1 anchement. Il me semble bien paradoxal de vouloir unir dans une même philosophie la morale jésuite, faite de règles et de co

2 ces régions élevées où les éléments contraires s’ unissent dans la grandeur. La paix qu’il appelle, c’est autre chose que l’abse

3 sujet qui convient admirablement à son art, où s’ unissent aujourd’hui un réalisme discret mais précis et le sens de ce qu’il y

4 s’orienter dans la crise moderne. M. Daniel-Rops unit en lui à l’état de velléités contradictoires que son intelligence trè

5 d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne et Hoffmann : c’était le souvenir de Gérard de

6 n des marques certaines. Si le rapport intime qui unit la phrase suivante aux considérations précédentes lui échappe, qu’il

7 d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien qui unissait dans mon esprit Vienne et Hoffmann : c’était le souvenir de Gérard de

8 igare. Une cordialité militaire, sans nulle gêne, unit le maître et les subordonnés. Le travail aux champs se fait par équip

9 ssiens, ferait hurler nos pédagogues. Mais elle s’ unit à un régime de responsabilités concrètes qui sauvegarde l’initiative

10 igare. Une cordialité militaire, sans nulle gêne, unit le maître et les subordonnés. Le travail aux champs se fait par équip

11 ssiens, ferait hurler nos pédagogues. Mais elle s’ unit à un régime de responsabilités concrètes qui sauvegarde l’initiative

12 ayonnement dans la durée de l’acte instantané qui unit un je et un tu par un lien de responsabilité7. En son principe, l’err

13 st l’histoire de toute association humaine : on s’ unit par la force d’un principe transcendant, — et tant qu’il règne on peu

14 mitif, le rapport véritablement humain, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’Évangile seul nous le dési

15 à-dire l’homme engagé dans le conflit vital qui l’ unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’homme en tant qu’il

16 rdre nouveau. Cherchons à voir d’abord ce qui les unit en principe : 1. Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateu

17 dans l’imitation : c’est pourquoi ils se sentent unis en elle d’une manière si touchante, et c’est ce qu’ils appellent l’am

18 à la vision constituante de notre vie, celle qui unit dans un même regard les apparences actuelles et l’ordonnance finale q

19 es, à leur tour, ne se trouvent pas naturellement unis par cette communauté d’affections et d’idées qui forme ce qu’on appel

20 racinée cherche une nouvelle communauté. Or, on s’ unit toujours pour ou contre quelque chose. Des gens qui souffrent et qui

21 mitif, le rapport véritablement humain, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’Évangile seul nous le dési

22 à-dire l’homme engagé dans le conflit vital qui l’ unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’homme en tant qu’il

23 dre nouveau . Cherchons à voir d’abord ce qui les unit en principe : 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateu

24 mitif, le rapport véritablement humain, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’Évangile seul nous le dési

25 volontairement engagé dans le conflit vital qui l’ unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’homme en tant qu’il

26 rdre nouveau. Cherchons à voir d’abord ce qui les unit en principe : 1° Quelques refus massifs, refus du capitalisme créateu

27 cette méditation. Deux êtres très divers se sont unis dans une passion grave, exigeante, à l’écart d’une société hostile, d

28 s domine. Une analyse racinienne des sentiments s’ unit ici à la rigueur d’un idéal orgueilleux, ombrageux. Tout cela se perd

29 presque constamment sous le feu. Nous nous sommes unis en vertu d’une décision librement consentie, afin de combattre nos en

30 e et sépare. Passant du sujet à l’objet, elle les unit dans le temps même qu’elle les distingue. Car si l’œil se conforme à

31 y participer. Nous le tenons, ce lien vivant qui unit le créant au créé, et nous sommes enfin parvenus à l’origine de l’œuv

32 es pasteurs. Et d’autre part, on sait quels liens unissent Luther à Maître Eckhart, et surtout à son cher Tauler, dont il cite c

33 ieux ou pétard », disait Baudelaire. Celui d’Aron unit ces deux vertus, par une sorte d’ellipse tout à fait révélatrice du m

34 pes d’aujourd’hui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’élève un même et formidable appel profond des peuples. Il a

35 celle d’un homme, non plus celle des prolétaires unis , des Soviets. » — Internationalisme ? « L’important, ici, c’est de pe

