1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 omme dont l’âme fait des signes solennels ? » Une voix lente aux méandres songeurs, une simplicité qui n’est pas familière.
2 ’on cherche les morts… « … Cette chose haute à la voix grave qu’on appelle un père dans les maisons. » Comme Valéry, ce poèt
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 cun se faisait à part soi, qu’ils incarnaient les voix contradictoires d’un débat que tous menaient en eux-mêmes loyalement.
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 a suite ; c’est peut-être pourquoi nous accordons voix dans le débat d’écrire, aux forces les plus secrètes de notre être co
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
5 ythme impérieux au point qu’il faut que certaines voix en moi taisent leur protestation, étouffées par des forces qui se lèv
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
6 té, seules vous nous appelez encore hors de cette voix de l’infini où chancellent parmi les éclairs nos premiers pas. Aragon
7 urés d’azur. Alors un juron mélodramatique, d’une voix torturée, hurle au pape et au diable un anathème sanglant. Louis Arag
8 vous, dubitatives barbes. Je viens d’entendre la voix d’un mystique. Que si l’on vient nous empêtrer de dogmes bassement in
9 quoi je ne vais pas m’empêcher de reconnaître la voix secrète de notre mal de vivre. Désespoir métaphysique. Je me souviens
10 rie : « À bas le clair génie français. » Alors la voix de Rimbardk à la cantonade : Qu’il vienne, qu’il vienne Le temps don
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
11 . H. Dessoulavy)… Mais déjà paraissaient dans les Voix (cette courageuse revue qu’il avait fondée avec J. P. Zimmermann) des
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
12 ement un besoin d’être aimés qui faussaient leurs voix pour les rendre plus touchantes. Celui-ci bat sa coulpe avec une sain
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
13 et menaçantes. Mais la musique est si légère, la voix de la jeune fille si transparente : la mort même en devient moins bru
14 itter… — C’est une chose singulière, prononce une voix , à côté de moi, c’est une chose singulière que le pouvoir de cette mu
9 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
15 ous refusez d’avancer ! Mais il reste à portée de voix du troupeau. C’est sans doute son rôle. Il le tient magnifiquement. M
10 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
16 thie qu’aucun orchestre ne vient troubler, aucune voix haute, aucune couleur vive. Les journaux qu’ils lisent annoncent chaq
17 a rumeur des clients, le violoncelle répond de sa voix profonde et passionnée, sous les roulades d’un cymbalum. Aux parois,
18 s élégants, tout de noir vêtus, belles femmes aux voix agréablement rauques… Sortez pour en suivre une, arrêtez-vous à ses c
19 âtre, vous n’y comprenez rien, mais le charme des voix hongroises féminines suffit à votre bonheur et vous voyez bien que Mm
11 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
20 ûre saveur ; une phrase naturellement grave ; une voix douce et virile ; et quel beau titre ! « Saisir » n’est-ce point l’ac
12 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
21 lus haute poésie. Mais dans ce siècle, où tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au don du langage sacr
13 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
22 re de venir prendre position dans un débat où les voix les mieux écoutées ont dit ce qu’elles avaient à dire. Et d’autre par
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
23 rs ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élève pour mettre en doute l’excellence du principe de l’instructio
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
24 mps d’écouter la nature qui répète par toutes ses voix , d’un milliard de façons, que c’est absurde. Pour qu’on n’ait pas le
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
25 rs ! Car j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élève pour mettre en doute l’excellence du principe de l’instructio
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
26 mps d’écouter la nature qui répète par toutes ses voix , d’un milliard de façons, que c’est absurde. Pour qu’on n’ait pas le
18 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
27 Au carrefour des cris perdus j’écoute encore une voix nue qui vient de dire ton nom même avec l’accent de notre amour et mo
19 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
28 fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons populaires qui sont ce que je co
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
29 pensée forte et orientée plutôt que ces éclats de voix sarcastiques, émouvants comme 93, mais où certaine bêtise trouve asse
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
30 ; ce sont les harmoniques éveillées en lui par la voix de Hölderlin qui ont dû l’inciter à l’acte recréateur qu’est la tradu
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
31 lançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent, les moires et l’on
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
32 et dense intitulé La Tentation de l’Occident. La Voix royale 9, est, croyons-nous, le récit des événements qui précédèrent
