1
ans la salle du Lyceum, M. Conrad Meili parla des
écoles
qui représentent la peinture française, des débuts du xixe siècle à
2
ui la guerre a fait perdre le goût des théories d’
écoles
et de quelques autres plaisirs pour civils : mettez-le aux prises ave
3
iste qui dépasse de beaucoup les limites de cette
école
, et qu’il eut le tort à notre sens de vouloir illustrer de pédants ex
4
« pour rien » ne songeait pas qu’il allait faire
école
. Le fait est que ce geste symbolique a déclenché tout un mouvement li
5
resse d’École Au printemps pur comme une joue,
École
errait, École suivait une femme dans les rues tant soit peu métaphysi
6
Au printemps pur comme une joue, École errait,
École
suivait une femme dans les rues tant soit peu métaphysiques d’une cap
7
ous les poèmes où détresse rimait avec maîtresse.
École
savait le mythe du voyage, et qu’on ne manque pas le train bleu d’un
8
indre que Charles Humbert ne devînt le chef d’une
école
du gris-noir neurasthénique. Il peignait des natures mortes qui décid
9
’expression. Décidément ces trois frères sont une
école
. Délaissant un moment ce trésor du meilleur réalisme, que nous sauron
10
ents peut-être insuffisants pour caractériser une
école
, mais qui révèlent tout de même une orientation générale vers une sor
11
rda. Le premier montre que la science apprise à l’
école
appauvrit l’homme de tout ce que son ignorance respectait, et ne lui
12
e main du père qui fait de longs pas réguliers… L’
École
, dans ce concert de souvenirs, n’est qu’une dissonance douloureuse2.
13
c une sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’
école
, parce que c’est la loi. La première classe fut agréable : j’alignais
14
ntrée, ma colère n’en fut que plus malfaisante. L’
école
me rendit au monde, vers l’âge de 18 ans, crispé et méfiant, sans ces
15
Et pour cause : ils n’étaient jamais sortis de l’
école
. Rien ne ressemble plus à un bon élève qu’un instituteur : de l’un à
16
bien préexiste-t-il dans les principes mêmes de l’
École
, et attire-t-il les petits bourgeois comme le portrait de Numa Droz a
17
ce point. Pour l’instant je ne veux que décrire l’
école
telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideur des co
18
éducatrice d’un tel milieu, moral et matériel ? L’
école
publique, telle que nous la voyons est semblable à tous ces monuments
19
sport, la tricherie est difficile, tandis qu’à l’
école
elle est de règle. Car la qualité et la quantité des réponses « fourn
20
ension universelle et un caractère obligatoire. L’
école
exige donc que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se
21
qu’aux médiocres, dont elle assure le triomphe. L’
école
s’attaque impitoyablement aux natures d’exception, et les réduit avec
22
réfère au résumé comme à un aide-mémoire. Mais l’
école
veut qu’on commence par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
23
’est pas modèle, il est absurde. Mais où sont à l’
école
les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va su
24
sévère. D’où notre conception pénitentiaire de l’
école
. Mais, s’il est des disciplines qui renforcent, il en est d’autres q
25
ord sur ce point : l’école primaire doit être une
école
de Démocratie. Ils insistent sur le fait que les leçons d’instruction
26
aposez trente enfants sur les bancs d’une salle d’
école
, vous n’aurez rien qui ressemble en quoi que ce soit à aucun état soc
27
connaissances indispensables qu’on lui donne à l’
école
. (Cet argent de poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le bon élèv
28
e au milieu des conditions anormales créées par l’
école
publique. Mais l’idéal de l’école est autre ; il est même tout contra
29
es créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’
école
est autre ; il est même tout contraire. On ne peut pas exiger qu’il s
30
eux. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’
école
veut que partout la valeur cède le pas à la règle. Elle cherche à dév
31
s principes dérivent nécessairement du fait que l’
école
est publique, obligatoire, et soumise au contrôle de l’État. Alors ?
