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e soi-même. Ainsi l’athlète à l’entraînement ne s’
épuise-t
-il pas à combattre certaines faiblesses : il développe ses qualités,
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ourrait lui rendre la certitude d’être. Mais il s’
épuise
dans une perspective de reflets qui vont en diminuant vertigineusemen
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c le bruit de l’eau et cette complainte de malade
épuisé
après un grand accès de fièvre… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu