1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
1 mier pont sur le Danube, auteurs ainsi du trait d’ union de Buda-Pest. Il y a trois semaines, à Freudenau, lors du Derby vienn
2 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
2 des relations humaines, d’un visible « principe d’ union  » (terme de l’encyclique Quadragesimo anno), tout à fait étranger au
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 mier pont sur le Danube, auteurs ainsi du trait d’ union de Buda-Pest. Il y a trois semaines, à Freudenau, lors du Derby vienn
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 mier pont sur le Danube, auteurs ainsi du trait d’ union de Buda-Pest. Il y a trois semaines, à Freudenau, lors du Derby vienn
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
5 très précise de nos libertés suisses et de notre union fédérale. Quand je n’en saurais rien, j’ai lieu de supposer que l’imp
6 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
6 ette absence de tout principe vivant d’unité et d’ union , qui est la marque de notre temps, et la cause de notre psychose de s
7 cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’ union par et dans la diversité créatrice. Fortes de leur souplesse, elles e
7 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
8 liberté. Sa ligne de bataille s’étend. Il crée l’ Union des paysans. Il évangélise. Il devient le « fou du Christ ». À peine
8 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
9 des relations humaines, d’un visible « principe d’ union  » (terme de l’encyclique Quadragesimo anno), tout à fait étranger au
9 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
10 ette absence de tout principe vivant d’unité et d’ union , qui est la marque de notre temps, et la cause de notre psychose de s
11 cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’ union par et dans la diversité créatrice. Fortes de leur souplesse, elles e
10 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
12 ette absence de tout principe vivant d’unité et d’ union , qui est la marque de notre temps, et la cause de notre psychose de s
13 cherchent à humaniser les hommes. Elles veulent l’ union par et dans la diversité créatrice. Fortes de leur souplesse, elles e
11 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
14 peut-être surtout dans ce cas ! La panique de « l’ union sacrée » qui vient de souffler sur notre élite en est l’ahurissant ex
12 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
15 pect matériel de l’homme, il existe deux traits d’ union  : la vue et la parole, la vision et l’entendement. La Parole est l’ob
16 correspondance organique, où la réalité naît de l’ union des contradictions naturelles, où l’homme est microcosme de la Créati
13 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
17 tendit mettre fin à la lutte des ligueurs et de l’ Union calviniste. Il venait de se faire catholique et, mal assuré dans son
14 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
18 , faudra-t-il accepter aussitôt le fameux trait d’ union qu’on nous propose, entre socialiste et chrétien ? Prenons bien garde
15 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
19 regroupements » de la gauche, aboutissant à cette union panique qui s’appelle le Front populaire, cependant que la « menace f
16 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
20 le secret de son œuvre résidait sans doute dans l’ union vibrante qu’il incarnait, de qualités qui ont coutume, ailleurs, de s
17 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
21 ipaux initiateurs : le christianisme social, et l’ union des églises non romaines, grande espérance œcuménique et internationa
18 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
22 s éléments d’opposition. C’est la mystique de « l’ union sacrée », autrement dit, le nationalisme. En vérité, les deux termes
19 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
23 soulevée. Elle dissocie cette puissance, née de l’ union du travail et de la culture, de la main ouvrière et de la pensée. Ell
20 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
24 soulevée. Elle dissocie cette puissance, née de l’ union du travail et de la culture, de la main ouvrière et de la pensée. Ell
21 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
25 rphoses non moins effarantes. Travail, liberté ou union , richesse et pauvreté, tous ces vocables dont nous pensions qu’ils ex
26 le mesure de l’utile. L’Église faisait le trait d’ union , l’Église gardienne du sens concret des lieux communs. Aujourd’hui ce
22 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
27 centralisateur, l’oppresseur des minorités dans l’ Union soviétique, qui soutient la Catalogne ! Faut-il chercher ailleurs que
23 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
28 et les pousse à créer des signes visibles de leur union  : assemblées, fêtes, cortèges, uniformes ou chefs, — kolkhozes, corpo
24 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
29 et 1937)aj M. Benda décrivait l’autre jour à l’ Union pour la vérité, une « querelle des générations » dont il définissait
25 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
30 utionnaire ! » S’exclamait naguère Jean Guéhenno ( Union pour la Vérité, 22 mars 1930). À quoi un socialiste allemand, le prof
26 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
31 noter qu’en français communion contient et évoque union , alors qu’en allemand le même mot contient et évoque solitude. Je ne
32 et les pousse à créer des signes visibles de leur union  : assemblées, fêtes, cortèges, uniformes, ou chefs, — kolkhozes, corp
27 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
33 rphoses non moins effarantes. Travail, liberté ou union , richesse et pauvreté, tous ces vocables dont nous pensions qu’ils ex
34 le mesure de l’utile. L’Église faisait le trait d’ union , l’Église gardienne du sens concret des lieux communs. Aujourd’hui ce
28 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
35 J’entends bien que tout le monde n’a parlé que d’ union , mais sur un ton qui, de toute évidence, en excluait la possibilité.
36 ait la possibilité. Car quand la droite propose l’ union à condition que la gauche renonce à ses réformes, et quand la gauche
37 once à ses réformes, et quand la gauche propose l’ union à condition que la droite adopte son programme, c’est que, de part et
38 s doute un hommage que l’esprit partisan rend à l’ union sacrée. Mais ce qui m’apparaît le plus dangereux dans cette affaire,
39 crisie ni l’esprit partisan, c’est l’hommage et l’ union sacrée. L’hypocrisie est trop grossière pour tromper, et l’esprit par
40 xcès. Mais cette fausse vertu qu’on honore, cette union sacrée qu’on invoque, craignons qu’à force de l’invoquer l’on finisse
41 t faire ; ou bien personne, en réalité, ne veut l’ union qu’on dit vouloir, et alors tout s’explique aisément. ⁂ Or, ce qui es
42 r, ce n’est pas tant qu’on triche sous prétexte d’ union , mais bien que las de ces tricheries, et d’autre part dupé par ce gra
43 écide à jouer sérieusement, — à jouer le jeu de l’ union sacrée. Ce qui est grave, ce qu’il faut redouter, c’est que le désir
44 es gauches en même temps à ne plus concevoir leur union que sous la forme d’un Anschluss, d’une mutuelle annexion. Il ne manq
45 de politiciens pour estimer que leur programme d’ union est celui qui supprime les problèmes au lieu d’essayer de les résoudr
46 peut se payer l’élégance de le taire. Toutes les unions sacrées se font ainsi. Pour éviter de mourir, cessons de vivre et arm
47 n nous somme de cesser de penser, sous prétexte d’ union « sacrée » ? ⁂ Concevoir l’union comme l’annexion d’une moitié de la
48 sous prétexte d’union « sacrée » ? ⁂ Concevoir l’ union comme l’annexion d’une moitié de la France par l’autre, c’est la rend
49 hemar. Car seule la force brutale peut opérer une union de ce type, qui n’est qu’une unification. Dans la mesure où on la vou
50 Disons plus : on perdra ses meilleures forces. L’ union qui se fait par la force n’est pas l’union qui fait la force. Ou alor
51 ces. L’union qui se fait par la force n’est pas l’ union qui fait la force. Ou alors, cessons de critiquer Hitler, Staline, Mu
52 ssolini. La force de la France n’est pas dans son union . Elle est dans sa capacité unique au monde de supporter les désunions
53 ns que je termine sur une question. S’opposer à l’ union sacrée, ce n’est pas faire l’éloge du désordre présent, du désordre h
29 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
54 ’impôt, l’armée et la police ; où tout principe d’ union sociale et spirituelle, toute commune mesure a disparu, — il est fata
55 e formidable appel des peuples vers un principe d’ union , donc vers une religion, que les dictateurs ont su répondre. Tout le
56 Tout ce que l’on fait là-bas se fait au nom de l’ union sacrée, morale de guerre ; et toutes les mesures d’oppression sont « 
57 ion sont « joyeusement acceptées » pour peu que l’ union sacrée les légitime. Ils ont des canons, mais pas de beurre, dit-on e
30 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
58 peut-être surtout dans ce cas ! La panique de « l’ union sacrée » qui vient de souffler sur notre élite en est l’ahurissant ex
31 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
59 ut dans la forêt, où plus rien ne s’oppose à leur union , le génie de la passion dépose entre leurs corps une épée nue. Descen
60 ide de toute vie personnelle ; selon le second, l’ union monogamique serait la forme la plus rationnelle des relations entre l
61 uisit dans la réalité par une généralisation de l’ union libre, de l’avortement, de l’abandon des enfants, bref de tout ce qu’
62 doute : on en viendra à n’autoriser plus que les unions contractées sur une base eugénique, selon certains critères statistiq
32 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
63 ente, encore ne sauriez-vous prévoir la fin d’une union faite en connaissance de causes. Il a fallu, dit-on, des millénaires
64 de s’en priver. Mais je dis que la garantie d’une union raisonnable en apparences n’est jamais dans ces apparences. Elle est
65 écanique : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueuse des forces de mort et des forces créatrices v
66 s concevoir que la passion, née du mortel désir d’ union mystique, ne saurait être dépassée et accomplie que par la rencontre
33 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
67 ’impôt, l’armée et la police ; où tout principe d’ union sociale et spirituelle, toute commune mesure a disparu — dans une tel
68 e formidable appel des peuples vers un principe d’ union , donc vers une religion, que les dictateurs ont su répondre. Tout le
69 Tout ce que l’on fait là-bas se fait au nom de l’ union sacrée, morale de guerre ; et toutes les mesures d’oppression sont « 
70 ion sont « joyeusement acceptées » pour peu que l’ union sacrée les légitime. Ils ont des canons, mais pas de beurre, dit-on e
34 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
71 econd, c’est que le chef de l’Église confessante ( Union des luthériens et calvinistes allemands), le pasteur Martin Niemöller
35 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
72 ges et les rencontres des druides « cimentaient l’ union des peuples celtiques et le sentiment de leur parenté »16. Les druide