32
l’imbécillité et au vice. » Emmanuel Duvillard, L’
École
de demain, Genève, Kündig, 1918, p. 12. 5. Il est peut-être avantage
33
ndante littérature publiée sur le « problème de l’
école
nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’ef
34
r le « problème de l’école nouvelle ». On appelle
école
nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’enseigner selon des p
35
sme inhérent à toute science. On a constaté que l’
école
actuelle est fondée sur une remarquable ignorance de la psychologie i
36
s à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle de l’
école
pratique. Plus tard on fait apprendre à ces mêmes enfants, et réciter
37
tion du pratique prévaut, il est à craindre que l’
école
nouvelle n’apporte bientôt sa méthode rationnelle pour apprendre aux
38
pédagogique. De même, sous le louable prétexte d’
école
active, on prétend faire apprendre la grammaire par le moyen de gesti
39
qu’elles sont comiques précisément. Je ferai à l’
école
nouvelle un reproche d’une autre nature. Elle prétend donner plus de
40
ble trois enfants… Je reconnais que les buts de l’
école
nouvelle sont honnêtement scientifiques, et désintéressés. Mais l’enf
41
-être l’humanité… Je songe à un enseignement sans
école
. Je songe au maître antique, dont toute la personne était un enseigne
42
ns qui appliquent avec ferveur les principes de l’
école
libre, qui se moquent des programmes, et dont les classes joyeuses so
43
échapper plus longtemps à MM. les Inspecteurs des
Écoles
. Je le crains, dis-je ; car le monde ne progresse qu’à la faveur de m
44
r de malentendus (si tant est qu’il progresse). L’
école
nouvelle n’échappe à l’absurdité primaire qu’à la faveur d’une équivo
45
urs siamoises. Continuons. La démocratie doit à l’
École
de vivre encore. Mais ce n’est de la part de notre Institutrice qu’un
46
ne explication vraisemblable de cette incurie : l’
école
, sous sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle politique et s
47
colaire ; car il ne faudrait pas moins pour que l’
école
rattrape l’époque… Mais les gouvernements savent ce qu’ils font. Tout
48
révolte de ma sensibilité qui me dresse contre l’
École
. Mes arguments ne se mettent en branle qu’après coup. Et quand vous l
49
idéologies politiques, et peu m’importerait que l’
École
soit une machine à fabriquer de la démocratie — si je ne sentais mena
50
e (Ici, le procureur prit un ton plus grave.) L’
école
s’est vendue à des intérêts politiques. C’était là, nous venons de le
51
rop laid ».) À peine capable de nous instruire, l’
École
prétend ouvertement nous éduquer. D’ailleurs elle y est obligée dans
52
comme le veut le cliché, mais schématiques. Or l’
École
radicale ne peut pas être idéaliste : car elle deviendrait un danger
53
es de la famille sont falsifiées. Non seulement l’
École
ne constitue pas le pôle idéaliste nécessaire à l’équilibre d’une civ
54
révolte qui apparaissent de toutes parts. Mais l’
école
empoisonne les germes d’une renaissance de l’esprit dont elle devrait
55
rne à un vaste établissement de travaux forcés. L’
école
donne à l’enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen b
56
ne qu’en tant qu’elle est cultivée par l’État), l’
École
, après avoir entraîné l’âme moderne dans ses collèges, l’y enferme et
57
progrès, elles corrigent, stimulent, vivifient. L’
École
se contente d’être figée. Est-ce un frein ? Même pas. C’est plutôt un
58
conserver des siècles encore… Or si je dis que l’
École
est contre le progrès, c’est que le progrès consiste à dépasser la Dé
59
ns les principes démocratiques, et dans ceux de l’
École
, mais encore dans toute la conduite moderne de la vie. C’est notre am
60
al. Un nouvel état d’esprit : voilà bien ce que l’
École
empêche même de concevoir Elle cultive ce qu’il y a d’anti-irrationne
61
t une révolution qu’il faut. Alors, supprimer les
écoles
, raser les collèges, renvoyer les instituteurs aux pommes de terre ?
