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umont. Puis la vie l’exalte de nouveau d’un large
vent
de joie. a. « Henry de Montherlant : Chant funèbre pour les morts d
2
ce livre où l’on voit un homme appeler en vain le
vent
du large, parmi des gens qui craignent de s’enrhumer. q. « Alix de
3
Revenez, mes joies du large !… Tiens, j’écoute le
vent
; je pense au monde. Chant des horizons, images qui s’éclairent… Je v
4
meil de plante vaguement heureuse d’être pliée au
vent
qui ne parle jamais. Nous fûmes si près de choir dans ton silence. Na
5
.............................................. Le
vent
se lève, il faut tenter de vivre. Paul Valéry. Certes, du sein de m
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hoisissais de laisser — et des baisers à tous les
vents
— qu’il eût été loisible d’attribuer comme objet à ma jubilation, non
7
ose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le
vent
. Et dans la Maladère, un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des
8
rre à liqueur. Poisson dans l’eau, plumes dans le
vent
, poète au bar, le paradis n’est pas si cher. Il y en a aussi qui pose
9
lors, cessons de nous battre contre des moulins à
vent
. La littérature, considérée du point de vue de la psychologie de l’éc
10
e qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au
vent
glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui fait so
11
s oiseaux nous parlèrent, bientôt dissous dans le
vent
. Tout était reflet, passages, allusions. Plus tard, dans un petit bar
12
sans manchon qui éclairait la boutique, et que le
vent
menaçait d’éteindre à chaque instant, le homard se réveilla. Gérard m
13
où tu m’entends mais ces hauts murs d’ombre et de
vent
autour du monde où nous vivons parquent les visages les sons brassent
14
ert qu’un sol dur aux genoux tends les mains au
vent
captif délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute-les.
15
ine détachée du flanc de la colline, pour que les
vents
ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous buvons des vins do
16
vants, entre des collines basses grattées par les
vents
, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
17
hantent, les moires et l’ondulation des rubans de
vents
chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
18
tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces
vents
vastes ; et cette passion de vivre au-dessus de ses moyens — c’est-à-
19
e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel
vent
sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
20
on le conserve, au long d’un chemin effacé par le
vent
sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
21
e jeter les principes philanthropiques à tous les
vents
; de rentrer bien vite dans sa maison garnie de belles nattes et de s
22
tes » et sans nom qui font dans l’âme un bruit de
vent
mortel et caressant ; une qualité métaphysique et passionnée de l’« i
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qu’on s’en fait. Le Ring, trop large, ouvert au
vent
glacial, crée autour du centre de la ville une insécurité qui fait so
24
s oiseaux nous parlèrent, bientôt dissous dans le
vent
. Tout n’était que reflet, passages, allusions. Plus tard, dans un pe
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sans manchon qui éclairait la boutique, et que le
vent
menaçait à chaque instant d’éteindre, le homard se réveilla. Gérard m
26
d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le
vent
de printemps : la poésie est dans toutes les anthologies, l’habit cla
27
ine détachée du flanc de la colline (pour que les
vents
ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est d
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vants, entre des collines basses grattées par les
vents
, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
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hantent, les moires et l’ondulation des rubans de
vents
chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
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tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces
vents
vastes ; et cette passion de vivre « au-dessus de ses moyens » — c’es
31
e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel
vent
sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
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on le conserve, au long d’un chemin effacé par le
vent
sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
33
iel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un
vent
froid, mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons is
34
mpe, gratte le sol, pique, bruisse exquisement au
vent
. Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces ch
35
d’arbres, de germes lents, de passages ailés. Le
vent
qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblab
36
! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un
vent
léger écartait une branche et la Lune éclairait à longs traits nos vi
37
erre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le
vent
marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes ros
38
tes » et sans nom qui font dans l’âme un bruit de
vent
mortel et caressant ; une qualité métaphysique et passionnée de l’ «
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d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le
vent
de printemps : la poésie est dans toutes les anthologies, l’habit cla
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eine détachée du flanc de la colline pour que les
vents
ne l’emportent pas, un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est de
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vants, entre des collines basses grattées par les
vents
, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
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hantent, les moires et l’ondulation des rubans de
vents
chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
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tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces
vents
vastes ; et cette passion de vivre « au-dessus de ses moyens » — c’es
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e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel
vent
sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
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on le conserve, au long d’un chemin effacé par le
vent
sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
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erre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le
vent
marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes ros
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iel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un
vent
froid, mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons is
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mpe, gratte le sol, pique, bruisse exquisement au
vent
. Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces ch
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d’arbres, de germes lents, de passages ailés. Le
vent
qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblab
50
! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un
vent
léger écartait une branche et la Lune éclairait à longs traits nos vi
51
ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger
vent
d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
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fête saluant New York d’adieux, filant pavois au
vent
vers l’Europe et la guerre… Mémoire de l’Europe New York, fin 1944
53
s premiers plans et des éloignements qu’un peu de
vent
déplace, illumine ou éteint, voilà qui satisfait comme nul autre pays
54
ées sur le chemin de la plaine, luttant contre un
vent
impétueux. L’orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vi
55
l bigot ; « tout n’est que vanité et poursuite du
vent
», y compris la sagesse de celui qui croit trouver dans cette sentenc
56
t pas ce retour au Réel, ne sont que poursuite du
vent
, défection ou orgueil fantastique. Le solitaire et les faux dieux
57
cieux, et voici, tout est vanité et poursuite du
vent
. » Je plaindrais l’homme d’action qui n’aurait jamais eu ce cri, qui
58
ainte. Les surréalistes sont fondés à parler du «
vent
de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’indus
59
ainte. Les surréalistes sont fondés à parler du «
vent
de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’indus
60
ainte. Les surréalistes sont fondés à parler du «
vent
de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’indus
61
mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient le
vent
le plus glacial, depuis des siècles, et en tout cas depuis longtemps
62
es récolter. « Voyez-vous ! c’est qu’il a fait un
vent
cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une manière générale, ils ne sont p
63
tes et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le
vent
cesse de les balayer. Nous sommes installés au presbytère sur une gal
64
9 puis s’en vont prendre l/10e de billet. Un fort
vent
doux passe de grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline
65
e. Les plumes du cou sont un peu hérissées par le
vent
. Voici trois jours que je le vois chaque matin. Quand je l’appelle, i
66
ec une énergie particulière en pédalant contre le
vent
dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien qu’un peu de c
67
rtée qui attend le passage du car, les cheveux au
vent
, sur le bord de la route. Rien de plus sympathique que les conducteur
68
l’île, du régime des marées, des courants et des
vents
. Merveilleux livre en vérité ! Et la merveilleuse bibliothèque que ce
69
