1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 iétude libératrice que produit la recherche de la vérité . Dès son premier livre, il s’est montré tout entier, il a bravement a
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
2 st capable et qu’il lui faudra livrer au « feu de vérité  » qui brûle dans son temple intérieur, s’il veut rester digne de son
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Otto Flake, Der Gute Weg (septembre 1925)
3 s précises des types d’après-guerre d’une étrange vérité . Aux prises avec les problèmes sociaux et le luxe le moins apaisant,
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 qui peut-être retrouvera une nouvelle face de la vérité . Bornons-nous à noter le phénomène, puis à en suivre quelques conséqu
5 argument d’utilité, et bien que nous niions toute vérité , nous étions dominés par le sens d’une réalité morale absolue que cer
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
6 osent plus le mensonge de l’art, et pas encore la vérité pure — Crevel décrit sans aucune transposition romanesque le trouble
7 étextes à me dissoudre, à me perdre. » Vouloir la vérité pure sur soi, c’est se refuser à l’élan vital qui nous crée sans cess
6 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
8 à Aubonne on se sent prêt à tout lâcher pour une vérité nouvelle, on tient moins à convaincre qu’à se convaincre. Après les e
7 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
9 iences ratées on puisse encore se persuader de la vérité d’un système, hors la religion. Un système n’est pas vrai, il est uti
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
10 Il est bien clair qu’on ne saurait atteindre « la vérité sur soi » en se servant de la méthode indiquée dans le premier exempl
11 vous aident3 — mais jamais au point d’oublier la vérité qu’on désirait qu’ils cachent pour un moment. « L’art est un mensonge
12 une liberté plus précieuse que toute certitude… Ô vérité , ma vérité, non pas ce que je suis, mais ce que de toute mon âme je v
13 plus précieuse que toute certitude… Ô vérité, ma vérité , non pas ce que je suis, mais ce que de toute mon âme je veux être !…
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
14 de notre absurdité. Car l’homme « s’est fait une vérité changeante et toujours évidente, de laquelle il se demande vainement
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les derniers jours (juillet 1927)
15 a seule revue de langue française où l’on dise la vérité librement et pour elle-même. Nous regrettons de n’en pouvoir citer, f
11 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
16 , trop folle, pour être justiciable encore de nos vérités essentielles ? Il semble bien que notre temps ait prononcé définitive
17 e chose de la vie profonde, qui voient encore des vérités invisibles, qui gardent, par quelle grâce ? un peu de cette connaissa
12 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
18 onges exigent, il se reconnaît tributaire de la «  vérité trop évidente » ; alors qu’il la faudrait, sans rien fausser, transce
13 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
19 up de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle femme qui la
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
20  ; qui ne serait qu’invention, qui inventerait sa vérité . Ce serait un de ces miracles de liberté dont nous avons besoin pour
21 mans « bien faits ». Car il y a toujours assez de vérité dans une histoire où il y a de la poésie. az. « Jean Cassou : La Cl
15 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
22 as disputer à M. Benda, c’est son dur amour de la vérité tout court. Celle-là même qui paraît anarchique dans un monde où tout
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
23 raisonnements. Pour moi qui cherche à démêler la vérité sans égard aux dérangements, même violents, que cela ne manque jamais
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
24 r nous faire comprendre avec enthousiasme que ces vérités -là n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je vien
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
25 préjugé pacifiste n’est pas toujours l’esprit de vérité , il s’en faut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à
26 ut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à la tranquillité bourgeoise. Je tiens le « gain de paix » pour illus
27 et autres plaisanteries de gros calibre, car à la vérité ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre les esprits
28 s pas honte de vous faire rappeler sans cesse des vérités aussi élémentaires. L’égalitarisme des connaissances De l’exist
29 dent de mon expérience scolaire, c’est une grosse vérité que le bon sens m’eût par ailleurs fait voir : il n’y a pas d’égalité
30 forts-en-thème, voire par d’ex-instituteurs. À la vérité , il s’agit de réussites qui, pour avoir enivré l’espoir et enflammé l
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
31 tir, je ne le nie pas. Mais du point de vue de la vérité , force nous est de reconnaître que notre dilemme subsiste dans son in
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