62
es de terre ? Impossible. Le peuple qui déteste l’
école
a pourtant faim d’instruction15, et se croirait lésé dans un de ses d
63
empêcher. Il s’agit de lui faire comprendre que l’
école
est le plus gros obstacle à sa culture. Et c’est cela, préparer le te
64
de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’
école
devrait donner à l’enfant ce que son entourage ne peut plus lui donne
65
ses fait des soldats en moins de trois mois. Si l’
école
appliquait en les transposant des méthodes de concentration analogues
66
ces facultés atrophiées que devrait s’employer l’
école
. Nous avons vu qu’elle préfère les étouffer. Cependant, je ne crois p
67
seil de paroisse. Je préciserai donc : je tiens l’
École
pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les instituteurs pour gibi
68
s pédagogiques encore très actuels, du fait que l’
école
n’a pas bougé depuis. 16. On promet des confitures à l’enfant, s’il
69
rda. Le premier montre que la science apprise à l’
école
appauvrit l’homme de tout ce que son ignorance respectait, et ne lui
70
e main du père qui fait de longs pas réguliers… L’
École
, dans ce concert de souvenirs, n’est qu’une dissonance douloureuse. 3
71
ec ma sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’
école
, parce que c’est la loi. La première classe fut agréable : j’alignais
72
ntrée, ma colère n’en fut que plus malfaisante. L’
école
me rendit au monde, vers l’âge de 18 ans, crispé et méfiant, sans ces
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Et pour cause : ils n’étaient jamais sortis de l’
école
. Rien ne ressemble plus à un bon élève qu’un instituteur : de l’un à
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bien préexiste-t-il dans les principes mêmes de l’
École
, et attire-t-il les petits bourgeois comme le portrait de Numa Droz a
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ce point. Pour l’instant je ne veux que décrire l’
école
telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideur des «
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éducatrice d’un tel milieu, moral et matériel ? L’
école
publique, telle que nous la voyons est semblable à tous ces monuments
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sport, la tricherie est difficile, tandis qu’à l’
école
elle est de règle. Car la qualité et la quantité des réponses « fourn
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ension universelle et un caractère obligatoire. L’
école
exige donc que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se
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qu’aux médiocres, dont elle assure le triomphe. L’
école
s’attaque impitoyablement aux natures d’exception, et les réduit avec
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réfère au résumé comme à un aide-mémoire. Mais l’
école
veut qu’on commence par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
81
’est pas modèle, il est absurde. Mais où sont à l’
école
les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va su
82
sévère. D’où notre conception pénitentiaire de l’
école
. Mais, s’il est des disciplines qui renforcent, il en est d’autres qu
83
ord sur ce point : l’école primaire doit être une
école
de Démocratie. Ils insistent sur le fait que les leçons d’instruction
84
aposez trente enfants sur les bancs d’une salle d’
école
, vous n’aurez rien qui ressemble en quoi que ce soit à aucun état soc
85
connaissances indispensables qu’on lui donne à l’
école
. (Cet argent de poche, ni plus ni moins). Ou encore : que le bon élèv
86
e au milieu des conditions anormales créées par l’
école
publique. Mais l’idéal de l’école est autre ; il est même tout contra
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es créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’
école
est autre ; il est même tout contraire. On ne peut pas exiger qu’il s
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ves. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’
école
veut que partout la valeur cède le pas à la règle. Elle cherche à dév
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s principes dérivent nécessairement du fait que l’
école
est publique, obligatoire, et soumise au contrôle de l’État. Alors ?