s instants, et se coucher ensuite sur la dune, au
vent
doux. Villages blancs au-dessus des lagunes. Une odeur forte de varec
70
rtée qui attend le passage du car, les cheveux au
vent
, sur le bord de la route. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteu
71
l’île, du régime des marées, des courants et des
vents
. Merveilleux livre en vérité ! Et la merveilleuse bibliothèque que ce
72
côtes, elles aussi, se transforment. Une nuit de
vent
bouleverse leur dessin et leurs couleurs, apporte un banc de varech p
73
qu’un petit Mirus installé devant la cheminée. Le
vent
continuel le fait ronfler furieusement, mais les fenêtres ferment trè
74
ec une énergie particulière en pédalant contre le
vent
dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien qu’un peu de c
75
aller en acheter. Silence, froid, solitude, et ce
vent
qui ne cesse pas de siffler autour de la maison. Nous avons trouvé de
76
rtée qui attend le passage du car, les cheveux au
vent
sur le bord de la route. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur
77
il y a entre les virgules. Fin mars 1934 Le
vent
souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déj
78
s secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au
vent
doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de
79
murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le
vent
, une hirondelle, les bruits des champs. 10 juin 1934 Depuis que
80
asser ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon
vent
du destin souffle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie,
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mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient le
vent
le plus glacial, depuis des siècles, et en tout cas depuis longtemps
82
es récolter. « Voyez-vous ! c’est qu’il a fait un
vent
cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une manière générale, ils ne
83
tes et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le
vent
cesse de les balayer. Nous sommes installés au presbytère sur une gal
84
e ses partis pris ? 21 février 1935 Un fort
vent
doux passe de grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline
85
e. Les plumes du cou sont un peu hérissées par le
vent
. Voici trois jours que je le vois chaque matin. Quand je l’appelle, i
86
ine détachée du flanc de la colline (pour que les
vents
ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est d
87
sière d’acier régulièrement ourlée de gouttes. Le
vent
siffle à travers les trous du casque. L’homme tire la toile de tente
88
a ressemble tellement au bonheur ! Un cri dans le
vent
va tout détruire. Oui, c’est bien ça, c’est toujours ça, le bonheur :
89
voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le
vent
tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Brangien leu
90
sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les
vents
du soir, lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au
91
regard ; vers l’Orient file le navire. Frais, le
vent
souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? C
92
a voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô
vent
! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Dou
93
e tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô
vents
, clamait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, re
94
ez les épaves ! Tout ce qui palpite et respire, ô
vents
, je vous le donne en récompense ! Attirés par la mort loin de la vie
95
des deux Églises : Je suis Arnaut qui amasse le
vent
, et je chasse le lièvre à l’aide d’un bœuf, et je nage contre le flux
96
es les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô
vent
! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » To
97
tu sur moi tel pouvoir, si je n’y consens ? Parmi
vents
si contraires, sur une frêle barque Je me trouve sans gouvernail en h
98
notre drame. Ils nous voyaient passer, cheveux au
vent
, des foulards rouges négligemment noués autour du cou, avec des mines
99
ce temps-là, déjà, Comme aujourd’hui ! Monta le
vent
des plaines Vent de guerre ! Vers le Gothard, notre bastion sacré.
100
, Comme aujourd’hui ! Monta le vent des plaines
Vent
de guerre ! Vers le Gothard, notre bastion sacré. Alors un homme
101
ux tout doux qui vous transpercent comme un petit
vent
du matin sur l’alpage. 1er valet. — Moi, je dis qu’on n’est pas d
102
) Tout un peuple a prêté l’oreille. Mais le grand
vent
des plaines s’est levé, il emporte la voix du guetteur. Nicolas ! Nic
103
de femmes.) Quel est ce rêve qui se lève avec le
vent
des plaines et de la guerre ? Hélas ! où courons-nous ? (Pendant ce
104
s-tu ? Des sons lointains prédisent le malheur Le
vent
des plaines emporte leur écho ! Voix de paix descend des sommets, Ven
105
rte leur écho ! Voix de paix descend des sommets,
Vent
de guerre souffle sur nos terres. Jour du désir, jour de l’angoisse !
