1
erfs, serfs des syndicats et des capitalistes des
villes
. Mais dans une de ces provinces du Midi où le souvenir des luttes rel
2
n sans romantisme, dans le détail de la vie d’une
ville
. Il sait qu’un grand mouvement est la résultante de millions de petit
3
ie moderne un décor utile et beau. Or « la grande
ville
, phénomène de force en mouvement, est aujourd’hui une catastrophe men
4
l arrête 1000 chevaux-vapeurs ». Et pourtant « la
ville
est une image puissante qui actionne notre esprit » après avoir été c
5
ruire le cadre de notre existence… construire les
villes
de notre temps ». Et je déplie ce plan d’une « ville contemporaine ».
6
es de notre temps ». Et je déplie ce plan d’une «
ville
contemporaine ». Pures géométries de verre et de ciment blanc, flambo
7
le silence de l’azur au-dessus des rumeurs de la
ville
. Puis s’étendent les quartiers de résidence ; les jardins suspendus à
8
ains de jeux et des parcs, la nature annexée à la
ville
. « C’est un spectacle organisé par l’Architecture avec les ressources
9
éalisation de ce phénomène de haute poésie — la «
ville
contemporaine ». Un labeur précis et anonyme concourt obscurément à c
10
euve jaune, entre les deux façades longues que la
ville
présente au couchant, dans ce corridor de lumière où elle accueille l
11
roche la nuit. Nous nous sommes retournés vers la
ville
. Fleurs de lumières sur les champs sombres du ciel de l’est, et une
12
t on ne voudrait plus guérir… Mais nous voyons la
ville
debout dans ses lumières. Architectures ! langage des dieux, ô joies
13
s des coups un son qui nous évoqua les rumeurs de
villes
d’usines. Il y avait la vie des hommes pour demain, et il était beau
14
e qui va peut-être composer tous les bruits de la
ville
en un chant immense. Il passe une possibilité de bonheur par personne
15
la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos
villes
. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre vertu suprême, aussi,
16
heures du matin. Premiers appels d’autos dans la
ville
, mais il me semble que toutes choses s’éloignent de moi vertigineusem
17
onflent leur tête jusqu’à éclater, tandis que des
villes
passent au fond à toute vitesse. Rigueur voluptueuse d’une colonnade,
18
e sont de belles syllabes sereines, et dans cette
ville
, Éluard est le plus séduisant, le plus dangereusement gracieux des no
19
mps. Les rues riaient. Le ciel descendait dans la
ville
, on marchait dans le bleu. Je sortis avec cette femme, qui m’aimait,
20
îne l’Occident ? Cris dans le désert. Déserts des
villes
fiévreuses où le fracas des machines couvre déjà la plainte humaine.
21
vert au vent glacial, crée autour du centre de la
ville
une insécurité qui fait songer à la Russie et au sifflement des balle
22
tive à se passionner pour quoi que ce soit. Cette
ville
, qui est toute caresses, a peur de l’étreinte… C’est d’ailleurs une c
23
te, comme elles le sont presque toutes dans cette
ville
, — du type que Gérard et Théo nommaient « biondo et grassotto », et q
24
un ton rêveur et malicieux. Mais l’ombre de cette
ville
illusoire est la plus douce à mes vagabondages sans but. Vous savez,
25
lution de rues, ou la palpitation inquiétante des
villes
chinoises, Malraux fait preuve d’un art du détail où se révèle le vra
26
’or s’avance en proue, dominant superbement cette
ville
désordonnée. Derrière, ce sont des rues silencieuses, provinciales, b
27
crémeries aux idylles démodées… Rentrons dans la
ville
un soir qu’elle s’amuse. Vous avez dîné au paprika chez des gens qui
28
s cette paresse de jour férié, les clochers de la
ville
sonnent deux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison so
29
es questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
ville
, tout semblable à ces théologiens aux yeux voilés, aux pantalons trop
30
ments « de la mauvaise époque » qui sont dans nos
villes
l’apport du xixe siècle. Ils ne parviennent ni à la beauté ni à l’ut
31
et à rebours, les noms des rues et places de leur
ville
, comme s’ils étaient tous destinés à la profession de chauffeurs de t
32
ments « de la mauvaise époque » qui sont dans nos
villes
l’apport du xixe siècle. Ils ne parviennent ni à la beauté ni à l’ut
33
et à rebours, les noms des rues et places de leur
ville
, comme s’ils étaient tous destinés à la profession de chauffeurs de t
34
i je me méfie ; se promener seul la nuit dans une
ville
étrangère, n’est-ce point la définition même de la luxure ? Quand je
35
oujours envie de crâner. L’esplanade d’une petite
ville
de l’Allemagne du Sud, un soir de mai. Il y a dans les marronniers no
36
t cette naturalisation il continue de protéger la
ville
(en collaboration avec saint Gellert, dont la statue colossale, sur u
37
es sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les
villes
, conduisent dans la cour d’honneur ces reliques incroyables et les en
38
mythologique. Nous sortons ensemble de la petite
ville
aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans omb
39
ues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses,
ville
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur
40
anube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite
ville
juste au-dessous de soi, et la basilique sur son rocher. Fraîches, se
41
pose pas de morceaux choisis16. Il y a une grande
ville
, un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et p
42
terrasses de Debrecen. Debrecen est une sorte de
ville
indescriptible, à demi mêlée aux sables de la plaine du Hortobágy, au
43
rande personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette
ville
historique est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu se
44
n désordre de maisons basses, les dernières de la
ville
de Debrecen, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil c
45
de envergure, commencées dans les bas-fonds de la
ville
de Kobé et peu à peu élargies à tout ce vaste empire moderne si rapid
46
renaît par cette mort. La neurasthénie broie les
villes
, où nous sommes peut-être seuls à connaître la force et la présence.