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
33 erre, qui était avant tout un art. La nôtre ayant voix au forum discute autant qu’elle n’invente ou qu’elle ne stylise. On p
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
34 chose qui devrait être surmonté, nous souffle une voix émouvante, aux résonances vraiment altières, celle-là : la voix de Ni
35 , aux résonances vraiment altières, celle-là : la voix de Nietzsche. ⁂ Ici, nous changeons de monde. À vrai dire, nous quitt
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
36 dans ses livres de philosophie. Il entendait une voix intérieure qui lui disait : « Si tu te mêles de ces affaires, tu ne s
37 igné du vulgaire. » Mais au même moment une autre voix intérieure disait : « La bonté est le sel de la vie. L’organisme soci
27 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
38 qu’il me semble entendre pour la première fois la voix d’un de nos aînés, interrogeant notre destin, lui poser en face des q
28 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
39 ance. L’excès verbal de Werther couvre d’abord la voix intérieure, la renie même bruyamment. C’est là le fait d’une âme qui
40 tinguer dans ce vertige la réelle puissance d’une voix volontairement assourdie. Le silence de Goethe n’est pas moins danger
29 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
41 onde nouent leur effroi je t’appelle à grande voix sans un son sans un écho le silence autour de toi déroule ses l
30 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
42 auront pas à s’exprimer, d’ailleurs, sinon par la voix de leur président, et la mimique d’un jeune aviateur, dont la mâchoir
31 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
43 érée, déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Mais la crainte me prend qu’on aille chercher en ces rem
32 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
44 et menaçantes. Mais la musique est si légère, la voix de la jeune fille si transparente : la mort même en devient moins bru
45 itter… — C’est une chose singulière, prononce une voix , à côté de moi, c’est une chose singulière que le pouvoir de cette mu
33 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
46 salon en salon ; et, plus loin que la rumeur des voix , orchestre du grand monde qui accorde, s’égarent parfois dans un sile
47 st alors, d’un balcon qui domine les groupes, une voix qui descend avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a levé la t
48 ais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des voix qui passent. Allées et venues dans la fête invisible qui m’environne,
49 ournoie, éclair de roses sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes
50 vres pour me dire une phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais
51 phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais que la nuit va s’éte
52 ne des opéras. — « Comme elle est laide, mais une voix à faire mal de bonheur, mais laide !… ah ! magnifique ! », dit quelqu
34 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
53 lançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent, les moires et l’on
35 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
54 lus haute poésie. Mais dans ce siècle, où tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au don du langage sacr
36 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
55 fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont
37 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
56 pas effrayer le gibier sensible au moindre son de voix humaine. (Tout cela c’était pour préparer quelque battue prochaine.)
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
57 érée, déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Mais la crainte me prend qu’on aille chercher en ces rem
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
58 salon en salon ; et, plus loin que la rumeur des voix , orchestre du grand monde qui accorde, s’égarent parfois dans un sile
59 st alors, d’un balcon qui domine les groupes, une voix qui descend avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a levé la t
60 ais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des voix qui passent. Allées et venues dans la fête invisible qui m’environne,
61 ournoie, éclair de roses sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes
62 vres pour me dire une phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais
63 phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle, voix de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais que la nuit va s’éte
64 ne des opéras. — « Comme elle est laide, mais une voix à faire mal de bonheur, mais laide !… ah ! magnifique ! », dit quelqu
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
65 lançant vivement la tête. Quand elles parlent, la voix un peu rauque, voluptueuse ; quand elles chantent, les moires et l’on
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
66 pas effrayer le gibier sensible au moindre son de voix humaine. (Tout cela pour préparer quelque battue prochaine.) Visiblem
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
67 lus haute poésie. Mais dans ce siècle, où tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au don du langage sacr
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