106
ue.) Nicolas (criant du plan 3). — Marchand de
vent
! Impie ! Voyez qui l’a payé ! Il n’ouvre la bouche que pour mentir,
107
voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le
vent
tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Brangien leu
108
sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les
vents
du soir, lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au
109
regard ; vers l’Orient file le navire. Frais, le
vent
souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? C
110
voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle, ô
vent
! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Doub
111
se tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô
vents
, clamait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, re
112
ez les épaves ! Tout ce qui palpite et respire, ô
vents
, je vous le donne en récompense ! Attirés par la mort loin de la vie
113
nt tous que le très vertueux Christ tourne à tout
vent
comme girouette et se plie comme une simple étoffe… Il se prête et s’
114
es les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô
vent
! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » To
115
tu sur moi tel pouvoir, si je n’y consens ! Parmi
vents
si contraires, sur une frêle barque Je me trouve sans gouvernail en h
116
voguent vers les terres de Marc. En haute mer, le
vent
tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif. La servante Brangien leu
117
sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les
vents
du soir, lorsqu’en un temps lointain la mort du père fut annoncée au
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regard ; vers l’Orient file le navire. Frais, le
vent
souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? C
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a voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô
vent
! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Dou
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e tuer, ou de sombrer dans un commun naufrage. Ô
vents
, clamait encore Isolde, secouez la léthargie de cette mer rêveuse, re
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ez les épaves ! Tout ce qui palpite et respire, ô
vents
, je vous le donne en récompense ! Attirés par la mort loin de la vie
122
nt tous que le très vertueux Christ tourne à tout
vent
comme girouette et se plie comme une simple étoffe… Il se prête et s’
123
es les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô
vent
! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » To
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tu sur moi tel pouvoir, si je n’y consens ? Parmi
vents
si contraires, sur une frêle barque Je me trouve sans gouvernail en h
125
ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger
vent
d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
126
ni des girouettes qui tournent au gré de tous les
vents
. Nous ne voulons pas nous lier, comme tant d’autres, à un programme «
127
ans cette rue de briques noircies où circulait un
vent
âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici el
128
vent de repères pour se diriger dans la ville. Le
vent
fou, l’air ozone, et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur d
129
façades nues, brunies par l’âge, palmées par les
vents
. Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
130
tes… Ce sont des nuées sans eau, poussées par les
vents
; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des
131
tes… Ce sont des nuées sans eau, poussées par les
vents
; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des
132
tes… Ce sont des nuées sans eau, poussées par les
vents
; des arbres d’automne sans fruits, deux fois morts, déracinés ; des
133
façades nues, brunies par l’âge, patinées par les
vents
. Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
134
t pas ce retour au Réel, ne sont que poursuite du
vent
, défection, ou orgueil fantastique. 5.Le solitaire et les faux die
135
eu et pantalon de flanelle passait les cheveux au
vent
— deux belles touffes blanches en désordre « génial » — et c’était l’
136
teau noir. Sa chevelure m’indique la direction du
vent
, et son aspect met en fuite ma petite fille. À quoi pense-t-il ? De c
137
… [Entretien] (4 mai 1946)f Monsieur, quel bon
vent
vous amène ? J’avais besoin de me retrouver dans une atmosphère franç
138
tre, solide, puissant, élégant comme une voile au
vent
), du Journal d’un intellectuel en chômage , de L’Amour et l’Occiden
139
fête saluant New York d’adieux, filant pavois au
vent
vers l’Europe et la guerre… f. « Beekman Place », Bulletin de la Gu
141
te officialité. Excellente idée. Genève, rose des
vents
de l’esprit, continuera ainsi à jouer son rôle de cité internationale
142
ler librement où il veut. c. « Genève, rose des
vents
de l’esprit », L’Illustré, Lausanne, n° 38, 19 décembre 1946, p. 31-3
143
ans cette rue de briques noircies où circulait un
vent
âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, e
144
Alpes au visiteur qui en contemple la chaîne. Le
vent
fou, l’air ozoné et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur de
145
aux pieds, fumerolles au ras de l’asphalte et le
vent
fou ! Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un homme qui est
146
fête saluant New York d’adieux, filant pavois au
vent
vers l’Europe… Slums La Soixante-quinzième rue n’a rien de part
147
plus fort que tout, dans la cour où les draps au
vent
