi qu’il est devenu possible de saisir, dans le déploiement
44
de l’esprit parmi nous ? Si l’Opinion publique a
tué
Kierkegaard, elle n’a pas eu de prise sur les sarcasmes dont il l’a f
45
grand risque. Si tu dis non, si tu agis, elle te
tuera
peut-être, quitte à fleurir ensuite la tombe du « héros », dernière i
46
Mais ils ne se retrouvent que pour aller se faire
tuer
ensemble devant Rio de Janeiro, au cours d’un combat acharné contre u
47
là notre plus belle chance de grandeur ? Ils nous
tueront
! L’Idole est absolue. Et ce n’est pas cette mort-là qu’il nous faut
48
lementaire et « progressiste », ne parvient pas à
tuer
le proudhonien qui se cache en tout Français sain, c’est sur cet élém
49
là notre plus belle chance de grandeur ? Ils nous
tueront
! L’Idole est absolue. Et ce n’est pas cette mort-là qu’il nous faut
50
lementaire et « progressiste », ne parvient pas à
tuer
le proudhonien qui se cache en tout Français sain, c’est sur cet élém
51
tume de l’offrir en exemple. Car enfin il n’a pas
tué
: Dieu l’arrête au dernier moment et lui montre un bélier prêt pour l
52
i tu vas, entre partout, réponds à tout. On ne te
tuera
pas plus que si tu étais cadavre”. Au matin j’avais le regard si perd
53
tion de la violence physique, c’est une machine à
tuer
chimiquement, et à grande distance, c’est un massacre mécanique, un p
54
a seconde notre mission spirituelle. La dictature
tue
la liberté pour assurer l’ordre et le pain du corps (c’est le princip
55
jamais à bout dans mon esprit. Voici : l’homme a
tué
Dieu. Alors est venu l’État, qui n’a plus rien au-dessus de lui pour
56
ie tragique de la connaissance et de la Vie. Ceci
tuerait
cela. Et de cette dialectique, on a tiré quelques rayons d’in-octavos
57
taient leurs caprices. Le savant et le technicien
tuent
mieux que le mage et le sorcier. L’étatisme dictatorial stérilise bie
58
seule. Elle est don de l’Esprit, révélation. Elle
tue
en nous le faux dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai Dieu. C’est
59
taient leurs caprices. Le savant et le technicien
tuent
mieux que le mage et le sorcier. L’étatisme dictatorial stérilise bie
60
seule. Elle est don de l’Esprit, révélation. Elle
tue
en nous le faux dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai Dieu. C’est
61
Il y avait des places vides, toute une génération
tuée
à remplacer. Il y avait l’inflation, et la prospérité des nouveaux ri
62
c choisir : Dieu ou moi. Je dirai : moi. Dussè-je
tuer
Dieu, comme Nietzsche a proclamé qu’il avait fait. L. — Mais l’homme
63
est liée à l’espace et au temps. Comment le temps
tuerait
-il l’Éternel ? Comment la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut
64
le temps tuerait-il l’Éternel ? Comment la chair
tuerait
-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s’en form
65
ent la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut
tuer
que l’idée fausse qu’elle s’en formait… Tu affirmes que si Dieu prévo
66
nt, dès lors que « Dieu est mort » ou qu’il l’a «
tué
», il imagine le Retour éternel. Et comme ce Retour éternel paraît ex
67
e. Des centaines d’ouvriers français se sont fait
tuer
pour les ouvriers espagnols, mais combien de bourgeois français ont é
68
a peu de tons purs dans la vie.) La brutalité
tue
la violence Par opposition à la violence, signe de l’esprit agissa
69
ois. Aussi se donne-t-elle pour première tâche de
tuer
dans la jeunesse toute velléité de violence spirituelle. L’éducation
70
ne font plus rien en hiver ? Ils sont venus pour
tuer
le temps, au lieu d’aller au café. Cette inertie, dès qu’il ne s’agit
71
l’héroïsme de ce peuple. Mais combien se feraient
tuer
aujourd’hui pour sauver leur pratique ? On en vient à penser que le r
72
de Descartes, comme on ferait un mot croisé, pour
tuer
le temps avant un rendez-vous. 19 novembre 1933 Premiers contacts av
73
lement étriquée, devient une espèce d’asepsie qui
tue
les germes de toute création. (La culture suppose plus de folie, supp
74
de Descartes, comme on ferait un mot croisé, pour
tuer
le temps avant un rendez-vous. 10 novembre 1933 Ce journal n’au
75
ne font plus rien en hiver ? Ils sont venus pour
tuer
le temps, au lieu d’aller au café. Cette inertie, dès qu’il ne s’agit
76
taines circonstances extérieures sont capables de
tuer
en certains hommes jusqu’à l’activité de la pensée : mon état d’espri
77
l’héroïsme de ce peuple. Mais combien se feraient
tuer
aujourd’hui pour sauver leurs pratiques ? On en vient à penser que le
78
e moustiques et de fourmis ailées que j’essaie de
tuer
au fly-tox. Une araignée parfois descend au-dessus de ma page, pédale
79
le mien. Lui revient. Je suis hors de moi. Je le
tuerais
! D’ailleurs il a l’air colossalement fort et refuse de me regarder.
