1
iétude libératrice que produit la recherche de la
vérité
. Dès son premier livre, il s’est montré tout entier, il a bravement a
2
st capable et qu’il lui faudra livrer au « feu de
vérité
» qui brûle dans son temple intérieur, s’il veut rester digne de son
3
s précises des types d’après-guerre d’une étrange
vérité
. Aux prises avec les problèmes sociaux et le luxe le moins apaisant,
4
qui peut-être retrouvera une nouvelle face de la
vérité
. Bornons-nous à noter le phénomène, puis à en suivre quelques conséqu
5
argument d’utilité, et bien que nous niions toute
vérité
, nous étions dominés par le sens d’une réalité morale absolue que cer
6
osent plus le mensonge de l’art, et pas encore la
vérité
pure — Crevel décrit sans aucune transposition romanesque le trouble
7
étextes à me dissoudre, à me perdre. » Vouloir la
vérité
pure sur soi, c’est se refuser à l’élan vital qui nous crée sans cess
8
à Aubonne on se sent prêt à tout lâcher pour une
vérité
nouvelle, on tient moins à convaincre qu’à se convaincre. Après les e
9
iences ratées on puisse encore se persuader de la
vérité
d’un système, hors la religion. Un système n’est pas vrai, il est uti
10
Il est bien clair qu’on ne saurait atteindre « la
vérité
sur soi » en se servant de la méthode indiquée dans le premier exempl
11
vous aident3 — mais jamais au point d’oublier la
vérité
qu’on désirait qu’ils cachent pour un moment. « L’art est un mensonge
12
une liberté plus précieuse que toute certitude… Ô
vérité
, ma vérité, non pas ce que je suis, mais ce que de toute mon âme je v
13
plus précieuse que toute certitude… Ô vérité, ma
vérité
, non pas ce que je suis, mais ce que de toute mon âme je veux être !…
14
de notre absurdité. Car l’homme « s’est fait une
vérité
changeante et toujours évidente, de laquelle il se demande vainement
15
a seule revue de langue française où l’on dise la
vérité
librement et pour elle-même. Nous regrettons de n’en pouvoir citer, f
16
, trop folle, pour être justiciable encore de nos
vérités
essentielles ? Il semble bien que notre temps ait prononcé définitive
17
e chose de la vie profonde, qui voient encore des
vérités
invisibles, qui gardent, par quelle grâce ? un peu de cette connaissa
18
onges exigent, il se reconnaît tributaire de la «
vérité
trop évidente » ; alors qu’il la faudrait, sans rien fausser, transce
19
up de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la
vérité
est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle femme qui la
20
; qui ne serait qu’invention, qui inventerait sa
vérité
. Ce serait un de ces miracles de liberté dont nous avons besoin pour
21
mans « bien faits ». Car il y a toujours assez de
vérité
dans une histoire où il y a de la poésie. az. « Jean Cassou : La Cl
22
as disputer à M. Benda, c’est son dur amour de la
vérité
tout court. Celle-là même qui paraît anarchique dans un monde où tout
23
raisonnements. Pour moi qui cherche à démêler la
vérité
sans égard aux dérangements, même violents, que cela ne manque jamais
24
r nous faire comprendre avec enthousiasme que ces
vérités
-là n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je vien
25
préjugé pacifiste n’est pas toujours l’esprit de
vérité
, il s’en faut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à
26
ut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la
vérité
à la tranquillité bourgeoise. Je tiens le « gain de paix » pour illus
27
et autres plaisanteries de gros calibre, car à la
vérité
ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre les esprits
28
s pas honte de vous faire rappeler sans cesse des
vérités
aussi élémentaires. L’égalitarisme des connaissances De l’exist
29
dent de mon expérience scolaire, c’est une grosse
vérité
que le bon sens m’eût par ailleurs fait voir : il n’y a pas d’égalité
30
forts-en-thème, voire par d’ex-instituteurs. À la
vérité
, il s’agit de réussites qui, pour avoir enivré l’espoir et enflammé l
31
tir, je ne le nie pas. Mais du point de vue de la
vérité
, force nous est de reconnaître que notre dilemme subsiste dans son in
32
i contraint de lui expliquer un certain nombre de
vérités
tellement évidentes — que cela n’irait pas sans quelque indécence. Et
33
maine que ce soit. Si l’Occident comprenait cette
vérité
élémentaire et en tirait des conclusions immédiates, non seulement il
34
