1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 umont. Puis la vie l’exalte de nouveau d’un large vent de joie. a. « Henry de Montherlant : Chant funèbre pour les morts d
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
2 ce livre où l’on voit un homme appeler en vain le vent du large, parmi des gens qui craignent de s’enrhumer. q. « Alix de
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 Revenez, mes joies du large !… Tiens, j’écoute le vent  ; je pense au monde. Chant des horizons, images qui s’éclairent… Je v
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 meil de plante vaguement heureuse d’être pliée au vent qui ne parle jamais. Nous fûmes si près de choir dans ton silence. Na
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
5 .............................................. Le vent se lève, il faut tenter de vivre. Paul Valéry. Certes, du sein de m
6 hoisissais de laisser — et des baisers à tous les vents — qu’il eût été loisible d’attribuer comme objet à ma jubilation, non
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
7 ose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent . Et dans la Maladère, un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
8 rre à liqueur. Poisson dans l’eau, plumes dans le vent , poète au bar, le paradis n’est pas si cher. Il y en a aussi qui pose
9 lors, cessons de nous battre contre des moulins à vent . La littérature, considérée du point de vue de la psychologie de l’éc
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
10 e qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui fait so
11 s oiseaux nous parlèrent, bientôt dissous dans le vent . Tout était reflet, passages, allusions. Plus tard, dans un petit bar
12 sans manchon qui éclairait la boutique, et que le vent menaçait d’éteindre à chaque instant, le homard se réveilla. Gérard m
9 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
13 où tu m’entends mais ces hauts murs d’ombre et de vent autour du monde où nous vivons parquent les visages les sons brassent
14 ert qu’un sol dur aux genoux tends les mains au vent captif délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute-les.
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
15 ine détachée du flanc de la colline, pour que les vents ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous buvons des vins do
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
16 vants, entre des collines basses grattées par les vents , aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
17 hantent, les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
18 tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces vents vastes ; et cette passion de vivre au-dessus de ses moyens — c’est-à-
19 e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
20 on le conserve, au long d’un chemin effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
21 e jeter les principes philanthropiques à tous les vents  ; de rentrer bien vite dans sa maison garnie de belles nattes et de s
13 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
22 tes » et sans nom qui font dans l’âme un bruit de vent mortel et caressant ; une qualité métaphysique et passionnée de l’« i
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
23 qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au vent glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui fait so
24 s oiseaux nous parlèrent, bientôt dissous dans le vent . Tout n’était que reflet, passages, allusions. Plus tard, dans un pe
25 sans manchon qui éclairait la boutique, et que le vent menaçait à chaque instant d’éteindre, le homard se réveilla. Gérard m
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
26 d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes les anthologies, l’habit cla
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
27 ine détachée du flanc de la colline (pour que les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est d
28 vants, entre des collines basses grattées par les vents , aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
29 hantent, les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
30 tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces vents vastes ; et cette passion de vivre « au-dessus de ses moyens » — c’es
31 e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
32 on le conserve, au long d’un chemin effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
33 iel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid, mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons is
34 mpe, gratte le sol, pique, bruisse exquisement au vent . Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces ch
35 d’arbres, de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblab
36  ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent léger écartait une branche et la Lune éclairait à longs traits nos vi
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
37 erre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes ros
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
38 tes » et sans nom qui font dans l’âme un bruit de vent mortel et caressant ; une qualité métaphysique et passionnée de l’ « 
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
39 d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes les anthologies, l’habit cla
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
40 eine détachée du flanc de la colline pour que les vents ne l’emportent pas, un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est de
41 vants, entre des collines basses grattées par les vents , aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
42 hantent, les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
43 tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces vents vastes ; et cette passion de vivre « au-dessus de ses moyens » — c’es
44 e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
45 on le conserve, au long d’un chemin effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
46 erre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes ros
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
47 iel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid, mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons is
48 mpe, gratte le sol, pique, bruisse exquisement au vent . Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces ch
49 d’arbres, de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblab
50  ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent léger écartait une branche et la Lune éclairait à longs traits nos vi
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
51 ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger vent d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
52 fête saluant New York d’adieux, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… Mémoire de l’Europe New York, fin 1944
