1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 ans la salle du Lyceum, M. Conrad Meili parla des écoles qui représentent la peinture française, des débuts du xixe siècle à
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
2 ui la guerre a fait perdre le goût des théories d’ écoles et de quelques autres plaisirs pour civils : mettez-le aux prises ave
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
3 iste qui dépasse de beaucoup les limites de cette école , et qu’il eut le tort à notre sens de vouloir illustrer de pédants ex
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
4 « pour rien » ne songeait pas qu’il allait faire école . Le fait est que ce geste symbolique a déclenché tout un mouvement li
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
5 resse d’École Au printemps pur comme une joue, École errait, École suivait une femme dans les rues tant soit peu métaphysi
6 Au printemps pur comme une joue, École errait, École suivait une femme dans les rues tant soit peu métaphysiques d’une cap
7 ous les poèmes où détresse rimait avec maîtresse. École savait le mythe du voyage, et qu’on ne manque pas le train bleu d’un
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
8 indre que Charles Humbert ne devînt le chef d’une école du gris-noir neurasthénique. Il peignait des natures mortes qui décid
9 ’expression. Décidément ces trois frères sont une école . Délaissant un moment ce trésor du meilleur réalisme, que nous sauron
10 ents peut-être insuffisants pour caractériser une école , mais qui révèlent tout de même une orientation générale vers une sor
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
11 rda. Le premier montre que la science apprise à l’ école appauvrit l’homme de tout ce que son ignorance respectait, et ne lui
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
12 e main du père qui fait de longs pas réguliers… L’ École , dans ce concert de souvenirs, n’est qu’une dissonance douloureuse2.
13 c une sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’ école , parce que c’est la loi. La première classe fut agréable : j’alignais
14 ntrée, ma colère n’en fut que plus malfaisante. L’ école me rendit au monde, vers l’âge de 18 ans, crispé et méfiant, sans ces
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
15 Et pour cause : ils n’étaient jamais sortis de l’ école . Rien ne ressemble plus à un bon élève qu’un instituteur : de l’un à
16 bien préexiste-t-il dans les principes mêmes de l’ École , et attire-t-il les petits bourgeois comme le portrait de Numa Droz a
17 ce point. Pour l’instant je ne veux que décrire l’ école telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideur des co
18 éducatrice d’un tel milieu, moral et matériel ? L’ école publique, telle que nous la voyons est semblable à tous ces monuments
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
19 sport, la tricherie est difficile, tandis qu’à l’ école elle est de règle. Car la qualité et la quantité des réponses « fourn
20 ension universelle et un caractère obligatoire. L’ école exige donc que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se
21 qu’aux médiocres, dont elle assure le triomphe. L’ école s’attaque impitoyablement aux natures d’exception, et les réduit avec
22 réfère au résumé comme à un aide-mémoire. Mais l’ école veut qu’on commence par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
23 ’est pas modèle, il est absurde. Mais où sont à l’ école les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va su
24 sévère. D’où notre conception pénitentiaire de l’ école . Mais, s’il est des disciplines qui renforcent, il en est d’autres q
25 ord sur ce point : l’école primaire doit être une école de Démocratie. Ils insistent sur le fait que les leçons d’instruction
26 aposez trente enfants sur les bancs d’une salle d’ école , vous n’aurez rien qui ressemble en quoi que ce soit à aucun état soc
27 connaissances indispensables qu’on lui donne à l’ école . (Cet argent de poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le bon élèv
28 e au milieu des conditions anormales créées par l’ école publique. Mais l’idéal de l’école est autre ; il est même tout contra
29 es créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’ école est autre ; il est même tout contraire. On ne peut pas exiger qu’il s
30 eux. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’ école veut que partout la valeur cède le pas à la règle. Elle cherche à dév
31 s principes dérivent nécessairement du fait que l’ école est publique, obligatoire, et soumise au contrôle de l’État. Alors ?