68 fêlées et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
69 loire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor au sein même de la cata
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
70 ment considérés ; que le Vallengin a une sorte de voix négative ; et enfin, que c’est aux Trois États qu’il appartient de pr
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
71 — L’originalité de mon père. Gide s’éclaircit la voix pour observer que le jeu devenait bien personnel, et proposa des bout
47 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
72 plan sans se soucier de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont d
48 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
73 tiquité : la panique de l’homme environné par les voix innombrables de l’univers, et son recours à la raison pour leur impos
74 anxieuse. Peut-être, s’il allait au-devant de ces voix , sans armes, les mains nues, au risque de sa vie, peut-être alors le
75 sible d’analyser ou de définir. On dirait que des voix descendent du haut des cieux…, il semble y avoir je ne sais quoi de p
49 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
76 aindre comme il sied à un homme ? Parle, élève la voix , parle fort, Dieu peut bien parler plus fort, lui qui dispose du tonn
50 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
77 e différence qu’au sein de partis si nombreux, sa voix n’aurait aucun effet… Dans la perspective que nous considérons ici, l
51 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
78 de ce bas monde tel qu’il est ! L’Église, par la voix de ses évêques, tentera de prouver qu’il extravague ; on proposera en
79 ard qui nous perce, et si nous sommes sourds à sa voix , comment étouffer le scandale de cette mort qui définit le destin de
80 bourgeois. Comment lui échapper ? N’est-il pas la voix même de cette Âme du monde, cet Esprit de la Forme qui se croit le Ré
52 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
81 tique. Il y a, dans Destin allemand, un timbre de voix métallique, une sobriété amère et courageuse, un souffle, une grandeu
53 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
82 ux que cela, une présence, une plainte juste, une voix d’homme. L’auteur entre dans les confidences d’une femme non mariée (
54 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
83 iscontinuer par les générations successives. Leur voix immortelle se taira sans doute pour vous, quand vous ne serez plus ;
55 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
84 plan sans se soucier de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont d
56 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
85 iscontinuer par les générations successives. Leur voix immortelle se taira sans doute pour vous, quand vous ne serez plus ;
57 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
86 plan sans se soucier de la justice de Dieu. Et la voix du prophète s’élève contre l’Église : « Tes amis t’ont jouée, t’ont d
58 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
87 gauche ou à droite, et depuis lors y bêlent d’une voix aigre et anxieuse, tout en signant une quantité de manifestes. Ils on
59 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
88 s d’hiver, sans gîte, sans habits, sans pain, une voix étreignait mon cœur gelé : “Faiblesse ou force : te voilà, c’est la f
60 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
89 à peu une vivacité fébrile parut s’emparer de sa voix . Nicodème. — « …Ce que nous savons, nous le disons. Ce que nous avon
90 u point que tout d’abord, je n’osai pas élever la voix . Je sentais cependant, que je devais dire certaines choses, traduire
91 vaient usé. — Vous avez dit — commença-t-il d’une voix très calme — que l’angoisse de Nicodème devrait nous empêcher tous de
61 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
92 r sa vocation, ce n’est pas toujours entendre une voix intérieure. Il y a aussi des voix qui nous appellent de l’extérieur,
93 rs entendre une voix intérieure. Il y a aussi des voix qui nous appellent de l’extérieur, et qui nous montrent, ici et maint
62 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
94 s d’Israël qui prêtent à la folie des masses leur voix  : Crucifie, relâche Barrabas ! Voilà la trahison grossière, la simoni
95 st-ce que la vérité ? » À vingt siècles de là, la voix « désabusée » d’un autre clerc parfait lui donnera cette réplique fam
63 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
96 vigilante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prophète11 : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinelle
64 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
97 t pas d’un tribun déchaîné ; il élève rarement la voix , sauf à la fin ; il ne dit que des choses simples, raisonnables, parf
65 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
98 ence du peuple allemand. ») Et il terminait d’une voix tonnante : « Voilà ce que j’appelle de la vraie démocratie ! » À quoi
66 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
99 e en communion, je vois, j’apprends, j’entends la voix d’un homme. N’est-ce pas assez ? Cette voix n’est-elle pas émouvante 
100 ds la voix d’un homme. N’est-ce pas assez ? Cette voix n’est-elle pas émouvante ? — Oui, c’est beaucoup, la voix d’un homme.