raisonnements. Pour moi qui cherche à démêler la
vérité
sans égards aux dérangements, même violents, que cela ne manque jamai
35
r nous faire comprendre avec enthousiasme que ces
vérités
-là n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que je vien
36
préjugé pacifiste n’est pas toujours l’esprit de
vérité
, il s’en faut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la vérité à
37
ut. Or je ne suis pas de ceux qui subordonnent la
vérité
à la tranquillité bourgeoise. Je tiens le « gain de paix » pour illus
38
et autres plaisanteries de gros calibre, car à la
vérité
ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre les esprits
39
s pas honte de vous faire rappeler sans cesse des
vérités
aussi élémentaires. 3.c. L’égalitarisme des connaissances De l’
40
dent de mon expérience scolaire, c’est une grosse
vérité
que le bon sens m’eût par ailleurs fait voir : il n’y a pas d’égalité
41
orts-en-thèmes, voire par d’ex-instituteurs. À la
vérité
, il s’agit de réussites qui, pour avoir enivré l’espoir et enflammé l
42
tir, je ne le nie pas. Mais du point de vue de la
vérité
, force nous est de reconnaître que notre dilemme subsiste dans son in
43
i contraint de lui expliquer un certain nombre de
vérités
tellement évidentes — que cela n’irait pas sans quelque indécence. Et
44
maine que ce soit. Si l’Occident comprenait cette
vérité
élémentaire et en tirait des conclusions immédiates, non seulement il
45
homme à « assumer » d’autant plus héroïquement sa
vérité
— une vérité qu’il doit se créer de toute sa volonté, telle inéluctab
46
umer » d’autant plus héroïquement sa vérité — une
vérité
qu’il doit se créer de toute sa volonté, telle inéluctablement qu’ell
47
i, ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de
vérité
et de mensonge, opposant une réalité vivante à une duperie commercial
48
s insulaires pour m’informer de cette irrécusable
vérité
: les affaires sont les affaires, axiome qui constitue à leurs yeux m
49
ntérêt d’un récit de voyage ne réside pas dans sa
vérité
générale, mais bien se réfugie dans sa particulière véracité, vertu d
50
mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une
vérité
banale, et seulement à condition de lui ressembler, ne fût-ce que de
51
onges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une
vérité
particulière plus importante que cette vérité générale dont tout le m
52
une vérité particulière plus importante que cette
vérité
générale dont tout le monde se réclame et dont personne ne vit… Et ce
53
our est un amour mineur. Mais qui saura jamais la
vérité
sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer !… Je me souvien
54
pour sentir la force neuve perpétuellement de la
vérité
religieuse. Il parle des religions avec une incroyable légèreté, — en
55
risé, nous dit-on, par « sa terreur sincère de la
vérité
qui menace ». Mais partout ailleurs, qu’en cette commune antipathie,
56
-on de toutes parts aux chrétiens. Assez parlé de
Vérité
, ce sont des réussites qu’il nous faut. Saluons enfin le règne de l’h
57
ments qui retiennent l’esprit à la périphérie des
vérités
religieuses, là où elles paraissent s’opposer, au lieu de nous aider
58
8, c’est une adhésion à ce qui lui semble être la
vérité
. Sa vraie conversion a lieu beaucoup plus tard, lorsqu’elle trouve, à
59
r humain n’est-il en aucune mesure le signe de la
vérité
. Personne, peut-être, n’a répété avec autant de force que Baring le f
60
ut acte qui entraîne des ruines humaines. Mais la
vérité
, elle, est indifférente à ce que nous appelons bonheur ou malheur. Et
61
que nous appelons bonheur ou malheur. Et c’est la
vérité
seule qu’il s’agit d’attendre. Dans Daphné Adeane, dans La Princesse
62
ua d’avoir été l’un des « grands détenteurs de la
vérité
, dont la longue chaîne part des apôtres ». Mais Kierkegaard reste sou
63
onventionnelle, deux lignes qui ne traduisent une
vérité
vécue et particulière. Telle est la certitude qui se dégage lentement
64
entière à citer, dans son inénarrable et cruelle
vérité
, pourtant fort émouvante par moments. C’est là qu’il retrouve Tsuruko
65
Je lui sais gré particulièrement d’éclairer cette
vérité
paradoxale, pour moi d’une importance psychologique considérable : qu
66
degré d’être — se mesure au pouvoir d’incarner sa
vérité
, le mal du siècle c’est l’impuissance. La proie de désirs divergents
