1 ecteurs dans un monde purement fantaisiste où les équations tyranniques deviennent de merveilleux calembours, où les savants sont

2 rdonner au problème personnel de ces vies, à leur équation d’existence, pourrait-on dire. Or c’est, chez l’un comme chez l’autre

3 être utile d’en dégager ce que l’on appellerait l’ équation de décadence, dans certains cas où cette absurdité essentielle, cette

4 e qu’il a tenté d’étaler dans l’Histoire, c’est l’ équation d’existence de l’âme allemande. Mais il a voulu que ses moments fusse

5 e qu’il a tenté d’étaler dans l’Histoire, c’est l’ équation d’existence de l’âme allemande. Mais il a voulu que ses moments fusse

6 cret comme tel, mais nous avons plutôt donné deux équations dont le concret constitue l’inconnue, et décrit la manière dont l’ent

7 lations que nous venons de proposer, transforme l’ équation sujet en vrai sujet, et l’équation objet en vrai objet. 2. Le conc

8 , transforme l’équation sujet en vrai sujet, et l’ équation objet en vrai objet. 2. Le concret, c’est la présence de l’homme

9 oint songer à Goethe ? Mais à sa seule leçon, à l’ équation fondamentale de sa vie, non point certes aux contingences et au décor

10 iste. Les contradictions du monde figurent dans l’ équation fondamentale de toute existence. Mais l’illusion la plus terrible de

11 errible de l’humanité consiste à croire que cette équation comporte une solution générale. Il n’y a de solution que personnelle

12 st la seule valeur qu’on puisse donner à l’x de l’ équation du monde. Or, la personne étant un acte créateur, elle introduit à ch

13 cte créateur, elle introduit à chaque fois dans l’ équation un élément irrationnel, incalculable, un élément de liberté. Sens

14 iste. Les contradictions du monde figurent dans l’ équation fondamentale de toute existence. Mais l’illusion la plus terrible de

15 errible de l’humanité consiste à croire que cette équation comporte une solution générale. Il n’y a de solution que personnelle

16 st la seule valeur qu’on puisse donner à l’x de l’ équation du monde. Or, la personne étant un acte créateur, elle introduit à ch

17 cte créateur, elle introduit à chaque fois dans l’ équation un élément irrationnel, incalculable, un élément de liberté. Sens

18 nnule le facteur Waterloo, et nous démontre que l’ équation Napoléon n’en doit pas moins avoir pour second membre l’abdication. I

19 rire, le style au sens étroit. Il s’agit là d’une équation fondamentale de l’exister, dont la critique personnaliste a pour obje

20 rdonner au problème personnel de ces vies, à leur équation d’existence. Or c’est, chez l’un comme chez l’autre, une révolution d

21 re siège, elle est ce complexe de tensions, cette équation fondamentale de l’être. La première impression qu’on reçoit de ce por

22 oint songer à Goethe ? Mais à sa seule leçon, à l’ équation fondamentale de sa vie, non point certes aux contingences et au décor

23 e. À quoi pense-t-il ? De ce cerveau est sortie l’ équation qui est en train de bouleverser le monde. Je me la répète chaque fois

24 rassuré. Mais un fait n’est qu’un signe dans une équation , une lettre ou une virgule dans une phrase, on ne peut le lire qu’ave

25 e. À quoi pense-t-il ? De ce cerveau est sortie l’ équation qui est en train de bouleverser le monde. Je me la répète chaque fois

26 e. À quoi pense-t-il ? De ce cerveau est sortie l’ équation qui est en train de bouleverser le monde. Je me la répète chaque fois

27 e qu’il a tenté d’étaler dans l’Histoire, c’est l’ équation d’existence de l’âme allemande. Mais il a voulu que ses moments fusse

28 , c’est-à-dire proprement humaine, tandis que les équations de la physique traduisent les structures de l’énergie considérée comm

29 rassuré. Mais un fait n’est qu’un signe dans une équation , une lettre ou une virgule dans une phrase, on ne peut le lire qu’ave

30 On ne fédère pas des armes et des machines, des équations et des doctrines, mais seulement des hommes, et leurs groupes. La Com

31 e la science. Lorsque Einstein écrivit la célèbre équation de la relativité E = mc2, pouvait-il prévoir que trente-neuf ans plus

32 e trente-neuf ans plus tard, sur la base de cette équation , une bombe nouvelle tuerait en une seconde plus de cent-vingt-mille J

33 honie ou du concerto, du roman ou du sonnet, de l’ équation ou de la théorie des groupes, de la fresque ou du tableau de chevalet

34 us symboliserons par c2 . Nous retrouvons ici une équation célèbre : E = mc2, que nous prendrons la liberté de lire comme suit :

35 . Nous voici donc ramenés, comme par hasard, à l’ équation la plus célèbre de ce siècle : E = mc2, que je me permets de lire com

36 ns. Mais si l’Europe a trouvé les principes, les équations et les premiers moyens permettant de réveiller et de domestiquer l’én

37 , une maison, un poème, une statue, un outil, une équation , résultent d’actes culturels, — artificiels. L’homme est cet animal q