36 prit suppose la suppression de tous les liens qui unissent naturellement une pensée et une action dévouées à une fin commune. Et

37 pes d’aujourd’hui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’élève un même et formidable appel profond des peuples. Il a

38 ils n’ont de raison d’être que par l’acte qui les unit . Il est temps d’embrayer, disons-nous. Il est grand temps que l’on s’

39 l’attention sur le rapport de vie ou de mort qui unit l’homme, être pensant, à son langage. Le mot, corps d’une idée qui se

40 de l’Église catholique, et son miracle, ce fut d’ unir entre ses mains, durant des siècles, l’autorité spirituelle et le pou

41 le Parti). Elle est le rayonnement de l’acte qui unit deux hommes par un lien d’entraide libre, au service d’un même but, e

42 par une discipline de marche. La vraie communauté unit les hommes en tant que différents, chacun faisant ce qu’il est le seu

43 prit suppose la suppression de tous les liens qui unissent naturellement une pensée et une action dévouées à une fin commune. Et

44 pes d’aujourd’hui, de cette seule crainte qui les unit encore, s’élève un même et formidable appel profond des peuples. Il a

45 ils n’ont de raison d’être que par l’acte qui les unit . Il est temps d’embrayer, disons-nous. Il est grand temps que l’on s’

46 l’attention sur le rapport de vie ou de mort qui unit l’homme, être pensant, à son langage. Le mot, corps d’une idée qui se

47 de l’Église catholique, et son miracle, ce fut d’ unir entre ses mains, durant des siècles, l’autorité spirituelle et le pou

48 r le Parti. Elle est le rayonnement de l’acte qui unit deux hommes par un lien d’entraide libre, au service d’un même but, e

49 par une discipline de marche. La vraie communauté unit les hommes en tant que différents, chacun faisant ce qu’il est le seu

50 te afin de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez -vous, activez la propagande afin que satisfaction soit donnée aux lég

51 evendications des vieux ! « L’organisation lutte… Unissez -vous ! Activez la propagande ! » Ô merveille du pathos révolutionnair

52 te afin de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez -vous, activez la propagande, afin que satisfaction soit donnée aux lé

53 ouvre, en la découvrant, les liens profonds qui m’ unissent à ce peuple de paysans et d’ouvriers, si délibérément superstitieux d

54 ut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’ unir . Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérieures. Et surtout ils

55 it qu’une dégradation de l’idéal qui devrait nous unir . La première devise des Suisses, ce fut « Un pour tous, tous pour un 

56 ut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’ unir . Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérieures. Et surtout ils

57 ouvre, en la découvrant, les liens profonds qui m’ unissent à ce peuple de paysans et d’ouvriers, si délibérément superstitieux d

58 te afin de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez -vous, activez la propagande afin que satisfaction soit donnée aux lég

59 evendications des vieux. « L’organisation lutte… Unissez -vous ! Activez la propagande ! » Ô merveille du pathos révolutionnair

60 te afin de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez -vous, activez la propagande, afin que satisfaction soit donnée aux lé

61 Du danger de s’ unir (15 avril 1938)e Le ministère Blum a vécu l’espace d’une parenthès

62 d’autre, on est très fermement décidé à ne pas s’ unir . Cette double hypocrisie est sans doute un hommage que l’esprit parti

63 nous osons vivre la paix ? e. « Du danger de s’ unir  », Les Nouveaux Cahiers, Paris, n° 23, 15 avril 1938, p. 21-22.

64 un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procréer, et deu

65 en a été une pour moi, c’est de voir quels liens unissent Hitler à une foule à laquelle il parle. Essayez de vous représenter u

66 iez ! Battez des mains, peuple, pour Nicolas, Unissez -vous à l’éclat des fanfares Vous tous, au loin, et quiconque entend

67 la passion. Une tendresse va-t-elle naître et les unir , à la faveur de ce destin magique ? Dans tout le Roman, dans ces mill

68 t de cette amitié naissante n’est pas : du tout d’ unir davantage les amants, mais au contraire de leur montrer qu’ils ont to

69 à la faveur de laquelle le Je et le Tu des êtres unis par une forte émotion coulent l’un dans l’autre, donnant naissance à

70 suprême, au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’ unit point, écrit-il. Il unit bien à une œuvre, non à une essence 94. « L’

