1
quelle est bâtie son œuvre. L’intéressant sera de
voir
ce qu’il sacrifiera, de la morale sportive ou de la morale jésuite. M
2
emarquable. Les œuvres de cet artiste, qu’on a pu
voir
à la Rose d’Or témoignaient de ces mêmes qualités : car la façon de p
3
e, frappe du pied et repart. Vers quels buts ? On
verra
plus tard. L’urgent c’est d’avancer. Et l’on atteindra peut-être ces
4
on parle de cette œuvre : je ne sais s’il faut en
voir
la raison dans la force de la personnalité révélée ou dans la nobless
5
sa défense de la poésie pure. Les beautés que j’y
vois
ne me seraient-elles perceptibles que par le fait d’une fortuite coïn
6
m’être parfaitement impénétrables. Je crois même
voir
que M. Breton serait un très curieux poète s’il ne s’efforçait de don
7
in, des articles sur Valéry, St John Perse. On le
vit
naguère en province liquider des stocks américains. Et ses romans, c’
8
eiller, l’entraîne au-delà du but. Le Tarramagnou
voit
son œuvre sabotée par des meneurs ; il tente en vain de ressaisir les
9
t-il éluder ainsi le protestantisme de Vinet ? Ne
voit
-il pas que rien n’est plus protestant qu’une telle attitude ? Mais ce
10
pées d’un brasier. Pour les causes de l’incendie,
voir
Dostoïevski. M. Walpole, lui, commence son roman quelques mois avant
11
commençons aujourd’hui un roman bien différent, a
vu
la Révolution sans romantisme, dans le détail de la vie d’une ville.
12
t sauter quelques semaines. Qu’on veuille bien ne
voir
autre chose dans ces « procédés », d’ailleurs assez peu choquants, qu
13
, les yeux grands ouverts dans le vide, sans rien
voir
. Ainsi le moujik devant le bolchévique violant sa patrie. Une effroy
14
qui le gêne. C’est l’empire. Il le renverse, pour
voir
. Pendant qu’il est encore ébahi du fracas, le juif survient avec une
15
cellence de la sainteté. Le peuple, encore païen,
voit
dans la vénération des pèlerins pour les tombes de leurs saints une f
16
de s’incarner, dans le héros de son roman, de se
voir
vivre, dans son œuvre ? C’est ici la conception même de la littératur
17
ustement de quoi se glorifient ses tenants, ils y
voient
la suprême liberté. Le désir se précisait en moi de commettre enfin l
18
vous, désirs, et d’être vaincu sans bataille. On
voit
assez à quel genre de sophismes conduit ce mouvement de l’esprit qui
19
la ne dérive-t-il pas d’une fatigue immense. Nous
voyons
se fausser le rythme des jours et des nuits à mesure que se développe
20
la lumière. « Il vaut mieux, dit encore Vinet, ne
voir
d’abord que les grands traits de sa nature, ne connaître que les gran
21
sociale des écrivains ? Peut-être. En tout cas je
vois
bien le mal qu’ils ont fait et qu’au fond, leur refus d’agir sur l’ép
22
es suffirait à restaurer une élite, efficace. (Je
vois
Jean Prévost, deux ou trois de Philosophies, des Cahiers du Mois, et
23
artis, avec une passion contenue d’hommes qui ont
vu
, qui ont souffert, et qui ne se payent plus de mots ni d’utopies, Cle
24
t le monde dans la gaieté la plus charmante. On y
vit
un ouvrier en maillot rouge assis entre un banquier et un philosophe
25
urs, on ne lira pas sans plaisir ce livre où l’on
voit
un homme appeler en vain le vent du large, parmi des gens qui craigne
26
us beau soleil de printemps. Libre à qui veut d’y
voir
un symbole. On ne saurait exagérer l’importance des conditions météor
27
ne pièce inexistante. Enfin le dernier soir, l’on
vit
apparaître un fakir… Il y eut aussi une assemblée délibérative en ple
28
curieuse : je me sentis nu, tout le monde devait
voir
en moi une tare que j’étais seul à ignorer, était-ce ma fatigue seule
29
cela sente un peu l’étable ? L’étonnant, c’est de
voir
à quel point Montherlant reste poète jusque dans la description la pl
30
elques secondes encore elle cligna des yeux et on
vit
sa respiration. Puis ses pattes se tendirent peu à peu, comme un corp
31
ui que nous donnons ? » ⁂ Il est impossible de ne
voir
dans les Bestiaires qu’une évocation de l’Espagne et du génie taurin.
32
irréductible pour le vrai ». Ce qui lui permet de
voir
profond dans cet islam qu’il qualifie de « religion du fil de l’eau »
33
arantie des sentiments », où l’on est en droit de
voir
le germe d’un moralisme nouveau qui se fonderait solidement sur les d
34
t plus encore que dans les œuvres précédentes, on
voit
beaucoup moins l’œuvre d’art que l’auteur ; dans ce portrait de Month
35
ngueur dont on ne voudrait plus guérir… Mais nous
voyons
la ville debout dans ses lumières. Architectures ! langage des dieux,
36
s cette agitation aimable et monotone nous allons
voir
courir l’arabesque des sentiments et le mouvement perpétuel de l’amou
37
e petit livre si dense, si inquiétant. Le Chinois
voit
dans l’Europe « une barbarie attentivement ordonnée, où l’idée de la
38
Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)b Nous
voyons
un mythe prendre corps parmi les ruines de ce temps. Il fallait bien
39
ersonnage de tableau se mettre à décrire ce qu’il
voit
autour de lui — et l’étonnement indigné du spectateur. Pour parler av
40
tiques d’abord de s’indigner. Aujourd’hui, on les
voit
assez enchantés de l’affaire : « Gratuit ! », déclarent-ils chaque fo
41
ond de l’âme humaine ? Que si l’on s’étonne de me
voir
donner ici la préférence à l’acte volontaire, ou mieux : intéressé, t
42
y chercher quelque raison de vivre, il voulait se
voir
le plus purement (« cette curiosité donnée comme raison d’une perpétu
43
effort pour créer son âme telle qu’elle est ». Il
voyait
dans cet effort sur soi le gage d’un enrichissement, d’une consolidat
44
ngleries verbales. Regards au-dessus de l’amour !