32 l’imbécillité et au vice. » Emmanuel Duvillard, L’ École de demain, Genève, Kündig, 1918, p. 12. 5. Il est peut-être avantage
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
33 ndante littérature publiée sur le « problème de l’ école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’ef
34 r le « problème de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’enseigner selon des p
35 sme inhérent à toute science. On a constaté que l’ école actuelle est fondée sur une remarquable ignorance de la psychologie i
36 s à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle de l’ école pratique. Plus tard on fait apprendre à ces mêmes enfants, et réciter
37 tion du pratique prévaut, il est à craindre que l’ école nouvelle n’apporte bientôt sa méthode rationnelle pour apprendre aux
38 pédagogique. De même, sous le louable prétexte d’ école active, on prétend faire apprendre la grammaire par le moyen de gesti
39 qu’elles sont comiques précisément. Je ferai à l’ école nouvelle un reproche d’une autre nature. Elle prétend donner plus de
40 ble trois enfants… Je reconnais que les buts de l’ école nouvelle sont honnêtement scientifiques, et désintéressés. Mais l’enf
41 -être l’humanité… Je songe à un enseignement sans école . Je songe au maître antique, dont toute la personne était un enseigne
42 ns qui appliquent avec ferveur les principes de l’ école libre, qui se moquent des programmes, et dont les classes joyeuses so
43 échapper plus longtemps à MM. les Inspecteurs des Écoles . Je le crains, dis-je ; car le monde ne progresse qu’à la faveur de m
44 r de malentendus (si tant est qu’il progresse). L’ école nouvelle n’échappe à l’absurdité primaire qu’à la faveur d’une équivo
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
45 urs siamoises. Continuons. La démocratie doit à l’ École de vivre encore. Mais ce n’est de la part de notre Institutrice qu’un
46 ne explication vraisemblable de cette incurie : l’ école , sous sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle politique et s
47 colaire ; car il ne faudrait pas moins pour que l’ école rattrape l’époque… Mais les gouvernements savent ce qu’ils font. Tout
48 révolte de ma sensibilité qui me dresse contre l’ École . Mes arguments ne se mettent en branle qu’après coup. Et quand vous l
49 idéologies politiques, et peu m’importerait que l’ École soit une machine à fabriquer de la démocratie — si je ne sentais mena
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
50 e (Ici, le procureur prit un ton plus grave.) L’ école s’est vendue à des intérêts politiques. C’était là, nous venons de le
51 rop laid ».) À peine capable de nous instruire, l’ École prétend ouvertement nous éduquer. D’ailleurs elle y est obligée dans
52 comme le veut le cliché, mais schématiques. Or l’ École radicale ne peut pas être idéaliste : car elle deviendrait un danger
53 es de la famille sont falsifiées. Non seulement l’ École ne constitue pas le pôle idéaliste nécessaire à l’équilibre d’une civ
54 révolte qui apparaissent de toutes parts. Mais l’ école empoisonne les germes d’une renaissance de l’esprit dont elle devrait
55 rne à un vaste établissement de travaux forcés. L’ école donne à l’enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen b
56 ne qu’en tant qu’elle est cultivée par l’État), l’ École , après avoir entraîné l’âme moderne dans ses collèges, l’y enferme et
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
57 progrès, elles corrigent, stimulent, vivifient. L’ École se contente d’être figée. Est-ce un frein ? Même pas. C’est plutôt un
58 conserver des siècles encore… Or si je dis que l’ École est contre le progrès, c’est que le progrès consiste à dépasser la Dé
59 ns les principes démocratiques, et dans ceux de l’ École , mais encore dans toute la conduite moderne de la vie. C’est notre am
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
60 al. Un nouvel état d’esprit : voilà bien ce que l’ École empêche même de concevoir Elle cultive ce qu’il y a d’anti-irrationne
61 t une révolution qu’il faut. Alors, supprimer les écoles , raser les collèges, renvoyer les instituteurs aux pommes de terre ?