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
53 s premiers plans et des éloignements qu’un peu de vent déplace, illumine ou éteint, voilà qui satisfait comme nul autre pays
54 ées sur le chemin de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vi
26 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
55 l bigot ; « tout n’est que vanité et poursuite du vent  », y compris la sagesse de celui qui croit trouver dans cette sentenc
27 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
56 t pas ce retour au Réel, ne sont que poursuite du vent , défection ou orgueil fantastique. Le solitaire et les faux dieux
28 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
57 cieux, et voici, tout est vanité et poursuite du vent . » Je plaindrais l’homme d’action qui n’aurait jamais eu ce cri, qui
29 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
58 ainte. Les surréalistes sont fondés à parler du «  vent de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’indus
30 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
59 ainte. Les surréalistes sont fondés à parler du «  vent de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’indus
31 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
60 ainte. Les surréalistes sont fondés à parler du «  vent de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’indus
32 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
61 mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient le vent le plus glacial, depuis des siècles, et en tout cas depuis longtemps
62 es récolter. « Voyez-vous ! c’est qu’il a fait un vent cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une manière générale, ils ne sont p
63 tes et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés au presbytère sur une gal
33 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
64 9 puis s’en vont prendre l/10e de billet. Un fort vent doux passe de grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline
65 e. Les plumes du cou sont un peu hérissées par le vent . Voici trois jours que je le vois chaque matin. Quand je l’appelle, i
34 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
66 ec une énergie particulière en pédalant contre le vent dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien qu’un peu de c
67 rtée qui attend le passage du car, les cheveux au vent , sur le bord de la route. Rien de plus sympathique que les conducteur
35 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
68 l’île, du régime des marées, des courants et des vents . Merveilleux livre en vérité ! Et la merveilleuse bibliothèque que ce
69 s instants, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-dessus des lagunes. Une odeur forte de varec
36 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
70 rtée qui attend le passage du car, les cheveux au vent , sur le bord de la route. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteu
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
71 l’île, du régime des marées, des courants et des vents . Merveilleux livre en vérité ! Et la merveilleuse bibliothèque que ce
72 côtes, elles aussi, se transforment. Une nuit de vent bouleverse leur dessin et leurs couleurs, apporte un banc de varech p
73 qu’un petit Mirus installé devant la cheminée. Le vent continuel le fait ronfler furieusement, mais les fenêtres ferment trè
74 ec une énergie particulière en pédalant contre le vent dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien qu’un peu de c
75 aller en acheter. Silence, froid, solitude, et ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la maison. Nous avons trouvé de
76 rtée qui attend le passage du car, les cheveux au vent sur le bord de la route. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur
77 il y a entre les virgules. Fin mars 1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déj
78 s secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de
79 murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent , une hirondelle, les bruits des champs. 10 juin 1934 Depuis que
80 asser ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie,
38 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
81 mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient le vent le plus glacial, depuis des siècles, et en tout cas depuis longtemps
82 es récolter. « Voyez-vous ! c’est qu’il a fait un vent cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une manière générale, ils ne
83 tes et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés au presbytère sur une gal
84 e ses partis pris ? 21 février 1935 Un fort vent doux passe de grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline
85 e. Les plumes du cou sont un peu hérissées par le vent . Voici trois jours que je le vois chaque matin. Quand je l’appelle, i
39 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
86 ine détachée du flanc de la colline (pour que les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est d
40 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
87 sière d’acier régulièrement ourlée de gouttes. Le vent siffle à travers les trous du casque. L’homme tire la toile de tente
88 a ressemble tellement au bonheur ! Un cri dans le vent va tout détruire. Oui, c’est bien ça, c’est toujours ça, le bonheur :
41 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
89 voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Brangien leu
90 sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir, lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au
91 regard ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? C
92 a voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô vent  ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Dou
93 e tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô vents , clamait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, re
94 ez les épaves ! Tout ce qui palpite et respire, ô vents , je vous le donne en récompense ! Attirés par la mort loin de la vie
42 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
95 des deux Églises : Je suis Arnaut qui amasse le vent , et je chasse le lièvre à l’aide d’un bœuf, et je nage contre le flux
43 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
96 es les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent  ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » To
44 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
97 tu sur moi tel pouvoir, si je n’y consens ? Parmi vents si contraires, sur une frêle barque Je me trouve sans gouvernail en h
45 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
98 notre drame. Ils nous voyaient passer, cheveux au vent , des foulards rouges négligemment noués autour du cou, avec des mines
46 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
99 ce temps-là, déjà, Comme aujourd’hui ! Monta le vent des plaines Vent de guerre ! Vers le Gothard, notre bastion sacré.
