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ports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de
voyager
n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cepen
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cet air inaccoutumé qui signale que tu es parti.
Voyager
— serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et n
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jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut
voyager
pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? —
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ports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de
voyager
n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cepen
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cet air inaccoutumé qui signale que tu es parti.
Voyager
— serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et n
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jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut
voyager
pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? —
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ports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de
voyager
n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cepen
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cet air inaccoutumé qui signale que tu es parti.
Voyager
— serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et n
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jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut
voyager
pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? —
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lies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car
voyager
, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son tour dans la
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Église. Ils travaillent par petites équipes. Ils
voyagent
beaucoup et vont où l’Esprit les appelle. Ils partent bien souvent sa
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st vraiment frappant : Malraux, comme Edschmid, a
voyagé
dans des pays où il a pu voir les Européens mêlés à des révolutions i
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croit plus à la vertu des « évasions ». Elle sait
voyager
à pied, camper, nager, vivre en communauté, aller en prison, se taire
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croit plus à la vertu des « évasions ». Elle sait
voyager
à pied, camper, nager, vivre en communauté, aller en prison, se taire
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communisme. Ces gens-là n’ont probablement jamais
voyagé
au-delà des marges du Capital. Si du moins ils avaient été en Russie,
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rnelles. Placez-vous donc sur ce plan historique.
Voyagez
en URSS par exemple. Constatez, comme beaucoup l’ont fait (qui sont s
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’est de ne plus pouvoir « représenter », séduire,
voyager
, rouler auto, aller au théâtre, garder un appartement, etc. Toutes ch
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pation allemande, les étrangers qui n’avaient pas
voyagé
en France, ou ceux qui n’avaient vu que les lieux de plaisir de la ca
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décimés. Les avions, par exemple, permettaient de
voyager
vingt fois plus vite qu’en bateau. L’on décida en conséquence de rend
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lies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car
voyager
, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son tour dans la
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r décimés. Les avions par exemple permettaient de
voyager
vingt fois plus vite qu’en bateau. L’on décida en conséquence de rend
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lies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car
voyager
, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son tour dans la
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ports ? Dussè-je les inventer… Ah ! l’embarras de
voyager
n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cepen
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cet air inaccoutumé qui signale que tu es parti.
Voyager
— serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et n
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jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut
voyager
pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? —
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’est de ne plus pouvoir « représenter », séduire,
voyager
, rouler auto, aller au théâtre, garder un appartement, etc. Toutes ch
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r, après les avoir décimés. L’avion permettait de
voyager
vingt fois plus vite qu’en bateau. On décida en conséquence de rendre
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lies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car
voyager
, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son tour dans la
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ommodité de l’exposé. De mon temps, les gens bien
voyageaient
en troisième, les gens chic parfois en seconde, et je ne savais rien
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lettres en Suisse et en Autriche, à Vienne. J’ai
voyagé
en Allemagne et en Hongrie. Pendant un temps, je fus lecteur de franç
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us rien ne va de soi. La méfiance règne. Ceux qui
voyagent
encore sont des agents secrets, des policiers ou des fugitifs. Les so
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c., qui sont, comme chacun sait, nécessaires pour
voyager
? » Il fallut très longtemps au Français pour convaincre ses interloc
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erra tant de nomades et de vrais émigrés. Les uns
voyagent
vers des climats et des coutumes où l’isolement social, sans être sur
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, entre-deux-guerres. Peu d’écrivains ont si bien
voyagé
, et mieux dit ce qu’ils avaient vu. La plupart se rendaient trop visi
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ais et quelques allemands. Quand je me suis mis à
voyager
pendant mes études — longs séjours en Autriche, en Allemagne, en Ital
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des arts de l’Occident, jamais n’y a-t-il autant
voyagé
, jamais les traductions des poètes, des romanciers, des historiens, d
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vailler pendant une année sans souci matériel, de
voyager
, et de composer une œuvre nouvelle » : « Mécénat à l’échelle de l’Eur
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ommodité de l’exposé. De mon temps, les gens bien
voyageaient
en troisième, les gens chics parfois en seconde, et je ne savais rien
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sformation des mœurs. Dix mille fois plus de gens
voyagent
, cent-mille fois plus écoutent de la musique, et je ne dis pas que to
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obateurs devraient se voir retirer leur permis de
voyager
. Ils salissent tout. Mais notez que les pigeons qu’ils aiment photogr
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in très pâle). Ce que vous dites-là, ce permis de
voyager
, ce n’est pas très… démocratique ? R. — Ce ne l’est pas le moins du m