Voir
l’heure à la pendule pendant l’étreinte d’un adieu et calculer rapide
45
ouveau. J’ai nommé Rousseau, Nerval Musset : mais
voyez
un Rousseau sans tendresse, un Nerval sans pudeur, un Musset ivre non
46
e surnom de Bin-Bin. Urbain ouvrit les yeux et ne
vit
rien. On rappelle que les étoiles s’étaient décrochées de leur poste
47
s », écrit Madame de Maintenon. Mais bientôt l’on
voit
la France se dépeupler ; des industries sont presque anéanties ; les
48
rs cela n’en vaut plus la peine. (Veuillez ne pas
voir
dans cette phrase quelque allusion de mauvais goût.) Je vous ai renco
49
z en moi, à certain désagrément que j’eus de vous
voir
si entourée… D’autres fois… je n’ai plus le courage de les dire. Enfi
50
banal, votre sourire répondant au mien, comme on
voit
au dénouement des films populaires et sur des cartes postales illustr
51
, je ne pouvais pas monter. Je finissais par vous
voir
partout. Chaque visage de femme révélait soudain un trait de votre vi
52
tobus de luxe s’était arrêté tout près de moi. Je
vis
un visage à l’intérieur se pencher vers la vitre… Je montai. Il n’y a
53
aute voix, par bribes de phrases incohérentes. Je
voyais
avec une sombre joie les employés et les voyageurs s’inquiéter. Bient
54
fum. (Tout de même, Cocteau est un poète : j’en
verrais
une preuve, pour mon compte, dans le fait que je ne sais parler de lu
55
bijoux sont taillés comme ceux de Giraudoux, j’y
vois
un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus jeune, lequel envoie l’u
56
out chaud ». Affreux. Aussi : « Elle mourut. » On
voit
que cette bande est antérieure à l’époque du long baiser de conclusio
57
ins, complets variés, ça fait toujours plaisir de
voir
des gens bien habillés. » Soudain éclate Entr’acte (1925). « Une étud
58
rsuivant le corbillard. Aspects du paysage urbain
vu
par les poursuivants, arbres au ciel renversé, maisons obliques, mont
59
ines théories sur le rêve, le peuple, qui n’a pas
vu
ces dessous mais accueille le résultat avec la naïveté qu’il faut, ap
60
de vitesse les prodiges que déclenche René Clair,
verrons
-nous, pris par surprise dans l’exploration ivre d’un projecteur, des
61
e certitude trop vite atteinte, où sa jeunesse ne
verrait
qu’une abdication. Il décrit la « génération nouvelle » avec une inte
62
it seules contagieuses. Comment, en effet, ne pas
voir
la part de littérature que renferme cette œuvre, et qui fait, en dépi
63
brin janséniste chez ce poète. Aujourd’hui, je le
verrais
plutôt comme un Musset10 plus véritablement désespéré. Un Musset moin
64
plus vive. Mais décidément nous sommes débordés,
voyez
vous-même, pas moyen de causer aujourd’hui… Quoi ?… Bon, bon, c’est e
65
rer de cette manie française, la politique, et ne
voyez
-vous pas que c’est faire le jeu de vos ennemis de discuter avec eux d
66
. C’était un vice, la révolution-vice. Mais on ne
vit
, on ne meurt que de vices. ⁂ Ici le lecteur se rassure. « Il s’y ret
67
ourné, on pensait bien, ah ! cette jeunesse, mais
voyons
des affaires plus sérieuses. Et tout est dit. Ah ! c’est vrai, il all
68
e profils jusqu’au soleil toujours de face. Il ne
vit
plus que la foule des yeux bleus, son éblouissement. Soudain la voici
69
our tendre paraissait sous l’égide de la mort. Il
vit
des fleurs de son enfance, une églantine, quelques roses, un sourire
70
sorte enfin et se mette à graver les scènes qu’il
voit
dans la petite cité ouvrière, et c’est merveille de constater combien
71
our qui la peinture consiste à habiller une idée.
Voyez
son portrait de Meili : il ne prend pas le sujet par l’intérieur, mai
72
u la palpe, la presse, la réduit à la forme qu’il
voit
. Il y a de la sensualité dans l’écrasement de ses couleurs, une sensu
73
pourrait pas se tromper plus. ⁂ À vrai dire j’en
vois
peu parmi les jeunes qui vouent tout leur amour à la peinture pure. J
74
yeux de Japonais d’une ironie mélancolique et qui
voient
plus loin qu’on ne croit, mais il a toujours l’air de songer à la Hol
75
e complicité de sentiments ou d’état d’âme. Je ne
verrais
guère que Louis de Meuron, parmi ses aînés, dont on le puisse rapproc
76
us encore chez un Aurèle Barraud. Il suffit de le
voir
peint par lui-même pour s’en assurer. La tête large, aux yeux clairs
77
tte revue entretenait récemment ses lecteurs. 8.