62 es de terre ? Impossible. Le peuple qui déteste l’ école a pourtant faim d’instruction15, et se croirait lésé dans un de ses d
63 empêcher. Il s’agit de lui faire comprendre que l’ école est le plus gros obstacle à sa culture. Et c’est cela, préparer le te
64 de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’ école devrait donner à l’enfant ce que son entourage ne peut plus lui donne
65 ses fait des soldats en moins de trois mois. Si l’ école appliquait en les transposant des méthodes de concentration analogues
66 ces facultés atrophiées que devrait s’employer l’ école . Nous avons vu qu’elle préfère les étouffer. Cependant, je ne crois p
67 seil de paroisse. Je préciserai donc : je tiens l’ École pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les instituteurs pour gibi
68 s pédagogiques encore très actuels, du fait que l’ école n’a pas bougé depuis. 16. On promet des confitures à l’enfant, s’il
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
69 rda. Le premier montre que la science apprise à l’ école appauvrit l’homme de tout ce que son ignorance respectait, et ne lui
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
70 e main du père qui fait de longs pas réguliers… L’ École , dans ce concert de souvenirs, n’est qu’une dissonance douloureuse. 3
71 ec ma sœur aînée. L’année suivante, on me mit à l’ école , parce que c’est la loi. La première classe fut agréable : j’alignais
72 ntrée, ma colère n’en fut que plus malfaisante. L’ école me rendit au monde, vers l’âge de 18 ans, crispé et méfiant, sans ces
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
73 Et pour cause : ils n’étaient jamais sortis de l’ école . Rien ne ressemble plus à un bon élève qu’un instituteur : de l’un à
74 bien préexiste-t-il dans les principes mêmes de l’ École , et attire-t-il les petits bourgeois comme le portrait de Numa Droz a
75 ce point. Pour l’instant je ne veux que décrire l’ école telle qu’on la voit. Après les personnes, le décor. La laideur des « 
76 éducatrice d’un tel milieu, moral et matériel ? L’ école publique, telle que nous la voyons est semblable à tous ces monuments
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
77 sport, la tricherie est difficile, tandis qu’à l’ école elle est de règle. Car la qualité et la quantité des réponses « fourn
78 ension universelle et un caractère obligatoire. L’ école exige donc que les meilleurs ralentissent et que les plus faibles se
79 qu’aux médiocres, dont elle assure le triomphe. L’ école s’attaque impitoyablement aux natures d’exception, et les réduit avec
80 réfère au résumé comme à un aide-mémoire. Mais l’ école veut qu’on commence par apprendre le résumé. D’ailleurs elle s’arrête
81 ’est pas modèle, il est absurde. Mais où sont à l’ école les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va su
82 sévère. D’où notre conception pénitentiaire de l’ école . Mais, s’il est des disciplines qui renforcent, il en est d’autres qu
83 ord sur ce point : l’école primaire doit être une école de Démocratie. Ils insistent sur le fait que les leçons d’instruction
84 aposez trente enfants sur les bancs d’une salle d’ école , vous n’aurez rien qui ressemble en quoi que ce soit à aucun état soc
85 connaissances indispensables qu’on lui donne à l’ école . (Cet argent de poche, ni plus ni moins). Ou encore : que le bon élèv
86 e au milieu des conditions anormales créées par l’ école publique. Mais l’idéal de l’école est autre ; il est même tout contra
87 es créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’ école est autre ; il est même tout contraire. On ne peut pas exiger qu’il s
88 ves. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’ école veut que partout la valeur cède le pas à la règle. Elle cherche à dév
89 s principes dérivent nécessairement du fait que l’ école est publique, obligatoire, et soumise au contrôle de l’État. Alors ?
90 s conduit souvent à l’imbécillité et au vice. » L’ école de demain, page 12. 5. Il est peut-être avantageux dans certains cas
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
91 ndante littérature publiée sur le « problème de l’ école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’ef
92 r le « problème de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’enseigner selon des p
93 sme inhérent à toute science. On a constaté que l’ école actuelle est fondée sur une remarquable ignorance de la psychologie i
94 ans à lacer leurs souliers ; et cela s’appelle l’ école pratique. Plus tard, on fait apprendre à ces mêmes enfants, et récite
95 tion du pratique prévaut, il est à craindre que l’ école nouvelle n’apporte bientôt sa méthode rationnelle pour apprendre aux
96 pédagogique. De même, sous le louable prétexte d’ école active, on prétend faire apprendre la grammaire par le moyen de gesti
97 qu’elles sont comiques précisément. Je ferai à l’ école nouvelle un reproche d’une autre nature. Elle prétend donner plus de
98 ble trois enfants… Je reconnais que les buts de l’ école nouvelle sont honnêtement scientifiques, et désintéressés. Mais l’enf
99 -être l’humanité… Je songe à un enseignement sans école . Je songe au maître antique, dont toute la personne était un enseigne
100 ns qui appliquent avec ferveur les principes de l’ école libre, qui se moquent des programmes et dont les classes sont de vrai
101 échapper plus longtemps à MM. les Inspecteurs des Écoles . Je le crains, dis-je ; car le monde ne progresse qu’à la faveur de m
102 r de malentendus (si tant est qu’il progresse.) L’ école nouvelle n’échappe à l’absurdité primaire qu’à la faveur d’une équivo
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
103 urs siamoises. Continuons. La démocratie doit à l’ École de vivre encore. Mais ce n’est de la part de notre Institutrice qu’un
104 ne explication vraisemblable de cette incurie : l’ école , sous sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle politique et s
105 colaire ; car il ne faudrait pas moins pour que l’ école rattrape l’époque… Mais les gouvernements savent ce qu’ils font. Tout
106 révolte de ma sensibilité qui me dresse contre l’ École . Mes arguments ne se mettent en branle qu’après coup. Et quand vous l
107 idéologies politiques, et peu m’importerait que l’ École soit une machine à fabriquer de la démocratie — si je ne sentais mena
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
108 (Ici, le procureur prit un ton plus grave).   L’ école s’est vendue à des intérêts politiques. C’était là, nous venons de le
109 rop laid ».) À peine capable de nous instruire, l’ École prétend ouvertement nous éduquer. D’ailleurs elle y est obligée dans
110 comme le veut le cliché, mais schématiques. Or l’ École radicale ne peut pas être idéaliste : car elle deviendrait un danger
111 es de la famille sont falsifiées. Non seulement l’ École ne constitue pas le pôle idéaliste nécessaire à l’équilibre d’une civ
112 révolte qui apparaissent de toutes parts. Mais l’ école empoisonne les germes d’une renaissance de l’esprit dont elle devrait
113 rne à un vaste établissement de travaux forcés. L’ école donne à l’enfant ce qu’il faut pour se résigner à l’état de citoyen b
114 ne qu’en tant qu’elle est cultivée par l’État), l’ École , après avoir entraîné l’âme moderne dans ses collèges, l’y enferme et
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
115 progrès, elles corrigent, stimulent, vivifient. L’ École se contente d’être figée. Est-ce un frein ? Même pas. C’est plutôt un
116 conserver des siècles encore… Or si je dis que l’ École est contre le progrès, c’est que le progrès consiste à dépasser la Dé
117 ns les principes démocratiques, et dans ceux de l’ École , mais encore dans toute la conduite moderne de la vie. C’est notre am
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
118 al. Un nouvel état d’esprit : voilà bien ce que l’ École empêche même de concevoir. Elle cultive ce qu’il y a d’anti-irrationn
119 t une révolution qu’il faut. Alors, supprimer les écoles , raser les collèges, renvoyer les instituteurs aux pommes de terre ?
120 es de terre ? Impossible. Le peuple qui déteste l’ école a pourtant faim d’instruction 15, et se croirait lésé dans un de ses
121 empêcher. Il s’agit de lui faire comprendre que l’ école est le plus gros obstacle à sa culture. Et c’est cela, préparer le te
122 de l’organisation existante peut-on imaginer ? L’ école devrait donner à l’enfant ce que son entourage ne peut plus lui donne
123 ses fait des soldats en moins de trois mois. Si l’ école appliquait en les transposant des méthodes de concentration analogues
124 ces facultés atrophiées que devrait s’employer l’ école . Nous avons vu qu’elle préfère les étouffer. Cependant, je ne crois p
125 seil de paroisse. Je préciserai donc : je tiens l’ École pour criminelle. Mais je ne tiens pas tous les instituteurs pour gibi
126 s pédagogiques encore très actuels, du fait que l’ école n’a pas bougé depuis. 16. On promet des confitures à l’enfant s’il e
25 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
127 crie le lecteur, et comme il est, lui, de l’autre école , il referme ces pages et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’ais
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
128 l’Amérique, le célèbre philosophe fondateur de l’ École de la Sagesse de Darmstadt vient de donner au Trocadéro trois confére