101 st-elle pas émouvante ? — Oui, c’est beaucoup, la voix d’un homme. C’est assez rare dans la littérature. Qui voudrait exiger
102 fois davantage. Certaines paroles dites par cette voix . Celui qui se refuse à poser les questions dernières, s’autorise à bo
67 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
103 nt porté sur cette situation. Je ne crois pas aux voix mystérieuses mais je crois à l’appel des faits. Considérons les temps
68 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
104 eur milieu dès qu’ils commencent à distinguer les voix … ; celui que nous apprenons sans aucune règle en imitant notre nourri
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
105 nt porté sur cette situation. Je ne crois pas aux voix mystérieuses, mais je crois à l’appel des faits. Considérons les temp
70 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
106 eur milieu dès qu’ils commencent à distinguer les voix … ; celui que nous apprenons sans aucune règle en imitant notre nourri
71 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
107 nt porté sur cette situation. Je ne crois pas aux voix mystérieuses, mais je crois à l’appel des faits. Considérons les temp
72 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
108 étruit par les obus de Franco, et Commune, par la voix d’Aragon, exprime sa juste indignation. Crime contre la culture. Car
73 1937, Esprit, articles (1932–1962). La fièvre romanesque (janvier 1937)
109 le soient, à la limite, autant. Il me dira d’une voix que j’entends déjà : « Mais je n’ai rien voulu de tout cela ! Mes per
74 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
110 t au-dessous de notre chambre, et leurs éclats de voix nous ont plusieurs fois réveillés. 18 mai 1935 … Et un beau jour, plu
75 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
111 t au-dessous de notre chambre, et leurs éclats de voix nous ont plusieurs fois réveillés. 7 mai — Alors, Madame Calixte, com
112 j’ai dits, elle a pleuré, gémi d’une toute petite voix fausse, et m’a beaucoup remercié. Bref, il m’a semblé que tout s’étai
76 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
113 c. » La chevelure s’agite, les bras s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des instituteurs qui s’est tenu
114 nsonges, on n’applaudira guère que le son de leur voix , ou le parti qui les délègue. Il resterait à expliquer cet état de ch
77 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
115 s de montre, mais c’est très long. Aucun bruit de voix dans la salle de la caisse. Le client est-il sorti ? Quel peut être l
78 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
116 c. » La chevelure s’agite, les bras s’agitent, la voix s’enfle. « J’étais au dernier congrès des instituteurs qui s’est tenu
117 nsonges, on n’applaudira guère que le son de leur voix , ou le parti qui les délègue. Il resterait à expliquer cet état de ch
118 ère de la cour, cale son bâton, et commence d’une voix posée, monotone et basse : — C’était le 26 de juillet, l’anniversaire
119 s de montre, mais c’est très long. Aucun bruit de voix dans la salle de la caisse. Le client est-il sorti ? Quel peut bien ê
79 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
120 ou de soi-même, quand on prêche et proclame d’une voix pathétique : tout est perdu ! il est bon de se souvenir que tout est
121 t au-dessous de notre chambre, et leurs éclats de voix nous ont plusieurs fois réveillés. 7 mai 1935 Alors, Madame Cal
122 j’ai dits, elle a pleuré, gémi d’une toute petite voix fausse, et m’a beaucoup remercié. Bref, il m’a semblé que tout s’étai
80 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
123 gauche ou à droite, et depuis lors y bêlent d’une voix aigre et anxieuse, tout en signant une quantité de manifestes. Ils on
81 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
124 n (novembre 1938)z Le poète disait d’une belle voix d’amertume : — Nous n’avons plus guère de mesures pour les choses div
82 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
125 douanier s’est approché, attiré par nos éclats de voix . Il coupe court : Nie mehr Krieg. Erledigt ! (Plus jamais de guerre !