73 ve infinie ». Donc point de fusion possible, ni d’ union substantielle. Mais seulement une communion, dont le modèle est dans
74 ons.) ⁂ Maintenant, rappelons-nous qu’Éros veut l’ union , c’est-à-dire la fusion essentielle de l’individu dans le dieu. L’ind
75 à de la vie. Agapè au contraire ne cherche pas l’ union qui s’opérerait au-delà de la vie. « Dieu est au ciel, et toi tu es s
76 ion théorique réalisation historique Paganisme Union mystique (amour divin heureux). Amour humain malheureux. Hédonisme, p
77 are et méprisée. Christianisme Communion (pas d’ union essentielle). Amour du prochain. (Mariage heureux.) Conflits douloure
78 hors du mariage, car le mariage ne signifie que l’ union des corps, tandis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême, est l’élanc
79 l’Éros suprême, est l’élancement de l’âme vers l’ union lumineuse, au-delà de tout amour possible en cette vie. Voilà pourquo
80 . Certains prêtres provençaux bénirent même cette union mystique en la plaçant sous l’invocation de la Vierge Marie. »30 (De
81 nation, l’évanouissement des formes illusoires, l’ union de l’Âme et de l’Aimé, la communion avec l’Être absolu. Aussi Moïse e
36 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
82 e, dès cette vie, tandis que l’hérétique espère l’ union et la fusion totale, mais au-delà de la mort des corps. Pour les cath
83 s’élevant d’un état de sentiment, mènerait à une union suprême, au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-i
84 unit bien à une œuvre, non à une essence 94. « L’ union lui apparaît plutôt comme fournissant d’abord la possibilité d’une Ag
85 exaltation ni ajout d’aucune sorte ». Et de cette union résultent « la confiance, la foi, l’abandon, le service ». Il s’agit
86 plutôt, me semble-t-il, d’une communion que d’une union , puisque, comme l’écrit ailleurs Eckhart, l’âme reste l’âme, et Dieu
87 n passage d’Eckhart où il est question non plus d’ union mais bien d’égalité de l’âme et de Dieu : Et cette égalité de l’un
88 figure pour Eckhart l’expression authentique de l’ union divine, mais bien l’Agapè, dont ne parlent et que ne connaissent ni P
89 précis dont Otto le montre adversaire : savoir l’ union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours à l’Orient de qu
90 sciple se soient opposés sur le point précis de l’ union divine, rendait possible une confrontation. Mais la lecture des myst
91 sans d’étroites relations avec leur doctrine de l’ union ou leur foi dans l’Incarnation. Ruysbroek, Thérèse et Jean de la Croi
92 ire détachée de l’hérésie. Car l’hérésie posait l’ union possible de Dieu et de l’âme, ce qui entraînait le bonheur divin et l
93 amour humain ; tandis que l’orthodoxie pose que l’ union est impossible, ce qui entraîne le malheur divin et rend l’amour huma
94 la Dame, dès qu’il cessera d’être un symbole de l’ union avec la Jour incréé, deviendra le symbole de l’impossible union avec
95 Jour incréé, deviendra le symbole de l’impossible union avec la femme ; gardant de ses origines mystiques on ne sait quoi de
96 ne grave équivoque sur le sens qu’il attribue à l’ union (Einung). Toutefois un tel passage inclinerait à croire, avec Otto, q
97 agit de savoir si tel mystique croyait ou non à l’ union essentielle ? Dans ce cas, la remarque de l’abbé Paquier servirait d’
37 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
98 ontre les entreprises des galants. L’obstacle à l’ union amoureuse est figuré par l’exigence morale, et non plus du tout relig
99 us la grâce imprévisible décident désormais d’une union , et rendront seuls « aimable » un parti soigneusement raisonné. Triom
100 deur de la passion. Et de là vient que le désir d’ union totale se lie indissolublement au désir de la mort qui libère. C’est
101 les effaçait mille fois. Rends-moi cette étroite union des âmes… Julie, dis-moi donc si je ne t’aimais point auparavant, ou
102 laquelle est censée interdire toute possibilité d’ union légale. D’où encore l’assimilation du préjugé social et des exigences
103 uidera, invisible, et renforcera sans cesse notre union .148 Journal intime de Novalis : Lorsque j’étais sur le tombeau [d
104 rt, toute poésie a quelque chose de tragique. Une union qui est conclue même pour la mort est un mariage qui nous donne une c
105 r Et de leur douloureux amour ! Ils demandaient l’ union des habitants des deux : Déjà ils sont entrés dans le sanctuaire du S
38 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
106 a : la lutte pour la paix universelle basée sur l’ union des rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des Turcs. Idées ch
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
107 ut dans la forêt, où plus rien ne s’oppose à leur union , le génie de la passion dépose entre leurs corps une épée nue. Descen
108 ide de toute vie personnelle ; selon le second, l’ union monogamique serait la forme la plus rationnelle des relations entre l
109 uisit dans la réalité par une généralisation de l’ union libre, de l’avortement, de l’abandon des enfants, bref de tout ce qu’
110 doute : on en viendra à n’autoriser plus que les unions contractées sur une base eugénique, selon certains critères statistiq