80
— cette absence de musique quand le silence a été
tué
, absence qui se confond avec la présence d’un bruit universel ; c’est
81
e, oubliant son Auteur. C’est alors que la lettre
tue
l’homme, au lieu de le secourir en incarnant l’esprit. Et c’est à cet
82
c choisir : Dieu ou moi. Je dirai : moi. Dussè-je
tuer
Dieu, comme Nietzsche a proclamé qu’il avait fait. L. — Comment le t
83
proclamé qu’il avait fait. L. — Comment le temps
tuerait
-il l’Éternel ? Comment la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut
84
le temps tuerait-il l’Éternel ? Comment la chair
tuerait
-elle l’Esprit ? Elle ne peut tuer que l’idée fausse qu’elle s’en form
85
ent la chair tuerait-elle l’Esprit ? Elle ne peut
tuer
que l’idée fausse qu’elle s’en formait… Mais tu affirmes que si Dieu
86
nt, dès lors que « Dieu est mort » ou qu’il l’a «
tué
», il imagine le Retour éternel. Et comme ce Retour éternel paraît ex
87
i, le pasteur Boesen : « Salue tous les hommes de
tua
part, je les aimais bien, tous… » Le seul événement extérieur de sa v
88
Ah ! Dieu sait s’ils deviennent attentifs, ils le
tuent
. Mais c’est là ce qu’il voulait. Il n’a jamais cru que sa mort pourra
89
e le temps finira bien par succomber. Mais, ayant
tué
en lui toute autre vanité que celle de haïr le temps — c’est là son d
90
re au foyer. Je ne dirai plus que le « fascisme »
tue
l’esprit d’initiative. C’est le contraire. Comparez la jeune Führerin
91
moi ! (il se frappe la poitrine) moi je me ferai
tuer
pour lui ! » Et il répète : « Lui au moins, c’est un homme sincère, e
92
« Les camarades que le Front rouge et la Réaction
tuèrent
— marchent en esprit dans nos rangs. » J’ai compris. Cela ne peut se
93
torquaient la démission du maire socialiste ou le
tuaient
, puis rentraient sans être inquiétés. Et cela, des centaines de fois.
