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ond courant peut être appelé celui de la mystique
épithalamique
: il tend au mariage de l’âme et de Dieu, et suppose donc qu’une dist
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’apparaît, dans la mystique du Nord, le langage «
épithalamique
». « Voici donc venu l’irrésistible désir. S’efforcer continuellement
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Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage «
épithalamique
» pourrait-elle être proposée comme un critère lorsqu’il s’agit de sa
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ers — jusqu’au Paraclet d’Héloïse. Cette mystique
épithalamique
se retrouve à la fois chez Bernard de Clairvaux, Hughes de Saint-Vict
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ive, qui conduit à l’union essentielle (non point
épithalamique
). 102. Et Gottfried n’a-t-il pas imité le sic et non d’Abélard ? L’e
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ond courant peut être appelé celui de la mystique
épithalamique
: il tend au mariage de l’âme et de Dieu, et suppose donc qu’une dist
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’apparaît, dans la mystique du Nord, le langage «
épithalamique
». « Voici donc venu l’irrésistible désir. S’efforcer continuellement
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Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage «
épithalamique
» pourrait-elle être proposée comme un critère lorsqu’il s’agit de sa
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ers — jusqu’au Paraclet d’Héloïse. Cette mystique
épithalamique
se retrouve à la fois chez Bernard de Clairvaux, Hughes de Saint-Vict
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ive, qui conduit à l’union essentielle (non point
épithalamique
). 94. Et Gottfried n’a-t-il pas imité le sic et non d’Abélard ? L’ex
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ond courant peut être appelé celui de la mystique
épithalamique
: il tend au mariage de l’âme et de Dieu, et suppose donc qu’une dist
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’apparaît, dans la mystique du Nord, le langage «
épithalamique
». « Voici donc venu l’irrésistible désir. S’efforcer continuellement
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Jean de la Croix, p. 642. L’absence du langage «
épithalamique
» pourrait-elle être proposée comme un critère lorsqu’il s’agit de sa
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ers — jusqu’au Paraclet d’Héloïse. Cette mystique
épithalamique
se retrouve à la fois chez Bernard de Clairvaux, Hughes de Saint-Vict