32 i contraint de lui expliquer un certain nombre de vérités tellement évidentes — que cela n’irait pas sans quelque indécence. Et
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
33 maine que ce soit. Si l’Occident comprenait cette vérité élémentaire et en tirait des conclusions immédiates, non seulement il
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
34 raisonnements. Pour moi qui cherche à démêler la vérité sans égards aux dérangements, même violents, que cela ne manque jamai
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
35 r nous faire comprendre avec enthousiasme que ces vérités -là n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je vien
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
36 préjugé pacifiste n’est pas toujours l’esprit de vérité , il s’en faut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à
37 ut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à la tranquillité bourgeoise. Je tiens le « gain de paix » pour illus
38 et autres plaisanteries de gros calibre, car à la vérité ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre les esprits
39 s pas honte de vous faire rappeler sans cesse des vérités aussi élémentaires. 3.c. L’égalitarisme des connaissances De l’
40 dent de mon expérience scolaire, c’est une grosse vérité que le bon sens m’eût par ailleurs fait voir : il n’y a pas d’égalité
41 orts-en-thèmes, voire par d’ex-instituteurs. À la vérité , il s’agit de réussites qui, pour avoir enivré l’espoir et enflammé l
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
42 tir, je ne le nie pas. Mais du point de vue de la vérité , force nous est de reconnaître que notre dilemme subsiste dans son in
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
43 i contraint de lui expliquer un certain nombre de vérités tellement évidentes — que cela n’irait pas sans quelque indécence. Et
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
44 maine que ce soit. Si l’Occident comprenait cette vérité élémentaire et en tirait des conclusions immédiates, non seulement il
28 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
45 homme à « assumer » d’autant plus héroïquement sa vérité — une vérité qu’il doit se créer de toute sa volonté, telle inéluctab
46 umer » d’autant plus héroïquement sa vérité — une vérité qu’il doit se créer de toute sa volonté, telle inéluctablement qu’ell
29 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
47 i, ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de vérité et de mensonge, opposant une réalité vivante à une duperie commercial
48 s insulaires pour m’informer de cette irrécusable vérité  : les affaires sont les affaires, axiome qui constitue à leurs yeux m
49 ntérêt d’un récit de voyage ne réside pas dans sa vérité générale, mais bien se réfugie dans sa particulière véracité, vertu d
50 mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité banale, et seulement à condition de lui ressembler, ne fût-ce que de
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
51 onges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une vérité particulière plus importante que cette vérité générale dont tout le m
52 une vérité particulière plus importante que cette vérité générale dont tout le monde se réclame et dont personne ne vit… Et ce
53 our est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer !… Je me souvien
31 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
54 pour sentir la force neuve perpétuellement de la vérité religieuse. Il parle des religions avec une incroyable légèreté, — en
55 risé, nous dit-on, par « sa terreur sincère de la vérité qui menace ». Mais partout ailleurs, qu’en cette commune antipathie,
56 -on de toutes parts aux chrétiens. Assez parlé de Vérité , ce sont des réussites qu’il nous faut. Saluons enfin le règne de l’h
32 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
57 ments qui retiennent l’esprit à la périphérie des vérités religieuses, là où elles paraissent s’opposer, au lieu de nous aider
58 8, c’est une adhésion à ce qui lui semble être la vérité . Sa vraie conversion a lieu beaucoup plus tard, lorsqu’elle trouve, à
59 r humain n’est-il en aucune mesure le signe de la vérité . Personne, peut-être, n’a répété avec autant de force que Baring le f
60 ut acte qui entraîne des ruines humaines. Mais la vérité , elle, est indifférente à ce que nous appelons bonheur ou malheur. Et
61 que nous appelons bonheur ou malheur. Et c’est la vérité seule qu’il s’agit d’attendre. Dans Daphné Adeane, dans La Princesse
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
62 ua d’avoir été l’un des « grands détenteurs de la vérité , dont la longue chaîne part des apôtres ». Mais Kierkegaard reste sou
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
63 onventionnelle, deux lignes qui ne traduisent une vérité vécue et particulière. Telle est la certitude qui se dégage lentement
64 entière à citer, dans son inénarrable et cruelle vérité , pourtant fort émouvante par moments. C’est là qu’il retrouve Tsuruko
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