94
faudrait développer une violence spirituelle qui
tue
mieux que la passion d’amour : celle au moins de l’orthodoxie contre
95
sée, et la vie qui est la faute à racheter ! Mais
tuer
l’homme avant qu’il ne se tue, et le tuer autrement qu’il ne veut l’ê
96
à racheter ! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se
tue
, et le tuer autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de ce
97
! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se tue, et le
tuer
autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de cela seul qu’i
98
t temporelle ne mérite pas d’être adorée, ni même
tuée
, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel. Voilà le sens
99
chrétienne ! Car voici : cet homme mort au monde,
tué
par l’amour infini, devra marcher maintenant et vivre dans le monde c
100
c’est-à-dire le prix qu’on doit payer quand on le
tue
, est de 126 vaches ; et en cas d’insulte, on lui doit une indemnité d
101
moi ! (il se frappe la poitrine) moi je me ferai
tuer
pour lui ! » Et il répète : « Lui au moins, c’est un homme sincère, e
102
re au foyer. Je ne dirai plus que le « fascisme »
tue
l’esprit d’initiative. C’est le contraire. Comparez la jeune Führerin
103
. On nous affirme aussi qu’il est prêt à se faire
tuer
pour assurer la liberté de sa presse : le droit pour un journal de se
104
des hommes n’ont pas hésité un instant à se faire
tuer
pour l’une ou l’autre de ces causes. Pourquoi se fait-on tuer ? Dans
105
une ou l’autre de ces causes. Pourquoi se fait-on
tuer
? Dans la mesure où on l’accepte, c’est par une sorte d’acte de foi.
106
ls sont donc morts pour une idée que son triomphe
tuera
peut-être, ou révélera fausse et mauvaise. Pour mourir « en connaissa
107
tion de la violence physique, c’est une machine à
tuer
chimiquement, et à grande distance, c’est un massacre mécanique, un p
108
n. Tout est à peu près comme avant, sauf qu’on ne
tue
plus dans la rue. (Je crois que c’est cela que les bonnes gens baptis
109
« Les camarades que le Front rouge et la Réaction
tuèrent
— marchent en esprit dans nos rangs ». J’ai compris. Cela ne peut se
110
sont fatigués d’avoir peur. Un peu de vérité les
tuerait
. Avril 1936 (De retour en Allemagne.) Jacobinisme et hitlérism
111
s cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne
tuent
pas seulement la liberté dans les pays où elles sévissent, mais aussi
112
n’ose plus dire inviolables ! Qui donc se ferait
tuer
pour une vertu dont on ne sait plus quelle est la fin ? Et toutes ces
113
armé chevalier, donc peu après sa puberté. Il le
tue
, mais il en a reçu un coup d’épée empoisonnée. Sans espoir de survivr
114
rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et
tue
un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré de la vi
115
le. Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le
tuer
dans son bain. Alors, il lui révèle la mission dont le roi Marc l’a c
116
n même. La mort, qui est le but de la passion, la
tue
. Mais l’épée nue n’est pas encore l’expression décisive du désir somb
117
ir. Elle l’aggrave même parfois jusqu’au désir de
tuer
l’autre, ou de se tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô ven
118
parfois jusqu’au désir de tuer l’autre, ou de se
tuer
, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô vents, clamait encore Isol
119
rent sans s’aimer. — Second séjour : elle veut le
tuer
. — Navigation et philtre, péché consommé ; Iseut livrée. — Tristan ba
120
t contact avec sa femme s’il était marié 41, à ne
tuer
ni ne manger nul animal, enfin à tenir sa foi secrète. Un jeûne de qu
121
s mœurs… Qu’on se rappelle ce seigneur jaloux qui
tue
le troubadour favori de sa femme, et fait servir le cœur de la victim
122
hevalerie célestielle, et il ne s’agit plus là de
tuer
des hommes et d’abattre des champions par force d’armes : il s’agit d
123
lure suave ». Le « dard d’amour » qui blesse sans
tuer
. Le « salut » de l’amour. La passion qui « isole » du monde et des êt
124
ble ». « Je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se
tuer
, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec Titus les derni
125
