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ugubrement fardée, l’haleine mauvaise, édentée et
tâchant
à prendre un accent anglais d’un comique assez macabre. Ses derniers
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ntant de la « beat generation ». Attiré, fasciné,
tâchant
d’en croire ses yeux, souffrant visiblement de se sentir « exclu » de
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t d’une communauté dans une certaine direction en
tâchant
de la rendre acceptable par le plus grand nombre de citoyens, de crée
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e s’arranger avec des langues différentes, chacun
tâchant
de parler de son mieux sa propre langue. Il ne s’agit pas non plus de