1
dis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême, est l’
élancement
de l’âme vers l’union lumineuse, au-delà de tout amour possible en ce
2
attendrissement : moments de détente, entre deux
élancements
contradictoires, retours au monde… C’est ce moment de joie bizarre, n
3
el, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces
élancements
. Le moi n’est jamais transcendé, il se refuse à l’illusion dernière d
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dis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême, est l’
élancement
de l’âme vers l’union lumineuse, au-delà de tout amour possible en ce
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attendrissement : moments de détente, entre deux
élancements
contradictoires, retours au monde… C’est ce moment de joie bizarre, n
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el, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces
élancements
. Le moi n’est jamais transcendé, il se refuse à l’illusion dernière d
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dis que l’« Amor », qui est l’Éros suprême, est l’
élancement
de l’âme vers l’union lumineuse, au-delà de tout amour possible en ce
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attendrissement : moments de détente, entre deux
élancements
contradictoires, retours au monde… C’est ce moment de joie bizarre, n
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el, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces
élancements
. Le moi n’est jamais transcendé, il se refuse à l’illusion dernière d
10
» m’a saisi. Cette rumeur, cet élan vertical, cet
élancement
solennel, unanime, c’est New York identique à son rêve. Premiers acco
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» m’a saisi. Cette rumeur, cet élan vertical, cet
élancement
solennel, unanime, c’est New York identique à son rêve. Premiers acco