67
ais, dans un certain style. Car il n’est point de
vérité
sans forme. Quelques pages étranges et puissantes sur les chimères de
68
r, atteint à l’expression la plus virulente de sa
vérité
— si bien que la conclusion ne peut être qu’implicite et fonction d’u
69
liste est avant tout peureuse. Elle « craint » la
vérité
; non point au sens de ce verbe qui signifie la révérence, mais comme
70
certains cas où celui qui craint de dire toute la
vérité
n’exprime par là rien d’autre que sa méfiance vis-à-vis de la grâce e
71
t plus qu’entre marxisme et christianisme3, entre
vérité
collective et vérité personnifiée. Ou encore, entre la réalisation fa
72
sme et christianisme3, entre vérité collective et
vérité
personnifiée. Ou encore, entre la réalisation fatale d’une doctrine d
73
t songer à incorporer le plan de certains actes à
Vérité
et Poésie. Le drame s’ouvre sur un réveil : l’exercice sans frein des
74
nous jugeons urgent d’accentuer actuellement, la
vérité
? N’est-ce point là porter un jugement avant tout partial, et qui rév
75
ître la force et la présence. Nous connaissons la
vérité
. Qu’elle soit tombée du ciel ou qu’elle éclate dans les choses, on no
76
es masses. Mais en voilà assez, n’abusons pas des
vérités
premières, encore que la pensée bourgeoise contemporaine, comme l’a f
77
sa jeunesse. Il critique des erreurs au nom d’une
vérité
toute statique, au nom de valeurs tout intemporelles qui, n’étant pas
78
ets de passion. Ou bien il faut leur rappeler des
vérités
d’un ordre tel que leur seule existence — si elles existent — rende v
79
tain nombre de choses à dire, un certain ordre de
vérités
qu’il n’est plus possible de taire. Mais c’est en vain que nous cherc
80
décence, toute la violence qu’elles imposent, des
vérités
actuelles, personnelles, dangereuses. Dites à nous-mêmes, d’abord ; à
81
: témoigner, aussi fortement que possible, d’une
vérité
dont nous ne sommes pas les auteurs, mais dont l’essence même impliqu
82
ence même implique notre effort pour la réaliser.
Vérité
donc essentiellement concrète, vérité qui ne peut s’accomplir dans un
83
a réaliser. Vérité donc essentiellement concrète,
vérité
qui ne peut s’accomplir dans une synthèse satisfaisante en soi, mais
84
ordre, personnellement adressé à chacun de nous.
Vérité
actuelle aux deux sens de ce mot, qui sont acte et présence. Et cert
85
l’homme cherche sa sécurité, et qui n’ont pas de
vérité
. ⁂ La plus grande liberté d’action et de révolution est promise à cel
86
e demain nous ne verserons notre sang. Il y a une
vérité
qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révolutio
87
ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la
vérité
humaine de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
88
C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La
vérité
ne peut exister parmi nous que sous la forme d’une accusation personn
89
te sorte-là de mensonge n’est guère sensible : la
vérité
pour lui étant ce qui s’impose, il la confond assez naturellement ave
90
ontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient
vérité
dès qu’elle le veut assez puissamment. Mais en revanche, l’habileté p
91
reste sous-entendu et bien entendu, qu’en soi, la
vérité
est immuable, qu’elle n’est nullement atteinte par un mensonge occasi
92
i, ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de
vérité
et de mensonge, opposant une réalité vivante à une duperie commercial
93
s insulaires pour m’informer de cette irrécusable
vérité
: les affaires sont les affaires, axiome qui constitue à leurs yeux m
94
ntérêt d’un récit de voyage ne réside pas dans sa
vérité
générale, mais bien se réfugie dans sa particulière véracité, vertu d
95
mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une
vérité
banale, et seulement à condition de lui ressembler, ne fût-ce que de
96
onges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une
vérité
particulière plus importante que cette vérité générale dont tout le m
97
une vérité particulière plus importante que cette
vérité
générale dont tout le monde se réclame et dont personne ne vit. Et ce
98
our est un amour mineur. Mais qui saura jamais la
vérité
sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer ! Je me souviens
99
up de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la
vérité