71 lan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il. Il unit bien à une œuvre, non à une essence 94. « L’union lui apparaît plutôt

72 l importait de mettre en lumière. Si l’âme peut s’ unir essentiellement à Dieu, l’amour de l’âme pour Dieu est un amour heure

73 l’amour humain. » À l’inverse, si l’âme ne peut s’ unir essentiellement à Dieu, comme le soutient l’orthodoxie chrétienne, il

74 eur, criant : l’amour de l’Amour me consume, je m’ unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les flammes, je brûle et je languis,

75 me pas, mais j’ai soif d’aimer, et j’ai faim de m’ unir à l’Amour.104 5.La Rhétorique courtoise chez les mystiques espag

76 le renversement tragique : se dépasser jusqu’à s’ unir au transcendant, quand le but n’est plus la Lumière, et quand on igno

77 irect d’échanges « littéraires » — si l’on veut — unisse le Midi de la France à la Lombardo-Vénétie. Une fois de plus, la cart

78 évore mon corps, qu’en une étreinte aérienne je m’ unisse étroitement à toi, et que dure alors éternellement notre nuit nuptial

79 un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procréer, et deu

80 amants, au lieu que celle de l’amour mystique les unit  ». Mais il faut voir que les amants courtois ne sont séparés sur la t

81 a terre qu’en vertu de cet amour mystique qui les unit à la divinité ! Au contraire, l’amour mystique orthodoxe n’unit pas d

82 nité ! Au contraire, l’amour mystique orthodoxe n’ unit pas de cette façon, mais fait seulement communier. d) Pour démontrer

83 nne chrétienne était une sorte de paradoxe : elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, dans un composé o

84 aujourd’hui de conquêtes. Quand vous nous dites : Unissons -nous ! c’est pour la guerre. Quand vous nous dites : Faisons régner l

85 gnifie le Victorieux ! Toi seul par qui tous sont unis À tout jamais sois nommé bienheureux ! Chœur des enfants et des su

86 riez ! Battez des mains, peuple, pour Nicolas, Unissez -vous à l’éclat des fanfares Vous tous au loin et quiconque entendra :

87 la passion. Une tendresse va-t-elle naître et les unir , à la faveur de ce destin magique ? Dans tout le Roman, dans ces mill

88 fet de cette amitié naissante n’est pas du tout d’ unir davantage les amants, mais au contraire de leur montrer qu’ils ont to

89 à la faveur de laquelle le Je et le Tu des êtres unis par une forte émotion coulent l’un dans l’autre, donnant naissance à

90 suprême, au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’ unit point, écrit-il. Il unit bien à une œuvre, non à une essence 112. « L

91 lan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il. Il unit bien à une œuvre, non à une essence 112. « L’union lui apparaît plutô

92 l importait de mettre en lumière. Si l’âme peut s’ unir essentiellement à Dieu, l’amour de l’âme pour Dieu est un amour heure

93 l’amour humain. » À l’inverse, si l’âme ne peut s’ unir essentiellement à Dieu, comme le soutient l’orthodoxie chrétienne, il

94 eur, criant : L’amour de l’Amour me consume, je m’ unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les flammes, je brûle et je languis,

95 me pas, mais j’ai soif d’aimer, et j’ai faim de m’ unir à l’Amour122. 5.La Rhétorique courtoise chez les mystiques espagn

96 le renversement tragique : se dépasser jusqu’à s’ unir au transcendant, quand le but n’est plus la Lumière, et quand on igno

97 irect d’échanges « littéraires » — si l’on veut — unisse le Midi de la France à la Lombardo-Vénétie. Une fois de plus, la cart

98 évore mon corps, qu’en une étreinte aérienne je m’ unisse étroitement à toi, et que dure alors éternellement notre nuit nuptial

99 un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procréer, et deu

100 la passion. Une tendresse va-t-elle naître et les unir , à la faveur de ce destin magique ? Dans tout le Roman, dans ces mill

101 fet de cette amitié naissante n’est pas du tout d’ unir davantage les amants, mais au contraire de leur montrer qu’ils ont to

102 à la faveur de laquelle le Je et le Tu des êtres unis par une forte émotion coulent l’un dans l’autre, donnant naissance à

103 suprême, au sommet d’un élan d’amour : L’amour n’ unit point, écrit-il. Il unit bien à une œuvre, non à une essence.102 « L