40 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
111 ente, encore ne sauriez-vous prévoir la fin d’une union faite en connaissance de causes. Il a fallu, dit-on, des millénaires
112 de s’en priver. Mais je dis que la garantie d’une union raisonnable dans les apparences n’est jamais dans ces apparences. Ell
113 écanique : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueuse des forces de mort et des forces créatrices v
114 s concevoir que la passion, née du mortel désir d’ union mystique, ne saurait être dépassée et accomplie que par la rencontre
41 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
115 pprennent le prix de l’or, c’en sera fait de leur union patriarcale. Mais la tentation est trop forte. Les Suisses passent ou
116 Diète des cantons n’ont pas suffi pour rétablir l’ union . C’est alors que se placent les événements dont nous parlaient nos ma
117 « régionalistes » que notre État est d’abord une union , cependant qu’il rappelle aux « centralistes » que le bien de tous su
42 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
118 e, l’équilibre vivant des tons complémentaires, l’ union dans la diversité. II Maintenant que voici définies, ou plutôt
43 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
119 rai des terres… Et alors, ce sera la fin de notre union , et la fin de nos libertés ! (Violent.) Princes de l’Église, je vous
120 reté fait notre force, car notre force est dans l’ union , et les richesses divisent un peuple. (Un temps.) Et pourquoi ces all
121 Dieu, toi seul es notre force ! Toi seul es notre union , toi seul es notre paix ! Dans la détresse, c’est vers toi que je cri
122 est excellent ! Haut les cœurs ! Tous ensemble ! Union sacrée ! Courage ! Déjà, ils fuient là-bas comme un nuage ! Voix d
44 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
123 nos victoires mémorables ont été remportées par l’ union , et que le temps de la grandeur et des conquêtes s’ouvre à nous, je v
124 ommes fraternellement associés dans une éternelle union à toute la Confédération. De quoi nous rendons grâce à Dieu et à tout
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
125 ges et les rencontres des druides « cimentaient l’ union des peuples celtiques et le sentiment de leur parenté19 ». Les druide
126 ve infinie ». Donc point de fusion possible, ni d’ union substantielle. Mais seulement une communion, dont le modèle est dans
127 ons.) ⁂ Maintenant, rappelons-nous qu’Éros veut l’ union , c’est-à-dire la fusion essentielle de l’individu dans le dieu. L’ind
128 à de la vie. Agapè au contraire ne cherche pas l’ union qui s’opérerait au-delà de la vie. « Dieu est au ciel, et toi tu es s
129 ion théorique réalisation historique Paganisme Union mystique (amour divin heureux). Amour humain malheureux. Hédonisme, p
130 are et méprisée. Christianisme Communion (pas d’ union essentielle). Amour du prochain. (Mariage heureux.) Conflits douloure
131 hors du mariage, car le mariage ne signifie que l’ union des corps, tandis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême, est l’élanc
132 l’Éros suprême, est l’élancement de l’âme vers l’ union lumineuse, au-delà de tout amour possible en cette vie. Voilà pourquo
133 nation, l’évanouissement des formes illusoires, l’ union de l’Âme et de l’Aimé, la communion avec l’Être absolu. Aussi Moïse e
134 nc à l’interdit maintenu sur la femme de chair. L’ union mystique avec cette divinité féminine devient alors une participation
135 dit un upanishad. Dans le tantrisme, la maithuna ( union sexuelle cérémonielle) devient un exercice yogique. Mais la plupart d
136 ’arriver à l’extase illuminative, qui conduit à l’ union essentielle (non point épithalamique). 102. Et Gottfried n’a-t-il pa
46 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
137 e, dès cette vie, tandis que l’hérétique espère l’ union et la fusion totale, mais au-delà de la mort des corps. Pour les cath
138 s’élevant d’un état de sentiment, mènerait à une union suprême, au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-i
139 unit bien à une œuvre, non à une essence 112. « L’ union lui apparaît plutôt comme fournissant d’abord la possibilité d’une Ag
140 exaltation ni ajout d’aucune sorte. » Et de cette union résultent « la confiance, la foi, l’abandon, le service ». Il s’agit
141 plutôt, me semble-t-il, d’une communion que d’une union , puisque, comme l’écrit ailleurs Eckhart, l’âme reste l’âme, et Dieu
142 n passage d’Eckhart où il est question non plus d’ union mais bien d’égalité de l’âme et de Dieu : Et cette égalité de l’un da
143 figure pour Eckhart l’expression authentique de l’ union divine, mais bien l’Agapè, dont ne parlent et que ne connaissent ni P
144 précis dont Otto le montre adversaire : savoir l’ union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours à l’Orient de qu
145 sciple se soient opposés sur le point précis de l’ union divine, rendait possible une confrontation. Mais la lecture des mysti
146 sans d’étroites relations avec leur doctrine de l’ union ou leur foi dans l’Incarnation. Ruysbroek, Thérèse et Jean de la Croi
