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r lire, écrire et compter pour suivre la campagne
électorale
, voter et truquer légalement les votes. Ensuite, il faut de l’histoir
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r lire, écrire et compter pour suivre la campagne
électorale
, voter et truquer légalement les votes. Ensuite, il faut de l’histoir
3
gures servent en France indifféremment à des fins
électorales
, journalistiques ou philanthropiques. Il faut avouer que l’instrument
4
st-ce un opportunisme purement tactique, d’allure
électorale
? « Toutes les tentatives qui ne se fondent pas sur la classe révolut
5
mmunistes français reste le plus souvent verbale,
électorale
; elle n’est pas dans leur doctrine constructive. Elle se fonde sur d
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à la « lettre » de la question, c’est un procédé
électoral
qui peut être utile à son heure, mais nous avons tout autre chose à f
7
lleur industriel. Le « travailleur » des réunions
électorales
, c’est l’ouvrier d’usine, l’homme lié à la machine. Cette assimilatio
8
du libre abrutissement de tous par la propagande
électorale
. Prendre le travail comme point de départ d’un système économique ou
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confusions qui sont peut-être d’un bon rendement
électoral
, mais qui empêtrent tout élan vers un ordre vraiment nouveau. C’est u
10
es d’une société affolée s’étale sur les affiches
électorales
: j’y vois la preuve que personne ne sait plus le prendre au sérieux.
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atiques, mais se contente, en fait, du verbalisme
électoral
. Les intellectuels prétendent « entrer dans l’action », et cela se tr
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ine ; cesse de croire par exemple qu’un bon agent
électoral
est un homme qui connaît les hommes ; cesse de s’en laisser imposer p
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st-ce un opportunisme purement tactique, d’allure
électorale
? « Toutes les tentatives qui ne se fondent pas sur la classe révolut
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mmunistes français reste le plus souvent verbale,
électorale
; elle n’est pas dans leur doctrine constructive. Elle se fonde sur d
15
étend agir à l’encontre de toute notre expérience
électorale
. — C’est bien cela. — Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des
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dre des vérités qui ne dépendent pas du rendement
électoral
, et qui sont justement les plus concrètes, les modernes, qu’il faut p
17
rle de ce dont ils parlent : en termes d’affiches
électorales
, d’éditoriaux de l’Ami du Peuple, de « justifications » aux congrès r
18
s radicaux : voilà qui est pratique, c’est-à-dire
électoral
. « Vous critiquez, c’est bien facile et jeune. Qu’avez-vous à mettre
19
’action politique, dans la lutte… — Dans la lutte
électorale
? — Dans la réalité pratique ! — Dans la réalité électorale ? — Ah !
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? — Dans la réalité pratique ! — Dans la réalité
électorale
? — Ah ! Vous n’êtes que des intellectuels ! » Cela signifie : vous
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rs, du « pratique », c’est-à-dire quelque chose d’
électoral
. Être « objectif » Dans nos plans, nous parlons des choses, de
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lus grand « ennemi du peuple » — sur les affiches
électorales
. La seule opposition sérieuse La violence de leurs écrits s’acc
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conçoivent en effet d’autre force que la passion
électorale
. Si nous briguions leurs avantages, nous serions plus nigauds encore
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lleur industriel. Le « travailleur » des réunions
électorales
, c’est l’ouvrier d’usine, l’homme lié à la machine. Cette assimilatio
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du libre abrutissement de tous par la propagande
électorale
. Prendre le travail comme point de départ d’un système économique ou
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es d’une société affolée s’étale sur les affiches
électorales
: j’y vois la preuve que personne ne sait plus le prendre au sérieux.
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atiques, mais se contente, en fait, du verbalisme
électoral
. Les intellectuels prétendent « entrer dans l’action », et cela se tr
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e ; cesse de croire, par exemple, qu’un bon agent
électoral
est un homme qui connaît les hommes ; cesse de s’en laisser imposer p
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st-ce un opportunisme purement tactique, d’allure
électorale
? « Toutes les tentatives qui ne se fondent pas sur la classe révolut
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mmunistes français reste le plus souvent verbale,
électorale
; elle n’est pas dans leur doctrine constructive. Elle se fonde sur d
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étend agir à l’encontre de toute notre expérience
électorale
. — C’est bien cela. — Mais alors vous n’êtes rien ! Des artistes, des
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dre des vérités qui ne dépendent pas du rendement
électoral
, et qui sont justement les plus concrètes, les modernes, qu’il faut p
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rle de ce dont ils parlent : en termes d’affiches
électorales
, d’éditoriaux de l’Ami du Peuple, de « justifications » aux congrès r
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s radicaux : voilà qui est pratique, c’est-à-dire
électoral
. « Vous critiquez, c’est bien facile et jeune. Qu’avez-vous à mettre
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’action politique, dans la lutte… — Dans la lutte
électorale
? — Dans la réalité pratique ! — Dans la réalité électorale ? — Ah !