65 Je lui sais gré particulièrement d’éclairer cette vérité paradoxale, pour moi d’une importance psychologique considérable : qu
36 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
66 degré d’être — se mesure au pouvoir d’incarner sa vérité , le mal du siècle c’est l’impuissance. La proie de désirs divergents
67 ais, dans un certain style. Car il n’est point de vérité sans forme. Quelques pages étranges et puissantes sur les chimères de
68 r, atteint à l’expression la plus virulente de sa vérité — si bien que la conclusion ne peut être qu’implicite et fonction d’u
37 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
69 liste est avant tout peureuse. Elle « craint » la vérité  ; non point au sens de ce verbe qui signifie la révérence, mais comme
70 certains cas où celui qui craint de dire toute la vérité n’exprime par là rien d’autre que sa méfiance vis-à-vis de la grâce e
38 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
71 t plus qu’entre marxisme et christianisme3, entre vérité collective et vérité personnifiée. Ou encore, entre la réalisation fa
72 sme et christianisme3, entre vérité collective et vérité personnifiée. Ou encore, entre la réalisation fatale d’une doctrine d
39 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
73 t songer à incorporer le plan de certains actes à Vérité et Poésie. Le drame s’ouvre sur un réveil : l’exercice sans frein des
40 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
74 nous jugeons urgent d’accentuer actuellement, la vérité  ? N’est-ce point là porter un jugement avant tout partial, et qui rév
41 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
75 ître la force et la présence. Nous connaissons la vérité . Qu’elle soit tombée du ciel ou qu’elle éclate dans les choses, on no
42 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
76 es masses. Mais en voilà assez, n’abusons pas des vérités premières, encore que la pensée bourgeoise contemporaine, comme l’a f
43 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
77 sa jeunesse. Il critique des erreurs au nom d’une vérité toute statique, au nom de valeurs tout intemporelles qui, n’étant pas
78 ets de passion. Ou bien il faut leur rappeler des vérités d’un ordre tel que leur seule existence — si elles existent — rende v
44 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
79 tain nombre de choses à dire, un certain ordre de vérités qu’il n’est plus possible de taire. Mais c’est en vain que nous cherc
80 décence, toute la violence qu’elles imposent, des vérités actuelles, personnelles, dangereuses. Dites à nous-mêmes, d’abord ; à
81  : témoigner, aussi fortement que possible, d’une vérité dont nous ne sommes pas les auteurs, mais dont l’essence même impliqu
82 ence même implique notre effort pour la réaliser. Vérité donc essentiellement concrète, vérité qui ne peut s’accomplir dans un
83 a réaliser. Vérité donc essentiellement concrète, vérité qui ne peut s’accomplir dans une synthèse satisfaisante en soi, mais
84 ordre, personnellement adressé à chacun de nous. Vérité actuelle aux deux sens de ce mot, qui sont acte et présence. Et cert
45 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
85 l’homme cherche sa sécurité, et qui n’ont pas de vérité . ⁂ La plus grande liberté d’action et de révolution est promise à cel
46 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
86 e demain nous ne verserons notre sang. Il y a une vérité qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révolutio
87 ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité humaine de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
88 C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité ne peut exister parmi nous que sous la forme d’une accusation personn
47 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
89 te sorte-là de mensonge n’est guère sensible : la vérité pour lui étant ce qui s’impose, il la confond assez naturellement ave
90 ontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient vérité dès qu’elle le veut assez puissamment. Mais en revanche, l’habileté p
91 reste sous-entendu et bien entendu, qu’en soi, la vérité est immuable, qu’elle n’est nullement atteinte par un mensonge occasi
48 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
92 i, ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de vérité et de mensonge, opposant une réalité vivante à une duperie commercial
93 s insulaires pour m’informer de cette irrécusable vérité  : les affaires sont les affaires, axiome qui constitue à leurs yeux m
94 ntérêt d’un récit de voyage ne réside pas dans sa vérité générale, mais bien se réfugie dans sa particulière véracité, vertu d
95 mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité banale, et seulement à condition de lui ressembler, ne fût-ce que de
96 onges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une vérité particulière plus importante que cette vérité générale dont tout le m
97 une vérité particulière plus importante que cette vérité générale dont tout le monde se réclame et dont personne ne vit. Et ce
98 our est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer ! Je me souviens
49 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