Voir
sur cet artiste neuchâtelois, de son vrai nom Ch. E. Jeanneret, un ar
78
… Qu’ils m’oublient, qu’ils me méprisent ! Je les
vois
régner. Je salue leur Loi. » Le récit grassement pittoresque dans la
79
u malheur ? Le sujet profond de ce roman, où l’on
voit
comment Pierre en vient à sacrifier Diane, son apaisement, pour Arthu
80
Pierre ou de Diane, les gestes d’Arthur, le roman
vit
et nous touche par la force de ce tourment ou de ce sauvage égoïsme ;
81
t et mesquin de certain milieu bourgeois, et l’on
voit
bien que l’auteur n’est pas encore détaché de la matière pour en tire
82
resser la parole après un silence vertigineux. Il
vit
mon sourire et pleura. Alors une rage s’empara de mon corps tout enti
83
ions ensemble dans une chambre d’hôtel où l’on ne
voyait
d’abord qu’un bouquet transfiguré par la lumière et que reflétaient d
84
des soleils sur les parois claires. Du balcon, on
voyait
la mer, des bateaux, des nuages, une avenue et ses autos rouges, tout
85
s beaux vols… » Dès lors, je vécus, comme vous me
voyez
vivre encore, dans un état de sincérité perpétuelle envers tous mes é
86
tiquer les modalités de ma vengeance. Veuillez ne
voir
dans la confusion où je parais être engagé, du plan moral avec l’écon
87
, contre-épreuves, variantes et enjolivures où je
vois
le véritable intérêt de ma vie. C’est vous dire que seule une certain
88
r je pense, à part moi : j’ai lu ça quelque part.
Voyez
ma franchise. Un peu grosse, n’est-ce pas ? D’autres prennent soin qu
89
ble et ne se baignent que dans des bénitiers : on
voit
trop qu’ils trouvent ça pittoresque. Et le plaisir d’être nu devant u
90
salutaire, c’est refus de limiter le mal. Je vous
vois
envahi par des démons que vous prétendez m’interdire de nommer. Mais
91
venu de passer sous silence. C’est assez drôle de
voir
le malaise des chers confrères. Ils ne pardonnent pas à ce toréador s
92
ières de tous ceux qui ne peuvent ou ne veulent y
voir
que révoltes contre leurs morales, ou menaces pour leurs instables ce
93
t leurs bureaucratiques sécurités. Pourtant, vous
voyez
bien que votre attitude méprisante pour la littérature vous ferait bi
94
stoire, une autre très belle histoire ». (Et vous
verriez
à quoi cela peut servir, une citation.) Mais non, cher ami, voici qu’
95
15. Variante : des puissances d’action. 16. J’en
vois
certains qui arrangent leur vie de telle sorte que leurs mémoires ser
96
place, que ces quelques phrases de Drieu : « On
voit
déjà éclater dans les singuliers mouvements de sympathie qu’a provoqu
97
nous en réjouir. On s’est beaucoup étonné de nous
voir
« si différents » de nos aînés. Nous avons l’énorme candeur de trouve
98
qu’on en découvre chez certaines femmes et l’on y
voit
une préciosité sentimentale qui touche à la névrose ou bien simplemen
99
que tout la poésie, écrit Jaloux, aussitôt que je
vis
Rilke, je compris que cet univers dont je rêvais n’était pas un objet
100
is il a des façons parfois bien désobligeantes de
voir
juste. Et quand son bonhomme se plaint de ce que son œuvre lui appara
101
tement vers la mienne et s’assit sans paraître me
voir
. Une grande figure aux joues mates, aux yeux clairs. Il déplia le jou
102
paroles peignaient des tableaux mouvants où je me
voyais
figurer comme une sorte de « personnage aux dés ». Ce furent d’abord
103
« Destin, s’écria-t-il, tu pourrais me remercier.
Vois
quels chemins de perdition j’ouvre sans cesse à ta course aveugle ; t
104
rd de fumée, et la musique noyait mes pensées. Je
vis
qu’une femme était assise à notre table, en robe rouge, et très fardé
105
dit Ferrero. Le bon peuple s’extasie. Il ne peut
voir
la duperie : ce jeu du chat et de la souris ; si Ford relâche les ouv
106
machines Ford simplement comme des machines. J’y
vois
la réalisation concrète d’une théorie qui tend à faire de ce monde un
107
he, pourtant plus que probable, par crainte de se
voir
obligé à la révision des valeurs, la plus difficile et la plus grave
108
vent encore quelque chose de la vie profonde, qui
voient
encore des vérités invisibles, qui gardent, par quelle grâce ? un peu
109
êtres véritables. Nous nous rencontrons. Vous me
voyez
parce que vous comprenez certaines choses par votre souffrance… Mais
110
Cela vexe les Viennois, me dit-il, parce qu’ils y
voient
une façon de me moquer de leurs petits chiens musclés… Je n’en suis p
111
est en décadence quand je la regarde s’amuser. Je
vois
se perdre ce sens des correspondances secrètes et spontanées du plais
112
ne foire éclatante de faux luxe. La misère est de
voir
ici des femmes aussi ravissantes que celle-là qui danse en robe mauve
113
odes s’appellent par le simple jeu des images, se
voient
par transparence au travers de l’autre. Il dit : « Pour celui qui sai
114
ailleurs endormi. En passant par la Freyung, nous
vîmes
un palais aux fenêtres illuminées. Des autos attendaient devant le po
115
s, divertissant et spirituel. Pourquoi ne veut-on
voir
en Jules Verne qu’un précurseur ? Jules Verne est un créateur, dont l
116
e fut poète avant tout — et ce livre le fera bien
voir