100 , Comme aujourd’hui ! Monta le vent des plaines Vent de guerre ! Vers le Gothard, notre bastion sacré. Alors un homme
47 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
101 ux tout doux qui vous transpercent comme un petit vent du matin sur l’alpage. 1er valet. —  Moi, je dis qu’on n’est pas d
102 ) Tout un peuple a prêté l’oreille. Mais le grand vent des plaines s’est levé, il emporte la voix du guetteur. Nicolas ! Nic
103 de femmes.) Quel est ce rêve qui se lève avec le vent des plaines et de la guerre ? Hélas ! où courons-nous ? (Pendant ce
104 s-tu ? Des sons lointains prédisent le malheur Le vent des plaines emporte leur écho ! Voix de paix descend des sommets, Ven
105 rte leur écho ! Voix de paix descend des sommets, Vent de guerre souffle sur nos terres. Jour du désir, jour de l’angoisse !
106 ue.) Nicolas (criant du plan 3). —  Marchand de vent  ! Impie ! Voyez qui l’a payé ! Il n’ouvre la bouche que pour mentir,
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
107 voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Brangien leu
108 sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir, lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au
109 regard ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? C
110 voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle, ô vent  ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Doub
111 se tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô vents , clamait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, re
112 ez les épaves ! Tout ce qui palpite et respire, ô vents , je vous le donne en récompense ! Attirés par la mort loin de la vie
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
113 nt tous que le très vertueux Christ tourne à tout vent comme girouette et se plie comme une simple étoffe… Il se prête et s’
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
114 es les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent  ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » To
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
115 tu sur moi tel pouvoir, si je n’y consens ! Parmi vents si contraires, sur une frêle barque Je me trouve sans gouvernail en h
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
116 voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Brangien leu
117 sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir, lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au
118 regard ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? C
119 a voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô vent  ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Dou
120 e tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô vents , clamait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, re
121 ez les épaves ! Tout ce qui palpite et respire, ô vents , je vous le donne en récompense ! Attirés par la mort loin de la vie
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
122 nt tous que le très vertueux Christ tourne à tout vent comme girouette et se plie comme une simple étoffe… Il se prête et s’
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
123 es les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent  ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » To
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
124 tu sur moi tel pouvoir, si je n’y consens ? Parmi vents si contraires, sur une frêle barque Je me trouve sans gouvernail en h
56 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
125 ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger vent d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
57 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IV. La Ligue du Gothard sera-t-elle un parti ?