47
perdent en steppes, — démesure et nostalgie. Des
villes
naissent lentement dans ces campagnes qui ne sont nulle part la « pro
48
villas sur ses collines, s’aère et redevient une
ville
à la campagne ; du même coup, un centre spirituel. Diversités, naissa
49
vert au vent glacial, crée autour du centre de la
ville
une insécurité qui fait songer à la Russie et au sifflement des balle
50
tive à se passionner pour quoi que ce soit. Cette
ville
, qui est toute caresses, a peur de l’étreinte… C’est d’ailleurs une c
51
te, comme elles le sont presque toutes dans cette
ville
, — du type que Gérard et Théo nommaient « biondo e grassotto », et qu
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un ton rêveur et malicieux. Mais l’ombre de cette
ville
illusoire est la plus douce à mes vagabondages sans but. Vous savez,
53
t cette naturalisation il continue de protéger la
ville
(en collaboration avec saint Gellert, dont la statue colossale, sur u
54
es sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les
villes
, conduisent dans la cour d’honneur ces reliques incroyables et les en
55
mythologique. Nous sortons ensemble de la petite
ville
aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans omb
56
ues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses,
ville
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur
57
anube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite
ville
juste au-dessous de soi, et la Basilique sur son rocher. Fraîches, se
58
pose pas de morceaux choisis11. Il y a une grande
ville
, un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et p
59
ses de Debrecen. Debrecen est une sorte de grande
ville
indescriptible, à demi mêlée aux sables de la plaine du Hortobágy, au
60
rande personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette
ville
historique est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu se
61
n désordre de maisons basses, les dernières de la
ville
de Debrecen, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil c
62
s cette paresse de jour férié, les clochers de la
ville
sonnent deux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison so
63
es questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
ville
, tout semblable à ces théologiens aux yeux voilés, aux pantalons trop
64
s forêts. Les rues sont vides jusqu’au cœur de la
ville
, où l’attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’est tu ; des
65
un lieu quelconque et paisiblement habité ? Cette
ville
est pour eux la moins quelconque du monde. Je prétexte des écritures
66
qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite
ville
au crépuscule, couchée en rond entre les collines, secrète sous un vo
67
ac, le tout dans une couverture sous mon bras. La
ville
s’éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi le bourdon
68
es étroites, déjà brûlantes au matin, dominant la
ville
, ses bruits de chars, ses cris d’enfants. Je traverse l’odeur des gro
69
tables pour la plupart des êtres qui peuplent ces
villes
, là-bas, que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude.
70
seulement pour le corps. J’ai pensé aux gens des
villes
, au décor de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’
71
sensuelle. N’est-ce point de cela que l’homme des
villes
a besoin de nos jours ? On parle toujours de son appétit du plaisir.
72
e château endormi pour aller faire des courses en
ville
, probablement ; elle a dû prendre le train des ouvriers, — et c’est à
73
pesant que nulle part. Me voici tout environné de
ville
. Où trouver ici la lenteur des choses ? Où le désir peut-il errer, se
74
isse au remords de vous avoir quittées pour cette
ville
à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’odeur, terrains mor
75
fendrai pas les junkers… J’entends les gens de
villes
: « Ça ne doit pas être bien drôle à la longue ! » Avec cela que vos
76
pourrais leur en témoigner. Bon pour les gens des
villes
, toujours inquiets, toujours doutant de leurs raisons d’êtres et de l
77
l’instrument des folies citadines. C’est dans les
villes
qu’on parle des temps nouveaux. Et l’on voit bien pourquoi les intell
78
i je me méfie ; se promener seul la nuit dans une
ville
étrangère, n’est-ce point la définition même de la luxure ? Quand je
79
s de l’Oracle qui lui avait dit d’aller bâtir une
ville
là où il trouverait la pluie et le beau temps, il rencontra en Italie
80
courtisane qui pleurait ; et en ce lieu bâtit la
ville
de Crotone. Sonnette. — J’aime vos histoires, Lord Artur. (Un temps
81
e perdent en steppes — démesure et nostalgie. Des
villes
naissent lentement dans ces campagnes qui ne sont nulle part la « pro
82
villas sur ses collines, s’aère et redevient une
ville
à la campagne ; du même coup, un centre spirituel. Diversités naissan
83
t cette naturalisation il continue de protéger la
ville
(en collaboration avec saint Gellert, dont la statue colossale, sur u
84
es sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les