aux sceptiques. Il a aimé la science parce qu’elle ouvre des perspect
117
nt soumis la science à la poésie. Et l’on ne veut
voir
que jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus grand créateur de
118
coups d’exemples qui méritent de l’être. Et l’on
voit
bien ici qu’Aragon dépasse ces surréalistes, ces orthodoxes de l’absu
119
la politique. Or ces ennemis de toute littérature
voient
leurs avances dédaignées par les communistes, gens d’action à jugemen
120
n 1925 nous place au nœud du monde moderne : on y
voit
s’affronter en quelques hommes d’action les forces caractéristiques d
121
e ; et par ailleurs ce livre sait bien le laisser
voir
. La qualité de l’illusion dont se nourrit Louis II n’est ni aussi pur
122
préciser à l’excès dans le caractère. Daniel-Rops
voit
bien que l’épithète de mythomane n’épuise pas une question dont l’imp
123
ue. Il y a dans ce culte de la mythomanie qu’on a
vu
sévir parmi certains milieux d’avant-garde une confusion assez tragiq
124
’en pas finir. Quand il est très fatigué, il veut
voir
encore cette fatigue dans son regard : appuyé sur lui-même il se perd
125
es. Le sommeil l’en délivre. Au matin il court se
voir
: il est laid. Lâchement il se prend en pitié. Ces séances lui font d
126
e à Stéphane sa tête, son portrait en pied. Il se
voit
dans l’acte de se raser, de se baigner ; son image descend en face de
127
e sorte d’angoisse qu’il la recherche. Il veut se
voir
tel qu’il est parmi les autres. Mais s’il lui arrive de prendre son i
128
arence, qu’il doute de sa réalité. Le mystère de
voir
ses yeux l’épouvante. Il y cherche une révélation et n’y trouve que l
129
’on dépasse ? Et qu’il faut sortir de soi pour se
voir
? Il y a dans l’homme moderne un besoin de vérifier qui n’est plus l
130
Il faudrait briser tous les miroirs. Alors tu te
verrais
en vérité. Peut-être te reconnaîtrais-tu sous un autre visage. Car ou
131
a vie d’un homme de lettres. En réalité, on ne le
voit
pas encore apparaître sous cet aspect dans ces deux premiers tomes, o
132
ute foi ne connaîtront pas de pardon. Car ils ont
vu
, et s’ils n’ont pas cru, c’est qu’ils sont foncièrement mauvais.) 6.
133
vous en donner la sensation : ce que vous pourrez
voir
durant le reste de votre séjour ne fera que confirmer cette première
134
ngroises féminines suffit à votre bonheur et vous
voyez
bien que Mme Varshany est une grande artiste. Vous vous êtes levé, co
135
ité les choses dont elle s’est dégagée et qu’elle
voit
dans une autre lumière : « Tout semblait vivre au fond d’un insistant
136
l’île n’existait pas, en face, ni les maisons. Il
voyait
des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’eau jaune e
137
s et les contreforts de l’Église du Chapitre : je
vois
s’y engager chaque jour le fou au profil de vieille femme qui promène
138
e « poétique » français… Mais non, nous préférons
voir
ici l’un de ces signes qui de toutes parts annoncent une rentrée de l
139
son mépris pour la révélation évangélique. Je ne
vois
là que l’indice d’une confusion bien française, hélas. ba. « André
140
vement sa terne existence. Je l’ai subi ; l’on va
voir
comment. De pareils souvenirs légitiment toutes les haines. Je serai
141
politique. Je me contente de vitupérer ce que je
vois
, qui est laid. Quand la soupe est brûlée, on la renvoie, même si l’on
142
et les font indûment participer de la même grâce.
Voyez
Péguy, quand il essaie de nous faire croire qu’« il n’y a rien au-des
143
miracles de la science appliquée. On nous faisait
voir
tout au long de notre histoire le Progrès constant de l’humanité vers
144
nce d’appartenir à une élite responsable, cela se
voit
de loin. Il faut dire que ce ridicule n’échappe pas à ceux qu’ils mép
145
ant je ne veux que décrire l’école telle qu’on la
voit
. Après les personnes, le décor. La laideur des collèges n’est pas acc
146
et matériel ? L’école publique, telle que nous la
voyons
est semblable à tous ces monuments « de la mauvaise époque » qui sont
147
te institution passionnément détestée. Vous allez
voir
comme il bafouillent leur « par cœur non compris ». Aux yeux de beauc
148
s de soumettre les esprits au contrôle de l’État,
voyons
donc, — n’avez-vous pas honte de vous faire rappeler sans cesse des v
149
se vérité que le bon sens m’eût par ailleurs fait
voir
: il n’y a pas d’égalité réelle possible tant que la loi est la même
150
e vertu et de grandeur. Mais on peut s’étonner de
voir
qu’il n’est que ridicule et mesquinerie. Il y a là une préméditation
151
nt manifestement à la race dangereuse de ceux qui
voient
avec leurs yeux. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école v
152
se « baptisent » les hommes d’avenir. Un jour on
voit
s’étaler en première page des illustrés la face épanouie quoique éner
153
issement de la race. D’autre part, il est aisé de
voir
que tous ces principes dérivent nécessairement du fait que l’école es
154
pourrait bien un jour l’atteindre au cœur, et je
vois
tout ce que cela entraînerait, dans une ruine d’où renaîtrait peut-êt
155
. 7. Ou des appareils qui en tiennent lieu. 8.