126 our le WHW !4 » Mon « Non merci » les laisse sans voix . J’ai entendu vanter et dénigrer cette œuvre. Selon les uns, le produ
127 s paroles de ces phrases brèves, clamées à pleine voix , entrecoupées de pas rythmés. Un voisin me les répète entre les dents
128 laine est vide, parfois parcourue de moteurs. Une voix dure et nasillarde s’élève d’une tribune que nous ne voyons pas. (J’a
129 rs désordonnés, haineux. Silence morne. Alors une voix plus claire s’élève : « Mais la vieille légende germanique nous annon
130 t venu réveiller son Peuple ! » Et maintenant des voix militaires décrivent les fastes du nouveau Reich, la communauté recré
83 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
131 ressemble à Charlie Chaplin et qui est doué d’une voix de stentor fanatique, particulièrement désagréable aux oreilles latin
84 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
132 loire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un mythe nouveau prend son essor au sein même de la cata
85 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
133 veur sont passifs ; ils écoutent le langage d’une voix qui leur est intérieure et pourtant étrangère, qui s’élève dans les p
86 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
134 s, jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoit sa voix dans chaque dialecte ». Nous l’avons perçue de nos jours, dans le dia
87 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
135 i nous. Descends ! clémente et pacificatrice — ô voix pareille à la rosée ! — Viens te poser sur le cœur de violence — apai
88 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
136 ieux souvenirs. Car du fond de notre Occident, la voix des bardes celtes lui répondait. Je ne sais si c’était un écho, ou qu
137 rche. Et il nous trouve lorsque nous percevons sa voix , et que nous répondons en obéissant. Dieu nous cherche et nous a trou
89 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
138 çois s’enfuit dans la campagne, chantant à pleine voix des vers français… Le parfait dénuement avait fait de son corps l’hum
90 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
139 nt les « illustres bardes » qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts, enchantem
140 étient le pouvoir d’harmoniser la plainte de deux voix , et d’en faire une plainte unique où déjà vibre la réalité d’un indic
141 Führer qui détient les secrets d’initiation à la voix divinisante. 160. Héritage, dot, « situation » des conjoints, relati
91 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
142 s parmi nous, c’est l’injustice qui triomphe ! La voix du pauvre est étouffée ! Car ce sont des démons, et non des hommes, q
143 i gardera notre alliance jurée ? Ô justicier ta voix se tait ! N’oublie pas ton peuple ingrat ! Nicolas dans ton exil Souv
144 n’y fait. Je suis dans la nuit. Et de nouveau des voix m’appellent… Chœur céleste. Solitaire, solitaire ! Ô toujours pl
145 fiée Mille et mille seront sauvées. Dure peine, voix cruelle, De toi seule vient la paix. Ô récompense éternelle De ton bo
146 le vouloir ! Que m’arrive-t-il ? Trois fois, des voix m’ont appelé ! Mais tu le vois, mon Dieu : tout mon amour, tous mes d
147 je me perde en ces ténèbres qui m’entourent ! Voix (du plan 3). —  Nicolas ! Nicolas ! (Nicolas se dirige lentement ver
148 las.) Le chœur. Ô Dieu, ton serviteur élève la voix dans les ténèbres. Écoute-le ! Détourne le Malin qui rôde ! Ô Dieu…
149 e, et donne-moi tout entier à toi seul ! Amen. Voix (du plan 3). —  Nicolas ! Nicolas ! (Dorothée s’avance de quelques p
150 s pas vers Nicolas. Nicolas lève la tête vers les voix . Dans un cercle de lumière apparaissent, au plan 3, trois vieillards
151 u soin de ceux qui l’aiment. Ô femme ! entends la voix des temps futurs ! Un peuple entier sera sauvé, par toi, de la guerre
152 ! Anges cachés dans la lumière, que j’entende vos voix pures ! Louons ensemble l’Éternel ! Louons-le dans ces lieux élevés !