font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
148
sière d’acier régulièrement ourlée de gouttes. Le
vent
siffle à travers les trous du casque. L’homme tire la toile de tente
149
a ressemble tellement au bonheur ! Un cri dans le
vent
va tout détruire. Oui, c’est ainsi, toujours ainsi, le bonheur : un i
150
façades nues, brunies par l’âge, patinées par les
vents
. Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
151
ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger
vent
d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
152
roses, à la piscine, dans la pinède qui vibre au
vent
chaud de la mer… Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue d
153
ans cette rue de briques noircies où circulait un
vent
âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, e
154
Alpes au visiteur qui en contemple la chaîne. Le
vent
fou, l’air ozoné et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur de
155
nt à New York, c’est le grain de poussière que le
vent
vous plante dans l’œil. Au lieu de vous frotter ou tirer la paupière,
156
Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le
vent
merveilleusement chaud fait claquer les pans du peignoir sur mes jamb
157
iles blanches dans les plumets déchiquetés par le
vent
tiède. Couché sur l’herbe je sens vivre une terre étrange, plus jeune
158
aux pieds, fumerolles au ras de l’asphalte, et le
vent
fou ! Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un homme qui est
159
fête saluant New York d’adieux, filant pavois au
vent
vers l’Europe et la guerre… 14. Je n’oublie pas celui du général d
160
plus fort que tout, dans la cour où les draps au
vent
font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
161
eu et pantalon de flanelle passait les cheveux au
vent
— deux belles touffes blanches en désordre « génial » — et c’était l’
162
teau noir. Sa chevelure m’indique la direction du
vent
, et son aspect met en fuite ma petite fille. À quoi pense-t-il ? De c
163
eu et pantalon de flanelle passait les cheveux au
vent
— deux belles touffes blanches en désordre « génial » — et c’était l’
164
teau noir. Sa chevelure m’indique la direction du
vent
, et son aspect met en fuite ma petite fille. À quoi pense-t-il ? De c
165
antes et sans nom qui font dans l’âme un bruit de
vent
mortel et caressant ; une qualité métaphysique et passionnée de l’« i
166
erre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le
vent
marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes ros
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d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le
vent
de printemps : la poésie est dans toutes les anthologies, l’habit cla
168
ine détachée du flanc de la colline, pour que les
vents
ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous buvons des vins do
169
vants, entre des collines basses grattées par les
vents
, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
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hantent, les moires et l’ondulation des rubans de
vents
chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
171
tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces
vents
vastes ; et cette passion de vivre au-dessus de ses moyens — c’est-à-
172
e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel
vent
sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
173
on le conserve, au long d’un chemin effacé par le
vent
sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l
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iel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un
vent
froid, mais quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons is
175
mpe, gratte le sol, pique, bruisse exquisement au
vent
. Ainsi se créent peu à peu dans l’esprit ces formes végétales, ces ch
176
d’arbres, de germes lents, de passages ailés. Le
vent
qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblab
177
! comment dire ! Vraiment ce fut cette nuit.) Un
vent
léger écartait une branche et la Lune éclairait à longs traits nos vi
178
l’île, du régime des marées, des courants et des
vents
. Merveilleux livre en vérité ! Et la merveilleuse bibliothèque que ce
179
côtes, elles aussi, se transforment. Une nuit de
vent
bouleverse leur dessin et leurs couleurs, apporte un banc de varech p
180
qu’un petit Mirus installé devant la cheminée. Le
vent
continuel le fait ronfler furieusement, mais les fenêtres ferment trè
181
ec une énergie particulière en pédalant contre le
vent
dans l’obscurité. Mais le lendemain il n’en reste rien qu’un peu de c
182
aller en acheter. Silence, froid, solitude, et ce
vent
qui ne cesse pas de siffler autour de la maison. Nous avons trouvé de
183
rtée qui attend le passage du car, les cheveux au
vent
sur le bord de la route. Rien n’est plus sympathique qu’un conducteur
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il y a entre les virgules. Fin mars 1934 Le
vent
souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déj
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s secondes, et se coucher ensuite sur la dune, au
vent
doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mirages de
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murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le
vent
, une hirondelle, les bruits des champs. 10 juin 1934 Depuis que
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asser ailleurs sans ennui. 15 juin 1934 Bon
vent
du destin souffle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie,