126 ni des girouettes qui tournent au gré de tous les vents . Nous ne voulons pas nous lier, comme tant d’autres, à un programme «
58 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
127 ans cette rue de briques noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici el
128 vent de repères pour se diriger dans la ville. Le vent fou, l’air ozone, et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur d
59 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
129 façades nues, brunies par l’âge, palmées par les vents . Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
60 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
130 tes… Ce sont des nuées sans eau, poussées par les vents  ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des
61 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
131 tes… Ce sont des nuées sans eau, poussées par les vents  ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des
62 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
132 tes… Ce sont des nuées sans eau, poussées par les vents  ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des
63 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
133 façades nues, brunies par l’âge, patinées par les vents . Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
64 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
134 t pas ce retour au Réel, ne sont que poursuite du vent , défection, ou orgueil fantastique. 5.Le solitaire et les faux die
65 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
135 eu et pantalon de flanelle passait les cheveux au vent — deux belles touffes blanches en désordre « génial » — et c’était l’
136 teau noir. Sa chevelure m’indique la direction du vent , et son aspect met en fuite ma petite fille. À quoi pense-t-il ? De c
66 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
137 … [Entretien] (4 mai 1946)f Monsieur, quel bon vent vous amène ? J’avais besoin de me retrouver dans une atmosphère franç
67 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
138 tre, solide, puissant, élégant comme une voile au vent ), du Journal d’un intellectuel en chômage , de L’Amour et l’Occiden
68 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
139 fête saluant New York d’adieux, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… f. « Beekman Place », Bulletin de la Gu
69 1946, Articles divers (1946-1948). Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)
140 Genève, rose des vents de l’esprit (19 décembre 1946)c Pendant deux semaines viennent d’a
141 te officialité. Excellente idée. Genève, rose des vents de l’esprit, continuera ainsi à jouer son rôle de cité internationale
142 ler librement où il veut. c. « Genève, rose des vents de l’esprit », L’Illustré, Lausanne, n° 38, 19 décembre 1946, p. 31-3
70 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
143 ans cette rue de briques noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, e
144 Alpes au visiteur qui en contemple la chaîne. Le vent fou, l’air ozoné et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur de
145 aux pieds, fumerolles au ras de l’asphalte et le vent fou ! Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un homme qui est
146 fête saluant New York d’adieux, filant pavois au vent vers l’Europe… Slums La Soixante-quinzième rue n’a rien de part
147 plus fort que tout, dans la cour où les draps au vent font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
71 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
148 sière d’acier régulièrement ourlée de gouttes. Le vent siffle à travers les trous du casque. L’homme tire la toile de tente
149 a ressemble tellement au bonheur ! Un cri dans le vent va tout détruire. Oui, c’est ainsi, toujours ainsi, le bonheur : un i
150 façades nues, brunies par l’âge, patinées par les vents . Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
72 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
151 ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger vent d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
73 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
152 roses, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue d
74 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
153 ans cette rue de briques noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, e
154 Alpes au visiteur qui en contemple la chaîne. Le vent fou, l’air ozoné et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur de
155 nt à New York, c’est le grain de poussière que le vent vous plante dans l’œil. Au lieu de vous frotter ou tirer la paupière,
75 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
156 Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent merveilleusement chaud fait claquer les pans du peignoir sur mes jamb
157 iles blanches dans les plumets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’herbe je sens vivre une terre étrange, plus jeune
76 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
158 aux pieds, fumerolles au ras de l’asphalte, et le vent fou ! Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un homme qui est
77 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
159 fête saluant New York d’adieux, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… 14. Je n’oublie pas celui du général d
78 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
160 plus fort que tout, dans la cour où les draps au vent font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
79 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
161 eu et pantalon de flanelle passait les cheveux au vent — deux belles touffes blanches en désordre « génial » — et c’était l’
162 teau noir. Sa chevelure m’indique la direction du vent , et son aspect met en fuite ma petite fille. À quoi pense-t-il ? De c
80 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
163 eu et pantalon de flanelle passait les cheveux au vent — deux belles touffes blanches en désordre « génial » — et c’était l’
164 teau noir. Sa chevelure m’indique la direction du vent , et son aspect met en fuite ma petite fille. À quoi pense-t-il ? De c
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
165 antes et sans nom qui font dans l’âme un bruit de vent mortel et caressant ; une qualité métaphysique et passionnée de l’« i
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
166 erre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes ros
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
167 d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes les anthologies, l’habit cla