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s conduit souvent à l’imbécillité et au vice. » L’
école
de demain, page 12. 5. Il est peut-être avantageux dans certains cas
91
ndante littérature publiée sur le « problème de l’
école
nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’ef
92
r le « problème de l’école nouvelle ». On appelle
école
nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’enseigner selon des p
93
sme inhérent à toute science. On a constaté que l’
école
actuelle est fondée sur une remarquable ignorance de la psychologie i
94
ans à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle l’
école
pratique. Plus tard, on fait apprendre à ces mêmes enfants, et récite
95
tion du pratique prévaut, il est à craindre que l’
école
nouvelle n’apporte bientôt sa méthode rationnelle pour apprendre aux
96
pédagogique. De même, sous le louable prétexte d’
école
active, on prétend faire apprendre la grammaire par le moyen de gesti
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qu’elles sont comiques précisément. Je ferai à l’
école
nouvelle un reproche d’une autre nature. Elle prétend donner plus de
98
ble trois enfants… Je reconnais que les buts de l’
école
nouvelle sont honnêtement scientifiques, et désintéressés. Mais l’enf
99
-être l’humanité… Je songe à un enseignement sans
école
. Je songe au maître antique, dont toute la personne était un enseigne
100
ns qui appliquent avec ferveur les principes de l’
école
libre, qui se moquent des programmes et dont les classes sont de vrai
101
échapper plus longtemps à MM. les Inspecteurs des
Écoles
. Je le crains, dis-je ; car le monde ne progresse qu’à la faveur de m
102
r de malentendus (si tant est qu’il progresse.) L’
école
nouvelle n’échappe à l’absurdité primaire qu’à la faveur d’une équivo
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urs siamoises. Continuons. La démocratie doit à l’
École
de vivre encore. Mais ce n’est de la part de notre Institutrice qu’un
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ne explication vraisemblable de cette incurie : l’
école
, sous sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle politique et s
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colaire ; car il ne faudrait pas moins pour que l’
école
rattrape l’époque… Mais les gouvernements savent ce qu’ils font. Tout
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révolte de ma sensibilité qui me dresse contre l’
École
. Mes arguments ne se mettent en branle qu’après coup. Et quand vous l
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idéologies politiques, et peu m’importerait que l’
École
soit une machine à fabriquer de la démocratie — si je ne sentais mena
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(Ici, le procureur prit un ton plus grave). L’
école
s’est vendue à des intérêts politiques. C’était là, nous venons de le
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rop laid ».) À peine capable de nous instruire, l’
École
prétend ouvertement nous éduquer. D’ailleurs elle y est obligée dans
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comme le veut le cliché, mais schématiques. Or l’
École
radicale ne peut pas être idéaliste : car elle deviendrait un danger
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es de la famille sont falsifiées. Non seulement l’
École
ne constitue pas le pôle idéaliste nécessaire à l’équilibre d’une civ
112
révolte qui apparaissent de toutes parts. Mais l’
école
empoisonne les germes d’une renaissance de l’esprit dont elle devrait
113
rne à un vaste établissement de travaux forcés. L’
école
donne à l’enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen b
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ne qu’en tant qu’elle est cultivée par l’État), l’
École
, après avoir entraîné l’âme moderne dans ses collèges, l’y enferme et
115
progrès, elles corrigent, stimulent, vivifient. L’
École
se contente d’être figée. Est-ce un frein ? Même pas. C’est plutôt un
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conserver des siècles encore… Or si je dis que l’
École
est contre le progrès, c’est que le progrès consiste à dépasser la Dé
117
ns les principes démocratiques, et dans ceux de l’
École
, mais encore dans toute la conduite moderne de la vie. C’est notre am
118
al. Un nouvel état d’esprit : voilà bien ce que l’
École
empêche même de concevoir. Elle cultive ce qu’il y a d’anti-irrationn
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t une révolution qu’il faut. Alors, supprimer les
écoles
, raser les collèges, renvoyer les instituteurs aux pommes de terre ?