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mais la porte donne au nord-ouest, d’où vient le
vent
le plus glacial, depuis des siècles, et en tout cas depuis longtemps
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es récolter. « Voyez-vous ! c’est qu’il a fait un
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cette nuit ! » 11 novembre 1934 D’une manière générale, ils ne
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tes et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le
vent
cesse de les balayer. Nous sommes installés au presbytère sur une gal
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e ses partis pris ? 21 février 1935 Un fort
vent
doux passe de grandes caresses sur le pelage d’oliviers de la colline
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e. Les plumes du cou sont un peu hérissées par le
vent
. Voici trois jours que je le vois chaque matin. Quand je l’appelle, i
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sière d’acier régulièrement ourlée de gouttes. Le
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siffle à travers les trous du casque. L’homme tire la toile de tente
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a ressemble tellement au bonheur ! Un cri dans le
vent
va tout détruire. Oui, c’est ainsi, toujours ainsi, le bonheur : un i
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façades nues, brunies par l’âge, patinées par les
vents
. Rares sont les boutiques, et même les cafés. Et s’il passe une auto,
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ts accès de découragement, ces brumes qu’un léger
vent
d’avant-printemps suffit à dissiper en cinq minutes ? Qu’est-ce que c
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roses, à la piscine, dans la pinède qui vibre au
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chaud de la mer… Lisbonne, 10 septembre 1940 Blanche et bleue d
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ans cette rue de briques noircies où circulait un
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âpre et salubre. La mer et la montagne se ressemblent partout. Ici, e
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Alpes au visiteur qui en contemple la chaîne. Le
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fou, l’air ozoné et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur de
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rk, c’est le grain de poussière métallique que le
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vous plante dans l’œil. Au lieu de vous frotter ou tirer la paupière,
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Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le
vent
merveilleusement chaud fait claquer les pans du peignoir sur mes jamb
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iles blanches dans les plumets déchiquetés par le
vent
tiède. Couché sur l’herbe, je sens vivre une terre étrange, plus jeun
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aux pieds, fumerolles au ras de l’asphalte, et le
vent
fou ! Si le détail est laid, voyez l’ensemble. Pour un homme qui est
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printemps, mais la saison s’émeut obscurément. Un
vent
doux, venu de la mer, remontait les avenues infinies, très légèrement
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là où elles s’ouvrent sur le ciel. Suffit-il d’un
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doux, d’un peu d’or au lointain, d’un beau ciel de nuées atlantiques,
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fête saluant New York d’adieux, filant pavois au
vent
vers l’Europe et la guerre… Été 1943 Intermède politique. — Si
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plus fort que tout, dans la cour où les draps au
vent
font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
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plus fort que tout, dans la cour où les draps au
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font de grands gestes frénétiques. New York possède aussi deux-cents
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rtir d’un pas vif, le menton haut, les cheveux au
vent
. Et le mari se hâte d’obtempérer pour éviter le pire. Cette dominatio
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vie raisonnable. L’auteur d’Autant en emporte le
vent
ne s’est plus manifestée depuis son grand succès : elle se contente d
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rtir d’un pas vif, le menton haut, les cheveux au
vent
. Et le mari se hâte d’obtempérer pour éviter le pire. Cette dominatio
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s premiers plans et des éloignements qu’un peu de
vent
déplace, illumine ou éteint, voilà qui satisfait comme nul autre pays
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ées sur le chemin de la plaine, luttant contre un
vent
impétueux. L’orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vi
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s premiers plans et des éloignements qu’un peu de
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déplace, illumine ou éteint, voilà qui satisfait comme nul autre pays
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ées sur le chemin de la plaine, luttant contre un
vent
impétueux. L’orage est imminent. Notre héros, qui paraît âgé d’une vi