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
129 ude pratique de désordre mental dans une classe d’ école , tant il était calme et loin d’être troublé. En regardant les choses
28 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
130 pe d’humilité. Également : Jean de Saussure : À l’ École de Calvin, passim. 36. Cf. dans le dernier numéro de cette revue l’a
29 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
131 crie le lecteur, et comme il est, lui, de l’autre école , il referme ces pages et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’ais
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
132 pour Neuchâtel, le « Vallon » pour le « Bas », l’ école pour les vacances. C’était fuir et trahir en son cœur le cirque proch
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
133 nd dans le cortège des jeunes filles sortant de l’ école des Terreaux. Nous, les garçons, tenons notre « colloque » sur la pla
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
134 t à d’autres endroits. (Exercice pour enfants des écoles du canton : corrigez le verbe suivant : J’ai l’ennui, tu t’encoubles,
33 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
135 lui-même le poète lyrique — rattaché encore à une école provençale qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-
34 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
136 admirable commentateur de Du Bartas, et toute une école de poètes calvinistes imbus des théories cosmologiques de Paracelse ;
137 le plus grand des « poètes métaphysiciens » de l’ école anglaise. Une première traduction de cet hymne, dont nous nous sommes
35 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
138 n, comme aussi la position prise par Barth et son école (p. 14). L’adhésion à une pensée nouvelle est-elle suffisamment expli
36 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
139 le plan politique, bien qu’elle soit prêchée à l’ école comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie
37 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
140 cette légende de la vie quotidienne. Il y eut une école littéraire, à la fin du siècle dernier, pour soutenir que la réalité
38 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
141 erait-il si un beau jour le public se mettait à l’ école des penseurs ? On verrait éclater, je pense, l’absurdité d’une pensée
142 le rend possible. ⁂ Max Scheler se rattachait à l’ école allemande des phénoménologues, illustrée par Husserl et Martin Heideg
39 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
143 mot les pauvres hommes préalablement abêtis par l’ école , par la presse, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vra
40 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
144 )b L’œuvre de M. Maurice Goguel, directeur à l’ École des hautes études, est déjà fort importante et fait de son auteur le
145 s. Minimiser ! telle pourrait être la devise de l’ école illustrée par M. Goguel. Il répondra que c’est au bénéfice du vrai. M
41 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
146 très diversement définis par les philosophes de l’ école  : présence, événement, concret, acte, personne. À tel point que la vr
42 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
147 telligentsia citadine s’est mise tout entière à l’ école de Montaigne : « Les autres forment l’homme, je le récite », répète-t
43 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
148 n perdu la lucidité d’un La Rochefoucauld et de l’ école des moralistes sceptiques français. Toutes les hypocrisies que ces mo
149 nombre de malentendus. En définitive et selon les écoles marxistes, il est très difficile de savoir si oui ou non le communism
44 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
150 le plan politique, bien qu’elle soit prêchée à l’ école comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie
45 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
151 telligentsia citadine s’est mise tout entière à l’ école de Montaigne : « Les autres forment l’homme, je le récite », répète-t
46 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
152 n perdu la lucidité d’un La Rochefoucauld et de l’ école des moralistes sceptiques français. Toutes les hypocrisies que ces mo
153 nombre de malentendus. En définitive et selon les écoles marxistes, il est très difficile de savoir si oui ou non le communism
47 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
154 le plan politique, bien qu’elle soit prêchée à l’ école comme une valeur morale, crée un abîme entre la vie privée et la vie
48 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
155 iques, les partis deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les questions de personnes, le jeu des vie
49 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
156 r enseigner ou leur impose de savoir (université, écoles normales, académies, éducation nationale, encyclopédies officielles,
50 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
157 de soi-même. Il faut une force qui le braque, une école sévère et un maître. Car celui seul qui peut le plus, peut aussi nous
51 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
158 de la Réforme ne sont pas à nos yeux des chefs d’ école  ; ni des docteurs dont la pensée fait loi, une fois sanctionnée par l
159 et les anabaptistes, contre les occultistes de l’ école d’Agrippa, contre les Rabelais et Des Périers qui abandonnent la caus