villes
, conduisent dans la cour d’honneur ces reliques incroyables et les en
85
mythologique. Nous sortons ensemble de la petite
ville
aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans omb
86
ues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses,
ville
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur
87
anube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite
ville
juste au-dessous de soi, et la Basilique sur son rocher. Fraîches, se
88
mpose pas de morceaux choisis8. Il y a une grande
ville
, un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et p
89
ses de Debrecen. Debrecen est une sorte de grande
ville
indescriptible, à demi mêlée aux sables de la plaine de Hortobágy, au
90
rande personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette
ville
historique est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu se
91
n désordre de maisons basses, les dernières de la
ville
de Debrecen, au bord de la Grande Plaine encore rougeâtre de soleil c
92
fendrai pas les junkers… J’entends les gens de
villes
: « Ça ne doit pas être bien drôle à la longue ! » Avec cela que vos
93
pourrais leur en témoigner. Bon pour les gens des
villes
, toujours inquiets, toujours doutant de leurs raisons d’être et de le
94
l’instrument des folies citadines. C’est dans les
villes
qu’on parle des temps nouveaux. Et l’on voit bien pourquoi les intell
95
s cette paresse de jour férié, les clochers de la
ville
sonnent deux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison so
96
es questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette
ville
, tout semblable à ces théologiens aux yeux voilés, aux pantalons trop
97
s forêts. Les rues sont vides jusqu’au cœur de la
ville
, où l’attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’est tu ; des
98
un lieu quelconque et paisiblement habité ? Cette
ville
est pour eux la moins quelconque du monde. Je prétexte des écritures
99
qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite
ville
au crépuscule, couchée en rond entre les collines, secrète sous un vo
100
ac, le tout dans une couverture sous mon bras. La
ville
s’éveille et s’aère. Je me mets à gravir la colline parmi le bourdonn
101
es étroites, déjà brûlantes au matin, dominant la
ville
, ses bruits de chars, ses cris d’enfants. Je traverse l’odeur des gro
102
tables pour la plupart des êtres qui peuplent ces
villes
, là-bas, que le nom d’homme ne saurait plus les désigner sans fraude.
103
seulement pour le corps. J’ai pensé aux gens des
villes
, au décor de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’
104
sensuelle. N’est-ce point de cela que l’homme des
villes
a besoin de nos jours ? On parle toujours de son appétit de plaisir.
105
e château endormi pour aller faire des courses en
ville
, probablement ; elle a dû prendre le train des ouvriers, et c’est à e
106
pesant que nulle part. Me voici tout environné de
ville
. Où trouver ici la lenteur des choses ? Où le désir peut-il errer, se
107
isse au remords de vous avoir quittées pour cette
ville
à présent sans relâche, où les orages n’ont pas d’odeur, terrains mor
108
ruit, j’en perdrai le goût d’être un Européen. La
Ville
Lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pie
109
onfrontation stupéfiante de cet homme et de cette
ville
était peut-être nécessaire pour faire comprendre au monde entier qu’i
110
qu’il y a des cloches qui sonnent les heures aux
villes
, et qui s’accordent à la suavité aiguë du petit jour. Et cette rumeur
111
d’une averse, ce sont bien des oiseaux ! Dans une
ville
! Point d’autres sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie, tout là
112
toujours au galop.) Les quartiers extérieurs des
villes
intacts, et si parfaits dans le propret-coquet-scolaire-1910 que l’im
113
division est composée de quatre conseillers de la
ville
de Neuchâtel. Ce Tribunal n’est, à parler régulièrement, qu’une cour
114
mise à l’examen d’un Comité composé du Conseil de
Ville
et des Députés de Vallengin… La ville de Neuchâtel jouit de privilège
115
Conseil de Ville et des Députés de Vallengin… La
ville
de Neuchâtel jouit de privilèges très considérables. Elle a la police
116
dont les membres sont choisis dans le Conseil de
Ville
. Il est composé de deux présidents de ce conseil, de quatre Maîtres-B
117
la fois dans le Prince, le Conseil d’État, et la
ville
de Neuchâtel, conjointement considérés ; que le Vallengin a une sorte
118
ait toute ma distraction. » Au même endroit de la
ville
, neuf ans plus tard, Balzac rencontrera cette inconnue qui vient du f
119
faut avoir aimé Charlot, celui des Lumières de la
Ville
et du Cirque. Les héros de Pierre Girard sont de doux ahuris, qui par
120
; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les
villes
se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, c
121
n devenu flagrant. Il promène par les rues de nos
villes
européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair.
