1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 t voici, ô paradoxe, qu’il rejoint Kant, Kant qui écrit  : « C’est sur des maximes, non sur la discipline, qu’il faut fonder l
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
2 se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit , soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Di
3 de publier des poèmes. Éluard le comprenait, qui écrivit  : « Quand les livres se liront-ils d’eux-mêmes, sans le secours des l
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
4 x de précision : il calcule un plan, un poème. Il écrit un livre sur Einstein, des articles sur Valéry, St John Perse. On le
5 ris. Certes, ce n’est pas lui qui se refuserait à écrire — comme le fait son maître : « La marquise sortit à cinq heures ». Un
6 s il s’en permet d’autres qui le sont moins. On n’ écrit pas un roman en trois volumes sans y laisser des maladresses et des n
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Prévost, Tentative de solitude (septembre 1925)
7 rmal est fait de plusieurs fous qui s’annulent », écrit -il. Ce fou qui veut être soi purement, qui veut éliminer de soi tout
5 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
8 romantisme de ce chaos. Salmon a même tenté d’en écrire l’épopée dans Prikaz, cette traduction française de l’énorme cri de d
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
9 jà reconnaissent ne pas pouvoir les séparer. On n’ écrit plus pour s’amuser : ni pour amuser un public. Un livre est une actio
10 expérience. Et, le plus souvent, sur soi-même. On écrit pour cultiver son moi, pour l’éprouver et le prémunir, pour y découvr
11 1. Il ne s’agit pas d’exiger des poètes qu’ils écrivent des odes civiques. Mais que nos moralistes — presque tous les jeunes
7 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
12 Confession tendancieuse (mai 1926)f Écrire , pas plus que vivre, n’est de nos jours un art d’agrément. Nous somme
13 être pourquoi nous accordons voix dans le débat d’ écrire , aux forces les plus secrètes de notre être comme aux calculs les plu
14 ant des horizons, images qui s’éclairent… Je vais écrire autre chose que moi, je vais m’oublier, me perdre dans une vie nouvel
15 re que spontanée. Et spontanément je suis porté à écrire des idées qui m’aideront. Une fois écrites elles prennent un caractèr
16 porté à écrire des idées qui m’aideront. Une fois écrites elles prennent un caractère de certitude qu’elles n’avaient pas encor
8 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
17 moyen de connaissance personnelle. Après quoi il écrit  : « II y a, en fait, deux manières de se connaître, à savoir se conce
9 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
18 ire aux jeunes hommes ! » Mais ce jeune homme qui écrivit naguère sur les Fontaines du désir certaines pages magnifiques et sob
10 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
19 ion de l’Occident (décembre 1926)aa Un Chinois écrit d’Europe à un Français qui lui répond de Chine. Nous sommes loin du t
11 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
20 es plus sincères sont aussi les moins calculés », écrit Gide. D’où l’on peut tirer par une sorte de passage à la limite que l
21 remier lieu à la spontanéité. C’est pourquoi Gide écrit ailleurs : « En chaque être, le pire instinct me paraissait le plus s
22 on bureau, je prends une feuille blanche, je vais écrire ce que je trouve en moi (sentiments, idées, souvenirs, désirs, élans,
23 ures, personne ne sait la richesse de ta vie…). J’ écris ces choses. Puis, dans un ancien carnet de notes, je retrouve un être
12 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
24 oins catholiques, si les pères sont hypocrites », écrit Madame de Maintenon. Mais bientôt l’on voit la France se dépeupler ;
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
25 vrier 1927)ac « Quel admirable sujet de roman, écrit Gide, au bout de quinze ans, de vingt ans de vie conjugale, la décris
14 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
26 r 1927)ad L’on aime que, pour certains hommes, écrire ne soit que le recensement passionné de leur vie, ou l’aveu déguisé d
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
27 ue je m’excuse : c’est un peu prétentieux de vous écrire au moment où je vais me suicider, d’autant plus que vous n’y croirez