153 ofonds de nos chants. Le chœur. (Récitatif et voix d’hommes.) Ô peuple des bergers, entonne la louange du sacrifice amer
92 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
154 olas. —  D’où viens-tu ? Le vieil homme (d’une voix forte). —  Je viens de Dieu. Nicolas. —  Et que veux-tu ? Le vi
155 soient d’accord — et ceux d’ici n’écoutent que ta voix , frère Claus ! Voilà pourquoi je suis venu. Nicolas. —  Tu l’as di
156 grand vent des plaines s’est levé, il emporte la voix du guetteur. Nicolas ! Nicolas ! Hélas ! Est-ce en vain que là-haut t
157 Hélas ! Est-ce en vain que là-haut tu veilles ? ( Voix d’hommes.) À l’horizon paraissent des présages. Nous, d’ici, voyons u
158 orage futur et la dévastation des liens sacrés. ( Voix de femmes.) Quel est ce rêve qui se lève avec le vent des plaines et
159 iétude.) Choral ii. Sentinelle ! Sentinelle ! Voix du ciel ! Que dis-tu ? Des sons lointains prédisent le malheur Le ven
160 e malheur Le vent des plaines emporte leur écho ! Voix de paix descend des sommets, Vent de guerre souffle sur nos terres. J
161 tu d’or et couronné.) Nicolas. —  Seigneur ! La voix du solitaire est faible. Parle toi-même à tes enfants, je t’en suppli
162 ngère. Où sont les présages certains ? Que dit la voix du saint dans le lointain ? Quelle est cette ombre rouge qui nous cou
163 e rapidement quelques formules cabalistiques.) Voix des villes. —  C’est le grand astrologue de Berne ! Écoutez-le ! V
164 st le grand astrologue de Berne ! Écoutez-le ! Voix des campagnes. —  Funeste conseiller des villes ! Vendu ! Vendu !
165 les cornes, prêt au bond. Je vois la guerre ! Voix des suisses. —  Et que vois-tu ? Dis, que vois-tu ? L’astrologue. 
166 age ! Déjà, ils fuient là-bas comme un nuage ! Voix des suisses. —  Qui vient ? Qui fuit ? Et que vois-tu ? L’astrolog
167 l’or, de l’or ! Ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! ha ! Voix des suisses. —  Pour qui cet or ? Sur qui ce rire ? Et plus tard, que
168 tir, et ne la ferme que pour taire la vérité ! Voix des villes. —  Pardieu non ! Son oracle me plaît, à celui-ci ! J’aime
169 ur la pluie en plein soleil ! — Radoteur ! Une voix des campagnes. —  Malheur, malheur, malheur au peuple qui croit un ma
170 franchi nos frontières ! Défendons-nous ! Une voix des suisses. —  Ce n’est pas nous, c’est le Destin qui l’a voulu ! Au
171 (Des feux rouges balayent la scène.) Une autre voix . —  Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinelle que dis-tu de la n
93 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
172 cantons confédérés. Les villes disposent de trois voix  : Zurich, Berne, Lucerne. Mais avec leur richesse et leur astuce, cel
173 richesse et leur astuce, cela vaut bien les cinq voix des campagnes. Maintenant si nous acceptons dans l’Alliance deux vill
174 sieurs nos agents recruteurs ! Scène iv. Voix dans le chœur. —  Les voilà ! Les voilà ! Retirez-vous ! (On entend
175 vous adjure… salut de notre Confédération ! (Sa voix est couverte par les cris.) Cris des compagnons. —  Assez de par-lo
176 ou ! — Sourde plainte, les tambours — couvrent ta voix déplorable. — Que dis-tu ? — Demain la guerre. (Batterie, rythme de
177 urant les répliques suivantes.) Scène vi. Voix isolées (à droite, à gauche, au centre, au plan 1, au plan 2.)  —  Qu
178 e curé ! Monsieur Haimo ! Réveillez-vous ! Une voix de femme (dans la coulisse). —  Qui est là ? Dorothée. —  Dorothée
179 ! Réveillez-le ! Un seul peut nous sauver ! La voix . —  Il n’est pas là, Monsieur le curé, il est sorti. Dorothée (cri
180 olie et ton miracle, frère Claus ! C’est la seule voix qu’ils entendront ! Oh ! toi qu’ils jugeaient fou, toi le saint et le
181 armi nous Descends, clémente et pacificatrice — ô voix pareille à la rosée ! — Viens te poser sur le cœur de violence — apai
182 . Solitaire ! Solitaire ! Dieu te parle par nos voix . De ta vie le grand mystère Au matin s’éclaircira. Pour ton peuple,
183 rifice ! Haimo ! Haimo ! Haimo. —  Qu’a dit la voix  ? Nicolas. —  Dieu lui-même est descendu ! Mon Seigneur s’est abai
184 n député. —  Les chevaux sont-ils sellés ? Des voix . —  Sellés ! Un ambassadeur. —  Les bagages sont-ils chargés ?