122
n le voyait parcourir la rue la plus animée de la
ville
, parler, rire et discuter avec des bourgeois, des jeunes filles, des
123
atteignent enfin La Paz, capitale de la Bolivie,
ville
étrange, perdue à 4000 mètres d’altitude dans un désert glacé, dominé
124
mple et général : que la révolution naît dans les
villes
; que c’est un phénomène citadin et l’expression incompressible d’une
125
se l’expression « à la maison », l’habitation des
villes
ne diffère pas essentiellement de celle d’une province. Supprimez l’h
126
le plus humain d’ailleurs, du terme ? L’homme des
villes
se jettera donc dans l’aventure « nationale » révolutionnaire, tandis
127
r nomadisme antipatriotique. C’étaient oiseaux de
ville
, échappés de leurs cages. Et pourtant c’est dans les campagnes seulem
128
conclut par ces mots : Nous sommes chassés de la
ville
et jetés comme des ordures dans un coin. C’est bien d’ailleurs. Notre
129
; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les
villes
se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, c
130
n devenu flagrant. Il promène par les rues de nos
villes
européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair.
131
dre secret et fraternel au milieu de la foule des
villes
, je le vois grouper lentement des hommes qui se reconnaissent à ce si
132
; les jeunes gens n’ont plus goût à y vivre. Les
villes
se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, c
133
n devenu flagrant. Il promène par les rues de nos
villes
européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair.
134
dre secret et fraternel au milieu de la foule des
villes
, je le vois grouper lentement des hommes qui se reconnaissent à ce si
135
avoir traîné son vague à l’âme par les rues d’une
ville
de province ; mais cela donne au moins une matière. Les pages de Soul
136
le regard troublé qui erre sur les miroirs de la
ville
, à la recherche d’une illusion de soi-même. Il faut une force qui le
137
Savoir : J’ai regardé durant un bon moment cette
ville
, ses maisons de campagne et ses jardins d’agrément et le large cercle
138
oin, est construit autour de lui, et aussi sur la
ville
, la mer et la ligne de ta montagne, et comme sur tout cela, par son r
139
ux dépens du nôtre et leur fit bâtir de nouvelles
villes
, qui leur donna le spectacle d’un si prodigieux peuple proscrit, nu,
140
mon chrétien arpentait les portiques d’une de ces
villes
du Quattrocento, où tout était bâti à la mesure de l’homme, où tout,
141
ir d’une vocation peut s’exercer. Je voyais cette
ville
, où tout portait les marques des pensées qu’agitait cet homme ; cette
142
marques des pensées qu’agitait cet homme ; cette
ville
habitée et gouvernée par des chrétiens ; cette cité où le clerc, le m
143
ement, me semblèrent soudain, dans la réalité des
villes
modernes, privés de toute espèce de commune mesure. L’un devenait tou
144
ue dans le quartier le plus mal famé de la grande
ville
de Kobé, et se met à prêcher l’Évangile. Mais son activité ne se born
145
al des slums ou bas-fonds de Kobé et de plusieurs
villes
japonaises, à la création d’importantes œuvres sociales, enfin à la c
146
les haut-parleurs. Et sur toutes les places de la
ville
, depuis le matin, et dans 45 salles où les formations d’assaut avaien
147
sé les traces d’une coutume ancestrale : dans les
villes
. Mais ce que l’homme ne fait pas pour l’homme, le diable le fait à sa
148
afka naquit à Prague en 1883. Il passa dans cette
ville
la plus grande partie de sa vie. Docteur en droit, il travailla d’abo
149
rent qualifier de here (monsieur), se bâtirent en
ville
des « steenen » (manoirs en pierre), servirent dans l’armée comme cav
150
sé les traces d’une coutume ancestrale : dans les
villes
. Mais ce que l’homme ne fait pas pour l’homme, le diable le fait à sa
151
de Weimar. Partis, régions, classes, générations,
ville
et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et la mes
152
té et en plein automatisme (exemple : les grandes
villes
). Le progrès scientifique accroît sans cesse ce risque d’automatisme,
153
rent qualifier de here (monsieur), se bâtirent en
ville
des « steenen » (manoirs en pierre), servirent dans l’armée comme cav
154
sé les traces d’une coutume ancestrale : dans les
villes
créées par l’industrie. Mais ce que l’homme ne fait pas pour l’homme,
155
de Weimar. Partis, régions, classes, générations,
ville
et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et la mes
156
cial et d’impérialisme. L’immense prolétariat des
villes
vit en grande partie du trafic de son droit de vote, acheté tour à to
157
ès vite, ce genre de travail se localise dans les
villes
. Ainsi se crée une classe ouvrière réduite, dès ce moment, à tous les
158
Ces nouveaux seigneurs résident d’ordinaire à la
ville
, et ne connaissent pas leurs justiciables. Ils sont devenus — comme o
159
ticulier de la corporation, de la classe ou de la
ville
. Mais ce Bien commun est entendu au sens de Bien de l’État, c’est-à-d
160
rs musiques militaires, fier des mouvements de sa