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
168 ine détachée du flanc de la colline, pour que les vents ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous buvons des vins do
169 vants, entre des collines basses grattées par les vents , aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
170 hantent, les moires et l’ondulation des rubans de vents chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
171 tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces vents vastes ; et cette passion de vivre au-dessus de ses moyens — c’est-à-
172 e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
173 on le conserve, au long d’un chemin effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
174 iel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid, mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons is
175 mpe, gratte le sol, pique, bruisse exquisement au vent . Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces ch
176 d’arbres, de germes lents, de passages ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblab
177  ! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un vent léger écartait une branche et la Lune éclairait à longs traits nos vi
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
178 l’île, du régime des marées, des courants et des vents . Merveilleux livre en vérité ! Et la merveilleuse bibliothèque que ce
179 côtes, elles aussi, se transforment. Une nuit de vent bouleverse leur dessin et leurs couleurs, apporte un banc de varech p
180 qu’un petit Mirus installé devant la cheminée. Le vent continuel le fait ronfler furieusement, mais les fenêtres ferment trè
181 ec une énergie particulière en pédalant contre le vent dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien qu’un peu de c
182 aller en acheter. Silence, froid, solitude, et ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la maison. Nous avons trouvé de
183 rtée qui attend le passage du car, les cheveux au vent sur le bord de la route. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur
184 il y a entre les virgules. Fin mars 1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déj
185 s secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de
186 murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent , une hirondelle, les bruits des champs. 10 juin 1934 Depuis que
187 asser ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie,
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
188 mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient le vent le plus glacial, depuis des siècles, et en tout cas depuis longtemps
189 es récolter. « Voyez-vous ! c’est qu’il a fait un vent cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une manière générale, ils ne
190 tes et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés au presbytère sur une gal
191 e ses partis pris ? 21 février 1935 Un fort vent doux passe de grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline
192 e. Les plumes du cou sont un peu hérissées par le vent . Voici trois jours que je le vois chaque matin. Quand je l’appelle, i
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
193 sière d’acier régulièrement ourlée de gouttes. Le vent siffle à travers les trous du casque. L’homme tire la toile de tente
194 a ressemble tellement au bonheur ! Un cri dans le vent va tout détruire. Oui, c’est ainsi, toujours ainsi, le bonheur : un i
195 façades nues, brunies par l’âge, patinées par les vents . Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
196 ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger vent d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
197 roses, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue d
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
198 ans cette rue de briques noircies où circulait un vent âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, e
199 Alpes au visiteur qui en contemple la chaîne. Le vent fou, l’air ozoné et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur de
200 rk, c’est le grain de poussière métallique que le vent vous plante dans l’œil. Au lieu de vous frotter ou tirer la paupière,
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
201 Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent merveilleusement chaud fait claquer les pans du peignoir sur mes jamb
202 iles blanches dans les plumets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’herbe, je sens vivre une terre étrange, plus jeun
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
203 aux pieds, fumerolles au ras de l’asphalte, et le vent fou ! Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un homme qui est
204 printemps, mais la saison s’émeut obscurément. Un vent doux, venu de la mer, remontait les avenues infinies, très légèrement
205 là où elles s’ouvrent sur le ciel. Suffit-il d’un vent doux, d’un peu d’or au lointain, d’un beau ciel de nuées atlantiques,
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
206 fête saluant New York d’adieux, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre… Été 1943 Intermède politique. — Si
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
207 plus fort que tout, dans la cour où les draps au vent font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
95 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
208 plus fort que tout, dans la cour où les draps au vent font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
96 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
209 rtir d’un pas vif, le menton haut, les cheveux au vent . Et le mari se hâte d’obtempérer pour éviter le pire. Cette dominatio
97 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
210 vie raisonnable. L’auteur d’Autant en emporte le vent ne s’est plus manifestée depuis son grand succès : elle se contente d
98 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
211 rtir d’un pas vif, le menton haut, les cheveux au vent . Et le mari se hâte d’obtempérer pour éviter le pire. Cette dominatio
99 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
212 s premiers plans et des éloignements qu’un peu de vent déplace, illumine ou éteint, voilà qui satisfait comme nul autre pays
213 ées sur le chemin de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vi
100 1948, Suite neuchâteloise. VII
214 s premiers plans et des éloignements qu’un peu de vent déplace, illumine ou éteint, voilà qui satisfait comme nul autre pays
215 ées sur le chemin de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vi