28 ausée. Je rentrai seul. Voici quelques mots que j’ écrivis à ma table en désordre où je venais de jeter mon col de smoking et un
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
29 itable symbole n’est jamais prévu par l’auteur », écrivait Cocteau dans la préface des Mariés de la tour Eiffel. Et une note d’O
30 « vouloir faire admettre que la poésie consiste à écrire une phrase ». Et cette phrase, c’est un cheval savant qui la lui a di
31 ebin (non pas Elie) pensait à quelqu’un lorsqu’il écrivit certains vers qu’on peut lire plus haut : Les anges véritables qui c
17 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
32 la puissance d’une merveilleuse obsession. Il lui écrit de longues lettres, sans les envoyer. Il apprend sa mort, et qu’elle
18 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
33 i cela doit m’anéantir. Hoffmann. I (Notes écrites en décembre 1925, au sortir d’une conférence sur le Salut de l’humani
34 vembre 1926. Je viens de retrouver quelques pages écrites il y a un an, tel soir de colère où le thermomètre eût indiqué 39° se
35 œuvres les plus significatives de ce siècle sont écrites en haine de l’époque12. Le reproche d’obscurité que l’on fait à la li
36 er l’Internationale dans les rues, faire la noce, écrire un livre de tendances très modernes. Et des gens pour se gausser quan
37 modernes. Et des gens pour se gausser quand nous écrivons Révolution, et nous offrir un billet (simple course) pour Moscou, ou
19 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
38 e. Une demi-heure plus tard, j’étais à la gare, j’ écrivais un mot d’adieu à ma maîtresse d’une nuit et je partais dans une direc
20 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
39 Journal de Genève sur « La maladie du siècle », écrit  : « Plante des pommes de terre, jeune homme ! Quand tu seras au bout
21 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
40 re de pythie. Vous dites de ce conte : c’est trop écrit . Vous dites de ce roman : c’est trop agréable. Vous dites d’un goût q
41 crète du monde. Mais c’est à condition qu’on ne l’ écrive pas, même en pensée. La poésie pure écrite est inconcevable : cela co
42 n ne l’écrive pas, même en pensée. La poésie pure écrite est inconcevable : cela consisterait dans l’expression directe de la
43 s plus qu’un autre : et qu’un beau soir il faille écrire pour vivre, possible ; mais, pour sûr, jamais vivre pour écrire16. De
44 ils en sont tout fiers : « Il n’y a plus qu’à les écrire  ». o. « La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature », R
22 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
45 vraiment trop peu des conséquences de ce que vous écrivez  ! ») En définitive, il semble que certains n’attendent de nous que d
23 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
46 rit. « Pour moi qui aime plus que tout la poésie, écrit Jaloux, aussitôt que je vis Rilke, je compris que cet univers dont je
24 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
47 r raconte dans une lettre à une amie comment il a écrit , sur commande, une Promenade dans le Midi. Récit alerte et familier (
48 on littéraire. Bien sûr, c’est cela, le malaise d’ écrire . Bopp est très intelligent. Et plein de verve, et pas embarrassé du t
25 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
49 capital et du travail. « Se fordiser ou mourir », écrivait récemment un économiste. Ford, perfection de l’industriel, offre au m
26 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
50 , et même ailleurs. Croyez-moi, ce qu’il faudrait écrire , c’est une Vie simultanée de Gérard, qui tiendrait toute en une heure
27 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
51 ations, ou mieux, qu’ils les favorisent par leurs écrits . Aragon, qui a le sens de l’amour, a dit conséquemment beaucoup de ch
28 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
52 s intellectuels (novembre 1928)at Les derniers écrits des surréalistes débattent la question de savoir s’ils vont se taire
29 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
53 nération. Mais là encore il se singularise : il n’ écrit pas de livre pour y pourchasser un moi qui feint toujours de se cache
54 isser tous les regards. Stéphane rendu à la santé écrivait  : « Ton visage me cache tous les miroirs » — à une femme qu’il aimait
30 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
55 i été bien étonné du passage où il rappelle qu’il écrit la vie d’un homme de lettres. En réalité, on ne le voit pas encore ap
31 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
56  « Je ne puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affr
57 te, simplement parce qu’il a aimé une femme, pour écrire Hypérion, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement vouloir se m
32 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
58 lowns qui me viennent l’esprit : Julien Benda… », écrit Aragon. Et Daudet nous apprend que « le petit Benda est un fameux ser
33 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
59 ueux. Il aima l’héroïne, mais sans espoir. Il lui écrivit , en sortant de là, dans une crèmerie pleine de couples à la mode. Mai
60 ttention de la femme blonde — sans résultat —, il écrivit une adresse réelle, et mit la lettre dans la première boîte venue. Le
34 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
61 e j’en ai gros sur le cœur. D’ailleurs, ce petit écrit ne peut servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un reproche auqu
35 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
62 enfants, ni même le contenu des sciences dont on écrit les noms dans les casiers. Est-ce que l’étude du trapézoïde est parti
63 une composition sur La Neige, Victoria X, 10 ans, écrit  : « C’est l’hiver. Déjà la terre a revêtu son blanc manteau. » Elle a
36 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
64 lque indécence. Et d’abord, il faut pouvoir lire, écrire et compter pour suivre la campagne électorale, voter et truquer légal
37 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
65 ue j’en ai gros sur le cœur. D’ailleurs, ce petit écrit ne peut servir à rien. — Alors ? — Justement. Il est un reproche auqu
38 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
66 enfants, ni même le contenu des sciences dont on écrit le nom dans les casiers. Est-ce que l’étude du trapézoïde est particu
67 s une composition sur La Neige, Victoria, 10 ans, écrit  : « C’est l’hiver. Déjà la terre a revêtu son blanc manteau. » Elle a
39 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
68 lque indécence. Et d’abord, il faut pouvoir lire, écrire et compter pour suivre la campagne électorale, voter et truquer légal
40 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
69 ire et Simond se livrèrent à ce petit jeu avant d’ écrire —, que voyons-nous en effet ? Une grande nuée de romanciers à peine p
70 tonique, celui que Beausire et Simond viennent d’ écrire au sujet de quelques-uns des meilleurs esprits que la France ait su r
71 pant sans doute une vue évangélique. Que ce petit écrit d’un mouvement naturel nous ramène au centre des seuls problèmes qui
41 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
72 quelles, épuisé de corps et d’âme, et n’ayant pas écrit une seule note, il se retrouva aux portes de Naples, d’où il n’eut qu
73 il se précipita dans sa chambre où il s’enferma, écrivit dans une grande fièvre tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur
42 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
74 eur-tabou du surréalisme. M. Pierre-Quint vient d’ écrire sur ce poète, qu’on a traité de fou et d’ange, un essai remarquable d
43 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
75 je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord les chapitres qui en ont envie, puis ceux qui en auront envie
44 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
76 ébauche son Empédocle, note M. Babelon, Hölderlin écrit de nombreux essais philosophiques.) Le tragique de Hölderlin, c’est q
45 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
77 a Voie royale (février 1931)c M. André Malraux écrit des livres qu’on n’oublie pas facilement. C’est qu’il y apporte un pe
46 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
78 tre toutes les pages, sur toutes les choses. Nous écrivions aux auteurs, nous recevions des livres, des lettres. Van Gogh, en qui
47 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
79 res payés par l’État et avides d’avancement ? Les écrits polémiques de Kierkegaard, Le Moment et les Attaques contre le christ
48 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
80 t « le plus violent réquisitoire qu’on ait jamais écrit contre elles ». Pour Rousseau, la montagne, c’est surtout le fond des
81 otre auteur. L’homme seul en face des sommets, qu’ écrira-t -il ? — Shelley : « L’immensité de ces sommets aériens excite, lorsqu’
49 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
82 meneurs. Mais le rare, c’est qu’un de ces meneurs écrive un livre pour nous dire comment il voit le peuple, comment il l’aime,
83 ns crainte et sans vanité non plus, car son œuvre écrite n’est encore qu’un moyen de servir et d’agir. C’est un homme sans par
84 c’est l’extrême minutie du récit. Les auteurs qui écrivent leurs mémoires s’attachent d’ordinaire aux faits pittoresques ou exce
85 n, Tamazukuri, tout à fait dans le genre d’Osaka, écrits sur des lampes carrées. Entre les stations, des étendues de toits de
50 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
86 de l’autojustification obsédante que les derniers écrits de cet auteur reprennent et fignolent avec un talent disproportionné
87 u’il « pourrait autrement ». Que rien de ce qu’il écrit ne l’engage tout entier. Qu’il n’est que spectateur de ses antagonism
88 ines phrases pourraient le laisser supposer qu’il écrivit en préface au livre récent d’un jeune aviateur, Antoine de Saint-Exup
89 que cela comporte. Un nom me hante, pendant que j’ écris ces mots : Kierkegaard, — et c’est Gide qui, l’un des premiers, l’a p
51 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
90 es cœurs se sont révélés et leur souffrance s’est écrite dans les pages innombrables de notre littérature. L’ouverture s’est f
52 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
91 protestants, vraiment ?… Ou bien, protestants qui écrivent  ? — Mais voyons d’abord les œuvres. La critique à peu près unanime a
92 Car c’est à juste titre, croyons-nous, qu’on put écrire de Saint-Saturnin qu’un tel roman exprime « toute la grandeur — et to
93 même chez les protestants, qu’un « protestant qui écrit  » ne saurait être qu’en révolte contre la foi de ses pères. Le jeu co
53 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
94 stingue l’être qu’aux racines de l’élémentaire », écrivait -il dans ses Six Cahiers. Parlons plutôt de son « communisme », nullem
54 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
95 e sens que, parlant du marxisme, Nicolas Berdiaev écrit  : « Le christianisme est plus radical. » (Marxisme et Religion.) 7.
55 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
96 cace des puissances goethéennes. ⁂ Rimbaud enfant écrit des poèmes « magiques » puis renonce à la magie, et se tait. Goethe,
97 tait. Goethe, initié dans sa jeunesse, commence d’ écrire vers ce temps, mais, la fièvre tombée, poursuivra durant toute sa vie
98 ant tout comme des écrivains ? C’est par la chose écrite , par la lettre justement qu’ils s’opposent le plus. Pourtant Rimbaud
99 agissant de deux êtres que l’on connaît par leurs écrits d’abord. Mais, pour en tenir un juste compte, il s’agit de le subordo
100 Goethe. « On a peur que son feu ne le consume », écrit un de ses amis, vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de
101 nsciente. C’est ainsi que le voyant audacieux qui écrivit les chœurs mystiques du Second Faust peut aussi faire figure de sage
102 » de Rimbaud ne peut être la littérature, puisque écrire signifie pour lui révéler, parler, crier, miraculer le réel. Au contr
103 ns, comme la douce lumière d’un soleil caché14. » Écrire , tout en se taisant. Et ceux-là seuls entendront ce silence, qui auro
104 renié avec la même violence, — celle dont il est écrit qu’elle force les portes du Royaume des Cieux. Il reste que les temps
56 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
105 c Werther. Et nous ne manquons pas de témoignages écrits de cette époque qui permettent d’imaginer ce qu’eût pu être le pendan
106  : — « J’ai souffert et me voilà libre à nouveau, écrit Goethe à un ami en 1768, au sortir d’une grave maladie — ; cette calc
107 erveur mystique. « Mes rapports avec les dévots —  écrit -il de Strasbourg — ne sont pas très fréquents ici. Au début, je m’éta
57 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
108 le. Privilège à vrai dire sans mesure ; oserai-je écrire  : sans espoir ? Tâchons d’être joyeux et humbles. 8. Le seul climat
58 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
109 s brutalités futures. Que d’autres étalent en des écrits dépourvus de puissance, un goût du sang qui les marque à nos yeux de
110 irituel est aussi dur que la bataille d’hommes », écrit Rimbaud. Mais le bourgeois qui ne s’en doute guère confond la violenc
59 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
111 tion purificatrice, le parti de la Santé, comme l’ écrivait Philippe Lamour. Peu nous chaut une pureté dépourvue de violence. Nou
60 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
112 Jouhandeau (septembre 1932)g Si dans tous les écrits de notre temps il est question de bien, de mal, de vice et de vertu,
61 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
113 . Nous ne pensons pas que la guerre soit, comme l’ écrit Lefebvre, la seule « chance » des capitalistes. Il en est une moins c
114 aire ne comportent pas de points d’application », écrit Nizan. Voilà bien la suprême « évasion » de nos intellectuels, même m
62 1932, Le Paysan du Danube. Note
115 ube oserait-il assurer qu’il considère ces petits écrits comme autant de hors-d’œuvre ? — De la composition desquels il voudra
63 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
116 leil, et même ailleurs. Croyez-moi, vous pourriez écrire une Vie simultanée de Gérard : elle tiendrait toute en une heure, en
64 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
117 ant, depuis trente ans, qu’il résout par l’acte d’ écrire … Moi je suis dans les buis, près des basses du petit orchestre, avec
65 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
118 je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord les chapitres qui en ont envie, puis ceux qui en auront envie
66 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
119  « Je ne puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affr
120 te, simplement parce qu’il a aimé une femme, pour écrire Hypérion, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement vouloir se m
67 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
121 a nuit fraîche m’a réveillé. Mais tandis qu’ici j’ écris , je me sens tout baigné encore de cette fièvre amoureuse ; et tout es
122 ma tête. La volupté de telles heures consiste à n’ écrire que quatre ou cinq phrases mais en tenant compte de tout ce qui bouge
123 er.) 22 mai 1929 (Après avoir relu ce que j’ écrivais hier.) Il s’agirait, au fond, d’amener la pensée à la plus insistante
124 ervante au corridor.) Début de juillet 1929 Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval,
125 emps, et sans doute à cause de ce que je venais d’ écrire , la faim me prit et je demandai une paire de saucisses croquantes et
126 it seule aussi. Ah ! pensai-je — et ce ah ! que j’ écris ici, c’était alors une soudaine virulence de ma pensée, un élan conte
68 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
127 quelles, épuisé de corps et d’âme, et n’ayant pas écrit une seule note, il se retrouva aux portes de Naples, d’où il n’eut qu
128 il se précipita dans sa chambre où il s’enferma, écrivit dans une grande fièvre tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur
69 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
129 ant, depuis trente ans, qu’il résout par l’acte d’ écrire … Moi je suis dans les buis, près des basses du petit orchestre, avec
70 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
130  « Je ne puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affr
131 te, simplement parce qu’il a aimé une femme, pour écrire Hypérion, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement vouloir se m
71 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
132 a nuit fraîche m’a réveillé. Mais tandis qu’ici j’ écris , je me sens tout baigné encore de cette fièvre amoureuse ; et tout es
133 ma tête. La volupté de telles heures consiste à n’ écrire que quatre ou cinq phrases mais en tenant compte de tout ce qui bouge
134 er.) 22 mai 1929 (Après avoir relu ce que j’ écrivais hier.) Il s’agirait, au fond, d’amener la pensée à la plus insistante
135 convaincu. Il prétend que je savais qui allait m’ écrire , et que j’avais d’assez bonnes chances de deviner juste. Mais je n’ai
136 t, et je n’avais aucune raison d’attendre qu’il m’ écrive . Quant à l’enveloppe jaune, elle contenait un article où l’on revient