ville
… ». Voilà l’anti-Lanson qu’on attendait depuis la guerre. Mais peut-ê
161
nières années de Paris m’avaient appris que cette
ville
, au moins pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants igno
162
le, au moins pour la jeunesse sans argent, est la
ville
des gérants ignobles et des concierges, des lieux-sombres-et-populeux
163
de la vallée, la rivière et la plaine. La petite
ville
reste invisible, massée au pied des rochers, en retrait sur notre gau
164
est certain, nous saurons tout sur les gens de la
ville
… 5 octobre 1934 Petite cité tassée à la base d’une paroi de rocher et
165
s mal que la population des faubourgs des grandes
villes
. Le goût de « la vie saine » et du grand air, vous ne le trouverez qu
166
bien y a-t-il de classes entre la bourgeoisie des
villes
et le prolétariat ? L’opposition que veulent voir les marxistes entre
167
es cas concrets, dès que je sors des très grandes
villes
et de leur caricature de société. — Simard, le jardinier, est à demi
168
est en ruines, — tout le centre. On croirait une
ville
bombardée, 2300 habitants. Cent personnes au culte. Dans la campagne
169
que les gens s’en vont d’ici pour travailler à la
ville
. C’est comme partout. Bon. Alors les catholiques descendent de la mon
170
pprouve la jeunesse qui délaisse la terre pour la
ville
. (« C’est mort, ici ! » — phrase entendue un peu partout dans la prov
171
s — si jamais ils en ont assez de se plaindre des
villes
, où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La révolution s
172
ité de l’écrivain. Pour l’avoir négligée dans nos
villes
, au milieu des feuilletonistes et des snobs, nous en sommes arrivés à
173
200 000 francs, que leurs fils iront perdre à la
ville
: je crois cependant que la proportion des fous est moindre ici que s
175
nières années de Paris m’avaient appris que cette
ville
, au moins pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants igno
176
le, au moins pour la jeunesse sans argent, est la
ville
des gérants ignobles et des concierges, des lieux-sombres-et-populeux
177
tion s’expatrient volontiers, ou vont habiter les
villes
.) En été, la petite ville se remplit de baigneurs et l’auditoire du t
178
s, ou vont habiter les villes.) En été, la petite
ville
se remplit de baigneurs et l’auditoire du temple est décuplé : cela s
179
au goût du souvenir, que trop de téléphones à la
ville
, d’heures de bureau, d’impitoyables rendez-vous, d’indifférence avaie
180
pour l’argent. Si vous prenez N. par exemple (la
ville
prochaine sur le continent) ils n’auraient pas idée de ça, au contrai
181
rrait être utile de montrer qu’on peut sortir des
villes
où se font les « carrières » sans sortir de la vie véritable ; et qu’
182
e m’y forcer utilement. ae. « N’habitez pas les
villes
(Extrait d’un Journal) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 286,
183
a vitrine, je vois le vieux port de cette vieille
ville
, la plus proche de notre île, et où nous devons encore passer deux he
184
les provinces de la France. (Tandis que dans les
villes
, les jeunes ménages se ruinent à payer leurs « petits deux-pièces »,
185
voudrais faire toucher. J’ai tenté d’échapper aux
villes
inhumaines. Et j’ai trouvé que la province ne vaut guère mieux, dans
186
drame immense qu’elle trahit. Province morte, et
villes
mortelles ! C’est qu’on ne sait plus y trouver son prochain, mais seu
187
menaces originelles ! On l’avait oubliée dans les
villes
. ⁂ Là où l’on a coutume de placer dans un « journal » des effusions l
188
La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des
villes
n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne sais quelle i
189
elle invisible et brusque vie tout près. Nuit des
villes
, rouge et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la fièvre. Plus
190
r les quais déserts de ce port fantomatique, sans
ville
derrière lui, vaguement américain et militaire, sous un ciel bas coul
191
nières années de Paris m’avaient appris que cette
ville
, au moins pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants igno
192
le, au moins pour la jeunesse sans argent, est la
ville
des gérants ignobles et des concierges, des Lieux-sombres-et-populeux
193
Première partieN’habitez pas les
villes
! Début de novembre 1933 Je commencerai par l’inventaire de mo
194
(problème matériel) — si l’on peut vivre loin des
villes
sans emploi ni gain assuré, et se procurer tout de même le strict néc
195
sent observé derrière les fenêtres. Ô liberté des
villes
! Mais ne point oublier qu’à Paris, c’est chez soi, dans les petits d
196
a vitrine, je vois le vieux port de cette vieille
ville
, la plus proche de notre île, et où nous devons encore passer deux he
197
tion s’expatrient volontiers, ou vont habiter les
villes
.) En été, la petite ville se remplit de baigneurs, et l’auditoire du
198
s, ou vont habiter les villes.) En été, la petite
ville
se remplit de baigneurs, et l’auditoire du temple est décuplé : cela
199
pparaître, aux yeux des habitants de cette petite
