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., et il ne met de la gravité que dans les choses
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, je n’ai pas dit les choses sentimentales. Le tragique de la vie ne l
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e dans un décor qui est le rêve éternisé des plus
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intelligences — tous les tableaux dans le noir des musées ! — et si t
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lus libre, le plus conscient à la fois et le plus
voluptueux
. Sincérité envers soi-même Noli me tangere. Premier exemple.
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« déjouer le complot de la commodité ». Mais plus
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que philosophe, c’est à l’amour qu’il ira demander la souffrance indi
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e indifférence du cœur qui contraste avec une vie
voluptueuse
et assez désordonnée. Pourtant, entre Montclar et Ameline, un amour s
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s villes passent au fond à toute vitesse. Rigueur
voluptueuse
d’une colonnade, puis un jeu d’échec serré, mais sur la corniche d’un
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ermanique, mais qui a choisi de s’astreindre à la
voluptueuse
rigueur latine, et qui tout en s’épurant dans des formes claires a su
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e lui vint. Il alla au cinéma. On donnait un film
voluptueux
. Il aima l’héroïne, mais sans espoir. Il lui écrivit, en sortant de l
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tête. Quand elles parlent, la voix un peu rauque,
voluptueuse
; quand elles chantent, les moires et l’ondulation des rubans de vent
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e Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le décor
voluptueux
et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis des plaine
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tête. Quand elles parlent, la voix un peu rauque,
voluptueuse
; quand elles chantent, les moires et l’ondulation des rubans de vent
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e Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le décor
voluptueux
et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis des plaine
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tête. Quand elles parlent, la voix un peu rauque,
voluptueuse
; quand elles chantent, les moires et l’ondulation des rubans de vent
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ant, n’est rien que l’abandon égoïste, et parfois
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, d’un moi qui renonce à créer, qui renonce à souffrir, qui se rend so
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nglais nourrissent leur flamme d’une connaissance
voluptueuse
de l’antagonisme cosmique, la France rationaliste, catholique et cita
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contention abstraite du xviie et la dissolution
voluptueuse
du xixe . Il m’apparaît que le style d’un Calvin peut nous être un pu
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ible, ni de passé ni d’avenir, ni de déchirements
voluptueux
. Il vit toujours dans l’immédiat, il n’a jamais le temps d’aimer — d’
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plus alors qu’un moyen de jouir d’une « sensation
voluptueuse
» (comme dit Moritz) de sa propre dissolution, un moyen détourné de r
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par la mort loin de la vie qui les pousse, proies
voluptueuses
de forces contradictoires mais qui les précipitent au même vertige, l
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e dont il faut secouer le joug ». D’où l’harmonie
voluptueuse
de l’un, et la dialectique tendue de l’autre ; l’un s’abandonnant au
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: il la remplace par une affectation de facilité
voluptueuse
. Cette boutade qui réduit tout l’amour au contact de deux épidermes,
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nt de facilités, de raffinements intellectuels ou
voluptueux
, de satiétés, l’un des besoins les plus profonds de l’homme demeure p
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us glacialement rationaliste que les inventions «
voluptueuses
» multipliées par la rage du Marquis. Là où est le plaisir, là sera l
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e qu’il est en son principe : une autodestruction
voluptueuse
du moi. « On est détrompé sans avoir joui, dit René ; il reste encore
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glorifié par la littérature détourne en rêveries
voluptueuses
les tendances subversives de l’esprit. La morale du mariage en souffr
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ible, ni de passé ni d’avenir, ni de déchirements
voluptueux
. Il vit toujours dans l’immédiat, il n’a jamais le temps d’aimer — d’
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par la mort loin de la vie qui les pousse, proies
voluptueuses
de forces contradictoires mais qui les précipitent au même vertige, l
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e dont il faut secouer le joug ». D’où l’harmonie
voluptueuse
de l’un, et la dialectique tendue de l’autre ; l’un s’abandonnant au
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: il la remplace par une affectation de facilité
voluptueuse
. Cette boutade, qui réduit tout l’amour au contact de deux épidermes,