147 ire détachée de l’hérésie. Car l’hérésie posait l’ union possible de Dieu et de l’âme, ce qui entraînait le bonheur divin et l
148 amour humain ; tandis que l’orthodoxie pose que l’ union est impossible, ce qui entraîne le malheur divin et rend l’amour huma
149 la Dame, dès qu’il cessera d’être un symbole de l’ union avec le Jour incréé, deviendra le symbole de l’impossible union avec
150 Jour incréé, deviendra le symbole de l’impossible union avec la femme ; gardant de ses origines mystiques on ne sait quoi de
151 t, à une équivoque sur le sens qu’il attribue à l’ union (Einung). Toutefois un tel passage inclinerait à croire, avec Otto, q
152 agit de savoir si tel mystique croyait ou non à l’ union essentielle ? Dans ce cas, la remarque de l’abbé Paquier servirait d’
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
153 ontre les entreprises des galants. L’obstacle à l’ union amoureuse est figuré par l’exigence morale, et non plus du tout relig
154 us la grâce imprévisible décident désormais d’une union , et rendront seuls « aimable » un parti soigneusement raisonné. Triom
155 deur de la passion. Et de là vient que le désir d’ union totale se lie indissolublement au désir de la mort qui libère. C’est
156 les effaçait mille fois. Rends-moi cette étroite union des âmes… Julie, dis-moi donc si je ne t’aimais point auparavant, ou
157 laquelle est censée interdire toute possibilité d’ union légale. D’où encore l’assimilation du préjugé social et des exigences
158 rt, toute poésie a quelque chose de tragique. Une union qui est conclue même pour la mort est un mariage qui nous donne une c
159 r Et de leur douloureux amour ! Ils demandaient l’ union des habitants des cieux : Déjà ils sont entrés dans le sanctuaire du
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
160 a : la lutte pour la paix universelle basée sur l’ union des rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des Turcs. Idées ch
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
161 ut dans la forêt, où plus rien ne s’oppose à leur union , le génie de la passion dépose entre leurs corps une épée nue. Descen
162 ide de toute vie personnelle ; selon le second, l’ union monogamique serait la forme la plus rationnelle des relations entre l
163 uisit dans la réalité par une généralisation de l’ union libre, de l’avortement, de l’abandon des enfants, bref de tout ce qu’
164 oute : on en viendrait à n’autoriser plus que les unions contractées sur une base eugénique, selon certains critères statistiq
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
165 ente, encore ne sauriez-vous prévoir la fin d’une union faite en connaissance de causes. Il a fallu, dit-on, plusieurs centai
166 de s’en priver. Mais je dis que la garantie d’une union raisonnable dans les apparences n’est jamais dans ces apparences. Ell
167 écanique : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueuse des forces de mort et des forces créatrices v
168 s concevoir que la passion, née du mortel désir d’ union mystique, ne saurait être dépassée et accomplie que par la rencontre
51 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
169 ges et les rencontres des druides « cimentaient l’ union des peuples celtiques et le sentiment de leur parenté »12. Les druide
170 ve infinie ». Donc point de fusion possible, ni d’ union substantielle. Mais seulement une communion, dont le modèle est dans
171 ons.) ⁂ Maintenant, rappelons-nous qu’Éros veut l’ union , c’est-à-dire la fusion essentielle de l’individu dans le dieu. L’ind
172 à de la vie. Agapè au contraire ne cherche pas l’ union qui s’opérerait au-delà de la vie. « Dieu est au ciel, et toi tu es s
173 ion théorique réalisation historique Paganisme Union mystique (amour divin heureux). Amour humain malheureux. Hédonisme, p
174 are et méprisée. Christianisme Communion (pas d’ union essentielle). Amour du prochain. (Mariage heureux.) Conflits douloure
175 hors du mariage, car le mariage ne signifie que l’ union des corps, tandis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême, est l’élanc
176 l’Éros suprême, est l’élancement de l’âme vers l’ union lumineuse, au-delà de tout amour possible en cette vie. Voilà pourquo
177 nation, l’évanouissement des formes illusoires, l’ union de l’Âme et de l’Aimé, la communion avec l’Être absolu. Aussi Moïse e
178 nc à l’interdit maintenu sur la femme de chair. L’ union mystique avec cette divinité féminine devient alors une participation
179 dit un upanishad. Dans le tantrisme, la maithuna ( union sexuelle cérémonielle) devient un exercice yogique. Mais la plupart d
180 ’arriver à l’extase illuminative, qui conduit à l’ union essentielle (non point épithalamique). 94. Et Gottfried n’a-t-il pas
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
181 e, dès cette vie, tandis que l’hérétique espère l’ union et la fusion totale, mais au-delà de la mort des corps. Pour les cath
182 s’élevant d’un état de sentiment, mènerait à une union suprême, au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il
183 unit bien à une œuvre, non à une essence.102 « L’ union lui apparaît plutôt comme fournissant d’abord la possibilité d’une Ag