aime, puisque c’est cela qui nous enchaîne. On ne
tue
bien que son amour, parce que lui seul est souverain. Le crime d’amou
126
hors d’un monde déclaré diabolique. Ce n’est pas
tuer
ce corps gênant. Mais ce n’est pas non plus tirer son revolver contre
127
capitaine, écrit Brantôme165 qui avez combattu et
tué
tant d’hommes ennemis de Dieu dans les armées et dans les villes ! Ô
128
absolu religieux. Il est fréquent qu’on se laisse
tuer
pour respecter des conventions d’une merveilleuse extravagance. « Les
129
s à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fut
tué
par un boulet de canon ? » ⁂ Il n’en reste pas moins que les conventi
130
n moins de faire la guerre que d’empêcher qu’on y
tuât
du monde. Ces aventuriers étaient avant tout d’avisés diplomates, d’a
131
sur les 3000 hommes engagés, plus de cent furent
tués
: « Nombre considérable par rapport à la manière dont on faisait alor
132
1. 172. Il est juste toutefois de rappeler qu’on
tuait
facilement dans ce pays. Mais le meurtre y restait individuel. Alors
133
faudrait développer une violence spirituelle qui
tuât
mieux que la passion d’amour : celle au moins de l’orthodoxie contre
134
sée, et la vie qui est la faute à racheter ! Mais
tuer
l’homme avant qu’il se tue, et le tuer autrement qu’il ne veut l’être
135
ute à racheter ! Mais tuer l’homme avant qu’il se
tue
, et le tuer autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de ce
136
ter ! Mais tuer l’homme avant qu’il se tue, et le
tuer
autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de cela seul qu’i
137
t temporelle ne mérite pas d’être adorée, ni même
tuée
, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel. Car après tou
138
chrétienne ! Car voici : cet homme mort au monde,
tué
par l’amour infini, devra marcher maintenant et vivre dans le monde c
139
r conserver l’objet aimé, tandis que Sade veut le
tuer
. 11. – Au-delà de nos sécurités Faut-il aller encore plus loin
140
connaître l’adversaire afin de reconnaître et de
tuer
les plus secrètes complicités qu’il a su ménager dans nos cœurs. Pour
141
uple entier sera sauvé, par toi, de la guerre qui
tue
les pères et qui dévaste les foyers. Par toi, par ton seul sacrifice,
142
armé chevalier, donc peu après sa puberté. Il le
tue
, mais il en a reçu un coup d’épée empoisonnée. Sans espoir de survivr
143
rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et
tue
un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré de la vi
144
le. Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le
tuer
dans son bain. Alors, il lui révèle la mission dont le roi Marc l’a c
145
n même. La mort, qui est le but de la passion, la
tue
. Mais l’épée nue n’est pas encore l’expression décisive du désir somb
146
ir. Elle l’aggrave même parfois jusqu’au désir de
tuer
l’autre, ou de se tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô vent
147
parfois jusqu’au désir de tuer l’autre, ou de se
tuer
, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô vents, clamait encore Isold
148
rent sans s’aimer. — Second séjour : elle veut le
tuer
. — Navigation et philtre, péché consommé ; Iseut livrée. — Tristan ba
149
seul, à ne jamais mentir ni prêter serment, à ne
tuer
ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout contact avec leur fe
150
s mœurs… Qu’on se rappelle ce seigneur jaloux qui
tue
le troubadour favori de sa femme, et fait servir le cœur de la victim
151
hevalerie célestielle, et il ne s’agit plus là de
tuer
des hommes et d’abattre des champions par forces d’armes : il s’agit
152
lure suave ». Le « dard d’amour » qui blesse sans
tuer
. Le « salut » de l’amour. La passion qui « isole » du monde et des êt
153
ble ». « Je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se
tuer
, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec Titus les derni
154
aime, puisque c’est cela qui nous enchaîne. On ne
tue
bien que son amour, parce que lui seul est souverain. Le crime d’amou
155
hors d’un monde déclaré diabolique. Ce n’est pas
tuer
ce corps gênant. Mais ce n’est pas non plus tirer son revolver contre
156
apitaine, écrit Brantôme183, qui avez combattu et