38 ent d’autre chose que de recettes techniques et d’ équations  : les plus grands savants novateurs de notre temps sont tous d’accord

39 ne des secrets d’un champ unifié. Elle implique l’ équation plus générale encore qui embrasserait à la fois le phénomène humain,

40 d’une formule du champ unitaire. Elle implique l’ équation plus générale encore qui embrasserait à la fois le phénomène humain,

41 s particulièrement dangereuse pour l’Europe. L’ équation européenne Si l’Europe a pu dominer le monde par son économie, ses

42 est bien loin d’être fini ! Selon la plus célèbre équation de notre époque, celle d’Einstein, l’énergie est égale au produit de

43 ent par m, et sa culture par c, nous obtenons une équation semblable et non moins chargée de conséquences : E = mc2 Europe = Ca

44 ne culture. Cette définition simple me rappelle l’ équation la plus célèbre du siècle, qu’est celle d’Einstein : E = mc2, ou E si

45 ne culture. Cette définition simple me rappelle l’ équation la plus célèbre du siècle, qui est celle d’Einstein : E = mc2 où E s

46 r-F — comme l’énergie s’écrit mc2 dans la célèbre équation d’Einstein — voici qu’il est aussi, pour Ansermet, précisément le « D

47 une façade, et l’homme qui fait une machine, une équation , une loi, un soulier, un produit chimique, une photo. Depuis deux siè

48 ège, mais un piège orienté. Et il est vrai qu’une équation est un objet qui n’a d’autre fonction que de signifier. Cependant sa

49 passé ou du présent, sont toutes à la merci d’une équation nouvelle, d’une action aujourd’hui encore impondérable, d’une volonté

50 passé ou du présent, sont toutes à la merci d’une équation nouvelle, d’une action aujourd’hui encore impondérable, d’une volonté

51 , une maison, un poème, une statue, un outil, une équation , résultent d’actes culturels — artificiels. L’homme est cet animal qu

52 écrire des livres, à composer de la musique, des équations ou des cités, à méditer, à inventer — à créer ou à se créer : voilà l

53 ous symboliserons par c2. Nous retrouvons ici une équation célèbre : E = mc2 que nous prendrons la liberté de lire comme suit :

54 passé ou du présent, sont toutes à la merci d’une équation nouvelle, d’une action aujourd’hui encore impondérable, d’une volonté

55 107. 42. « Le patriotisme actuel consiste en une équation entre le bien et une collectivité correspondant à un espace territori

56 e change dans sa pensée le terme territorial de l’ équation , et met à la place un terme plus petit, comme la Bretagne, ou plus gr

57 enu une place proprement décisive : il a posé les équations de base, formulé les concepts opératoires. Et pour ma part, je ne ces

58 ouple, la personne et le fédéralisme. C’est votre équation de base ? Oui. Disons qu’il s’agit d’une intuition fondamentale qu’il

59 ir jamais former des couples ? » Voilà dévoilée l’ équation de base de ce que j’ai écrit aussi bien dans L’Amour et l’Occident

60 ’astronome, ou plus tard de la balistique. Mais l’ équation d’Einstein, du vivant de son auteur, aboutit à Hiroshima. Tout va vit

61 maintenant je transpose en termes politiques mon équation culturelle : Europe de la culture = courants continentaux et foyers

62 maintenant je transpose en termes politiques mon équation  : Europe de la culture : foyers de création initiant des courants co

63 maintenant je transpose en termes politiques mon équation  : Europe de la culture = foyers locaux de création initiant des cour

64 maintenant je transpose en termes politiques mon équation culturelle, soit : Europe de la culture = courants continentaux à p

65 vaincre ! Le patriotisme actuel consiste en une «  équation entre le bien absolu et une collectivité correspondant à un espace te

66 e change dans sa pensée le terme territorial de l’ équation et met à la place un terme plus petit, comme la Bretagne, ou plus gra

67 ux qui ont nourri ces appareils d’environ 100 000 équations . Personne à la tribune ne semble mettre en doute les progrès ainsi ac

68 e. À quoi pense-t-il ? De ce cerveau est sortie l’ équation qui est en train de bouleverser le monde. Je me la répète chaque fois

69 crivait : « Le patriotisme actuel consiste en une équation entre le bien et une collectivité correspondant à un espace territori

70 e change dans sa pensée le terme territorial de l’ équation , et met à la place un terme plus petit, comme la Bretagne, ou plus gr

71 motivations mêmes de sa personne et notamment à l’ équation  : Moselle / Europe chrétienne = Région / Fédération continentale Ca

72 e nation, mais, traduisant le premier membre de l’ équation qui est le rapport origines/horizon, elle exprime l’expérience dureme

73 esquelles l’idée du Progrès matériel et surtout l’ équation « bonheur de l’homme égale accroissement des dépenses nationales (ou

74 , une maison, un poème, une statue, un outil, une équation , résultent d’actes culturels artificiels. L’homme est cet animal qui

75 a « souveraineté absolue », et enfin et surtout l’ équation  : « Bonheur de l’homme égale accroissement des dépenses publiques et

76 e la paix — la lutte pour la paix — étant donné l’ équation que nous sommes bien obligés de faire entre l’État-nation et la guerr