52 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
160 ace, mais les lettrés et les médecins de la jeune école seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse comme un drame de
53 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
161 tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’ École se met à « décourager l’orgueil patriotique », où allons-nous ? Quelq
54 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
162 aindre Montherlant. « Pourquoi n’y a-t-il pas une École de bonheur ? au lieu des écoles de latin et de droit : qu’on y appren
163 n’y a-t-il pas une École de bonheur ? au lieu des écoles de latin et de droit : qu’on y apprenne le régime de son âme. » Cela
55 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
164 de l’art est un phénomène d’incarnation (ce que l’ école ne comprend pas). » Toute l’esthétique de Ramuz me paraît centrée sur
165 oque, non point sur les modèles rhétoriques que l’ école nous a mis dans la tête. Presque toutes les singularités de son style
166 ien connaître hors de la forme ? La psychologie d’ école , qui domina et qui domine encore tous les romans à la Bourget, consis
167 ques, et d’un art sans pitié. ⁂ Ramuz en veut à l’ école , aux journaux, au langage noble, aux objets de vitrine, à la poésie p
168 ne sont pas « sublimes » comme on chante dans les écoles suisses. Et il est faux de « chanter » la montagne : les montagnards
169 il faut être aussi un primitif ». C’est ce que l’ école ne peut pas admettre. 49. Pour autant, bien entendu, qu’il implique
56 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
170 iques, les partis deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les questions de personnes, le jeu des vie
57 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
171 t la somme de la problématique particulière à une école — est-ce trop dire — qui va de Schleiermacher à Harnack, en passant p
172 ecours à une piété plus libre. On sait que pour l’ école de Barth, tout au contraire, le rôle de la théologie sera purement et
58 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
173 le de ce changement de méthode : pour la nouvelle école soviétique, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque chose
59 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
174 ord qu’elle n’est plus là. Nous ne sommes pas une école littéraire. Nous ne pensons pas que le temps soit venu d’inventer des
175 n, non d’une émeute dans les lettres. Pour qu’une école se crée, il faut qu’une base commune existe, qui n’existe plus aujour
60 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
176 ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’ écoles philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les mots n’ont plus
61 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
177 tes contradictoires qu’on leur fait apprendre à l’ école . 58. J’ai indiqué dans Penser avec les mains, p. 108, d’autres infl
62 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
178 ’on leur transmet, soit par la presse, soit par l’ école , ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes, la culture ne « 
63 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
179 res mosaïques est attribuée par Wellhausen et son école à des disciples des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme,
64 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
180 ’apogée du xiiie siècle, sont combattues par des écoles puissantes et sont bien loin d’avoir conquis la majorité du clergé. J
65 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
181 ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’ écoles philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les mots n’ont plus
66 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
182 le de ce changement de méthode : pour la nouvelle école soviétique, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque chose
67 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
183 ée, objective, sérieuse, c’est ce que nos grandes écoles proposent comme idéal à leurs élèves, dans un ordre de choses, on le
184 é et automatique, à tout propos, de conventions d’ écoles , de doutes minutieux, de modestie pédante, dont le vrai but, même inc
185 ’est l’encadrer de références à des lois ou à des écoles , c’est démontrer que ce point de vue ne se fonde pas dans un élan « a
186 t) si l’on sait utiliser la méthode définie par l’ école historique de la fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Cl
68 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
187 n style « populaire », car le peuple qui sort des écoles n’est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journ
69 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
188 ’on leur transmet, soit par la presse, soit par l’ école , ou plus rarement, par le livre. En d’autres termes, la culture ne « 
70 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
189 res mosaïques est attribuée par Wellhausen et son école à des disciples des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme,
71 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
190 ’apogée du xiiie siècle, sont combattues par des écoles puissantes et sont bien loin d’avoir conquis la majorité du clergé. J
72 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
191 ces latins-là que de chapelles littéraires, que d’ écoles philosophiques, que de théories politiques. Ainsi les mots n’ont plus
73 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