185 ssadeur. —  Les bagages sont-ils chargés ? Des voix . —  Chargés ! Un compagnon. —  Et vous, êtes-vous prêts à me suivr
186 re ? Les compagnons. —  Nous sommes prêts ! Voix . —  À la vie ! À la mort ! (Les deux groupes s’écartent à gauche et
187 herchent à voir ou à entendre ce qui se passe.) Voix . —  Que disent-ils ? — Entendez-vous ? — Que font-ils ? — Les voyez-v
188 vous ? — Que font-ils ? — Les voyez-vous ? Une voix de la coulisse. —  Je les vois ! — Il a lu le message ! — Je n’entend
189 e n’entends rien ! — Tous ont baissé la tête ! Voix sur la place. —  Ils ont entendu le message ! Écoutez ! Récitatif.
190 re joue quelques mesures joyeuses et sereines.) Voix sur la place. —  Écoutez ! Qu’ont-ils dit ? Écoutez ! Voix de la c
191 place. —  Écoutez ! Qu’ont-ils dit ? Écoutez ! Voix de la coulisse. —  Je ne sais pas ! — Je les vois qui se lèvent !
192 Je ne sais pas ! — Je les vois qui se lèvent ! Voix sur la place. —  Ils se lèvent ! Voix de la coulisse. —  Ils se se
193 ent ! Voix sur la place. —  Ils se lèvent ! Voix de la coulisse. —  Ils se serrent les mains ! Ils s’embrassent ! V
194 Ils se serrent les mains ! Ils s’embrassent ! Voix sur la place. —  Ils se serrent les mains ! Ils s’embrassent ! Voi
195 Ils se serrent les mains ! Ils s’embrassent ! Voix de la coulisse. —  Les voici ! Voix sur la place. —  Les voici qui
196 ssent ! Voix de la coulisse. —  Les voici ! Voix sur la place. —  Les voici qui viennent ! (La lumière grandit sur le
197 ateur ! Du haut des Alpes, qu’elle est belle — la voix de la sentinelle — qui nous avertit du salut ! Qu’ils sont beaux sur
94 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
198 rieur — le plan de la Solitude — représentera les voix célestes, appelant Nicolas et le réconfortant. La structure même de l
95 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
199 ieux souvenirs. Car au fond de notre Occident, la voix des bardes celtes lui répondait. Je ne sais si c’était un écho, ou qu
200 rche. Et il nous trouve lorsque nous percevons sa voix , et que nous répondons en obéissant. Dieu nous cherche et nous a trou
201 ait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seulement vous
96 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
202 çois s’enfuit dans la campagne, chantant à pleine voix des vers français… Le parfait dénuement avait fait de son corps l’hum
97 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
203 t les « illustres bardes », qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts, enchantem
204 étient le pouvoir d’harmoniser la plainte de deux voix , et d’en faire une plainte unique où déjà vibre la réalité d’un indic
205 Führer qui détient les secrets d’initiation à la voix divinisante. 178. Héritage, dot, « situation » des conjoints, relati
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
206 ieux souvenirs. Car du fond de notre Occident, la voix des bardes celtes lui répondait. Je ne sais si c’était un écho, ou qu
207 rche. Et il nous trouve lorsque nous percevons sa voix , et que nous répondons en obéissant. Dieu nous cherche et nous a trou
208 ait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce comme le chant de la lyre, si seulement vous
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
209 çois s’enfuit dans la campagne, chantant à pleine voix des vers français… Le parfait dénuement avait fait de son corps l’hum
100 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
210 nt les « illustres bardes » qui chantèrent d’une voix grave et solennelle tournois et trophées remportés, forêts, enchantem
211 étient le pouvoir d’harmoniser la plainte de deux voix , et d’en faire une plainte unique où déjà vibre la réalité d’un indic