Voir
à l’appendice le sens que je donne à ce mot.
156
oir bien ne point trop faire la bête, sinon je me
verrai
contraint de lui expliquer un certain nombre de vérités tellement évi
157
oir jamais soupçonné ce que cela représente. 10.
Voir
note A à la fin du cahier. 11. Est-il besoin de déclarer formellemen
158
ntérêts politiques. C’était là, nous venons de le
voir
, son unique moyen de parvenir. Elle participe donc sur une vaste éche
159
des « lumières », et qui pourtant s’indignent de
voir
la morale actuelle s’attaquer, voyez-vous ça, à la famille, « cette c
160
’indignent de voir la morale actuelle s’attaquer,
voyez
-vous ça, à la famille, « cette cellule sociale ». Et je les traite de
161
peut manquer d’inventer. Je ne puis m’empêcher de
voir
une intention providentielle dans cet amour de la destruction et de l
162
développée au xviiie dans l’aristocratie qui n’y
voyait
qu’un jeu. Durant tout le xixe elle est descendue dans la bourgeoisi
163
s, on triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous
voir
demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la
164
un amour) et qui s’y consacre. (Mais alors !… Je
vois
à votre mine stupidement rassurée que vous vous dites : c’est tout à
165
ent parce qu’il le connaît mieux qu’eux qu’il y a
vu
des fissures et des possibilités nouvelles. Tenir compte du réel ne s
166
ation romantique suppose l’existence. Que faire ?
Voir
et penser juste d’abord. Simplement. Ensuite, soutenir cette opinion
167
ir se défendre : on se moque. On me dit : vous ne
voyez
tout de même pas une classe de gamins répétant la syllabe sacrée Aûm
168
phiées que devrait s’employer l’école. Nous avons
vu
qu’elle préfère les étouffer. Cependant, je ne crois pas qu’il soit b
169
tion privée : et moi je la voudrais secrète. Vous
verrez
bien. Cela se fera sans vous. Déjà revient le temps des mages : ils c
170
vement sa terne existence. Je l’ai subi ; l’on va
voir
comment. De pareils souvenirs légitiment toutes les haines. Je serai
171
politique. Je me contente de vitupérer ce que je
vois
, qui est laid. Quand la soupe est brûlée, on la renvoie, même si l’on
172
et les font indûment participer de la même grâce.
Voyez
Péguy, quand il essaie de nous faire croire qu’ « il n’y a rien au-de
173
miracles de la science appliquée. On nous faisait
voir
tout au long de notre histoire le Progrès constant de l’humanité vers
174
nce d’appartenir à une élite responsable, cela se
voit
de loin. Il faut dire que ce ridicule n’échappe pas à ceux qu’ils mép
175
ant je ne veux que décrire l’école telle qu’on la
voit
. Après les personnes, le décor. La laideur des « collèges » n’est pas
176
et matériel ? L’école publique, telle que nous la
voyons
est semblable à tous ces monuments « de la mauvaise époque » qui sont
177
te institution passionnément détestée. Vous allez
voir
comment ils bafouillent leur « par cœur non compris ». Aux yeux de be
178
s de soumettre les esprits au contrôle de l’État,
voyons
donc, — n’avez-vous pas honte de vous faire rappeler sans cesse des v
179
se vérité que le bon sens m’eût par ailleurs fait
voir
: il n’y a pas d’égalité réelle possible tant que la loi est la même
180
e vertu et de grandeur. Mais on peut s’étonner de
voir
qu’il n’est que ridicule et mesquinerie. Il y a là une préméditation
181
nt manifestement à la race dangereuse de ceux qui
voient
avec leurs yeux d’élèves. Le bon élève est aussi l’élève discipliné.
182
se « baptisent » les hommes d’avenir. Un jour on
voit
s’étaler en première page des illustrés la face épanouie quoique éner
183
dissement du peuple. D’autre part, il est aisé de
voir
que tous ces principes dérivent nécessairement du fait que l’école es
184
pourrait bien un jour l’atteindre au cœur, et je
vois
tout ce que cela entraînerait, dans une ruine d’où renaîtrait peut-êt
185
. 7. Ou des appareils qui en tiennent lieu. 8.
Voir
à l’appendice le sens que je donne à ce mot, p. 57.
186
oir bien ne point trop faire la bête, sinon je me
verrai
contraint de lui expliquer un certain nombre de vérités tellement évi
187
oir jamais soupçonné ce que cela représente. 10.
Voir
note A à la fin du livre, p. 65. 11. Est-il besoin de déclarer forme
188
ntérêts politiques. C’était là, nous venons de le
voir
, son unique moyen de parvenir. Elle participe donc sur une vaste éche
189
s des « lumières » et qui pourtant s’indignent de
voir
la morale actuelle s’attaquer, voyez-vous ça, à la famille, « cette c
190
’indignent de voir la morale actuelle s’attaquer,
voyez
-vous ça, à la famille, « cette cellule sociale ». Et je les traite de
191
t manquer de s’inventer. Je ne puis m’empêcher de
voir
une intention providentielle dans cet amour de la destruction et de l
192
développée au xviiie dans l’aristocratie qui n’y
voyait
qu’un jeu. Durant tout le xixe elle est descendue dans la bourgeoisi
193
s, on triomphe grossièrement. J’aurais voulu vous
voir
demander à un sujet de Louis XIV ce qu’il concevait à la place de la
194
un amour) et qui s’y consacre. (Mais alors !… Je
vois
à votre mine stupidement rassurée que vous vous dites : c’est tout à
195
ent parce qu’il le connaît mieux qu’eux qu’il y a
vu
des fissures et des possibilités nouvelles. Tenir compte du réel ne s
196
ation romantique suppose l’existence. Que faire ?