192 le de ce changement de méthode : pour la nouvelle école soviétique, l’unité du peuple et des clercs n’est pas « quelque chose
74 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
193 ée, objective, sérieuse, c’est ce que nos grandes écoles proposent comme idéal à leurs élèves, dans un ordre de choses, on le
194 é et automatique, à tout propos, de conventions d’ écoles , de doutes minutieux, de modestie pédante, dont le vrai but, même inc
195 ’est l’encadrer de références à des lois ou à des écoles , c’est démontrer que ce point de vue ne se fonde pas dans un élan « a
196 t) si l’on sait utiliser la méthode définie par l’ école historique de la fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Cl
75 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
197 rcément « populaire », car le peuple qui sort des écoles n’est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journ
76 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
198 fournir la presse. Elle pourrait être une sorte d’ école permanente des lecteurs de journaux ; 3° une partie documentaire sur
77 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
199 uffise de citer Freud et Jung et, d’autre part, l’ école surréaliste. Une vague de rêves s’est étendue sur les années de l’apr
200 onscient notamment. Tout ce que les plus récentes écoles ont passionnément discuté, se trouve déjà posé et défini, avec une am
78 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
201 ce genre. Voire. Le peuple ne lisait pas, avant l’ école de Guizot. Le « public », c’était la noblesse, et les bourgeois imita
202 mesure commune : ni l’Église, ni la Culture, ni l’ École qui prétend les remplacer, n’ont plus d’autorité sur l’esprit de la l
79 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
203 by organisée par l’instituteur dans la salle de l’ école des garçons. Il me tardait de voir une fois les habitants du village
204 urs de l’entrée et de la sortie des usines ou des écoles . La simple intention d’utiliser ce moyen de transport vous met en con
205 er contre les parents, contre la concurrence de l’ école libre qui nous a pris les deux tiers de nos élèves. On aurait besoin
80 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
206 urs de l’entrée et de la sortie des usines ou des écoles . La simple intention d’utiliser ce moyen de transport vous met en con
81 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
207 é. Il n’y a pas, et il ne peut y avoir encore une école littéraire personnaliste. Pas plus qu’il n’y a et qu’il ne peut y avo
208 , Jean Tardieu. On voit qu’il ne s’agit pas d’une école  ; encore moins d’une orthodoxie personnaliste. Mais de « personnes »
82 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
209 aiblir, quand par exemple on se met chez nous à l’ école de la droite française et de sa politique particulière conditionnée p
210 Muralt. Puis Zurich et l’hégémonie passagère de l’ École suisse sur la littérature allemande. Avec le xixe , la Suisse réappar
211 e scène de l’Europe. De Genève, c’est une autre «  école suisse » qui domine les lettres françaises ; après Rousseau : Constan
212 vue de l’esprit de caste que forment ailleurs les écoles militaires. Et c’est bien ce que devrait être une armée consciente de
213 sse spirituelle entretenue tyranniquement par nos écoles , la tentation de copier nos voisins dans les mœurs politiques et dans
83 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
214 t en Angleterre et en Allemagne, théologiens de l’ école hégélienne, ou adversaires du christianisme, tous, dans un commun acc
84 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
215 by organisée par l’instituteur dans la salle de l’ école des garçons. Il me tardait de voir une fois les habitants du village
216 urs de l’entrée et de la sortie des usines ou des écoles . La simple intention d’utiliser ce moyen de transport vous met en con
217 er contre les parents, contre la concurrence de l’ école libre qui nous a pris les deux tiers de nos élèves. On aurait besoin
218 ent-ils à parler peuple à un peuple habitué dès l’ école à ne plus se reconnaître dans l’écrit ? 17 avril 1934 La poule
85 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
219 en marche). Si les premiers triomphent (grâce à l’ École et à l’appât des Assurances), la France est perdue. Elle sera colonis
220 ce genre. Voire. Le peuple ne lisait pas, avant l’ école de Guizot. Le « public », c’était la noblesse, et les bourgeois imita
221 mesure commune : ni l’Église, ni la Culture, ni l’ École qui prétend les remplacer, n’ont plus d’autorité sur l’esprit de la l
222 mot les pauvres hommes préalablement abêtis par l’ école , par la presse, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vra
86 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
223 iques, les encyclopédistes, l’Empire ; toutes les écoles du xixe  ; l’avant-guerre et le modernisme, encore plus périmé, de l’
87 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
224 évangéliques de nos jours ? Dès les bancs de « l’ école du dimanche », tout jeune protestant est nourri aux sources mêmes du
225 res mosaïques est attribuée par Wellhausen et son école à des disciples des grands prophètes. Ce serait donc le prophétisme,
88 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
226 grand nom est Ibsen. La seconde philosophique : l’ école « existentielle » d’Allemagne, avec Martin Heidegger et Karl Jaspers.