104 élan d’amour : L’amour n’unit point, écrit-il. Il unit bien à une œuvre, non à une essence.102 « L’union lui apparaît plutô

105 l importait de mettre en lumière. Si l’âme peut s’ unir essentiellement à Dieu, l’amour de l’âme pour Dieu est un amour heure

106 l’amour humain. » À l’inverse, si l’âme ne peut s’ unir essentiellement à Dieu, comme le soutient l’orthodoxie chrétienne, il

107 eur, criant : l’amour de l’Amour me consume, je m’ unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les flammes, je brûle et je languis,

108 me pas, mais j’ai soif d’aimer, et j’ai faim de m’ unir à l’Amour.112 5.La Rhétorique courtoise chez les mystiques espag

109 le renversement tragique : se dépasser jusqu’à s’ unir au transcendant, quand le but n’est plus la Lumière, et quand on igno

110 irect d’échanges « littéraires » — si l’on veut — unisse le Midi de la France à la Lombardo-Vénétie. Une fois de plus, la cart

111 évore mon corps, qu’en une étreinte aérienne je m’ unisse étroitement à toi, et que dure alors éternellement notre nuit nuptial

112 un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles, deux corps aptes à procréer, et deu

113 amants, au lieu que celle de l’amour mystique les unit  ». Mais il faut voir que les amants courtois ne sont séparés sur la t

114 a terre qu’en vertu de cet amour mystique qui les unit à la divinité ! Au contraire, l’amour mystique orthodoxe n’unit pas d

115 nité ! Au contraire, l’amour mystique orthodoxe n’ unit pas de cette façon, mais fait seulement communier. d) Pour démontrer

116 mesurer nos forces vraies, il nous permet de nous unir mieux que jamais pour la défense et la rénovation de l’héritage que D

117 ir. Notre force est dans notre union. Or, pour s’ unir , il faut d’abord un but commun. Il faut ensuite sacrifier à ce but se

118 mbole autour duquel tous les Confédérés peuvent s’ unir dans leurs diversités », disait notre premier appel. En effet, le Got

119 plus désormais de « doser » des tendances, mais d’ unir des personnes. Nous ne demandons pas aux groupes existants de conclur

120 nne chrétienne était une sorte de paradoxe : elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, dans un composé o

121 it qu’une dégradation de l’idéal qui devrait nous unir . La devise des Suisses : « Un pour tous, tous pour un », c’est la for

122 la plus radicale de l’idéal fédéraliste qui nous unit , par conséquent, la plus grave menace pour notre État. Que reste-t-il

123 la tête de la Ligue, il trouvera tous les autres unis contre sa volonté d’hégémonie. Ainsi jusqu’à la fin du xve siècle. À

124 ds à la fois union et autonomie des parties qui s’ unissent  ; à la fois « un pour tous » et « tous pour un ». 2. Je m’excuse du c

125 à ce qui nous distingue et soulignons ce qui nous unit  ». Car c’est justement sur la base des distinctions et des diversités

126 premiers jours, dès le temps où les Waldstätten s’ unirent contre Zurich qui voulait tout mener. L’intervention fameuse de Nicol

127 nne chrétienne était une sorte de paradoxe : elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, dans un composé o

128 d’hui, l’on voit ce qui compte, et c’est cela qui unit . Pour le reste, si sérieux soit-il, on en reparlera plus tard. Faison

129 rt. Si nous nous faisons une ville nous resterons unis , se disent les hommes. Ils la font, et c’est là précisément que « l’É

130 tzsche : « Ne trouve-t-on pas dans la tête ce qui unit les hommes — la compréhension de l’utilité et du préjudice général —

131 la terre — et c’est la première chute — pour s’y unir aux filles des hommes et engendrer des géants malfaisants. Ce sont le

132 rt. Si nous nous faisons une ville nous resterons unis , se disent les hommes. Ils la font, et c’est là précisément que « l’É

133 tzsche : « Ne trouve-t-on pas dans la tête ce qui unit les hommes — la compréhension de l’utilité et du préjudice général —

134 la terre — et c’est la première chute — pour s’y unir aux filles des hommes et engendrer des géants malfaisants. Ce sont le

135 rt. Si nous nous faisons une ville nous resterons unis , se disent les hommes. Ils la font, et c’est là précisément que « l’É