Voir
et penser juste d’abord. Simplement. Ensuite, soutenir cette opinion
197
ir se défendre : on se moque. On me dit : vous ne
voyez
tout de même pas une classe de gamins répétant la syllabe sacrée Aûm
198
phiées que devrait s’employer l’école. Nous avons
vu
qu’elle préfère les étouffer. Cependant, je ne crois pas qu’il soit b
199
tion privée : et moi je la voudrais secrète. Vous
verrez
bien. Cela se fera sans vous. Déjà revient le temps des mages : ils c
200
té du lac de Neuchâtel. Mlle Kikou Yamata a su le
voir
aussi « gris et ardent sous le soleil caché », ou bien, en un printem
201
de novembre des chamois ». On s’émerveille de le
voir
, dans sa main rapide et minutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin o
202
iennes quand je te regardais trop profond pour te
voir
? Maintenant je suis seul à redescendre au jour dans l’aube sans refu
203
se livrèrent à ce petit jeu avant d’écrire —, que
voyons
-nous en effet ? Une grande nuée de romanciers à peine plus réels que
204
uestions qui dépassent un certain plan. C’est mal
vu
. » Ou si on les pose, ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussitôt
205
. Ils ne sont pas obscurs, ils sont arborescents.
Voyez
Bertram, Gundolf, Rudolf Kassner… En France, hélas ! une logique verb
206
. Romancer la vie de ces excessifs est assez bien
vu
; mais tenter de leur opposer un effort digne de ce qu’ils furent… Ce
207
ême la grandeur d’un Ramuz, dont Beausire ne veut
voir
que le maniérisme, non la substance. p. « Au sujet “d’un certain esp
208
ute aux lisières odorantes d’une terrasse où nous
voyons
Charles-Albert Cingria, transfiguré par un souffle épique, en train d
209
l s’agit de les vivre plutôt que d’en parler vous
voyez
bien que j’ai quitté cette table écroulée, dans la fumée et les évoca
210
itudes individuelles, en dehors de quoi je ne lui
vois
pas de signification générale. Certains fantômes m’apparaissent quand
211
de leur esprit ou de celui des autres. Nous avons
vu
des amateurs de pittoresque essayer, au hasard, des incantations tout
212
espond à une certaine sécheresse d’âme. Car on ne
voit
que ce qu’on mérite. — Les plus beaux fantômes, et les plus réels, ce
213
sont les anges. Mais ceux-là seuls parmi nous les
verront
, dont l’esprit parviendra par sa puissance d’adoration, à se créer un
214
trompés. M. Gide déclarait naguère qu’il fallait
voir
en Lautréamont « le maître des écluses pour la littérature de demain
215
lier pour ce château sur la rive, ils en ont tant
vu
! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage gris ; leurs yeux stu
216
es poètes essaient de décrire sans l’avoir jamais
vu
, et dont nous savons seulement que tout y a son écho le plus pur. Le
217
e je recherche le chemin du Rozsadomb. « Vous n’y
verrez
, m’avait-on dit, qu’une paire de babouches dans une mosquée vide que
218
n’a plus l’idée de visiter. » Mais comment ne pas
voir
qu’un lieu qui porte un nom pareil est par là même extraordinaire. Ce
219
nus habentes qui me ressemblent. Au risque de les
voir
trépigner, je continuerai à chercher mon bien de midi à quatorze heur
220
nt le plus simple consiste à traduire ce que l’on
voit
. Cette banque à la façade violette, or et bleue, aux grandes lignes v
221
nte. Nous sommes assis autour d’une table et nous
voyons
, au milieu de la salle, un arbre de Noël aux amples branches rayonnan
222
. Je vais feindre de prendre au sérieux ce que je
vois
. Ruse connue : c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ;
223
quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai
vu
défiler la Chambre des Magnats, le jour de l’élection d’un des quatre
224
s, à Freudenau, lors du Derby viennois, je les ai
vus
portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans l
225
jourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le
voir
à Esztergóm, où il passe ses étés. Esztergóm est la plus vieille capi
226
s boisées entourées d’une large galerie d’où l’on
voit
le Danube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite ville juste au-
227
e ; mythe païen, mais il est bien troublant de le
voir
se mêler, dans la troisième version de ce drame, à des symboles nette
228
sée. « Insensé, — penses-tu de figure en figure —
voir
l’âme ? — Tu iras dans les flammes. » Quant aux documents sur la foli
229
ignement en nous-mêmes. À l’entrée d’un tunnel tu
vois
que la veilleuse brûle toujours — et moi, parmi les reflets fuyants d
230
nse, ils incarnent l’allégresse rythmique. Je les
vois
frapper le sol du talon en levant un bras, la main à la nuque ; frapp
231
ière mes paupières, dans ce désordre lumineux, le
verrai
-je naître à mon désir ? Rejoindre ! Mais vous, derrière ma tête, Sans
232
ication. Je ne sais ce que disent les paroles. Je
vois
des chevauchées sous le soleil, des campements nocturnes où le souven
233
une bonne ou une mauvaise conscience. À Vienne on
voit
des couples qui savent être à la fois cocasses et fades. En Italie… M
234
on instabilité rythmique. (Trop souvent ce que je
vois
traverse ce que j’entends.) La plaine hongroise n’est pas monotone, p
235
répond-il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je
vis
! » Voici les cigognes, dont Andersen assure qu’elles parlent en égyp