tué
tant d’hommes ennemis de Dieu dans les armées et dans les villes ! Ô
157
absolu religieux. Il est fréquent qu’on se laisse
tuer
pour respecter des conventions d’une merveilleuse extravagance. « Les
158
s à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fut
tué
par un boulet de canon ? » ⁂ Il n’en reste pas moins que les conventi
159
n moins de faire la guerre que d’empêcher qu’on y
tuât
du monde. Ces aventuriers étaient avant tout d’avisés diplomates, d’a
160
, sur les 3000 hommes engagés, plus de 100 furent
tués
: « Nombre considérable par rapport à la manière dont on faisait alor
161
1. 190. Il est juste toutefois de rappeler qu’on
tuait
facilement dans ce pays. Mais le meurtre y restait individuel. Alors
162
faudrait développer une violence spirituelle qui
tuât
mieux que la passion d’amour : celle au moins de l’orthodoxie contre
163
sée, et la vie qui est la faute à racheter ! Mais
tuer
l’homme avant qu’il ne se tue, et le tuer autrement qu’il ne veut l’ê
164
à racheter ! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se
tue
, et le tuer autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de ce
165
! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se tue, et le
tuer
autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de cela seul qu’i
166
t temporelle ne mérite pas d’être adorée, ni même
tuée
, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel. Car après tou
167
chrétienne ! Car voici : cet homme mort au monde,
tué
par l’amour infini, devra marcher maintenant et vivre dans le monde c
168
armé chevalier, donc peu après sa puberté. Il le
tue
, mais il en a reçu un coup d’épée empoisonnée. Sans espoir de survivr
169
rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et
tue
un dragon qui menaçait la capitale. (C’est le motif consacré de la vi
170
le. Elle saisit l’épée de Tristan et menace de le
tuer
dans son bain. Alors, il lui révèle la mission dont le roi Marc l’a c
171
n même. La mort, qui est le but de la passion, la
tue
. Mais l’épée nue n’est pas encore l’expression décisive du désir somb
172
ir. Elle l’aggrave même parfois jusqu’au désir de
tuer
l’autre, ou de se tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô ven
173
parfois jusqu’au désir de tuer l’autre, ou de se
tuer
, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô vents, clamait encore Isol
174
rent sans s’aimer. — Second séjour : elle veut le
tuer
. — Navigation et philtre, péché consommé ; Iseut livrée. — Tristan ba
175
seul, à ne jamais mentir ni prêter serment, à ne
tuer
ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout contact avec leur fe
176
s mœurs… Qu’on se rappelle ce seigneur jaloux qui
tue
le troubadour favori de sa femme, et fait servir le cœur de la victim
177
hevalerie célestielle, et il ne s’agit plus là de
tuer
des hommes et d’abattre des champions par force d’armes : il s’agit d
178
lure suave ». Le « dard d’amour » qui blesse sans
tuer
. Le « salut » de l’amour. La passion qui « isole » du monde et des êt
179
ble ». « Je n’ai point poussé Bérénice jusqu’à se
tuer
, comme Didon, parce que Bérénice n’ayant pas ici avec Titus les derni
180
aime, puisque c’est cela qui nous enchaîne. On ne
tue
bien que son amour, parce que lui seul est souverain. Le crime d’amou
181
hors d’un monde déclaré diabolique. Ce n’est pas
tuer
ce corps gênant. Mais ce n’est pas non plus tirer son revolver contre
182
apitaine, écrit Brantôme170, qui avez combattu et
tué
tant d’hommes ennemis de Dieu dans les armées et dans les villes ! Ô
183
absolu religieux. Il est fréquent qu’on se laisse
tuer
pour respecter des conventions d’une merveilleuse extravagance. « Les
184
s à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fut
tué
par un boulet de canon ? » ⁂ Il n’en reste pas moins que les conventi
185
n moins de faire la guerre que d’empêcher qu’on y
tuât
du monde. Ces aventuriers étaient avant tout d’avisés diplomates, d’a
186
, sur les 3000 hommes engagés, plus de 100 furent
tués
: « Nombre considérable par rapport à la manière dont on faisait alor
187
1. 176. Il est juste toutefois de rappeler qu’on