ville
comme une espèce de fou, d’ailleurs inoffensif. Ou peut-être encore,
200
y a pas de raison pour que les habitants de cette
ville
soient sensiblement plus laids que ceux du reste de la France. Peut-o
201
ensée : mon état d’esprit, quand je suis dans une
ville
étrangère, où rien ne m’appelle ni ne me parle, où je me sens perdre
202
200 000 francs, que leurs fils iront perdre à la
ville
: je crois cependant que la proportion des fous est moindre ici que s
203
au goût de souvenir, que trop de téléphones, à la
ville
, de tout à l’heure, d’heures de bureau, d’impitoyables rendez-vous d’
204
pour l’argent. Si vous prenez N., par exemple (la
ville
prochaine sur le continent), ils n’auraient pas idée de ça, au contra
205
rrait être utile de montrer qu’on peut sortir des
villes
où se font les « carrières » sans sortir de la vie véritable ; et qu’
206
ntement ? Je songe à ceux qui voudraient fuir les
villes
, et qui peut-être en me lisant, se diraient un instant que c’est poss
207
de la vallée, la rivière et la plaine. La petite
ville
reste invisible, massée au pied des rochers, en retrait sur notre gau
208
est certain, nous saurons tout sur les gens de la
ville
… 5 octobre 1934 Petite cité tassée à la base d’une paroi de roc
209
s mal que la population des faubourgs des grandes
villes
. Le goût de « la vie saine » et du grand air, vous ne le trouverez qu
210
bien y a-t-il de classes entre la bourgeoisie des
villes
et le prolétariat ? L’opposition que veulent voir les marxistes entre
211
es cas concrets, dès que je sors des très grandes
villes
et de leur caricature de société. — Simard, le jardinier, est à demi
212
est en ruines, — tout le centre. On croirait une
ville
bombardée. 2300 habitants. Cent personnes au culte. Dans la campagne
213
que les gens s’en vont d’ici pour travailler à la
ville
. C’est comme partout. Bon. Alors les catholiques descendent de la mon
214
ons parfaitement contents de notre sort, loin des
villes
, pour tout ce qui est de notre vie privée, de nos travaux et de notre
215
ité de l’écrivain. Pour l’avoir négligée dans nos
villes
, au milieu des feuilletonistes et des snobs, nous en sommes arrivés à
216
pprouve la jeunesse qui délaisse la terre pour la
ville
. (« C’est mort, ici ! » phrase entendue un peu partout dans la provin
217
itions matérielles plus favorables que celles des
villes
. Il ne s’agit pas d’échapper à la misère pour tomber dans l’ascèse vo
218
hniques beaucoup plus vastes. « N’habitez pas les
villes
! », bien sûr. Reste à savoir si la province est habitable, dans l’ét
219
s deux formules de notre renaissance : mettre les
villes
au vert, urbaniser tout le reste du pays… 5 juin 1935 …Et un b
220
s — si jamais ils en ont assez de se plaindre des
villes
, où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La révolution s
221
e la banlieue. La campagne ici touche à la grande
ville
, et aussitôt elles se dégradent l’une l’autre. Zone : mélange de pylô
222
ux balcons. (Je distingue nos fenêtres obscures.)
Ville
aérienne, où la hauteur des murs n’évoque plus les parois d’un puits
223
centre — rive gauche, boulevards, Champs-Élysées.
Ville
des souvenirs ! Rien n’a bougé. Les mêmes têtes aux mêmes heures à la
224
voyait parcourir les rues les plus animées de la
ville
, parlant, riant et discutant avec les bourgeois, avec des jeunes fill
225
tombait d’épuisement au cours d’une promenade en
ville
. On le transporta à l’hôpital où il mourut paisiblement en disant à s
226
La nuit ! Je l’avais oubliée à Paris. La nuit des
villes
n’est pas cette mort opaque dont il faut redouter je ne sais quelle i
227
elle invisible et brusque vie tout près. Nuit des
villes
, rouge et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la fièvre. Plus
228
appel général du Parti, dans les 45 salles de la
ville
, pour la même heure. Avec tout ce que les trains spéciaux ont déversé
229
mythologique. Nous sortons ensemble de la petite
ville
aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes, basses, ville sans om
230
es de terre brûlante, aux maisons jaunes, basses,
ville
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur
231
anube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite
ville
juste au-dessous de soi, et la Basilique sur son rocher. Fraîches, se
232
cistes avaient débarqué à la gare de cette petite
ville
. Ils s’y heurtèrent à 8 gendarmes et 3 soldats, qui pour une fois s’a
233
aints par le sort de vivre tous ensemble dans les
villes
. Il me semblait aussi que le langage des écrivains était devenu, ou é
234
t de son travail. (Des cours à l’Université d’une
ville
que l’on n’a pas jugé utile de nommer.) Le lecteur sera déçu s’il att
235
an. Et me voici depuis un mois bientôt dans cette
ville
de l’Ouest, non loin du Rhin. Ancienne ville d’Empire, vieille cultur
236
ette ville de l’Ouest, non loin du Rhin. Ancienne
ville
d’Empire, vieille culture, richesse moderne, de la mauvaise époque. J
237
rouvé ma vieille Germanie dans les cafés, dans la