136 tzsche : « Ne trouve-t-on pas dans la tête ce qui unit les hommes — la compréhension de l’utilité et du préjudice général —

137 en que dans l’imitation : c’est pourquoi ils sont unis en elle d’une manière si touchante, et c’est ce qu’ils appellent l’am

138 ez découvrir la personne, examinez le rapport qui unit le front au menton, la bouche aux yeux : la personne n’a pas d’autre

139 ux dépens de ces intérêts que l’humanité pourra s’ unir  ? La fonction même de ces chefs d’État les disqualifie, en principe,

140 des nations. Vous cherchiez l’Autre contre qui s’ unir  ? Il vous fallait une menace planétaire pour provoquer l’union sacrée

141 ur vraie tragédie : la solitude. Comment ils s’ unissent et se divisentaa En France, il y a les catholiques et les laïques

142 responsable vis-à-vis d’autrui. En retour, ce qui unit la communauté est aussi ce qui l’oblige à respecter les vocations ind

143 ux dépens de ces intérêts que l’humanité pourra s’ unir  ? La fonction même de ces chefs d’État les disqualifie, en principe,

144 des nations. Vous cherchiez l’Autre contre qui s’ unir  ? Il vous fallait une menace planétaire pour provoquer l’union sacrée

145 ux dépens de ces intérêts que l’humanité pourra s’ unir  ? La fonction même des chefs d’État les disqualifie, en principe, pou

146 des nations. Vous cherchiez l’Autre contre qui s’ unir  ? Il nous fallait une menace planétaire pour provoquer l’union sacrée

147 n entre fumer un cigare. Une cordialité militaire unit le maître et les subordonnés. Le travail aux champs se fait par équip

148 ssiens, ferait hurler nos pédagogues. Mais elle s’ unit à un régime de responsabilités concrètes qui sauvegarde l’initiative

149 ut-être trop pareils pour éprouver le besoin de s’ unir . Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérieures. Et surtout ils

150 ouvre, en la découvrant, les liens profonds qui m’ unissent à ce peuple de paysans et d’ouvriers, si délibérément superstitieux d

151 te afin de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez -vous, activez la propagande afin que satisfaction soit donnée aux lég

152 evendications des vieux ! « L’organisation lutte… Unissez -vous ! Activez la propagande ! » Ô merveille du pathos révolutionnair

153 te afin de faire accorder une retraite aux vieux. Unissez -vous, activez la propagande, afin que satisfaction soit donnée aux lé

154 mbole autour duquel tous les Confédérés peuvent s’ unir dans leurs diversités… Nous n’avons qu’un seul but : maintenir la Sui

155 é. Jamais les peuples ou les individus ne se sont unis à cause des richesses qu’ils avaient, tout au contraire. C’est toujou

156 n. Pour les uns, fédérer veut dire simplement : s’ unir . Pour les autres, être fédéraliste veut dire simplement : rester libr

157 sont en réalité beaucoup plus solidaires et plus unis que leurs gouvernements ne pourront jamais l’être, ils s’apercevront

158 l pas question « d’unifier » l’Europe mais de « l’ unir  ». Seul, le fédéralisme est capable de réaliser cette unité dans la d

159 marques significatives. Si le rapport intime qui unit la phrase suivante aux considérations précédentes t’échappe, ô mon le

160 la volonté d’unifier qui provoque leur refus de s’ unir , c’est elle qui excite en eux la volonté morbide de s’enfermer dans l

161 plus parler d’union, puisqu’il n’y a plus rien à unir . D’autre part, il déclare souveraine la nation unifiée de la sorte, q

162 irréductible. Le fédéralisme, au contraire, veut unir et non pas unifier. Et justement parce qu’il respecte à l’intérieur d

163 vraie tragédie : la solitude. 6.Comment ils s’ unissent et se divisent En France, il y a les catholiques et les laïques, c

164 ce des Seize. L’URSS s’oppose à toute tentative d’ unir les nations de l’Europe : c’est qu’elle veut diviser pour régner. Les

165 te ouvertement contre elle, l’opinion et l’État s’ unissent pour la réduire, et cela au nom d’un idéal qui ne change pas tous les

166 ion de l’Europe se définit clairement. Elle est d’ unir ses peuples selon leur vrai génie, qui est celui de la diversité, et