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? — Dans la réalité pratique ! — Dans la réalité
électorale
? — Ah ! Vous n’êtes que des intellectuels ! » Cela signifie : vous c
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rs, du « pratique », c’est-à-dire quelque chose d’
électoral
. Être « objectif » Dans nos plans, nous parlons des choses, de
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lus grand « ennemi du peuple » — sur les affiches
électorales
. La seule opposition sérieuse La violence de leurs écrits s’acc
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onçoivent, en effet, d’autre force que la passion
électorale
. Si nous briguions leurs avantages, nous serions plus nigauds encore
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ordre nouveau. (Condamnation des partis purement
électoraux
, des moyens de propagande de masses, etc. Méfiance méthodique à l’éga
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lleur industriel. Le « travailleur » des réunions
électorales
, c’est l’ouvrier d’usine, l’homme lié à la machine. Cette assimilatio
42
du libre abrutissement de tous par la propagande
électorale
. Prendre le travail comme point de départ d’un système économique ou
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marge de l’action directe, abandonnée aux comités
électoraux
et aux députés, des millions de citoyens s’excitent sur les hebdomada
44
lculateurs locaux, des comitards, des techniciens
électoraux
, des requins d’affaires ou des vieux routiers du parlementarisme. Et
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eux complexe de puissances collectives, de masses
électorales
, de lois économiques. Un jeu secret qui se joue sur nos têtes et dont
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de droite28, ou simple déchaînement de démagogies
électorales
, tout cela est également possible, et sera également stérile. Tout ce
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de la nation sur une question vitale. La « lutte
électorale
» revenait ainsi à la lutte du parti au pouvoir contre l’opposition s
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marge de l’action directe, abandonnée aux comités
électoraux
et aux députés, des millions de citoyens s’excitent sur les hebdomada
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lculateurs locaux, des comitards, des techniciens
électoraux
, des requins d’affaires ou des vieux routiers du parlementarisme. Et
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elle reste d’usage interne, c’est-à-dire purement
électoral
. Mais ce n’est pas toujours possible…) Il faudrait que les Français f
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on courante ; tandis que les débats politiques ou
électoraux
abondent en confusion de cette espèce et s’en nourrissent. L’opératio
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on courante ; tandis que les débats politiques et
électoraux
abondent en confusions de cette espèce, et s’en nourrissent. L’opérat
53
plement, au siècle de la presse et de l’éloquence
électorale
. Si l’on se mettait à vivre sa morale, il n’y aurait plus de morale ;
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on courante ; tandis que les débats politiques et
électoraux
abondent en confusions de cette espèce, et s’en nourrissent. (Voir au
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plement, au siècle de la presse et de l’éloquence
électorale
. Si l’on se mettait à vivre sa morale, il n’y aurait plus de morale ;
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de partis pris, d’erreurs de faits et de formules
électorales
! Je demandai la parole pour expliquer, le plus simplement que je pus
57
ctuels — qui détestent la politique et la combine
électorale
. Au lieu de quoi on pervertit les révoltes les mieux justifiées, on l
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misérabilisme », l’humanitarisme, le démocratisme
électoral
des staliniens, les divers collectivismes, etc., auxquels succombent
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ublime, ô ironie, en rouspétance, en criailleries
électorales
, journalistiques. Il s’étale en mauvaise humeur. C’est cela que je no
60
nce ? Cela trancherait au moins sur la propagande
électorale
. — Oui, oui, mais… je les connais. Ils aiment qu’on leur fasse un bea
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outes faites empruntées au journal, à la campagne
électorale
. C’est que l’homme-moyen n’a pas coutume de se formuler clairement ce
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nce ? Cela trancherait au moins sur la propagande
électorale
. — Oui, oui, mais… je les connais. Ils aiment qu’on leur fasse un bea
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de partis pris, d’erreurs de faits et de formules
électorales
! Je demandai la parole pour expliquer, le plus simplement que je pus
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ublime, ô ironie, en rouspétance, en criailleries
électorales
, journalistiques. Il s’étale en mauvaise humeur. C’est cela que je no
65
hos révolutionnaire ! Ô gloire de la phraséologie
électorale
! Ô triomphe des mots d’ordre sur l’inertie des masses, l’égoïsme des
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ctuels — qui détestent la politique et la combine
électorale
. Au lieu de quoi, on pervertit les révoltes les mieux justifiées, on
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de la nation sur une question vitale. La « lutte
électorale
» revenait ainsi à la lutte du parti au pouvoir contre l’opposition s