est plus humaine, est plus divine, quand c’est une telle femme qui la
100
de à un si haut degré le sens de l’enrobement des
vérités
occultes, de leur symbolisme concret, de leur incarnation, qu’il est
101
te sorte-là de mensonge n’est guère sensible : la
vérité
pour lui étant ce qui s’impose, il la confond assez naturellement ave
102
ontaire, titanique, du réel. Son mensonge devient
vérité
dès qu’elle le veut assez puissamment. Mais en revanche, l’habileté p
103
reste sous-entendu et bien entendu, qu’en soi, la
vérité
est immuable, qu’elle n’est nullement atteinte par un mensonge occasi
104
onges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une
vérité
générale dont tout le monde se réclame et dont personne ne vit. Et ce
105
our est un amour mineur. Mais qui saura jamais la
vérité
sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer ! Je me souviens
106
up de pied de l’âne… Écoutons plutôt Bettina — la
vérité
est plus humaine, est plus divine quand c’est une telle femme qui la
107
de à un si haut degré le sens de l’enrobement des
vérités
occultes, de leur symbolisme concret, de leur incarnation, qu’il est
108
sauvegarde des hautes valeurs spirituelles et des
vérités
saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour missi
109
iété, l’idée chrétienne5, les hautes valeurs, les
vérités
saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la «
110
pas à avoir raison contre quelqu’un : l’esprit de
vérité
n’est à personne. Bien souvent, parmi nous, on répond mal aux questio
111
en elle-même aussi fausse que la thèse, la seule
vérité
résidant dans leur conflit nécessaire, assumé en pleine conscience. T
112
’est ce qui est affirmé ici et qui ici devient la
vérité
vivante, le contenu décisif d’un vrai discours sur Dieu. Mais comment
113
r le rapport nécessaire de ces deux aspects de la
vérité
à leur centre vivant ? Le vrai dialecticien sait que ce centre ne peu
114
pitale qu’on voudrait poser sous cette forme : la
vérité
est-elle en déca ou au-delà du désespoir, dans les mesures humaines o
115
e et salutaire nécessité, annoncer aux hommes une
vérité
qui n’est pas justiciable de leurs mesures puisqu’elle est le jugemen
116
dans laquelle cette idée devient une réalité, une
vérité
. » À la formule philosophique homo finitus non capax infiniti, Barth
117
r là même caractère essentiellement profane de la
vérité
biblique — tels sont les thèmes autour desquels s’organisent ces essa
118
utionnaire. On ne saurait trop insister sur cette
vérité
, à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pr
119
Petites notes sur les
vérités
éternelles (1932-1933)x La lecture du bel article de M. Arnold Rey
120
à mon endroit, je le crains… 1. S’il n’y a pas de
vérité
absolue, en ce sens que tout jugement tenu pour vrai peut être modifi
121
ut être modifié ou complété, les conditions de la
vérité
sont, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les conditions de la
122
les et éternelles… (p. 12). Les conditions de la
vérité
sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout temps, ont mon
123
ivantes chez certains penseurs, à connaître d’une
vérité
absolue, on put se demander si la philosophie n’allait pas démissionn
124
mporte les « conditions » purement logiques d’une
vérité
, qui, à nos yeux, demeure constamment jugée par une réalité qui juge
125
que même. Ce sont les conditions actuelles de la
vérité
qui nous posent un problème, et non pas ses conditions « éternelles »
126
témoignent par là de beaucoup de respect pour la
vérité
créatrice. Non, notre adhésion à Barth n’est pas le fait de la mauvai
127
condition humaine) qui est l’état dans lequel la
vérité
ne peut opérer dans notre existence que par un choix, une décision, —
128
ence, qui juge tout. x. « Petites notes sur les
vérités
éternelles », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Frib
129
ent. Il s’arroge des droits sur eux, bien qu’à la
vérité
il ne résulte que de la somme de leurs altérations. Les hommes qui co
130
es et la tranquillité publique sont menacées ? La
vérité
, c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seul
131
st peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle
vérité
supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à
132
maritain. Et le docteur de la loi découvrit cette
vérité
que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le procha