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en masse. Je demande qu’on institue le permis de
voyager
, et qu’on ne le donne qu’à ceux qui auront passé une série d’examens
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nager au fond des mers, faire de l’or, rajeunir,
voyager
dans la lune, lire les pensées, tuer ou guérir sans contact… — tout e
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Scandinavie, l’Allemagne septentrionale. Avec eux
voyageaient
armes et outils de cuivre. Ainsi s’établit, dès la première moitié du
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savant seul, et l’artiste supérieur ont besoin de
voyager
hors de l’État commercial fermé : il ne doit pas être permis plus lon
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gouvernement devrait même les encourager et faire
voyager
aux frais de l’État savants et artistes. Il est évident que dans une
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e Madrid à Varsovie, je répondrai d’un seul mot :
Voyagez
! Quittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et dès que vous commencerez
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e Madrid à Varsovie, je répondrai d’un seul mot :
Voyagez
! Quittez l’Europe, vous la découvrirez ! Et dès que vous commencerez
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nager au fond des mers, faire de l’or, rajeunir,
voyager
dans la lune, lire les pensées, tuer ou guérir sans contact… — tout e
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Scandinavie, l’Allemagne septentrionale. Avec eux
voyageaient
armes et outils de cuivre. Ainsi s’établit, dès la première moitié du
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t concevoir la commodité et l’avantage de pouvoir
voyager
à travers l’Europe avec un passeport délivré par une souveraineté que
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ue et que la Ligue rendrait valable. Ceux qui ont
voyagé
en Allemagne où il y a un si grand nombre d’États se rendent compte d
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iècle. Tout ce qui compte en Europe s’est remis à
voyager
, plus encore qu’aux beaux jours de la Renaissance, et surtout bien pl
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quieu (vers 1730) : L’Allemagne est faite pour y
voyager
, l’Italie pour y séjourner, l’Angleterre pour y penser et la France p
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anger de lieu et de se divertir118. Les Allemands
voyageaient
, c’était leur habitude, leur manie ; impossible de les retenir chez e
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anie ; impossible de les retenir chez eux. « Nous
voyageons
de père en fils, sans qu’aucune affaire nous en empêche jamais », dit
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enter afin qu’ils y mettent leur nom… Les Anglais
voyageaient
, c’était le complément de leur éducation ; les jeunes seigneurs fraîc
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tiquités. À chacun son caractère : « Les Français
voyagent
ordinairement pour épargner, de sorte qu’ils apportent quelquefois pl
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in de rendre visite à Leuwenhœck. Des philosophes
voyageaient
, et non pas afin d’aller méditer en paix dans un poêle, mais pour voi
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osités du monde ; tels Locke et Leibniz. Des rois
voyageaient
; Christine de Suède meurt à Rome en 1689 ; et le tsar Pierre part po
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int de pays où l’on trouve plus de gens qui aient
voyagé
qu’on en trouve en France. Avec cela pourtant, de tous les peuples de
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e commerce, & les mains pleines ; quand ils y
voyagent
, c’est pour y verser leur argent, non pour vivre d’industrie ; ils so
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ltivés sont généralement les plus sages, ceux qui
voyagent
le moins, voyagent le mieux ; parce qu’étant moins avancés que nous d
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ement les plus sages, ceux qui voyagent le moins,
voyagent
le mieux ; parce qu’étant moins avancés que nous dans nos recherches
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utile. Je ne connois guère que les Espagnols qui
voyagent
de cette manière. Tandis qu’un François court chez les Artistes d’un
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humeur inconstante des habitants, qui les porte à
voyager
sans cesse et à se transporter fréquemment les uns chez les autres ;
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ination et affinant le sentiment. Lorsqu’un homme
voyageait
ou séjournait loin de son pays pour son plaisir ou sa santé, pour ses
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taient comme une seule nation, s’ils se mêlaient,
voyageaient
, faisaient du commerce, prenaient du service et si chacun, arrivé dan
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savant seul et l’artiste supérieur ont besoin de
voyager
hors de l’État commercial fermé : il ne doit pas être permis plus lon
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gouvernement devrait même les encourager et faire
voyager
aux frais de l’État savants et artistes.153 Il est évident que dans
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viens à moi-même au bout de deux ans, après avoir
voyagé
dans divers domaines de la culture européenne moderne et, seul avec m
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le sacrifice de cinq ou six journées consacrées à
voyager
et à travailler en groupe, au lieu d’être consacrées à la détente d’u
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toire, et n’accorde aux Espagnols que le droit de
voyager
aux Indes pour y aller convertir les païens. Un autre moine espagnol,
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rnelles. Placez-vous donc sur ce plan historique.
Voyagez
en URSS par exemple. Constatez, comme beaucoup l’ont fait (qui sont s
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pour le service étranger, négocient les traités,
voyagent
, et reviennent se construire des châteaux. À Berne, Lucerne, Soleure,
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Jean-Jacques et de Schiller. Mais un Anglais qui
voyageait
en Suisse vers la fin de l’époque dont je parle, et qui avait étudié
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commodité de l’exposé. De mon temps les gens bien
voyageaient
en troisième, les gens chic parfois en seconde, et je ne savais rien
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e mon dialogue avec la nature et l’histoire. Mais
voyager
en Grèce est une autre aventure. Qu’on le veuille et le sache ou non,
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cessaires. Notons que le nombre des personnes qui
voyagent
ou séjournent à l’étranger pour des raisons « culturelles » est relat
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rcissique et ségrégatif de la passion. Ceux qui «
voyagent
» sont toujours seuls. Leur passion n’atteint pas la réalité de l’aut
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us rien ne va de soi. La méfiance règne. Ceux qui
voyagent
encore sont des agents secrets, des policiers ou des fugitifs. Les so
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! Une époque bouillonnante Après cela, j’ai
voyagé
. J’ai passé un an à l’Université de Vienne, où l’on ne me voyait guèr