tuait
facilement dans ce pays. Mais le meurtre y restait individuel. Alors
188
faudrait développer une violence spirituelle qui
tuât
mieux que la passion d’amour : celle au moins de l’orthodoxie contre
189
sée, et la vie qui est la faute à racheter ! Mais
tuer
l’homme avant qu’il ne se tue, et le tuer autrement qu’il ne veut l’ê
190
à racheter ! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se
tue
, et le tuer autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de ce
191
! Mais tuer l’homme avant qu’il ne se tue, et le
tuer
autrement qu’il ne veut l’être, c’est bien de cela, de cela seul qu’i
192
t temporelle ne mérite pas d’être adorée, ni même
tuée
, mais peut être acceptée dans l’obéissance à l’Éternel. Car après tou
193
chrétienne ! Car voici : cet homme mort au monde,
tué
par l’amour infini, devra marcher maintenant et vivre dans le monde c
195
enfants et moins d’amours profondes. La guerre ne
tue
pas seulement pendant qu’elle sévit, et après ; mais aussi avant. 15
196
ense bien, me dit-on. Il n’hésiterait pas à faire
tuer
pour elles ses meilleurs amis. (On entend : les Français qui l’ont ac
197
tout en détestant les chefs nazis, « il se ferait
tuer
pour Hitler », car l’ambition réelle du Führer, croyait-il, était d’a
198
hose d’irremplaçable, de quelque chose qu’on peut
tuer
, mais qu’on ne peut conquérir par la force, et qui vaut plus, insonda
199
r eux la moindre des réalités humaines qu’ils ont
tuées
. « …car ils ne savent ce qu’ils font. » Le 15 juin 1940. b. « À cet
200
sible quand il s’agit du mieux mourir ou du mieux
tuer
. Eh bien si la peur et la guerre sont seules capables d’obtenir de no
201
icié dans son principe ; ou la conquête, mais qui
tue
ce qu’elle conquiert. « Mea culpa » des gens de droite, qui croyaient
202
mbardements, quand on ne sait même plus qui a été
tué
. Un peuple en guerre sauve son moral en se dopant, en forçant l’illus
203
sible quand il s’agit du mieux mourir ou du mieux
tuer
. Eh bien si la peur et la guerre sont seules capables d’obtenir de no
204
icié dans son principe ; ou la conquête, mais qui
tue
ce qu’elle conquiert. Mea culpa des gens de droite, qui croyaient pou
205
mbardements, quand on ne sait même plus qui a été
tué
. Un peuple en guerre sauve son moral en se dopant, en forçant l’illus
206
ne, et celui de l’épargne dans tous les domaines,
tuaient
en nous le sens métaphysique… ⁂ Sobre dans la plus libre fantaisie, m
207
connaître l’adversaire afin de reconnaître et de
tuer
les plus secrètes complicités qu’il a su ménager dans nos cœurs. Conn
208
frontière, des tranchées, des hommes en train de
tuer
et en train de mourir… Et puis, flottant dans d’autres brumes, dernie
209
e ces choses ? Pendant que des hommes se feraient
tuer
, pendant que mes camarades monteraient la garde dans la neige, d’autr
210
lement étriquée, devient une espèce d’asepsie qui
tue
les germes de toute création. (La culture suppose plus de folie, supp
211
n deux camps religieux eut au moins pour effet de
tuer
en germe l’ambition centralisatrice, chez ceux-là mêmes qui devaient
212
’une fédération. Il est certain que ce germe sera
tué
si l’un de ces États, ou tous les deux ensemble, conçoivent la fédéra
213
connaître l’adversaire afin de reconnaître et de
tuer
les plus secrètes complicités qu’il a su ménager dans nos cœurs. Con
214
aspirateur Smith… Des bonbons Johnson… Ici, trois
tués
par jour… Lisez la Bible… Cabines de touristes à 100 yards… Ferry-boa
215
rurent l’apôtre. Ils le crurent si bien qu’ils le
tuèrent
! Et le plus beau, c’est que cela réussit : ils devinrent chrétiens.
216
nous jugeait encore. Mais le mensonge diabolique
tue
le juge. Il ne part que de soi, et prolifère en autarcie, comme une m
217
lustrent et raniment : « Ne craignez pas ceux qui
tuent
le corps et ne peuvent rien faire de plus. » Beaucoup ont découvert l
218
hose d’irremplaçable, de quelque chose qu’on peut
tuer
mais qu’on ne peut conquérir par la force, et qui vaut plus, insondab
219
r eux la moindre des réalités humaines qu’ils ont
tuées
, « … car ils ne savent ce qu’ils font ». 19. Le Fléau de Dieu