68
mes politiques quand ils courtisent une assemblée
électorale
. Hitler est plus brutal : il se fâche et se plaint en même temps ; il
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mes politiques quand ils courtisent une assemblée
électorale
. Hitler est plus brutal : il se fâche et se plaint en même temps ; il
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mes politiques quand ils courtisent une assemblée
électorale
. Hitler est plus brutal : il se fâche et se plaint en même temps ; il
71
bre 1940)h New York, 25 octobre. La campagne
électorale
qui prendra fin au moment où cet article atteindra la Suisse est l’un
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i dans le choix qu’est en train de faire le corps
électoral
américain. Qu’on ne s’y trompe pas : le parti proallemand est extrême
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e ceux-ci se seront remis de leur crise de fièvre
électorale
. Comment sauver les partis Car il ne s’agit pas de dissoudre le
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intermédiaires et sans tenir compte des intérêts
électoraux
, byzantins, perdus dans le détail de polémiques éphémères et d’intrig
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on pas de la tactique particulière et cyniquement
électorale
d’un parti. Bref, nous voulons une politique à hauteur d’homme. Celle
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c’est vague et arbitraire, parce que ce n’est pas
électoral
. Et, en effet, ce n’est pas électoral, dans ce sens qu’une telle poli
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e n’est pas électoral. Et, en effet, ce n’est pas
électoral
, dans ce sens qu’une telle politique peut être pratiquée au sein de p
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rages, à sa première présentation devant le corps
électoral
, c’est qu’il a fait en une année de leur pays, le grand gagnant europ
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st-ce un opportunisme purement tactique, d’allure
électorale
? « Toutes les tentatives qui ne se fondent pas sur la classe révolut
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mmunistes français reste le plus souvent verbale,
électorale
; elle n’est pas dans leur doctrine constructive. Elle se fonde sur d
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nce ? Cela trancherait au moins sur la propagande
électorale
. — Oui, oui, mais… je les connais. Ils aiment qu’on leur fasse un bea
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de partis pris, d’erreurs de faits et de formules
électorales
! Je demandai la parole pour expliquer, le plus simplement que je pus
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lime », ô ironie, en rouspétance, en criailleries
électorales
, journalistiques. Il s’étale en mauvaise humeur. C’est cela que je no
84
ille du pathos révolutionnaire de la phraséologie
électorale
! Ô triomphe des mots d’ordre sur l’inertie des masses, l’égoïsme des
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ctuels — qui détestent la politique et la combine
électorale
. Au lieu de quoi, on pervertit les révoltes les mieux justifiées, on
86
ul parti ; qui ne représente qu’un quart du corps
électoral
dans les pays où il est le plus fort, et qui ne peut faire notre unit
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; l’irréalité même, au bout du compte, mais c’est
électoral
et cela passe pour pratique. (Personne ne sait pourquoi, et bien peu
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ait pourquoi, et bien peu se le demandent. Le jeu
électoral
vit de nos oublis, et dure à la faveur de notre étourderie.) De même,
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les meetings des partis, spécialement en période
électorale
. Qu’on qualifie de prématurés, sans examen, tous les plans basés sur
90
eul parti, qui ne représente qu’un quart du corps
électoral
dans les pays où il est le plus fort, et qui ne peut faire notre unit
91
La seule solution concevable, c’est une campagne
électorale
organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Pa
92
La seule solution concevable, c’est une campagne
électorale
organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Pa
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La seule solution concevable, c’est une campagne
électorale
organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier pa
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la donne de passionnants problèmes d’arithmétique
électorale
pour chaque parti de chaque pays, et « voilà la réalité »… Si l’Europ
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jeunesses (ou des aînesses) politiques. L’intérêt
électoral
de la culture est nul. Par suite, si l’on veut construire l’Europe su
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les ouvriers qui les produisent, et les problèmes
électoraux
qui en résultent : tout cela n’est que résultats ou contrecoups épiso
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sa vie personnelle, avant de songer aux réalités
électorales
. Il demande que sa vie ait un sens. Qu’on lui en donne un sans discus
98
on croyait à la culture comme on croit au pouvoir
électoral
des bouilleurs de cru, par exemple, on lui donnerait cent fois ou mil
99
on croyait à la culture comme on croit au pouvoir
électoral
des bouilleurs de cru, par exemple, on lui donnerait cent fois ou mil
100
ration, pas davantage en tout cas qu’une campagne
électorale
ne divise les États-Unis en un État républicain et un État démocrate.