ville
médiévale, dans l’odeur douce des magasins de tabac, dans la tristess
238
quartier de l’Université est le plus riche de la
ville
. Grandes villas et palais dans des jardins, larges avenues luisantes
239
n ne se retourne même plus. 9 novembre 1935
Ville
pavoisée pour l’anniversaire du putsch de Munich en 1923. Peu de drap
240
d’exemple et de propagande, les notabilités de la
ville
tiennent à prendre ce repas en public, à des tables dressées devant l
241
franco-allemand qu’il avait entreprise dans cette
ville
. Échange d’étudiants, conférences, cercles d’études, aide bénévole au
242
933, on ne le recevait plus dans la société de la
ville
; depuis, il est devenu un personnage, recherché par ceux-là mêmes qu
243
14. » C’était au terme d’un court séjour en cette
ville
où je reviens aujourd’hui, après trois ans, constater sans plaisir qu
244
de la conserver à son foyer en temps de paix. La
ville
entière est pavoisée. Des cortèges bruns circulent en chantant. Je n’
245
t cette euphorie bizarre qui est dans l’air de la
ville
, dans la circulation de la foule, dans les regards croisés, les propo
246
er l’augmentation du volume des affaires dans une
ville
qui attend son Maître. Nuit du 10 au 11 mars 1936 Le tambour de
247
rapprochés, n’a cessé de battre hier par toute la
ville
. Il est trois heures du matin : j’ai été réveillé par son roulement p
248
n appel général du Parti dans les 45 salles de la
ville
, pour la même heure. Avec tout ce que les trains spéciaux ont déversé
249
l’Évangile. Cette Église organise dans plusieurs
villes
d’Allemagne, successivement, des « semaines évangéliques » au cours d
250
es escouades de jeunes filles s’éloignant vers la
ville
avec la foule nous rappelleront la nostalgie heureuse des Wandervögel
251
s, pendant un séjour de huit mois dans une grande
ville
d’Allemagne en 1935-1936. Que valaient ces impressions ? Quand je sui
252
à Vienne et en Allemagne, il a enseigné dans une
ville
universitaire où il rédigea, en 1936, ce Journal d’Allemagne , qui,
253
nos campagnes. Denis de Rougemont n’aime pas les
villes
, il n’a pas besoin pour écrire de ces conversations, de ces échanges
254
omme par convention le mauvais temps. La pluie en
ville
et la pluie « en campagne » sont deux phénomènes bien distincts, auss
255
ment les quartiers ouvriers les plus modernes des
villes
allemandes, je comprends, que dis-je : je vois l’opposition tragique
256
ommes ennemis de Dieu dans les armées et dans les
villes
! Ô ! trop heureux encore une fois, et plus, qui avez combattu et vai
257
de ses Princes, de la beauté d’un grand nombre de
villes
célèbres et de la majesté du Siège de la Religion. Les Sciences et le
258
s et ils recouvrent très aisément la liberté. Une
ville
a beau se révolter vingt fois, elle n’est jamais détruite ; les habit
259
à coup de face, les provinces furent ravagées les
villes
détruites, et tout le pays fut inondé de sang… L’Italie apprit aussi
260
s adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces —
villes
ou places fortes — alors vient la grande bataille : du sommet de quel
261
éra comme une réussite glorieuse d’avoir pris une
ville
assiégée en ne faisant de part et d’autre que trois morts. C’est l’ar
262
es hostilités. Les distinctions arbitraires entre
villes
ouvertes et villes fortifiées, civils et militaires, moyens de destru
263
distinctions arbitraires entre villes ouvertes et
villes
fortifiées, civils et militaires, moyens de destruction permis ou con
265
e Alighieri, pasteur de l’Église albigeoise de la
ville
de Florence, affilié à l’ordre du Temple, — donnant l’explication du
266
notre existence entière en un théâtre. Dans cette
ville
dont les places et les rues sont si pareilles à des décors, la nuit,
267
ndu unifier les constitutions ecclésiastiques des
villes
où il avait une autorité immédiate, Strasbourg et Genève. Le problème
268
e de Genève en pleine période de guerre, dans une
ville
assiégée. Par contre, on sait que les jésuites, triomphant dans les p
269
résident de la Diète. Waldmann, représentant des
villes
. Altinghausen, représentant des cantons forestiers. Haimo, curé de
270
sses se divise brusquement en deux : à gauche les
villes
, à droite les Waldslatten. Pendant ce temps :) Récitatif. (Chœur à
271
peuple divisé contre lui-même ! Vois la folie des
villes
, et le Pacte trahi pour l’alliance étrangère. Où sont les présages ce
272
ent quelques formules cabalistiques.) Voix des
villes
. — C’est le grand astrologue de Berne ! Écoutez-le ! Voix des cam
273
Voix des campagnes. — Funeste conseiller des
villes
! Vendu ! Vendu ! L’astrologue (après quelques simagrées). — Au c
274
e la ferme que pour taire la vérité ! Voix des
villes
. — Pardieu non ! Son oracle me plaît, à celui-ci ! J’aime l’or, et i
275
s débats auront de la tenue. Voici les sièges des
villes
: Lucerne, Berne, Zurich… (Chaque nom est ponctué d’un coup sur le si
276
amman. — Nous avons huit cantons confédérés. Les
villes
disposent de trois voix : Zurich, Berne, Lucerne. Mais avec leur rich