236
aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir
vu
ses profondes bibliothèques et son quartier universitaire tout rajeun
237
me un pan de la nuit fuyante, un songe où j’ai dû
voir
l’objet pour la première fois — ou bien était-ce un être ? 17. Ins
238
aiment à cent à l’heure. Par-dessous le store, je
voyais
la Lune faire des bonds courts sur la plaine inondée de nuit. J’essay
239
s titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je
voyais
très bien ce qu’en eussent tiré Sterne ou Goethe, mais, semblable à G
240
aune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu
vis
, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu cet air inaccoutumé qui si
241
faut voyager pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu
vu
que tu n’étais prêt à voir ? — Mais il fallait aller le voir ! La vie
242
rir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à
voir
? — Mais il fallait aller le voir ! La vie est presque partout la mêm
243
n’étais prêt à voir ? — Mais il fallait aller le
voir
! La vie est presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde
244
de voyage ? Cela va paraître improbable. On a dû
voir
sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’œil est implacable… Pas d
245
ment qu’aux yeux de ceux qui surent désirer de la
voir
, apparaît la « Loge » invisible. J’attends, j’appelle quelqu’un qui v
246
et deviendrait plus probable ? Ou bien n’ai-je su
voir
autre chose que la Hongrie de mes rêves, ma Hongrie intérieure ? Il e
247
dont tout le monde se réclame et dont personne ne
vit
… Et certes un tel amour est un amour mineur. Mais qui saura jamais la
248
ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le
voir
, ce serait mourir dans la totalité du monde, effacer ta dernière diff
249
onde, effacer ta dernière différence, — car on ne
voit
que ce qui est de soi-même, et conscient… C’est à cause d’un pari peu
250
iments indéfinis, à cause de ce pari dont tu n’as
vu
l’enjeu qu’un seul instant — nos rêves sont instantanés — que tu es p
251
les philosophes demeurent tout intimidés. Et nous
vîmes
le matérialisme mener son morne triomphe. Certes, la plupart de nos p
252
isme sera de nous dégager des fatalités dont nous
voyons
l’empire s’étendre dans tous les domaines de notre existence, inclina
253
fatalité qui est le signe du monde matériel. Je
vois
l’humanisme nouveau sous l’aspect d’une culture des facultés mystique
254
pas de l’existence la poésie, ce sens du Réel. Je
vois
se composer en cette méthode — peut-être séculairement — ce que la «
255
doute… Mais tout commence par des rêves. Et je ne
vois
rien d’autre. Quoi qu’il en soit d’ailleurs du contenu d’un nouvel hu
256
nhumains : ils nous menacent et nous empêchent de
voir
encore le surhumain. Être véritablement homme, c’est avoir accès au d
257
me qu’elle combat avec raison ? D’ailleurs, si je
vois
bien que le propos de M. Nizan n’est pas de nous rendre le goût de ce
258
scriptible et sec ». Mais est-il bien légitime de
voir
dans un tel « résidu » l’essence de l’Europe, — « son état de pureté
259
s édifiant encore : l’auteur rentrant à Marseille
voit
de loin le château d’If et N.-D. de la Garde : « J’étais servi — s’éc
260
istorique de l’autre. La preuve, je m’amuse à la
voir
dans le fait que le pamphlet de M. Nizan, communiste, est encore plus
261
ormés nous mettaient naguère en garde. Keyserling
voit
la cause du développement exagéré de la technique dans le fait qu’auj
262
nécessairement douloureuses. Certains, peut-être,
verront
-là une condamnation des passions humaines, et comme la morale du roma
263
loi divine et humaine, et c’est ici que l’on peut
voir
sa profonde ressemblance avec les Affinités électives de Goethe. Aucu
264
ane « de naissance », a donc épousé un Italien et
vit
dans un milieu catholique qui n’exerce, dit-elle, aucune pression sur
265
qu’à l’unité. Il est d’autant plus regrettable de
voir
Baring se départir ici de la sagesse qu’il montre ailleurs, grossir l
266
id. La glace est proche, la solitude énorme, mais
voyez
avec quelle tranquillité tout repose dans la lumière… » Vous avez rec
267
meneurs écrive un livre pour nous dire comment il
voit
le peuple, comment il l’aime, et quel est le secret de son autorité s
268
culable de stations. Regardant par la fenêtre, il
vit
d’affreux noms de gares tels que Tenman, Tamazukuri, tout à fait dans
269
endroit célèbre pour les suicides, et qu’il avait
vu
un jour, au théâtre, à Kobé, le drame du suicide de Akaneya et Sankat
270
mps décide de l’orientation de sa vie : Il avait
vu
mourir Sanuki au logement ouvrier, et il ne pensait pas que la mort d
271
s de Chanaan. Mais ce qui me frappe ici, c’est de
voir
le reste du chapitre consacré au récit des actes qu’immédiatement Eii
272
laquelle je suis décidé à les formuler. Si l’on y
voit
une regrettable désinvolture vis-à-vis d’un des écrivains les plus ju
273
Ce qu’il faut certainement déplorer, c’est de le
voir
utiliser des dons incomparables et une sorte subtile de loyauté à des
274
cette attitude sereinement contradictoire, où il
voit
l’essence de sa « réforme » et de sa nouveauté. Luther disait : « Je
275
et aviateur m’évoque la fable : « Je suis oiseau,
voyez