184 exaltation ni ajout d’aucune sorte. » Et de cette union résultent « la confiance, la foi, l’abandon, le service ». Il s’agit
185 plutôt, me semble-t-il, d’une communion que d’une union , puisque, comme l’écrit ailleurs Eckhart, l’âme reste l’âme, et Dieu
186 n passage d’Eckhart où il est question non plus d’ union mais bien d’égalité de l’âme et de Dieu : « Et cette égalité de l’un
187 figure pour Eckhart l’expression authentique de l’ union divine, mais bien l’Agapè, dont ne parlent et que ne connaissent ni P
188 précis dont Otto le montre adversaire : savoir l’ union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours à l’Orient de qu
189 sciple se soient opposés sur le point précis de l’ union divine, rendait possible une confrontation. Mais la lecture des mysti
190 sans d’étroites relations avec leur doctrine de l’ union ou leur foi dans l’Incarnation. Ruysbroek, Thérèse et Jean de la Croi
191 ire détachée de l’hérésie. Car l’hérésie posait l’ union possible de Dieu et de l’âme, ce qui entraînait le bonheur divin et l
192 amour humain ; tandis que l’orthodoxie pose que l’ union est impossible, ce qui entraîne le malheur divin et rend l’amour huma
193 la Dame, dès qu’il cessera d’être un symbole de l’ union avec le Jour incréé, deviendra le symbole de l’impossible union avec
194 Jour incréé, deviendra le symbole de l’impossible union avec la femme ; gardant de ses origines mystiques on ne sait quoi de
195 t, à une équivoque sur le sens qu’il attribue à l’ union (Einung). Toutefois un tel passage inclinerait à croire, avec Otto, q
196 agit de savoir si tel mystique croyait ou non à l’ union essentielle ? Dans ce cas, la remarque de l’abbé Paquier servirait d’
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
197 ontre les entreprises des galants. L’obstacle à l’ union amoureuse est figuré par l’exigence morale, et non plus du tout relig
198 us la grâce imprévisible décident désormais d’une union , et rendront seuls « aimable » un parti soigneusement raisonné. Triom
199 deur de la passion. Et de là vient que le désir d’ union totale se lie indissolublement au désir de la mort qui libère. C’est
200 les effaçait mille fois. Rends-moi cette étroite union des âmes… Julie, dis-moi donc si je ne t’aimais point auparavant, ou
201 laquelle est censée interdire toute possibilité d’ union légale. D’où encore l’assimilation du préjugé social et des exigences
202 uidera, invisible, et renforcera sans cesse notre union .155 Journal intime de Novalis : Lorsque j’étais sur le tombeau [d
203 rt, toute poésie a quelque chose de tragique. Une union qui est conclue même pour la mort est un mariage qui nous donne une c
204 r Et de leur douloureux amour ! Ils demandaient l’ union des habitants des cieux : Déjà ils sont entrés dans le sanctuaire du
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
205 a : la lutte pour la paix universelle basée sur l’ union des rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des Turcs. Idées ch
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
206 ut dans la forêt, où plus rien ne s’oppose à leur union , le génie de la passion dépose entre leurs corps une épée nue. Descen
207 ide de toute vie personnelle ; selon le second, l’ union monogamique serait la forme la plus rationnelle des relations entre l
208 uisit dans la réalité par une généralisation de l’ union libre, de l’avortement, de l’abandon des enfants, bref de tout ce qu’
209 oute : on en viendrait à n’autoriser plus que les unions contractées sur une base eugénique, selon certains critères statistiq
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
210 ente, encore ne sauriez-vous prévoir la fin d’une union faite en connaissance de causes. Il a fallu, dit-on, plusieurs millie
211 de s’en priver. Mais je dis que la garantie d’une union raisonnable dans les apparences n’est jamais dans ces apparences. Ell
212 écanique : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueuse des forces de mort et des forces créatrices v
213 s concevoir que la passion, née du mortel désir d’ union mystique, ne saurait être dépassée et accomplie que par la rencontre
57 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
214 e il se comprend lui-même ; ne point rechercher l’ union dans le compromis, mais dans cette clarté rigoureuse que répand la vr
58 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
215 un monde où s’installe, peu à peu, le régime de l’ union sacrée et de la « discipline de l’opinion ». Dans quelle mesure un ci
59 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
216 tion rend un pouvoir. Notre force est dans notre union . Or, pour s’unir, il faut d’abord un but commun. Il faut ensuite sacr
60 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
217 la connaissance très vivante d’une autre espèce d’ union , sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à peu près intell
218 ntonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’ union centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fé
219 son sens étymologique. (fœdus = traité, serment, union .) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédéralistes, ou rég
61 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). V. Des hommes nouveaux !
