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fre ou bénéficie, comme on voudra, d’une première
éclipse
du mythe dans les mœurs et la philosophie. La mise en ordre (pour ne
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e xviiie siècle avant Rousseau, c’est vraiment l’
éclipse
totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mér
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ace de la blanche que l’on vient de considérer, l’
éclipse
du mythe devait faire apparaître l’antithèse absolue de Tristan. Si D
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r la scène : de Molière à Mozart, c’est la grande
éclipse
du mythe. Mais à partir du roman de Rousseau, qui naît comme en marge
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fre ou bénéficie, comme on voudra, d’une première
éclipse
du mythe dans les mœurs et la philosophie. La mise en ordre (pour ne
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e xviiie siècle avant Rousseau, c’est vraiment l’
éclipse
totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mér
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ace de la blanche que l’on vient de considérer, l’
éclipse
du mythe devait faire apparaître l’antithèse absolue de Tristan. Si D
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r la scène : de Molière à Mozart, c’est la grande
éclipse
du mythe. Mais à partir du roman de Rousseau, qui naît comme en marge
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fre ou bénéficie, comme on voudra, d’une première
éclipse
du mythe dans les mœurs et la philosophie. La mise en ordre (pour ne
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e xviiie siècle avant Rousseau, c’est vraiment l’
éclipse
totale du Soleil noir de la Mélancolie. Les « qualités » et les « mér
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ace de la blanche que l’on vient de considérer, l’
éclipse
du mythe devait faire apparaître l’antithèse absolue de Tristan. Si D
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r la scène ; de Molière à Mozart, c’est la grande
éclipse
du mythe. Mais à partir du roman de Rousseau, qui naît comme en marge
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professeurs ce qu’ils avaient à enseigner. » L’
éclipse
du nihilisme et l’essor culturel (1880-1917) La fin du siècle est
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loret hunc Europa iam decapitata. Et commença l’
éclipse
médiévale de la conscience — non certes de la réalité — européenne. I
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Éclipse
ou disparition d’une civilisation ? (1960)l I Le xxe siècle
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monde entier, ils préfèrent nous parler de notre
éclipse
. C’est ce paradoxe planétaire que je voudrais d’abord examiner. Au le
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de plus, pour qu’on ait le droit de parler d’une
éclipse
ou d’une mort prévisible de notre civilisation ? Avant de répondre à
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tion de l’Europe ! Où est donc dans tout cela « l’
éclipse
» de l’Europe ? Je vais le dire : dans l’esprit des Européens, et pas
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ttendant le péril noir. Je n’y crois guère. Notre
éclipse
n’est rien que notre aveuglement sur nos propres pouvoirs et notre vo
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le monde, accomplira sa propre vocation. l. «
Éclipse
ou disparition d’une civilisation ? », Stato sociale, Turin, 1960, p.
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es lents mouvements d’approche, d’émergences et d’
éclipses
alternées. Ces deux chastes ont beaucoup médité sur l’amour, sur la f
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ace de la blanche que l’on vient de considérer, l’
éclipse
du mythe de la passion devait faire apparaître l’antithèse de Tristan
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processus de leur action ; peut-être aussi leurs
éclipses
apparentes, et leurs soudaines récurrences dans une vie. (Je songe pa
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ps et l’esprit, ne sait plus comment les relier :
éclipse
de l’âme. L’antithèse radicale de cette époque classique nous est don
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es lents mouvements d’approche, d’émergences et d’
éclipses
alternées. Ces deux chastes ont beaucoup médité sur l’amour, sur la f
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ace de la blanche que l’on vient de considérer, l’
éclipse
du mythe de la passion devait faire apparaître l’antithèse de Tristan
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ocessus de leur action ; peut-être aussi de leurs
éclipses
apparentes, et de leurs soudaines récurrences dans une vie. (Je songe
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Ploret hunc Europa iam decapitata. Et commença l’
éclipse
médiévale de la conscience — non certes de la réalité — européenne. I
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Dante, fondait la Paix chrétienne, entre dans une
éclipse
qui durera plusieurs siècles. En revanche, l’essor des nations et les
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u le don de conseil ; la raison humaine subit des
éclipses
, les institutions subissent des bouleversements, et les nations de gr
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re littéraire de Bernard Barbey qui explique leur
éclipse
injuste et provisoire, que les deux ou trois autres carrières qu’il a
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monde entier, ils préfèrent nous parler de notre
éclipse
. Au lendemain de la Première Guerre mondiale déclenchée par l’Europe,
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de plus, pour qu’on ait le droit de parler d’une
éclipse
ou d’une mort prévisible de notre civilisation ? Avant de répondre, f
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monde entier, ils préfèrent nous parler de notre
éclipse
. Au lendemain de la Première Guerre mondiale déclenchée par l’Europe,
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de plus, pour qu’on ait le droit de parler d’une
éclipse
ou d’une mort prévisible de notre civilisation ? Avant de répondre, f
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ntion de l’Europe… Où est donc dans tout cela « l’
éclipse
» de l’Europe comme culture ? Dans l’esprit de ses intellectuels, et
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ttendant le péril noir. Je n’y crois guère. Notre
éclipse
n’est rien que notre aveuglement sur nos propres pouvoirs et notre vo
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es objectives — comme le retour d’une comète, une
éclipse
, ou le point de fusion d’un métal — échappant à toute discussion ; ou
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tion) va donc répondre une apparente et passagère
éclipse
du mythe. De Molière à Mozart, c’est Don Juan qui occupe la scène de
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es objectives — comme le retour d’une comète, une
éclipse
, ou le point de fusion d’un métal — échappant à toute discussion ; ou