mes ailes. » Qu’il n’aille pas croire pourtant que désormais la vertu
276
s à son attente. Selon lui, c’est un « André Gide
vu
de Genève » qu’il nous faudrait. M. Martinet a pris pour épigraphe la
277
récisément il y aurait lieu à une manière de Loti
vu
de Genève. Loti appartient à ce pays de Saintonge, qui, si la force d
278
ont fait penser qu’il existe bel et bien un Loti
vu
de Genève, non pas sous la forme d’un ouvrage complet, mais d’un essa
279
ien au contraire, l’homme qui doit être surpassé,
vit
dans la démesure, et lorsqu’il « veut prendre mesure de lui-même, il
280
rop rapide. Il n’est pas bon qu’un conteur laisse
voir
la moindre ironie vis-à-vis de ses personnages ; car il risque de les
281
ent ?… Ou bien, protestants qui écrivent ? — Mais
voyons
d’abord les œuvres. La critique à peu près unanime a salué dans Le Sc
282
la famille qui se défait30. Mais gardons-nous de
voir
dans ce contraste autre chose que la vieille opposition du sacrifice
283
une véritable préméditation — où l’on n’eût voulu
voir
qu’une pudeur — lui fait éviter toute allusion chrétienne, au point q
284
Cette espèce de stoïcisme moral, dans lequel nous
voyons
se complaire beaucoup de « protestants par tradition », pourtant cach
285
ans renier le fondement de sa croyance34. Or nous
voyons
le moralisme se développer précisément à l’époque où la théologie de
286
d. (Féerie du Conte de ma vie d’Andersen, où l’on
voit
ce « poète des poètes » à la sensibilité si authentiquement évangéliq
287
sie naît du tragique et de la joie surabondante :
verrons
-nous quelque jour en France surgir une poésie chrétienne d’inspiratio
288
qu’on y est forcé. Pourquoi y est-on forcé ? » Je
vois
que cet article en vient à formuler le dilemme sociologie-métaphysiqu
289
dévisager notre condition la plus nue. « Alors on
voit
paraître le grand, c’est-à-dire on voit paraître l’homme dans sa gran
290
Alors on voit paraître le grand, c’est-à-dire on
voit
paraître l’homme dans sa grandeur, c’est-à-dire dans l’élémentaire :
291
t de tirer sur ces racines, fortement : mais il a
vu
qu’elles tenaient bon, qu’elles tenaient trop de terre embrassée et p
292
absence de toute complaisance à soi. Certes, j’en
vois
les défauts, le poncif ; ces détails par trop détaillés. Mais l’impor
293
jugement6, — un « arrêt dans une forme ». Cela se
voit
par l’étymologie. Aussi, par le passage à la limite : car la plus gra
294
stions simples, et réputées grossières. Peut-être
voit
-on mieux maintenant dans quel esprit Ramuz les pose, et que préciséme
295
e. Et c’est pourquoi le poète, Ramuz, l’homme qui
vit
concrètement les grands mythes et les réalise dans sa vision, cet hom
296
st guère que dans les feuilles de gauche que l’on
voit
encore décerner l’épithète de « puissant » à des « penseurs » comme V
297
ique, c’est-à-dire une réalisation. On veut faire
voir
par ces exemples qu’il ne s’agit nullement d’« applications », comme
298
pas plus de valeur que ces melons en carton qu’on
voit
aux étalages. Il y a plusieurs façons d’avaler. Il y a même l’oubli.
299
sme, sans tension ni grandeur : ils ne savent pas
voir
dans la sagesse faustienne qu’elle est surtout une défense contre le
300
émon révolté et la Magie latente ; et s’ils ne le
voient
pas, c’est que précisément cette défense a réussi. Par contre ils veu
301
tte défense a réussi. Par contre ils veulent bien
voir
la révolte chez ceux-là qui la crient, et la magie chez ceux qui vati
302
», écrit un de ses amis, vers ce temps. « Goethe
vit
sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-mêm
303
pour d’autres formes d’existence que la Nature se
voit
pour ainsi dire contrainte d’assigner à l’homme actif 8, l’on découvr
304
s paraît le doute, entraînant la conscience. « Je
vois
que mes malaises viennent de ne m’être pas figuré assez tôt que nous
305
dont il gratifie le pauvre Eckermann. Je ne puis
voir
dans ces façons que la distraction souveraine d’une âme tout occupée
306
chée pour la première fois Ainsi Comme on
vit
mal comme on vit peu de temps au seul désir tant de corps refusés
307
ière fois Ainsi Comme on vit mal comme on
vit
peu de temps au seul désir tant de corps refusés au seul plaisi
308
x. Il est sûrement à vos trousses aussi, j’espère
voir
le jour où il vous rattrapera ; mais je ne puis répondre de la manièr
309
ison devant l’insondable mystère de Dieu devient,
vu
de l’extérieur, orgueil de la raison qui juge ce monde comme si Dieu
310
nts de la terre, de percevoir. » Et certes, on ne
voit
guère en quoi pareille conception pourrait choquer certains protestan
311
vre « humainement » que dans le monde entier nous
voyons
se dresser contre la stérilisante convention capitaliste, contre le m
312
l’homme contre Dieu, ce qui revient, on l’a bien
vu
, à dresser, contre la grandeur et l’humilité de la personne, l’orguei
313
s évident dès que nous possédons le courage de le
voir
et de l’assumer. Un acte de présence à la misère du siècle, une prése
314
t un acte : car pour nous désormais la Révolution
vit
, si nous vivons. Autour de nous tout craque et nous appelle. Sur les
315
ive, et de l’épouvantable désordre dans lequel il
vit
. ⁂ Contre une violence absurde, dénaturée et hypocrite, nous ne défen