101
demi-canton formant un arrondissement ou collège
électoral
. (Toute fraction supérieure à 11 000 habitants donne droit à un déput
102
es communistes représentent de 25 à 35 % du corps
électoral
) n’a reçu la permission de paraître en URSS. Aux USA, le parti commun
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hanger en une année les conditions d’une campagne
électorale
, et d’une manière générale, les travaux les plus abstrus et théorique
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happent précisément à la compréhension des masses
électorales
et des élites, cependant que les techniciens perdent de plus en plus
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réels ? C’est peu probable. Croit-il que le corps
électoral
français a fait preuve d’une égale maturité depuis 150 ans, la sagess
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le, soit par d’autres moyens pratiques (campagnes
électorales
, partis, presse, mass médias), elles réussissent à informer et à form
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ant qu’Hitler remportait son premier grand succès
électoral
, le 14 septembre 1930. La dernière tentative pour unir des États souv
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ticipation au scrutin n’atteint pas 54 % du corps
électoral
. Deux tiers environ des votants se prononcent en faveur du projet. Ma
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demi-canton formant un arrondissement ou collège
électoral
. L’égalité des pouvoirs attribués aux deux chambres par la Constituti
110
ntions, la presse à discuter le dossier, le corps
électoral
à réfléchir et à s’informer, et que tout cela entretient et anime la
111
semble bien être le désintérêt croissant du corps
électoral
à l’endroit de la chose publique, désintérêt que l’on pourrait mesure
112
ait ni frontières nationales, ni circonscriptions
électorales
ou fiscales, mais des continents et des régions. Et cependant, elle d
113
uffer, dans sa stupeur devant le premier triomphe
électoral
d’Hitler, annoncé quelques jours plus tard. Mais, dès le début des an
114
i : « … la politisation à outrance de la campagne
électorale
, bien qu’elle ne concernât que des enjeux municipaux ou provinciaux…
115
tiser une campagne signifie donc réduire la lutte
électorale
à des slogans et mythes partisans, c’est-à-dire détourner l’attention
116
gional si l’on préfère, non, ce n’est pas un truc
électoral
, un système plus ou moins astucieux, mais un moyen de créer ce qui no
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ait ni frontières nationales, ni circonscriptions
électorales
ou fiscales, mais des continents et des régions. Et cependant, elle d
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ainsi — hélas sans rire ! — le célèbre programme
électoral
qui réclamait « l’extinction du paupérisme à partir de dix heures du
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sondages d’opinion publiés au cours d’une période
électorale
. Mais l’effet de rétroaction de la prévision, son efficacité préventi
120
tatifs et quantitatifs de la composition du corps
électoral
, ni par l’introduction du vote féminin. Les individus changent comme
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testé qu’il faille en faire un point de programme
électoral
? De Gaulle seul avait entrevu les voies et moyens du passage à l’ère
122
but. On a pu le voir lors des dernières campagnes
électorales
dans plusieurs grands pays de l’Europe, le seul but politique clairem
123
t non conditionnée, et non prévue par nos régimes
électoraux
. La lutte des petites communautés naissantes pour l’autogestion régio
124
es compagnies pétrolières financent les campagnes
électorales
et présidentielles », nous apprend Ralph Nader, qu’on n’a pas réfuté.
125
et l’appui de la mafia : elles ont une influence
électorale
. On l’a vu l’an dernier en Grande-Bretagne, dans vingt départements f
126
tler venait de remporter son premier grand succès
électoral
(14 septembre 1930). Le sort en était jeté : l’Europe désunie glissai
127
, qui ne va pas manquer de déclencher la campagne
électorale
, aura pour effet de reposer le problème des « vrais » motifs de l’uni
128
atiques, mais se contente, en fait, du verbalisme
électoral
. Les intellectuels prétendent « entrer dans l’action », et cela se tr
129
titre15 comme slogan pendant la dernière campagne
électorale
en France : des dizaines de milliers d’affiches bleu foncé assuraient
130
a nouvelle idée, l’idée principale de sa campagne
électorale
. Dans votre livre, vous nous donniez dix à quinze ans au plus pour dé
131
n’a pas particulièrement vibré lors des journées
électorales
de mai et de juin. Je ne suis guère passionné par la politique des pa
132
é plus d’importance qu’il ne le dit à la campagne
électorale
. J’ai été surpris de voir que le thème de la régionalisation refaisai
133
ation refaisait surface… parfois pour des raisons
électorales
. Jacques Chirac lui-même a déclaré : « La réforme régionale est l’une
134
étaient la base du fédéralisme Les intentions
électorales
, c’est une chose, mais que deviennent-elles aujourd’hui ? À ma grande
135
es marquant l’ouverture officielle de la campagne
électorale
opposait à la télévision française Simone Veil pour la droite et Lion
136
e seulement d’accidents, de victoires et défaites
électorales
, économiques, voire militaires au loin. Elle est déterminée par ces p
137
La seule solution concevable, c’est une campagne
électorale
organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Pa
138
ux yeux de la loi. Le chapitre XI, sur le Système
électoral
, rappelle que les élections aux soviets des treize degrés existants d