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eul voit) Le corps et l’âme chantent alors dans l’
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de la chasteté. L’esprit offensif et joyeux, le corps qui se sent « p
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nt, à tout travesti, comme dans l’importance de l’
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et de la répétition de soi dans l’autre… Les grandes, les implacables
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t des Uniques : — à l’anéantissement final dans l’
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, l’harmonie d’un chœur infini ; — à la régressive extinction des diff
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nt, à tout travesti, comme dans l’importance de l’
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et de la répétition de soi dans l’autre… Les grandes, les implacables
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et des uniques — à l’anéantissement final dans l’
unisson
, l’harmonie d’un chœur infini ; — à la régressive extinction des diff
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s nettement fédéraliste : « harmonie et non point
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» comme disait Goethe : Herder considérait l’humanité entière comme
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on mais la maîtrise, évitant à la fois le lugubre
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et la cacophonie intolérable — alors paraissent les créations les plu
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on mais la maîtrise, évitant à la fois le lugubre
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et la cacophonie intolérable, alors paraissent les créations les plus
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unité. L’empire est une polyphonie, l’État veut l’
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dans la monotonie. L’empereur est le recours contre tous les pouvoirs