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es de terre ? Impossible. Le peuple qui déteste l’
école
a pourtant faim d’instruction 15, et se croirait lésé dans un de ses
121
empêcher. Il s’agit de lui faire comprendre que l’
école
est le plus gros obstacle à sa culture. Et c’est cela, préparer le te
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de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’
école
devrait donner à l’enfant ce que son entourage ne peut plus lui donne
123
ses fait des soldats en moins de trois mois. Si l’
école
appliquait en les transposant des méthodes de concentration analogues
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ces facultés atrophiées que devrait s’employer l’
école
. Nous avons vu qu’elle préfère les étouffer. Cependant, je ne crois p
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seil de paroisse. Je préciserai donc : je tiens l’
École
pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les instituteurs pour gibi
126
s pédagogiques encore très actuels, du fait que l’
école
n’a pas bougé depuis. 16. On promet des confitures à l’enfant s’il e
127
crie le lecteur, et comme il est, lui, de l’autre
école
, il referme ces pages et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’ais
128
l’Amérique, le célèbre philosophe fondateur de l’
École
de la Sagesse de Darmstadt vient de donner au Trocadéro trois confére
129
ude pratique de désordre mental dans une classe d’
école
, tant il était calme et loin d’être troublé. En regardant les choses
130
pe d’humilité. Également : Jean de Saussure : À l’
École
de Calvin, passim. 36. Cf. dans le dernier numéro de cette revue l’a
131
crie le lecteur, et comme il est, lui, de l’autre
école
, il referme ces pages et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’ais
132
pour Neuchâtel, le « Vallon » pour le « Bas », l’
école
pour les vacances. C’était fuir et trahir en son cœur le cirque proch
133
nd dans le cortège des jeunes filles sortant de l’
école
des Terreaux. Nous, les garçons, tenons notre « colloque » sur la pla
134
t à d’autres endroits. (Exercice pour enfants des
écoles
du canton : corrigez le verbe suivant : J’ai l’ennui, tu t’encoubles,
135
lui-même le poète lyrique — rattaché encore à une
école
provençale qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-
136
admirable commentateur de Du Bartas, et toute une
école
de poètes calvinistes imbus des théories cosmologiques de Paracelse ;
137
le plus grand des « poètes métaphysiciens » de l’
école
anglaise. Une première traduction de cet hymne, dont nous nous sommes
138
n, comme aussi la position prise par Barth et son
école
(p. 14). L’adhésion à une pensée nouvelle est-elle suffisamment expli
139
le plan politique, bien qu’elle soit prêchée à l’
école
comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie
140
cette légende de la vie quotidienne. Il y eut une
école
littéraire, à la fin du siècle dernier, pour soutenir que la réalité
141
erait-il si un beau jour le public se mettait à l’
école
des penseurs ? On verrait éclater, je pense, l’absurdité d’une pensée
142
le rend possible. ⁂ Max Scheler se rattachait à l’
école
allemande des phénoménologues, illustrée par Husserl et Martin Heideg
143
mot les pauvres hommes préalablement abêtis par l’
école
, par la presse, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vra
144
)b L’œuvre de M. Maurice Goguel, directeur à l’
École
des hautes études, est déjà fort importante et fait de son auteur le
145
s. Minimiser ! telle pourrait être la devise de l’
école
illustrée par M. Goguel. Il répondra que c’est au bénéfice du vrai. M
146
très diversement définis par les philosophes de l’
école
: présence, événement, concret, acte, personne. À tel point que la vr
147
telligentsia citadine s’est mise tout entière à l’
école
de Montaigne : « Les autres forment l’homme, je le récite », répète-t
148
n perdu la lucidité d’un La Rochefoucauld et de l’
école
des moralistes sceptiques français. Toutes les hypocrisies que ces mo
149
nombre de malentendus. En définitive et selon les
écoles
marxistes, il est très difficile de savoir si oui ou non le communism
150
le plan politique, bien qu’elle soit prêchée à l’
école
comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie
151
telligentsia citadine s’est mise tout entière à l’
école
de Montaigne : « Les autres forment l’homme, je le récite », répète-t
152
n perdu la lucidité d’un La Rochefoucauld et de l’
école
des moralistes sceptiques français. Toutes les hypocrisies que ces mo
153
nombre de malentendus. En définitive et selon les
écoles
marxistes, il est très difficile de savoir si oui ou non le communism
154
le plan politique, bien qu’elle soit prêchée à l’
école
comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie
155
iques, les partis deviennent des académies ou des
écoles
de rhétorique vulgaire, et les questions de personnes, le jeu des vie
156
r enseigner ou leur impose de savoir (université,
écoles
normales, académies, éducation nationale, encyclopédies officielles,
157
de soi-même. Il faut une force qui le braque, une
école
sévère et un maître. Car celui seul qui peut le plus, peut aussi nous
158
de la Réforme ne sont pas à nos yeux des chefs d’
école
; ni des docteurs dont la pensée fait loi, une fois sanctionnée par l
159
et les anabaptistes, contre les occultistes de l’
école
d’Agrippa, contre les Rabelais et Des Périers qui abandonnent la caus
160
ace, mais les lettrés et les médecins de la jeune
école
seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse comme un drame de
161
tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’
École
se met à « décourager l’orgueil patriotique », où allons-nous ? Quelq
162
aindre Montherlant. « Pourquoi n’y a-t-il pas une
École
de bonheur ? au lieu des écoles de latin et de droit : qu’on y appren
163
n’y a-t-il pas une École de bonheur ? au lieu des
écoles
de latin et de droit : qu’on y apprenne le régime de son âme. » Cela
164
de l’art est un phénomène d’incarnation (ce que l’
école
ne comprend pas). » Toute l’esthétique de Ramuz me paraît centrée sur
165
oque, non point sur les modèles rhétoriques que l’
école
nous a mis dans la tête. Presque toutes les singularités de son style
166
ien connaître hors de la forme ? La psychologie d’
école
, qui domina et qui domine encore tous les romans à la Bourget, consis
167
ques, et d’un art sans pitié. ⁂ Ramuz en veut à l’
école
, aux journaux, au langage noble, aux objets de vitrine, à la poésie p
168
ne sont pas « sublimes » comme on chante dans les
écoles
suisses. Et il est faux de « chanter » la montagne : les montagnards
169
il faut être aussi un primitif ». C’est ce que l’
école
ne peut pas admettre. 49. Pour autant, bien entendu, qu’il implique
170
iques, les partis deviennent des académies ou des
écoles
de rhétorique vulgaire, et les questions de personnes, le jeu des vie
171
t la somme de la problématique particulière à une
école
— est-ce trop dire — qui va de Schleiermacher à Harnack, en passant p
172
ecours à une piété plus libre. On sait que pour l’
école
de Barth, tout au contraire, le rôle de la théologie sera purement et
173
le de ce changement de méthode : pour la nouvelle
école
soviétique, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque chose
174
ord qu’elle n’est plus là. Nous ne sommes pas une
école
littéraire. Nous ne pensons pas que le temps soit venu d’inventer des
175
n, non d’une émeute dans les lettres. Pour qu’une
école
se crée, il faut qu’une base commune existe, qui n’existe plus aujour
176
ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’
écoles
philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les mots n’ont plus
177
tes contradictoires qu’on leur fait apprendre à l’
école
. 58. J’ai indiqué dans Penser avec les mains, p. 108, d’autres infl
178
’on leur transmet, soit par la presse, soit par l’
école
, ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes, la culture ne «
179
res mosaïques est attribuée par Wellhausen et son
école
à des disciples des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme,
180
’apogée du xiiie siècle, sont combattues par des
écoles
puissantes et sont bien loin d’avoir conquis la majorité du clergé. J
181
ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’
écoles
philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les mots n’ont plus
182
le de ce changement de méthode : pour la nouvelle
école
soviétique, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque chose
183
ée, objective, sérieuse, c’est ce que nos grandes
écoles
proposent comme idéal à leurs élèves, dans un ordre de choses, on le
184
é et automatique, à tout propos, de conventions d’
écoles
, de doutes minutieux, de modestie pédante, dont le vrai but, même inc
185
’est l’encadrer de références à des lois ou à des
écoles
, c’est démontrer que ce point de vue ne se fonde pas dans un élan « a
186
t) si l’on sait utiliser la méthode définie par l’
école
historique de la fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Cl
187
n style « populaire », car le peuple qui sort des
écoles
n’est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journ
188
’on leur transmet, soit par la presse, soit par l’
école
, ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes, la culture ne «
189
res mosaïques est attribuée par Wellhausen et son
école
à des disciples des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme,
190
’apogée du xiiie siècle, sont combattues par des
écoles
puissantes et sont bien loin d’avoir conquis la majorité du clergé. J