137 eut-être approcher. Début de juillet 1929 «  Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval,
138 emps, et sans doute à cause de ce que je venais d’ écrire , la faim me prit et je demandai une paire de saucisses croquantes et
139 it seule aussi. Ah ! pensai-je — et ce ah ! que j’ écris ici, c’était alors une soudaine virulence de ma pensée, un élan conte
72 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
140 eu et son rôle historique. (J’en ai même beaucoup écrit .) Je sais que ce nœud de fleuves et de montagnes percé par le seul co
141 res, au-dessus d’une mer morte de glace. J’allais écrire  : « L’avion s’élance pour franchir l’Océan d’un seul bond. Nous volon
142 et sans nul signe apparent de mouvement. Les uns écrivent , d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot. La mer est blanche, u
143 tion nationale de Zurich, et dont Arthur Honegger écrivit la musique au fur et à mesure des textes que je lui apportais. Nous d
73 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
144 distinct… Je me disais qu’un jour je voudrais en écrire , mais qu’il fallait d’abord rentrer. Je suis rentré, c’est la coutume
74 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
145 mes. Je l’ignorais encore quand on m’a proposé d’ écrire ces pages sur mon pays natal. On insistait amicalement : je venais de
75 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
146 l’état politique, civil et naturel de la Suisse, écrit en 1776 : « La constitution de Neuchâtel est une monarchie limitée, d
147 te mille bons et fidèles sujets… « En 1818 déjà —  écrit M. Arthur Piaget dans sa remarquable Histoire de la révolution neuchâ
148 ille qui régnait à Neuchâtel. Dieu nous préserve, écrivait -il, des parvenus par droit de naissance et de fortune qui clabaudent
76 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
149 efermé les livres, les mémoires. L’année finit. J’ écris sans hâte. Quel silence ! Et je m’attarde à suivre encore ces harmoni
150 is sans y retrouver la trace des larmes dont elle écrit souvent qu’elles furent baignées. L’on était vers 1830. Portrait de s
77 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
151 s steppes vers son génie. Et l’on dit qu’Andersen écrivit quelques-uns de ses plus beaux contes pendant le séjour qu’il fit au
152 vions joué au jeu des questions et réponses. L’un écrit trois questions, et l’autre en même temps trois réponses. Puis on lit
153 papiers. Jeu de hasard, ou de télépathie. J’avais écrit , dernière question : — Qu’est-ce que le style ? Catherine, la fille d
78 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
154 lacustre. « Odeur de l’eau — pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube, et vingt ans ne l’ont pas démenti. Je dénombre m
79 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
155 VIII On peut écrire aussi contre les lacs, ces endormeurs, et porter sa louange à des lie
80 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
156 si excité qu’incompétent. De là cette multitude d’ écrits , dont le propos général est d’élucider les causes lointaines ou proch
157 Gide, par exemple, mais simplement parce que ces écrits faisaient penser. J’exagère à peine. La littérature de l’après-guerre
81 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
158 netteté, comme on l’a vu plus haut. En dehors des écrits de Philip, on ne trouvera guère d’écho à l’effort critique de la « th
82 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
159 ance un vibrant appel aux écrivains : qu’ils nous écrivent des romans contre le bolchévisme, et l’on donnera 50 000 fr. au mieux
83 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
160 es, après avoir lu notre premier cahier, nous ont écrit ceci : « Quelles solutions pratiques apportez-vous ? On voudrait quel
161 ait même qu’elle a surgi à l’occasion de ce que j’ écris  ; il s’agit, avant que d’y répondre, de se rendre compte de ce qu’ell
162 utables, certes, mais positives ». Si nous avions écrit , dans notre premier numéro, que la solution des problèmes sociaux rés
84 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
163 n a cité dans les Débats, ces jours derniers, les écrits de MM. Fernandez2 et Guéhenno. Si intéressants et précis que soit l’u
85 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