133
ir ? Ceux-là seuls qui n’ont pas à subordonner la
vérité
de leur message aux calculs de l’opportunisme. Quelques exaltés, pens
134
Que faire ? On ne saurait trop insister sur cette
vérité
, à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pr
135
t, et qu’on le peut sans renoncer à rien de cette
vérité
qui jugera toujours tous les systèmes. Travaillons avec ceux que nous
136
uelles bien des fidèles tiennent aussi peu qu’aux
vérités
qui les réfutent. D’autres fois, nous avons parlé trop haut, à cause
137
arement de nos jours, d’entendre des gens dire la
vérité
sur eux-mêmes. Je sortis assez déçu, comme on sort en général de tout
138
endance religieuse » et non pas un « témoin de la
vérité
» ; c’est qu’il se faisait du christianisme une idée si pure et si ab
139
ui montre, seul. Cette primauté de la foi sur les
vérités
qui font vivre, cette solitude première devant Dieu, est-ce bien cela
140
des faits, et des plus marquants de l’époque, la
vérité
des anathèmes dont Kierkegaard salua leur naissance. Nous nous tourno
141
ser porter la main sur Caïus Marius, telle est la
vérité
. Mais trois ou quatre femmes, dans l’illusion d’être une foule et que
142
contraire nous répète : « La subjectivité est la
vérité
. » La liberté, la dignité de l’homme, c’est qu’il soit seul le sujet
143
s aussi opportun de la part de nos romanciers. La
vérité
, c’est que la bourgeoisie n’ose plus défendre ses vrais buts, et préf
144
iétique. Mais bien à hauteur d’homme, et c’est la
vérité
personnaliste. Enseigner, c’est rappeler aux hommes les fins de leurs
145
est qu’une bête. À la fois ange et bête, voilà sa
vérité
totale, c’est-à-dire sa poésie. Il y a dans Sara Alelia une poésie pa
146
nceptions partielles, qui comportent chacune leur
vérité
, ne viennent à s’opposer d’une façon meurtrière. Quel remède à ce pér
147
Mais il faudrait alors déclarer ses critères. La
vérité
psychologique, telle que la conçoivent les historiens, me paraît part
148
que « Christ est ressuscité », c’est énoncer une
vérité
qu’aucune preuve humaine ne peut réellement appuyer ; car l’œuvre de
149
e ne résident pas dans son histoire, mais dans sa
vérité
, c’est-à-dire dans l’objet de sa foi. Mais de cette force et de cette
150
fondement de tout », nous avons à connaître cette
vérité
de la personne : qu’elle est toute dans sa communication, laquelle do
151
À la lumière de la personne, on voit paraître la
vérité
de plusieurs doctrines humaines qui s’entrebattent dans la confusion
152
matérialisme et spiritualisme. Voici l’aspect de
vérité
que la personne éclaire en eux : le matérialisme a compris qu’il y a
153
dont rien n’atteste la réalité, la puissance, la
vérité
. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec, n’a jamais
154
es et la tranquillité publique sont menacées ? La
vérité
, c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seul
155
st peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle
vérité
supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à
156
maritain. Et le docteur de la loi découvrit cette
vérité
que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le procha
157
n polémique extrêmement efficace et qui tirait sa
vérité
relative de l’état de mensonge dans lequel vivait la bourgeoisie. Ajo
158
la bourgeoisie. Ajoutons tout de suite que cette
vérité
relative subsiste encore de nos jours dans la mesure où cet état de m
159
sauvegarde des hautes valeurs spirituelles et des
vérités
saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour missi
160
été, l’idée chrétienne35, les hautes valeurs, les
vérités
saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la «
161
. Je puis leur reconnaître une part importante de
vérité
, surtout dans leur aspect critique, qui me paraît désormais acquis. M
162
u mensonge officiel. Et quand l’État tiendrait la
vérité
, il en fait un mensonge dès qu’il y convertit par ses décrets. Ce n’e
163
e demain nous ne verserons notre sang. Il y a une
vérité
qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révolutio
164
ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la
vérité
humaine de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
165
C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La
vérité
ne peut exister parmi nous que sous la forme d’une accusation personn