191
ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’
écoles
philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les mots n’ont plus
192
le de ce changement de méthode : pour la nouvelle
école
soviétique, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque chose
193
ée, objective, sérieuse, c’est ce que nos grandes
écoles
proposent comme idéal à leurs élèves, dans un ordre de choses, on le
194
é et automatique, à tout propos, de conventions d’
écoles
, de doutes minutieux, de modestie pédante, dont le vrai but, même inc
195
’est l’encadrer de références à des lois ou à des
écoles
, c’est démontrer que ce point de vue ne se fonde pas dans un élan « a
196
t) si l’on sait utiliser la méthode définie par l’
école
historique de la fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Cl
197
rcément « populaire », car le peuple qui sort des
écoles
n’est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journ
198
fournir la presse. Elle pourrait être une sorte d’
école
permanente des lecteurs de journaux ; 3° une partie documentaire sur
199
uffise de citer Freud et Jung et, d’autre part, l’
école
surréaliste. Une vague de rêves s’est étendue sur les années de l’apr
200
onscient notamment. Tout ce que les plus récentes
écoles
ont passionnément discuté, se trouve déjà posé et défini, avec une am
201
ce genre. Voire. Le peuple ne lisait pas, avant l’
école
de Guizot. Le « public », c’était la noblesse, et les bourgeois imita
202
mesure commune : ni l’Église, ni la Culture, ni l’
École
qui prétend les remplacer, n’ont plus d’autorité sur l’esprit de la l
203
by organisée par l’instituteur dans la salle de l’
école
des garçons. Il me tardait de voir une fois les habitants du village
204
urs de l’entrée et de la sortie des usines ou des
écoles
. La simple intention d’utiliser ce moyen de transport vous met en con
205
er contre les parents, contre la concurrence de l’
école
libre qui nous a pris les deux tiers de nos élèves. On aurait besoin
206
urs de l’entrée et de la sortie des usines ou des
écoles
. La simple intention d’utiliser ce moyen de transport vous met en con
207
é. Il n’y a pas, et il ne peut y avoir encore une
école
littéraire personnaliste. Pas plus qu’il n’y a et qu’il ne peut y avo
208
, Jean Tardieu. On voit qu’il ne s’agit pas d’une
école
; encore moins d’une orthodoxie personnaliste. Mais de « personnes »
209
aiblir, quand par exemple on se met chez nous à l’
école
de la droite française et de sa politique particulière conditionnée p
210
Muralt. Puis Zurich et l’hégémonie passagère de l’
École
suisse sur la littérature allemande. Avec le xixe , la Suisse réappar
211
e scène de l’Europe. De Genève, c’est une autre «
école
suisse » qui domine les lettres françaises ; après Rousseau : Constan
212
vue de l’esprit de caste que forment ailleurs les
écoles
militaires. Et c’est bien ce que devrait être une armée consciente de
213
sse spirituelle entretenue tyranniquement par nos
écoles
, la tentation de copier nos voisins dans les mœurs politiques et dans
214
t en Angleterre et en Allemagne, théologiens de l’
école
hégélienne, ou adversaires du christianisme, tous, dans un commun acc
215
by organisée par l’instituteur dans la salle de l’
école
des garçons. Il me tardait de voir une fois les habitants du village
216
urs de l’entrée et de la sortie des usines ou des
écoles
. La simple intention d’utiliser ce moyen de transport vous met en con
217
er contre les parents, contre la concurrence de l’
école
libre qui nous a pris les deux tiers de nos élèves. On aurait besoin
218
ent-ils à parler peuple à un peuple habitué dès l’
école
à ne plus se reconnaître dans l’écrit ? 17 avril 1934 La poule
219
en marche). Si les premiers triomphent (grâce à l’
École
et à l’appât des Assurances), la France est perdue. Elle sera colonis
220
ce genre. Voire. Le peuple ne lisait pas, avant l’
école
de Guizot. Le « public », c’était la noblesse, et les bourgeois imita
221
mesure commune : ni l’Église, ni la Culture, ni l’
École
qui prétend les remplacer, n’ont plus d’autorité sur l’esprit de la l
222
mot les pauvres hommes préalablement abêtis par l’
école
, par la presse, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vra
223
iques, les encyclopédistes, l’Empire ; toutes les
écoles
du xixe ; l’avant-guerre et le modernisme, encore plus périmé, de l’
224
évangéliques de nos jours ? Dès les bancs de « l’
école
du dimanche », tout jeune protestant est nourri aux sources mêmes du
225
res mosaïques est attribuée par Wellhausen et son
école
à des disciples des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme,
226
grand nom est Ibsen. La seconde philosophique : l’
école
« existentielle » d’Allemagne, avec Martin Heidegger et Karl Jaspers.