164 lbert Cingria (avril 1933)k « Les modernes qui écrivent des livres sur Pétrarque voudraient pouvoir faire une part au Moyen Â
165 ire sur ce qu’il y a de plus significatif dans un écrit « signé ». 24. Et qui d’ailleurs n’exclut pas de petites férocités
86 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
166 sme intellectuel » qu’auraient manifesté certains écrits récents, publiés par des revues littéraires. Peut-être voulait-on fai
87 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
167 ccidentelle. Par le choix même du prétexte de cet écrit , il nous donne ce genre de pensées pour ce qu’elles ont toujours été
88 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
168 etourne à ses petits papiers. Quitte à larder ses écrits de vocables orthodoxes tels que superstructure, prolétariat, koulak o
89 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
169 Au reste, René Dupuis et Alexandre Marc n’ont pas écrit un livre de doctrine. S’adressant au grand public avec autant de préc
90 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
170 e et désespérée. « Ici le paradoxe joue à plein — écrivait -on à ce propos dans un récent article1 — la théologie dialectique de
91 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
171 « Pour qui écrivez -vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)h J’écris à
172 ponse à une enquête] (janvier-février 1934)h J’ écris à ceux qui ont des oreilles pour entendre, amis que ma parole n’attei
173 e ma parole n’atteindrait pas, mais ce message. J’ écris pour ceux qui attendent courageusement une réponse. Ce n’est pas que
174 t les aider à prendre au sérieux leur question. J’ écris pour ceux qui sont en marche, pauvres hommes, pauvres impuissants, re
175 udrait bien savoir pour quelle espèce d’hommes on écrit , en fait, mais il faudrait des statistiques difficiles à établir. Par
176 s parmi les lecteurs de Commune ? h. « Pour qui écrivez -vous ? », Commune, Paris, n° 5-6, janvier-février 1934, p. 571-572. L
92 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
177 es meilleurs exemples de cette théologie dans les écrits marxistes, plus intelligents et plus logiques surtout que ceux des fa
93 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
178 ce sont les motifs qui ont poussé M. Dominicé à l’ écrire , et qu’il expose en une vingtaine de pages précises, mesurées, et con
94 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
179 ntière dans une doctrine de l’acte créateur. Il a écrit quelques ouvrages d’une audace précise. Ils ont paru dans une espèce
180 qu’il annonçait. « L’intelligence est une épée », écrivait -il. Avec ce nom de chevalier ! Son œuvre déconcerte les catégories d
181 ment, jusqu’au bout, les conséquences de ce qu’il écrit  ». Voilà pourquoi, parti de recherches d’ordre poétique sur la métaph
182 plus profond dans l’homme, c’est la peau, a-t-on écrit . On pourrait dire aussi que rien n’est plus visible chez un homme que
95 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
183 « De la raison considérée comme un assassinat », écrit un jour un philosophe. Mais c’est encore une illusion d’orgueil. Le g
96 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
184 ui dépasse l’homme et le suppose en même temps », écrit -il. C’est lorsqu’il définit ainsi la foi qu’on hésite à le suivre, — 
97 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
185 e dans laquelle il faut considérer l’ensemble des écrits de Kierkegaard, et qui est celle du Point de vue explicatif. Le livre
98 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
186  ? ⁂ Comme Max Scheler — au moment du moins où il écrivait L’Homme du ressentiment 47, M. Marcel est catholique. Sa méditation s
187 rance). 47. Converti au catholicisme après avoir écrit ses premières œuvres, et devenu l’un des chefs du parti catholique pa
99 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
188 ie révolutionnaire, pas d’action révolutionnaire, écrivait Lénine dans Que faire ? On ne saurait trop insister sur cette vérité,
189 parties de lui-même à l’intérieur de lui-même », écrit Fernandez. Il en déduit naturellement que « la personnalité concrète
100 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
190 Nous aimons cette maxime de Nietzsche : « Ne rien écrire d’autre que ce qui pourrait désespérer l’espèce d’hommes qui “se hâte