99 up de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle femme qui la
50 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
100 de à un si haut degré le sens de l’enrobement des vérités occultes, de leur symbolisme concret, de leur incarnation, qu’il est
51 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
101 te sorte-là de mensonge n’est guère sensible : la vérité pour lui étant ce qui s’impose, il la confond assez naturellement ave
102 ontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient vérité dès qu’elle le veut assez puissamment. Mais en revanche, l’habileté p
103 reste sous-entendu et bien entendu, qu’en soi, la vérité est immuable, qu’elle n’est nullement atteinte par un mensonge occasi
52 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
104 onges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une vérité générale dont tout le monde se réclame et dont personne ne vit. Et ce
105 our est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer ! Je me souviens
53 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
106 up de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus humaine, est plus divine quand c’est une telle femme qui la
54 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
107 de à un si haut degré le sens de l’enrobement des vérités occultes, de leur symbolisme concret, de leur incarnation, qu’il est
55 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
108 sauvegarde des hautes valeurs spirituelles et des vérités saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour missi
109 iété, l’idée chrétienne5, les hautes valeurs, les vérités saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la « 
56 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
110 pas à avoir raison contre quelqu’un : l’esprit de vérité n’est à personne. Bien souvent, parmi nous, on répond mal aux questio
57 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
111 en elle-même aussi fausse que la thèse, la seule vérité résidant dans leur conflit nécessaire, assumé en pleine conscience. T
58 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
112 ’est ce qui est affirmé ici et qui ici devient la vérité vivante, le contenu décisif d’un vrai discours sur Dieu. Mais comment
113 r le rapport nécessaire de ces deux aspects de la vérité à leur centre vivant ? Le vrai dialecticien sait que ce centre ne peu
59 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
114 pitale qu’on voudrait poser sous cette forme : la vérité est-elle en déca ou au-delà du désespoir, dans les mesures humaines o
60 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
115 e et salutaire nécessité, annoncer aux hommes une vérité qui n’est pas justiciable de leurs mesures puisqu’elle est le jugemen
116 dans laquelle cette idée devient une réalité, une vérité . » À la formule philosophique homo finitus non capax infiniti, Barth
117 r là même caractère essentiellement profane de la vérité biblique — tels sont les thèmes autour desquels s’organisent ces essa
61 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
118 utionnaire. On ne saurait trop insister sur cette vérité , à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pr
62 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
119 Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)x La lecture du bel article de M. Arnold Rey
120 à mon endroit, je le crains… 1. S’il n’y a pas de vérité absolue, en ce sens que tout jugement tenu pour vrai peut être modifi
121 ut être modifié ou complété, les conditions de la vérité sont, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les conditions de la
122 les et éternelles… (p. 12). Les conditions de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout temps, ont mon
123 ivantes chez certains penseurs, à connaître d’une vérité absolue, on put se demander si la philosophie n’allait pas démissionn
124 mporte les « conditions » purement logiques d’une vérité , qui, à nos yeux, demeure constamment jugée par une réalité qui juge
125 que même. Ce sont les conditions actuelles de la vérité qui nous posent un problème, et non pas ses conditions « éternelles »
126 témoignent par là de beaucoup de respect pour la vérité créatrice. Non, notre adhésion à Barth n’est pas le fait de la mauvai
127 condition humaine) qui est l’état dans lequel la vérité ne peut opérer dans notre existence que par un choix, une décision, —
128 ence, qui juge tout. x. « Petites notes sur les vérités éternelles », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Frib
63 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
129 ent. Il s’arroge des droits sur eux, bien qu’à la vérité il ne résulte que de la somme de leurs altérations. Les hommes qui co
64 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
130 es et la tranquillité publique sont menacées ? La vérité , c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seul
131 st peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle vérité supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à
132 maritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le procha