227
ger et Karl Jaspers. La troisième théologique : l’
école
dialectique, qui sous l’impulsion de Karl Barth est en train de sauve
228
araisse aux yeux des historiens futurs, comme une
école
civique élémentaire qui aura donné au peuple allemand ce qui lui manq
229
ge… Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’
école
; et tout délivré : ces ouvriers sont au fond des braves types, on pe
230
on croirait une préfiguration des logiciens de l’
école
de Vienne. Et la discussion sur le temps, au cours du « Thé loufoque
231
e à des mesures d’ordre eugénique. On ouvre une «
école
de fiancés » pour les futures femmes des SS (Schütz Staffeln : escoua
232
istère de la Propagande. En 1938, on institue des
écoles
analogues pour toutes les femmes allemandes, et l’on ne manquera pas
233
ge… Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’
école
; et tout délivré : ces ouvriers sont au fond des braves types, on pe
234
araisse aux yeux des historiens futurs, comme une
école
civique élémentaire qui aura donné au peuple allemand ce qui lui manq
235
ent, ah ! ce n’est pas un choix de l’homme ou une
école
d’énergie, ni rien qui flatte le romantisme du martyre, ni rien de be
236
tes contradictoires qu’on leur fait apprendre à l’
école
. 22. L’État totalitaire, c’est l’état de guerre, et de même on peut
237
e à soumettre le cas aux docteurs indiscrets de l’
école
viennoise ? Le beau sujet ! Ils ne l’ont pas manqué. Pour eux aussi,
238
able, qu’ils apprenaient pendant l’hiver dans des
écoles
nommées « menestrandises » — (les conservatoires de l’époque, note Ci
239
ne à cette époque est singulièrement curieux) une
école
, celle du trobar clus, dont l’ambition était de voiler la pensée sous
240
rend un sens cryptographique. Je veux parler de l’
école
du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes :
241
e pas qu’à l’époque du surréalisme florissait une
école
psychiatrique dont on n’a pu retrouver les ouvrages : le fascisme, su
242
on par les pamphlets de ses adversaires que cette
école
proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèmes surréalistes
243
attitude déterministe : or le surréalisme fut une
école
littéraire avant tout ; on ne retrouve le terme de libido dans aucun
244
qu’il a suffi que quelques-uns des chefs de cette
école
lisent Freud : les disciples se sont bornés à imiter la rhétorique de
245
existence dès le ixe siècle, dans l’islam, d’une
école
de mystiques poètes qui devaient avoir plus tard pour principales ill
246
aton — qu’il connaissait par Plotin, Proclus et l’
école
d’Athènes — un continuateur de Zoroastre. Son néo-platonisme était pa
247
les titres de quelques traités mystiques de cette
école
donnent une idée : Le Familier des Amants, Le Roman des Sept Beautés…
248
me iranien, dont s’inspiraient les mystiques de l’
école
illuminative de Sohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fi
249
er » la mystique, et cela bien avant Freud et son
école
. Voici donc le dilemme que pose l’amour-passion : si l’on n’y voit qu
250
re l’obligation de faire élever leurs enfants à l’
école
d’État « parcoururent les campagnes complètement dévêtus et chantant
251
Palerme, où Frédéric II tient sa cour, fleurit l’
école
dite des Siciliens. Dans quelle mesure cette poésie courtoise du Sud
252
ce stil nuovo, le style savant et caressant que l’
école
du Nord — novatrice mais qui revient aux origines valables — oppose à
253
riqueurs. Ce qui est frappant dans cette nouvelle
école
, c’est qu’elle rénove consciemment le langage symbolique des troubado
254
vant elle », répond Foch. L’hérésie de l’ancienne
école
, précise-t-il, c’était d’avoir voulu « faire de la guerre une science
255
e à des mesures d’ordre eugénique. On ouvre une «
école
de fiancées » pour les futures femmes des S. S. (Schutz Staffeln : es
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istère de la propagande. En 1938, on institue des
écoles
analogues pour toutes les femmes allemandes, et l’on ne manquera pas
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beaucoup sont prêts à louer la Réforme d’être une
école
de personnalités, donc un rempart contre la barbarie, c’est le moment