277
Maintenant si nous acceptons dans l’Alliance deux
villes
nouvelles — ces deux-là, cela fera cinq contre cinq, mais cinq gros c
278
s. L’or de Bourgogne les rend fous, tous ceux des
villes
! S’ils gagnent, croyez-moi, ce sera la fin de notre libre Confédérat
279
e des trésors conquis. Les campagnes accusent les
villes
de se tailler la part de l’ours ! Les villes accusent les campagnes d
280
les villes de se tailler la part de l’ours ! Les
villes
accusent les campagnes de vendre des soldats à l’étranger. Partout l’
281
de piques, chantant des chants de guerre, et les
villes
ont été forcées de payer un tribut d’or et d’argent pour éviter d’aff
282
la joie ! Par les plaines qui rougeoient Par les
villes
qui flamboient Dansons la guerre ! (Refrain.) Chœur des ambassade
283
— À mort ! la guerre ! La suite de Venise. —
Villes
et filles ! 4e partie des compagnons. — Hourrah ! l’Amour ! (Pen
284
) Le président. — Députés des campagnes et des
villes
, représentants des huit cantons confédérés ! Pour la dernière fois en
285
la patrie commune ! La parole est au délégué des
villes
. Waldmann (lisant son discours). — Considérant la malice des temp
286
t reçoivent en notre alliance fédérale les bonnes
villes
de Fribourg et de Soleure. N’ont-elles pas vaillamment combattu, à no
287
soit dissous et annulé le Pacte qui lie nos trois
villes
. Que toute alliance particulière soit interdite, et que les Suisses n
288
ng, et c’est vous qui garderez l’or ! Ce sont les
villes
qui nous ont entraînés dans l’aventure de Bourgogne. Et maintenant, v
289
ux. Alors nous pourrons accepter l’entrée de deux
villes
nouvelles. Telles sont nos conditions. Nous n’irons pas plus loin, ca
290
ai dit. Le président. — Ainsi, d’une part les
villes
renonceront à leur Ligue si d’abord les campagnes reçoivent Fribourg
291
es campagnes recevront Fribourg et Soleure si les
villes
, d’abord, renoncent à leur Ligue. Messieurs, je vous le demande, alle
292
nt, nous avons décrété ce qui suit : La ligue des
villes
est proclamée dissoute. Les campagnes auront part équitable et juste
293
ous acceptons dans notre Confédération les bonnes
villes
de Fribourg et de Soleure. Les députés doivent emporter le souvenir d
294
conflits intérieurs de la bourgeoisie des grandes
villes
; le théâtre collectiviste symbolise les conflits politiques au sein
295
grandes nations. Or, nous n’avons pas de grandes
villes
, et nous ne sommes pas une grande nation. La seule voie qui nous rest
296
ommes ennemis de Dieu dans les armées et dans les
villes
! Ô ! trop heureux encore une fois, et plus, qui avez combattu et vai
297
de ses Princes, de la beauté d’un grand nombre de
villes
célèbres et de la majesté du Siège de la Religion. Les Sciences et le
298
s et ils recouvrent très aisément la liberté. Une
ville
a beau se révolter vingt fois, elle n’est jamais détruite ; les habit
299
coup de face, les provinces furent ravagées, les
villes
détruites, et tout le pays fut inondé de sang… L’Italie apprit aussi
300
s adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces —
villes
ou places fortes — alors vient la grande bataille : du sommet de quel
301
éra comme une réussite glorieuse d’avoir pris une
ville
assiégée en ne faisant de part et d’autre que trois morts. C’est l’ar
302
es hostilités. Les distinctions arbitraires entre
villes
ouvertes et villes fortifiées, civils et militaires, moyens de destru
303
distinctions arbitraires entre villes ouvertes et
villes
fortifiées, civils et militaires, moyens de destruction permis ou con
304
téléphones, en 1947, les opératrices de la petite
ville
de White Plains reçurent l’appel suivant : « Mon amie et moi voulons
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ommes ennemis de Dieu dans les armées et dans les
villes
! Ô ! trop heureux encore une fois, et plus, qui avez combattu et vai
306
de ses Princes, de la beauté d’un grand nombre de
villes
célèbres et de la majesté du Siège de la Religion. Les Sciences et le
307
s et ils recouvrent très aisément la liberté. Une
ville
a beau se révolter vingt fois, elle n’est jamais détruite ; les habit
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coup de face, les provinces furent ravagées, les
villes
détruites, et tout le pays fut inondé de sang… L’Italie apprit aussi
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s adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces —
villes
ou places fortes — alors vient la grande bataille : du sommet de quel
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éra comme une réussite glorieuse d’avoir pris une
ville
assiégée et ne faisant de part et d’autre que trois morts. C’est l’ar
311
es hostilités. Les distinctions arbitraires entre
villes
ouvertes et villes fortifiées, civils et militaires, moyens de destru
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distinctions arbitraires entre villes ouvertes et
villes
fortifiées, civils et militaires, moyens de destruction permis ou con