65 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
133 ir ? Ceux-là seuls qui n’ont pas à subordonner la vérité de leur message aux calculs de l’opportunisme. Quelques exaltés, pens
66 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
134 Que faire ? On ne saurait trop insister sur cette vérité , à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pr
67 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
135 t, et qu’on le peut sans renoncer à rien de cette vérité qui jugera toujours tous les systèmes. Travaillons avec ceux que nous
68 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
136 uelles bien des fidèles tiennent aussi peu qu’aux vérités qui les réfutent. D’autres fois, nous avons parlé trop haut, à cause
69 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
137 arement de nos jours, d’entendre des gens dire la vérité sur eux-mêmes. Je sortis assez déçu, comme on sort en général de tout
70 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
138 endance religieuse » et non pas un « témoin de la vérité  » ; c’est qu’il se faisait du christianisme une idée si pure et si ab
71 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
139 ui montre, seul. Cette primauté de la foi sur les vérités qui font vivre, cette solitude première devant Dieu, est-ce bien cela
140 des faits, et des plus marquants de l’époque, la vérité des anathèmes dont Kierkegaard salua leur naissance. Nous nous tourno
141 ser porter la main sur Caïus Marius, telle est la vérité . Mais trois ou quatre femmes, dans l’illusion d’être une foule et que
142 contraire nous répète : « La subjectivité est la vérité . » La liberté, la dignité de l’homme, c’est qu’il soit seul le sujet
72 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
143 s aussi opportun de la part de nos romanciers. La vérité , c’est que la bourgeoisie n’ose plus défendre ses vrais buts, et préf
144 iétique. Mais bien à hauteur d’homme, et c’est la vérité personnaliste. Enseigner, c’est rappeler aux hommes les fins de leurs
73 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
145 est qu’une bête. À la fois ange et bête, voilà sa vérité totale, c’est-à-dire sa poésie. Il y a dans Sara Alelia une poésie pa
74 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
146 nceptions partielles, qui comportent chacune leur vérité , ne viennent à s’opposer d’une façon meurtrière. Quel remède à ce pér
75 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
147 Mais il faudrait alors déclarer ses critères. La vérité psychologique, telle que la conçoivent les historiens, me paraît part
148 que « Christ est ressuscité », c’est énoncer une vérité qu’aucune preuve humaine ne peut réellement appuyer ; car l’œuvre de
76 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
149 e ne résident pas dans son histoire, mais dans sa vérité , c’est-à-dire dans l’objet de sa foi. Mais de cette force et de cette
77 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
150 fondement de tout », nous avons à connaître cette vérité de la personne : qu’elle est toute dans sa communication, laquelle do
151 À la lumière de la personne, on voit paraître la vérité de plusieurs doctrines humaines qui s’entrebattent dans la confusion
152 matérialisme et spiritualisme. Voici l’aspect de vérité que la personne éclaire en eux : le matérialisme a compris qu’il y a
78 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
153 dont rien n’atteste la réalité, la puissance, la vérité . Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec, n’a jamais
79 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
154 es et la tranquillité publique sont menacées ? La vérité , c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seul
155 st peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle vérité supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à
156 maritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le procha
80 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
157 n polémique extrêmement efficace et qui tirait sa vérité relative de l’état de mensonge dans lequel vivait la bourgeoisie. Ajo
158 la bourgeoisie. Ajoutons tout de suite que cette vérité relative subsiste encore de nos jours dans la mesure où cet état de m
81 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
159 sauvegarde des hautes valeurs spirituelles et des vérités saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour missi
160 été, l’idée chrétienne35, les hautes valeurs, les vérités saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la « 
82 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
161 . Je puis leur reconnaître une part importante de vérité , surtout dans leur aspect critique, qui me paraît désormais acquis. M
83 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
162 u mensonge officiel. Et quand l’État tiendrait la vérité , il en fait un mensonge dès qu’il y convertit par ses décrets. Ce n’e
84 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
163 e demain nous ne verserons notre sang. Il y a une vérité qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révolutio