220 journalistes qui redoutent par-dessus tout qu’une union nouvelle se fonde, et que l’on « jette par-dessus bord » — comme l’éc
62 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
221 qu’on peut garder en présence de ces tentatives d’ union « par en haut », elles auront eu pour résultat positif de réveiller d
63 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
222 e, l’équilibre vivant des tons complémentaires, l’ union dans la diversité. Maintenant que voici définies, ou plutôt illustrée
64 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
223 e il se comprend lui-même ; ne point rechercher l’ union dans le compromis, mais dans cette clarté rigoureuse que répand seule
65 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
224 s accommodent leurs exigences aux nécessités de l’ union , et c’est le nouveau fondement de notre fédéralisme. Ainsi l’on a pas
225 ut d’abord une définition. Fédération veut dire : union dans la diversité. Le mot fédéralisme, en Suisse romande surtout, a p
226 gion. Le mot allemand de Bund n’insiste que sur l’ union . Quand je parle de fédéralisme et de fédération, j’entends à la fois
227 fédéralisme et de fédération, j’entends à la fois union et autonomie des parties qui s’unissent ; à la fois « un pour tous »
228 et même de manifeste. Par la force des choses, l’ union paisible de deux religions, de quatre langues, de 22 républiques, et
229 n de « races » en un État qui les respecte, cette union prend l’allure à la fois d’un antiracisme déclaré et d’un antinationa
230 ersités reconnues et légitimées que se nouent les unions fécondes. L’union fédéraliste est un mariage, et non pas un alignemen
231 t légitimées que se nouent les unions fécondes. L’ union fédéraliste est un mariage, et non pas un alignement militaire et géo
232 les et de la part des campagnes. Il se peut que l’ union déjà réalisée entre la France et l’Angleterre soit le germe d’une féd
233 ites ou « Suisses de l’étranger »39, directeurs d’ unions universelles, secrétaires d’alliances œcuméniques, membres du Comité
234 où le rouge est couleur d’Empire, c’est-à-dire d’ union des nations, et la croix signe de salut. Gardienne des cols par où s’
66 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
235 la connaissance très vivante d’une autre espèce d’ union , sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à peu près intell
236 ntonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’ union centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fé
237 son sens étymologique. (fœdus = traité, serment, union .) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédéralistes, ou rég
67 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
238 e, l’équilibre vivant des tons complémentaires, l’ union dans la diversité. Maintenant que voici définies, ou plutôt illustrée
68 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
239 rre et inflation, toute cette presse proclamait l’ union des partis, l’oubli des polémiques, la confiance dans le gouvernement
69 1941, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Autocritique de la Suisse (février 1941)
240 la connaissance très vivante d’une autre espèce d’ union , sans cesse à recréer. Or l’inertie des masses et l’à-peu-près intell
241 ntonaux. Ceux qui insistent sur la nécessité de l’ union centrale auraient peut-être plus de droits à revendiquer le nom de fé
242 son sens étymologique. (fœdus = traité, serment, union .) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédéralistes, ou rég
70 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
243 istes : la fédération organique des Églises, leur union spirituelle dans la diversité admise des formes de culte et d’organis
71 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
244 me et qu’elle aime plus que la vie, et il n’y a d’ unions à jamais légitimes que celles qui sont commandées par la vraie passio
72 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
245 ime et quelle aime plus que la vie, et il n’y a d’ unions à jamais légitimes que celles qui sont commandées par la vraie passio
73 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
246 ime et quelle aime plus que la vie, et il n’y a d’ unions à jamais légitimes que celles qui sont commandées par la vraie passio
74 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
247 espoir glacial : vous n’irez pas au-delà de votre union . Ô silence des astres ! Fondues nos âmes ? Deux corps s’endorment dan
75 1944, Les Personnes du drame. Note de l’auteur
248 antes : Nouvelle Revue française , Bulletin de l’ Union pour la vérité, Hermès, Foi et Vie , Esprit , La Revue de Paris .
76 1944, Les Personnes du drame. Introduction
249 s, pour l’homme de chair et de raison, ce trait d’ union reste impensable, cette identité scandaleuse. Folie pour les Grecs, d
77 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
250 ompatibles avec l’ordre chrétien qui présuppose l’ union dans la diversité. Toutes les doctrines unitariennes, cherchant à éta
251 compatibles avec l’ordre chrétien, qui implique l’ union et non l’uniformité et qui respecte la diversité des dons, la diversi
252 soit religieux ou national), le tout en vue de l’ union (fédérale ou œcuménique) de ces vocations dans un ensemble beaucoup p
253 — le corps et ses membres ; ne jamais chercher l’ union en neutralisant les différences et les particularités, mais au contra
78 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Les résultats de la guerre (21 décembre 1945)
254 les peuples une vision simple des possibilités d’ union mondiale qui sont ouvertes désormais, et insister sur le caractère in
255 ite, il s’agit de combattre les obstacles à cette union . Ils sont dans l’étroitesse de nos esprits, non pas dans la raison, n
79 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
256 e se sent frustré de rien de tout cela. Il est en union avec l’Univers, sa vraie maison. L’univers participe à sa nature même
257 incidentia oppositorum. La forme suprême de cette union est Dieu, déployant constamment son essence dans les aspects de l’uni
80 1946, Articles divers (1941-1946). Les quatre libertés (30 mars 1946)
258 u début de 1942 dans son discours sur l’état de l’ Union  : « freedom of speech, freedom of religion, freedom from want, freedo
81 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
259 s les points de vue affrontés du patronat et de l’ union syndicale, dont les déclarations officielles seront citées in extenso
82 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
260 , dans ses limites rétrécies entre la France et l’ Union soviétique : 50 millions d’Allemands, au plus, que touchent 200 milli
83 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
261 », et qui provoque ces magnifiques mouvements « d’ union sacrée » où chacun s’écria dans sa langue « right or wrong, my countr
262 us fallait une menace planétaire pour provoquer l’ union sacrée du genre humain ? Eh bien, madame, si j’ose le dire : vous ête
84 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
263 otre siècle : il peut offrir le modèle même d’une union mondiale dans le respect des diversités traditionnelles. Que dis-je,
85 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
264 peut-être surtout dans ce cas ! La panique de « l’ union sacrée » qui vient de souffler sur notre élite en est l’ahurissant ex
86 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
265 ans étudient, depuis quelques années, un projet d’ union organique. Quelle que soit par ailleurs l’évolution interne de cette
87 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
266 l’œcuménisme subsiste et tombe avec la foi dans l’ union des chrétiens en Christ, cette foi pouvant être connotée par le rejet
267 st dans la mesure exacte où elles ont douté d’une union par essence incontrôlable, qu’elles ont perdu leur communion réelle.