166
atiquement ! Quand on se meut dans l’ordre des
vérités
qui ne dépendent pas du rendement électoral, et qui sont justement le
167
tellectuels ! » Cela signifie : vous cherchez la
vérité
politique, et nous, nous voulons des discours, du « pratique », c’est
168
que non, et que je suis encore mal assuré dans la
vérité
que je sais. Je voudrais un aveu plus profond. Qu’est-ce qu’un homme
169
eprochent d’être sans « force » au service de nos
vérités
. (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoivent en effet d’a
170
Que faire ? On ne saurait trop insister sur cette
vérité
, à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pr
171
rkegaard ne devint pas lui-même le « témoin de la
vérité
» qu’il annonçait, mais resta simplement « un poète ». Double reproch
172
que l’on ne sût déjà : à savoir que le sens de la
vérité
est en train d’abdiquer parmi nous devant le culte de la vie. « Le ch
173
sa doctrine. Mais quelle était son exigence ? Nos
vérités
nous justifient, parce qu’elles nous sont accessibles ; mais la vérit
174
t, parce qu’elles nous sont accessibles ; mais la
vérité
nous accuse, parce que nos désirs sont menteurs. N’est pas « témoin d
175
os désirs sont menteurs. N’est pas « témoin de la
vérité
» qui veut. Ce n’est pas là un choix de l’homme. Kierkegaard a choisi
176
t-il point, par sa mort justement, témoigné de la
vérité
? 7. Tout cela, bien entendu, n’est qu’apparences, psychologie. Le
177
dont rien n’atteste la réalité, la puissance, la
vérité
. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec, n’a jamais
178
es et la tranquillité publique sont menacées ? La
vérité
, c’est que la situation du monde a été de tout temps désespérée. Seul
179
st peut-être votre orgueil qui parle ? Sur quelle
vérité
supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une réponse à
180
maritain. Et le docteur de la loi découvrit cette
vérité
que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le procha
181
n polémique extrêmement efficace et qui tirait sa
vérité
relative de l’état de mensonge dans lequel vivait la bourgeoisie. Ajo
182
la bourgeoisie. Ajoutons tout de suite que cette
vérité
relative subsiste encore de nos jours dans la mesure où cet état de m
183
ù ils trouvent la sécurité, mais qui n’ont pas de
vérité
. ⁂ La plus grande liberté d’action et de révolution est promise à cel
184
sauvegarde des hautes valeurs spirituelles et des
vérités
saintes que l’Académie d’éducation et d’entraide sociale a pour missi
185
été, l’idée chrétienne28, les hautes valeurs, les
vérités
saintes, — l’Académie d’entraide sociale enfin ! Contribution à la «
186
. Je puis leur reconnaître une part importante de
vérité
, surtout dans leur aspect critique, qui me paraît désormais acquis. M
187
u mensonge officiel. Et quand l’État tiendrait la
vérité
, il en fait un mensonge dès qu’il y convertit par ses décrets. Ce n’e
188
e demain nous ne verserons notre sang. Il y a une
vérité
qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révoluti
189
ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la
vérité
humaine de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
190
C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La
vérité
ne peut exister parmi nous que sous la forme d’une accusation personn
191
atiquement ! Quand on se meut dans l’ordre des
vérités
qui ne dépendent pas du rendement électoral, et qui sont justement le
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ntellectuels ! » Cela signifie : vous cherchez la
vérité
politique, et nous, nous voulons des discours, du « pratique », c’est
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que non, et que je suis encore mal assuré dans la
vérité
que je sais. Je voudrais un aveu plus profond. Qu’est-ce qu’un homme
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eprochent d’être sans « force » au service de nos
vérités
. (Ils disent alors : de nos rêveries.) Ils ne conçoivent, en effet, d
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utionnaire. On ne saurait trop insister sur cette
vérité
à une époque où l’engouement pour les formes les plus étroites du pra
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en vitesse au dernier paragraphe. Tout cela d’une
vérité
proprement désarmante. M. Meunier atteint sans effort apparent la per