1 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
1 is le signe d’une espèce de névrose ou de vertige épidémique  : le besoin d’être dépossédé de soi, donc possédé par l’extérieur ou
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
2 is le signe d’une espèce de névrose ou de vertige épidémique  : le besoin d’être dépossédé de soi, donc possédé par l’extérieur ou
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
3 is le signe d’une espèce de névrose ou de vertige épidémique  : le besoin d’être dépossédé de soi, donc possédé par l’extérieur ou
4 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). IV. Berlin : le second Rapport au club de Rome
4 deux avenirs possibles : – ou bien la démission épidémique de la personne, du citoyen, devant la mécanique inhumaine de l’État n
5 1975, Articles divers (1974-1977). « L’État-nation, voilà l’ennemi » (1er juillet 1975)
5 ir redevient notre affaire. Ou bien la démission épidémique de la personne devant la mécanique de l’État nous conduit, dans une a
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
6 e en peu d’années, suivant de près la progression épidémique du modèle de l’État-nation dans le tiers-monde. Indicateur universel
7 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
7 monter de toutes parts une contamination d’allure épidémique des politiques de chantage collectif, traduites en style californien
8 1978, Articles divers (1978-1981). Réfléchir à ce que le terrorisme signifie (4 janvier 1978)
8 monter de toutes parts une contamination d’allure épidémique des politiques de chantage collectif, traduites en style californien