268 iens le soin de définir la doctrine positive de l’ union au nom de laquelle doit être condamnée l’hérésie unitaire. Doctrine d
269 pître aux Corinthiens : c’est dans ses appels à l’ union , précisément, que Paul établit avec le plus de force la légitimité de
270 moi sommes un », qui établit le modèle même de l’ union dans la distinction des personnes ? Posons ces questions-là aux docte
271 vocations divines n’est pas une imperfection de l’ union , mais sa vie même. Un deuxième trait, complémentaire d’ailleurs, doit
272 it en profondeur. En d’autres termes, l’appel à l’ union ne s’adresse pas aux dissidents virtuels de chaque Église, mais à leu
273 tion ou leur doctrine particulière. Au principe d’ union transcendant qui assure la permanence de l’Église universelle, certai
274 t antiœcuménique. Sa volonté d’unité s’oppose à l’ union . Elle transforme la diversité en division. Alors il y a scandale, et
275 ouve la position spirituelle centrale qui fonde l’ union dans la diversité, nous avons à chercher la position philosophique ce
276 la même position centrale définissant à la fois l’ union et la diversité, l’engagement et la liberté, les droits du tout et le
277 ieux qu’un équilibre, il y a un principe vivant d’ union . Là où est l’Esprit, là est la liberté, mais là aussi est la vraie co
278 e les diversités régionales sont la vie même de l’ Union . Mais par l’organe central qui lie toutes les régions, il ménage un r
279 nne se placer à l’avant-garde du mouvement vers l’ union , nous ne verrons l’œcuménisme se réaliser avec puissance que dans l’é
88 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
280 és, et n’ont point jugé nécessaire de proclamer l’ union sacrée, au terme de négociations dramatiques, coupées de pathétiques
281 s chefs de partis baissent le nez, font appel à l’ union sacrée, et délèguent tout pouvoir à l’État, qui est en l’espèce un no
89 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
282 s un monde où s’installe peu à peu le régime de l’ union sacrée et de la discipline de l’opinion. Dans quelle mesure un citoye
90 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
283 ’origine très précise de nos libertés et de notre union fédérale. Quand je n’en saurais rien, j’ai lieu de supposer que l’imp
91 1946, Lettres sur la bombe atomique. La tâche politique du siècle
284 les peuples une vision simple des possibilités d’ union mondiale qui sont ouvertes désormais. Et il faut insister sans relâch
285 ite, il s’agit de combattre les obstacles à cette union . Ils sont dans l’étroitesse de nos esprits, non pas dans la raison, n
92 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les quatre libertés
286 u début de 1942 dans son discours sur l’état de l’ Union  : freedom of speech, freedom of religion, freedom from want, freedom
93 1946, Lettres sur la bombe atomique. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
287 », et qui provoque ces magnifiques mouvements « d’ union sacrée » où chacun s’écrie dans sa langue « right or wrong, my countr
288 us fallait une menace planétaire pour provoquer l’ union sacrée du genre humain ? Eh bien, madame, si j’ose le dire : vous ête
94 1946, Lettres sur la bombe atomique. La tâche politique du siècle
289 les peuples une vision simple des possibilités d’ union mondiale qui sont ouvertes désormais. Et il faut insister sans relâch
290 ite, il s’agit de combattre les obstacles à cette union . Ils sont dans l’étroitesse de nos esprits, non pas dans la raison, n
95 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les Quatre Libertés
291 u début de 1942 dans son discours sur l’état de l’ Union  : freedom of speech, freedom of religion, freedom from want, freedom
96 1946, Lettres sur la bombe atomique. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
292 », et qui provoque ces magnifiques mouvements « d’ union sacrée » où chacun s’écrie dans sa langue « right or wrong, my countr
293 us fallait une menace planétaire pour provoquer l’ union sacrée du genre humain ? Eh bien, madame, si j’ose le dire : vous ête
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
294 mier pont sur le Danube, auteurs ainsi du trait d’ union de Buda-Pest. Il y a trois semaines, à Freudenau, lors du Derby vienn
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
295 sjardins : grand intérêt, émotion, conférence à l’ Union pour la Vérité. Benda : id. article ? Renéville : préfère les deux ma
296 ésistance qui sera européenne. Si la lutte pour l’ union de l’Europe n’est pas encore déclarée, elle est inscrite dans les ter
297 Nizan maudit à la veille de sa mort. ⁂ Lorsque l’ Union pour la Vérité, de Paul Desjardins, organisa en février 1933, rue Vis
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
298 noter qu’en français communion contient et évoque union , alors qu’en allemand le même mot, pour moi, évoque solitude. Je ne p
299 et les pousse à créer des signes visibles de leur union  : assemblées, fêtes, cortèges, uniformes, ou chefs, — kolkhozes, corp
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
300 rphoses non moins effarantes. Travail, liberté ou union , richesse et pauvreté, tous ces vocables dont nous pensions qu’ils ex
301 le mesure de l’utile. L’Église faisait le trait d’ union , l’Église gardienne du sens concret des lieux communs. Aujourd’hui ce