227 ger et Karl Jaspers. La troisième théologique : l’ école dialectique, qui sous l’impulsion de Karl Barth est en train de sauve
89 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
228 araisse aux yeux des historiens futurs, comme une école civique élémentaire qui aura donné au peuple allemand ce qui lui manq
229 ge… Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’ école  ; et tout délivré : ces ouvriers sont au fond des braves types, on pe
90 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
230 on croirait une préfiguration des logiciens de l’ école de Vienne. Et la discussion sur le temps, au cours du « Thé loufoque 
91 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
231 e à des mesures d’ordre eugénique. On ouvre une «  école de fiancés » pour les futures femmes des SS (Schütz Staffeln : escoua
232 istère de la Propagande. En 1938, on institue des écoles analogues pour toutes les femmes allemandes, et l’on ne manquera pas
92 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
233 ge… Je le sens tout rajeuni : il est retourné à l’ école  ; et tout délivré : ces ouvriers sont au fond des braves types, on pe
234 araisse aux yeux des historiens futurs, comme une école civique élémentaire qui aura donné au peuple allemand ce qui lui manq
235 ent, ah ! ce n’est pas un choix de l’homme ou une école d’énergie, ni rien qui flatte le romantisme du martyre, ni rien de be
93 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
236 tes contradictoires qu’on leur fait apprendre à l’ école . 22. L’État totalitaire, c’est l’état de guerre, et de même on peut
94 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
237 e à soumettre le cas aux docteurs indiscrets de l’ école viennoise ? Le beau sujet ! Ils ne l’ont pas manqué. Pour eux aussi,
95 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
238 able, qu’ils apprenaient pendant l’hiver dans des écoles nommées « menestrandises » — (les conservatoires de l’époque, note Ci
239 ne à cette époque est singulièrement curieux) une école , celle du trobar clus, dont l’ambition était de voiler la pensée sous
240 rend un sens cryptographique. Je veux parler de l’ école du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes :
241 e pas qu’à l’époque du surréalisme florissait une école psychiatrique dont on n’a pu retrouver les ouvrages : le fascisme, su
242 on par les pamphlets de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèmes surréalistes
243 attitude déterministe : or le surréalisme fut une école littéraire avant tout ; on ne retrouve le terme de libido dans aucun
244 qu’il a suffi que quelques-uns des chefs de cette école lisent Freud : les disciples se sont bornés à imiter la rhétorique de
245 existence dès le ixe siècle, dans l’islam, d’une école de mystiques poètes qui devaient avoir plus tard pour principales ill
246 aton — qu’il connaissait par Plotin, Proclus et l’ école d’Athènes — un continuateur de Zoroastre. Son néo-platonisme était pa
247 les titres de quelques traités mystiques de cette école donnent une idée : Le Familier des Amants, Le Roman des Sept Beautés…
248 me iranien, dont s’inspiraient les mystiques de l’ école illuminative de Sohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fi
96 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
249 er » la mystique, et cela bien avant Freud et son école . Voici donc le dilemme que pose l’amour-passion : si l’on n’y voit qu
250 re l’obligation de faire élever leurs enfants à l’ école d’État « parcoururent les campagnes complètement dévêtus et chantant
97 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
251 Palerme, où Frédéric II tient sa cour, fleurit l’ école dite des Siciliens. Dans quelle mesure cette poésie courtoise du Sud
252 ce stil nuovo, le style savant et caressant que l’ école du Nord — novatrice mais qui revient aux origines valables — oppose à
253 riqueurs. Ce qui est frappant dans cette nouvelle école , c’est qu’elle rénove consciemment le langage symbolique des troubado
98 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
254 vant elle », répond Foch. L’hérésie de l’ancienne école , précise-t-il, c’était d’avoir voulu « faire de la guerre une science
99 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
255 e à des mesures d’ordre eugénique. On ouvre une «  école de fiancées » pour les futures femmes des S. S. (Schutz Staffeln : es
256 istère de la propagande. En 1938, on institue des écoles analogues pour toutes les femmes allemandes, et l’on ne manquera pas
100 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
257 beaucoup sont prêts à louer la Réforme d’être une école de personnalités, donc un rempart contre la barbarie, c’est le moment