164 ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité humaine de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
165 C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité ne peut exister parmi nous que sous la forme d’une accusation personn
85 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
166 atiquement ! Quand on se meut dans l’ordre des vérités qui ne dépendent pas du rendement électoral, et qui sont justement le
167 tellectuels ! » Cela signifie : vous cherchez la vérité politique, et nous, nous voulons des discours, du « pratique », c’est
168 que non, et que je suis encore mal assuré dans la vérité que je sais. Je voudrais un aveu plus profond. Qu’est-ce qu’un homme 
86 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
169 eprochent d’être sans « force » au service de nos vérités . (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoivent en effet d’a
87 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
170 Que faire ? On ne saurait trop insister sur cette vérité , à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pr
88 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
171 rkegaard ne devint pas lui-même le « témoin de la vérité  » qu’il annonçait, mais resta simplement « un poète ». Double reproch
172 que l’on ne sût déjà : à savoir que le sens de la vérité est en train d’abdiquer parmi nous devant le culte de la vie. « Le ch
173 sa doctrine. Mais quelle était son exigence ? Nos vérités nous justifient, parce qu’elles nous sont accessibles ; mais la vérit
174 t, parce qu’elles nous sont accessibles ; mais la vérité nous accuse, parce que nos désirs sont menteurs. N’est pas « témoin d
175 os désirs sont menteurs. N’est pas « témoin de la vérité  » qui veut. Ce n’est pas là un choix de l’homme. Kierkegaard a choisi
176 t-il point, par sa mort justement, témoigné de la vérité  ? 7. Tout cela, bien entendu, n’est qu’apparences, psychologie. Le
89 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
177 dont rien n’atteste la réalité, la puissance, la vérité . Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec, n’a jamais
90 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
178 es et la tranquillité publique sont menacées ? La vérité , c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seul
179 st peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle vérité supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à
180 maritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le procha
91 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
181 n polémique extrêmement efficace et qui tirait sa vérité relative de l’état de mensonge dans lequel vivait la bourgeoisie. Ajo
182 la bourgeoisie. Ajoutons tout de suite que cette vérité relative subsiste encore de nos jours dans la mesure où cet état de m
92 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
183 ù ils trouvent la sécurité, mais qui n’ont pas de vérité . ⁂ La plus grande liberté d’action et de révolution est promise à cel
93 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
184 sauvegarde des hautes valeurs spirituelles et des vérités saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour missi
185 été, l’idée chrétienne28, les hautes valeurs, les vérités saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la « 
94 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
186 . Je puis leur reconnaître une part importante de vérité , surtout dans leur aspect critique, qui me paraît désormais acquis. M
95 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
187 u mensonge officiel. Et quand l’État tiendrait la vérité , il en fait un mensonge dès qu’il y convertit par ses décrets. Ce n’e
96 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
188 e demain nous ne verserons notre sang. Il y a une vérité qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révoluti
189 ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité humaine de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
190 C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité ne peut exister parmi nous que sous la forme d’une accusation personn
97 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
191 atiquement ! Quand on se meut dans l’ordre des vérités qui ne dépendent pas du rendement électoral, et qui sont justement le
192 ntellectuels ! » Cela signifie : vous cherchez la vérité politique, et nous, nous voulons des discours, du « pratique », c’est
193 que non, et que je suis encore mal assuré dans la vérité que je sais. Je voudrais un aveu plus profond. Qu’est-ce qu’un homme 
98 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
194 eprochent d’être sans « force » au service de nos vérités . (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoivent, en effet, d
99 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
195 utionnaire. On ne saurait trop insister sur cette vérité à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pra
100 1935, Esprit, articles (1932–1962). Maurice Meunier, Idoles (février 1935)
196 en vitesse au dernier paragraphe. Tout cela d’une vérité proprement désarmante. M. Meunier atteint sans effort apparent la per