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nt de facilités, de raffinements intellectuels ou
voluptueux
, de satiétés, l’un des besoins les plus profonds de l’homme demeure p
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us glacialement rationaliste que les inventions «
voluptueuses
» multipliées par la rage du Marquis. Là où est le plaisir, là sera l
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e qu’il est en son principe : une autodestruction
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du moi. « On est détrompé sans avoir joui, dit René ; il reste encore
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glorifié par la littérature détourne en rêveries
voluptueuses
les tendances subversives de l’esprit. La morale du mariage en souffr
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ible, ni de passé ni d’avenir, ni de déchirements
voluptueux
. Il vit toujours dans l’immédiat, il n’a jamais le temps d’aimer — d’
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par la mort loin de la vie qui les pousse, proies
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de forces contradictoires mais qui les précipitent au même vertige, l
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e dont il faut secouer le joug ». D’où l’harmonie
voluptueuse
de l’un, et la dialectique tendue de l’autre ; l’un s’abandonnant au
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: il la remplace par une affectation de facilité
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. Cette boutade, qui réduit tout l’amour au contact de deux épidermes
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nt de facilités, de raffinements intellectuels ou
voluptueux
, de satiétés, l’un des besoins les plus profonds de l’homme demeure p
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us glacialement rationaliste que les inventions «
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» multipliées par la rage du Marquis. Là où est le plaisir, là sera l
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e qu’il est en son principe : une autodestruction
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du moi. « On est détrompé sans avoir joui, dit René ; il reste encore
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glorifié par la littérature détourne en rêveries
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les tendances subversives de l’esprit. La morale du mariage en souffr
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ible, ni de passé ni d’avenir, ni de déchirements
voluptueux
. Il vit toujours dans l’immédiat, il n’a jamais le temps d’aimer — d’
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plus alors qu’un moyen de jouir d’une « sensation
voluptueuse
» (comme dit Moritz) de sa propre dissolution ; un moyen détourné de
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s des feux qui les détruisent, lieu de désolation
voluptueuse
où T. S. Eliot, me dit-on, conçut l’idée de son Waste Land… Un grand
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e Munich, Salzbourg et Prague, qui forme le décor
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et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis des plaine
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tête. Quand elles parlent, la voix un peu rauque,
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; quand elles chantent, les moires et l’ondulation des rubans de vent
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s des feux qui les détruisent, lieu de désolation
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où T. S. Eliot, me dit-on, conçut l’idée du Waste Land… Un grand cime
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s, une sorte de magnificence lente, romantique et
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… Minuit. Les machines ronronnent. Le petit gratte-ciel du Retiro va d
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s des feux qui les détruisent, lieu de désolation
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où T. S. Eliot, me dit-on, conçut l’idée de son Waste Land… Un grand
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e miracle est de l’avoir domptée par les rigueurs
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du plus pur langage français, et de cette « rhétorique profonde » don
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lair savoir, il a une tête faustienne ; Faust est
voluptueux
, désireux d’amour, il a des sens et un cœur donjuanesques… Faust est
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clair savoir, il a une tête faustienne, Faust est
voluptueux
, désireux d’amour, il a des sens et un cœur donjuanesques… Faust est
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Aventurier et d’un certain type de sensuels. « Le
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Ménalque veut oublier le passé comme il veut ignorer l’avenir, il veu
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passionnée.68 » Ces fantaisies ou ces phantasmes
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sont le fait d’un tempérament plus excitable que bien maîtrisé : « Po
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n admettant qu’il ne t’ait pas laissé de souvenir
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, il t’aura laissé d’obscènes images : c’est l’un ou l’autre. Avec ce
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la mort, terme de l’entropie passionnelle, chute
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dans l’indifférencié, qui est le néant. Il n’a voulu garder de l’amou